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Près de 90 jeunes apprentis et stagiaires en formation continue ont pris part à la traditionnelle cérémonie protocolaire de la remise des diplômes obtenus à l’issue des épreuves qui sanctionnaient leur cursus en juin. Enregistrant un taux de réussite de 81,65 %, avec même une pointe exceptionnelle à 100 % de succès dans le cadre du baccalauréat professionnel, le centre de formation du bâtiment de l’Yonne accueille cette saison 310 personnes, dont 245 apprentis et stagiaires qui pratiquent aussi l’alternance en milieu professionnel…

AUXERRE : Moments de liesse pour les heureux bénéficiaires des diplômes de niveau CAP, BP et baccalauréat professionnel qui ont fréquenté la saison dernière les salles de cours théoriques et pratiques du CFA Bâtiment de l’Yonne à Auxerre.

Ils ont terminé l’année 2017 de brillante manière, en étant sollicité par la direction de l’établissement à prendre part à la remise de leurs précieux accessits. Devant leurs camarades et les membres de leur famille.

Un événement salué par la présence de la secrétaire générale de la préfecture de l’Yonne et sous-préfète d’Auxerre, Françoise FUGIER et celle de Marc LABARDE, l’une des chevilles ouvrières incontournables du fameux concours départemental qui prépare aux sélections supérieures menant au « Meilleur apprenti de France ».

Pléthore de distinctions et de classements d’excellence pour les apprentis de l’Yonne…

Le directeur de l’établissement, Gérald JAFFRE, rappelait que les deux premiers lauréats de chaque catégorie (une dizaine de filières professionnelles du gros et second œuvre au total) recevraient, outre leur précieux sésame, des cadeaux offerts par une vingtaine de partenaires économiques soutenant les approches pédagogiques du centre icaunais. Des cadeaux, par ailleurs fort utiles pouvant servir à équiper les jeunes gens en fonction de leurs futurs métiers. Certains, les plus méritants de ces différentes promotions se voyaient même dotés de récompenses financières sous la forme de chèques.

Cette saison, deux jeunes apprentis se sont illustrés au concours « Un des meilleurs apprentis de France » lors de la sélection départementale. Ils concouraient dans la discipline de la zinguerie. Précisons que deux autres personnes ont été honorées pour leur participation au concours similaire mais de niveau régional, cette fois. Ils se sont classés respectivement à la seconde et à la troisième place dans la catégorie maçonnerie.

Enfin, un geste généreux et sympathique est à mettre à l’actif d’un jeune garçon qui a fait don de sa collection encyclopédique d’une cinquantaine d’ouvrages aux références historiques et scientifiques. Une dotation dont bénéficiera désormais le centre de ressources de l’établissement d’Auxerre.

Avant de clore cet événement, Françoise FUGIER évoquait la mise en place d'une charte visant à promouvoir l'apprentissage qui devrait être officialisée entre les trois chambres consulaires, les établissements de formation et la préfecture dès le premier trimestre 2018.


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L’Yonne peut s’enorgueillir de posséder sur son territoire une antenne ultra dynamique du premier réseau d’écoles de commerce post-bac en France, l’EGC. L’établissement, accueilli au cœur du village d’entreprises géré par la Chambre de Commerce et d’Industrie, a récompensé il y a peu une dizaine de jeunes diplômés, lors de la traditionnelle cérémonie de remise de distinctions. Une étape symbolique  et conviviale qui clôture un cycle pédagogique à vocation commerciale et marketing de trois ans distillé par des enseignants et vacataires issus du monde professionnel…

SENS : A l’énoncé des statistiques dévoilées par le président de la CCI de l’Yonne, Alain PEREZ, lors de la septième cérémonie de remise de diplômes début décembre, on comprend mieux l’appétence des milieux institutionnels et économiques locaux en faveur de l’Ecole de gestion et de commerce basée dans le nord de l’Yonne.

Des résultats encourageants d’une promotion à l’autre…

Référence à part entière de l’enseignement supérieur opérationnel sur notre territoire, l’EGC, créée en 2008, a acquis petit à petit ses lettres de noblesse au sein du paysage pédagogique bourguignon.

Qu’on en juge : en presque dix saisons de fonctionnement, le campus du réseau des CCI a formé 151 étudiants dont 55 apprentis depuis 2010, délivré 82 diplômes et surtout proposé plus de 500 stages en entreprise dont une centaine qui ont été dirigée vers l’international, sur le continent européen mais aussi à destination de l’Asie, pour des périodes d’immersion allant de trois à cinq mois sur le terrain.

Quant aux professionnels, issus de groupes reconnus de l’entreprenariat régional (CHAROT, TRANSDEV, ULMANN, CHEVILLON, etc.), ils se mobilisent chaque année avec enthousiasme et plaisir pour apporter leurs compétences et savoir-faire aux jeunes pousses lors de jurys permettant de valider les acquis.

L’expertise des entreprises et d’enseignants de qualité…

Membre d’un réseau national existant depuis trente ans et qui comptabilise 2 200 étudiants formés chaque année parmi les vingt-deux établissements, 900 diplômés par an et un vivier de 21 000 anciens étudiants, l’Ecole de gestion et de commerce de Sens bénéficie d’un taux d’insertion professionnelle de 80 % six mois après l’obtention du précieux sésame servant à intégrer la vie active.

La plus-value de cette école, conduite avec maestria par Hervé AUBERGER qui dirige en parallèle la destinée du pôle formation de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, repose sur cette relation sectorielle privilégiée avec le tissu économique de proximité.

Apporter une réponse concrète aux besoins des cadres intermédiaires des entreprises de l’Yonne est devenu l’un des axes essentiels qui justifie le mode opératoire de l’école.

« Nous travaillons deux zones géographiques majeures, explique Hervé AUBERGER, le secteur septentrional de l’Yonne mais cela tend aussi à s’élargir à l’ensemble du département depuis quelques saisons et la zone sud de la Seine-et-Marne… ».

Proposer une alternative pédagogique  de proximité aux bacheliers de l’Yonne…

D’ailleurs, 20 % des étudiants qui fréquentent le deuxième étage du village d’entreprises de Sens proviennent de l’Ile de France. L’autre vecteur intéressant qui explique le succès de cette structure d’enseignement supérieur depuis qu’elle a vu le jour, c’est la baisse de l’évasion des bacheliers Icaunais vers les départements limitrophes. Car, 80 % de ces jeunes gens poursuivent leur troisième cycle vers Dijon ou se rendent à Paris. Voire à Troyes ou Orléans.

« N’oublions pas d’intégrer l’enseignement supérieur parmi les leviers stratégiques du développement économique de notre territoire, précise Alain PEREZ qui rappelle les fondamentaux du concept « CCI Yonne Campus » initié par ses soins en 2016, en conservant nos jeunes talets dans l’Yonne, nous contribuons ainsi à dynamiser note département en répondant aux besoins et compétences des entreprises… ».

Forte de 45 étudiants, l’Ecole de gestion et de commerce de Sens ne cherche pas à remplir coûte que coûte ses promotions. Rester à dimension humaine est un aspect prépondérant à la réussite de ce concept pédagogique qui devra cependant répondre à de nouveaux objectifs en 2018…


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Après un amorçage réussi en 2017, le réseau des MFR de Bourgogne Franche-Comté renouvelle pour la seconde année consécutive cette initiative expliquant le parcours pédagogique qui conduit aux grandes filières de la vie professionnelle. A travers quatre forums, accueillis dans les principales villes du territoire, la fédération régionale des Maisons familiales rurales apportera des réponses précises aux collégiens et lycéens, mais également aux étudiants, enseignants et demandeurs d’emploi désireux d’en savoir davantage sur les formations par l’alternance ou par apprentissage, après les classes de 4ème et 3ème, du CAP au Brevet de technicien supérieur (BTS).

DIJON : Tenue en janvier 2017, la précédente édition avait enthousiasmé les élèves de nombreux établissements scolaires de Besançon et sa périphérie. Il devrait en être de même en cette période de janvier aux quatre coins du territoire régional.

Un panel éclectique de métiers présent sur les forums

S’inscrivant parmi les axes majeurs de la communication de ce réseau de centres de formation, les Forums des métiers offriront gracieusement la possibilité aux jeunes générations et aux équipes enseignantes d’obtenir des réponses concrètes aux multiples questions liées à l’orientation.

Concoctées sous forme d’animations, ces journées donneront la possibilité aux visiteurs de pouvoir assister à des séances démonstratives et d’échanger en direct avec des partenaires professionnels. Quelques jeunes, très motivés, apporteront leur témoignage par rapport au bien-fondé de cet événement, permettant aussi de vérifier un projet de formation.

Parmi les filières présentes lors de ces quatre événementiels, citons l’agriculture, les services aux personnes, le tourisme, la restauration, le commerce et la vente, les aménagements paysagers et espaces forêts, la maintenance des matériels, la métallerie soudure, la prévention et sécurité, l’informatique ou les métiers de la vigne.

Touche de particularisme non dénué d’intérêt : les milieux animaliers seront dignement représentés avec des spécialistes d’élevages canin et félin ou ceux de la filière équestre.

Une foultitude de dates et de rendez-vous à biffer sur les agendas…

Parallèlement à ces manifestations, l’ensemble des MFR de Bourgogne Franche-Comté ouvriront leurs portes les 03 février et 03 mars 2018 pour accueillir et orienter les jeunes.

A noter que le 03 mars, 47 centres de formation par l’alternance de Bourgogne Franche-Comté procéderont à l’accueil du public lors de portes ouvertes, et dans ce contexte, toutes les Maisons Familiales Rurales de la région qui appartiennent aux CFA des MFR de Bourgogne et aux CFA des MFR de Franche-Comté participeront à cette manifestation.

Les forums des métiers se dérouleront le samedi 13 janvier de 9h30 à 17h00  à Dijon, salle de la Grande Orangerie au Parc de l’Arquebuse ; le mercredi 17 janvier de 9h30 à 17h00 à Besançon, salle de la Malcombe, avenue François Mitterrand ; le samedi 20 janvier de 9h30 à 17h00 à Auxerre, Bâtiment le 89, 16-18 Boulevard de la Marne et le samedi 27 janvier de 9h30 à 17h00 au Creusot, salle de l’Alto, Avenue François Mitterrand…


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Malgré un léger différentiel de – 4 recrues par rapport à l’exercice antérieur de 2016, l’armée de Terre aura converti grâce à l’opiniâtreté des responsables du Centre d’information et de recrutement des forces armées (CIRFA de l’Yonne) 86 dossiers de candidature avec à la clé un contrat d’engagement auprès de la jeune génération sur 457 demandes d’information préalables. 39 % de ces choix conduisant à une carrière professionnelle de 1 à 10 ans s’effectuent vers le corps de l’infanterie, arme blindé et cavalerie, 36 % en forces de soutien (logistique, télécommunication, restauration, maintenance…) et 25 % en forces d’appuis (artillerie, génie, sapeurs-pompiers de la Brigade de Paris…). Un bilan très satisfaisant selon l’adjudant-chef Bruno NIRLO, à la tête du CIRFA, qui présentait les contours de cet engouement lors d’une cérémonie de signatures de la nouvelle promotion de décembre…

AUXERRE : L’armée de Terre recrute et forme chaque année de nouveaux militaires. Ce n’est un secret de polichinelle pour personne puisque de nombreuses campagnes de communication inondent à rythme constant les médias depuis plusieurs mois. Et leur impact sur la frange juvénile de la population est considérable.

Agés de 18 à 25 ans, filles ou garçons indistinctement, diplômés ou sans qualification, ces jeunes gens, issus de toutes les strates sociales de notre société décident de s’engager sur des périodes temporelles à géométrie variable, de une année à dix ans, selon leurs appétences à vivre de nouvelles aventures. Mais, celles-ci ne représentent pas un coup de folie passagère. Mûries, réfléchies, déterminées, le plus souvent en accointance avec le soutien de la famille ou des proches, ces décisions ne sont pas prises à la légère.

Le désir de servir la patrie et de vivre de vraies aventures avant tout…

Œuvrer pour une noble cause, la défense de la patrie et apporter sa contribution à l’honneur de la France, constituent les premiers arguments émis par ces militaires en herbe qui ne manqueront pas de s’aguerrir au contact de leurs supérieurs hiérarchiques pendant leur formation de soldat. Viendra ensuite le temps de la spécialisation au cours de séances formatives intenses.

Car, l’armée de terre, entreprise à part entière, possède une kyrielle de possibilités d’épanouissement professionnel au gré des spécialités qu’elle propose.

« Que l’on soit dans les transmissions, les cuisines, affectés au service médical, comptable et administratif, à l’électricité ou au génie, ce ne sont que des postes à forte responsabilité mêlant obligatoirement rigueur et discipline, explique Bruno NIRLO, en charge de la signature d’une dizaine de nouveaux contrats d’engagement afin de ponctuer le bilan 2017.

Plusieurs acteurs de la vie institutionnelle et économique permettent justement de diriger ces jeunes gens, marqués par les tragiques événements liés aux attentats, de servir la France. Qu’il s’agisse de Pôle emploi, des Missions locales mais aussi des forces de l’ordre (gendarmerie, police nationale, sapeurs-pompiers…), tous relaient abondamment les informations distillées à large échelle par les forces des armées françaises. Aujourd’hui, 15 000 postes sont à pourvoir pour ces jeunes gens issus de la génération Z qui désirent embrasser une carrière professionnelle.

 

Un impact économique indéniable sur un territoire…

« Vous savez, ajoute l’adjudant-chef avec le sens pédagogique qui est le sien, ces nouvelles recrues perçoivent un salaire garanti compris entre 700 et 1 300 euros nets chaque mois. Le temps de la durée de leur contrat qu’ils peuvent en outre proroger très facilement s’ils en éprouvent l’envie. Logés, nourris à titre gracieux, ces jeunes comprennent immédiatement la réalité de l’impact économique qui s’offre à eux. Prenons l’exemple de ces 86 nouveaux contrats validés en 2017, cela représente au bas mot 97 000 euros nets de dépenses effectives mensuelles sur le seul département de l’Yonne lors des retours en permission ! ».

Certaines entreprises, partenaires, l’ont parfaitement assimilés et gardent aussi sous contrat des jeunes gens désireux de rejoindre l’armée jusqu’au terme de la procédure d’engagement qui peut courir sur plusieurs mois. C’est le cas de Mc DONALD'S et du spécialiste du traitement téléphonique commercial, la société ARMATIS.

Quant au bilan 2017, il permettra à l’un des jeunes gens de niveau bac +5 d’être incorporé en qualité d’officier en qualité d’architecte ; huit autres personnes iront grossir les effectifs des sous-officiers (ils sont bacheliers) et 77 signataires, ne bénéficiant d’aucune qualification à niveau baccalauréat, deviendront des militaires du rang. Notons que la télécommunication pour 10 % d’entre eux et la logistique (8 %) retiennent l’intérêt des choix en priorité. Réparties sur l’ensemble du territoire national, ces jeunes recrues ont délibérément choisi leurs affectations. Dont une en Allemagne…

Les zones de recrutement de notre territoire se partagent équitablement les origines de cette passion : 38 % des recrues 2017 sont natifs du secteur de Sens, 31 % proviennent d’Auxerre et de ses environs tandis que 25 % vivent dans l’Avalonnais. A signaler que 6 % de ces jeunes pousses viennent des départements limitrophes.


 


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Sécuriser les parcours professionnels des demandeurs d’emploi et des salariés du particulier employeur dans la région Bourgogne Franche-Comté représentait l’ambitieux objectif de cette signature de convention tripartite, survenue il y a quelques jours à Dijon. Le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, Pôle emploi et la Branche professionnelle des salariés du particulier employeur ont paraphé les documents officiels qui les lient désormais à ce partenariat valorisant le soutien à la professionnalisation du secteur de l’emploi à domicile autour des métiers de la petite enfance et de la prise en charge du handicap dans une contrée particulièrement propice…

DIJON : Océane CHARRET-GODARD, vice-présidente du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté et Frédéric DANEL, directeur régional de Pôle emploi n’ont pas hésité un seul instant à l’issue de cette cérémonie protocolaire et des commentaires avisés de l’ensemble des intervenants à apposer leurs signatures au bas des pages des documents officiels. Ceux qui entérinaient cette convention importante et inédite, permettant de sécuriser les parcours professionnels.

Depuis plus d’une vingtaine d’années, IPERIA L’Institut, fort de la confiance des branches professionnelles des assistants maternels et des salariés du particulier employeur, conçoit et déploie le dispositif de professionnalisation du secteur de l’emploi à domicile en forte croissance depuis une décade. L’institut est d’ailleurs devenu au fil des ans le référent incontournable de ce secteur d’activité par le truchement de son expertise et ses conseils prodigués dans le cadre de cette professionnalisation.

Aussi, était-il tout naturel de retrouver ses représentants aux côtés des partenaires institutionnels de ce protocole d’accord mis en place depuis peu. Partant du postulat qu’emploi et formation correspondent aux clés de la dynamique économique territoriale, chacun devait souligner les aspects fondamentaux de ce nouvel engagement.

Un enjeu collectif pour répondre à de véritables besoins identifiés…

Ainsi, la vice-présidente de la Région restait persuadée « que la loi sur la réforme de la formation professionnelle en 2015 a sans aucun doute révolutionné les choses avec l’apparition de la notion de compétences ». « Plus former et mieux former, c’est devenu une priorité pour le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, devait-elle rappeler à l’assistance. Cette convention symbolise les modes de coopération au service de la sécurisation des parcours professionnels des demandeurs d’emploi sur notre territoire… ».

Un item que ne démentait pas Frédéric DANEL, le directeur régional de Pôle emploi. « L’effort autour de la qualification pour un retour progressif vers l’emploi doit être encore plus important dans notre contrée car le niveau de formation est plus bas qu’à l’échelle nationale. Certes, devait-il poursuivre, l’emploi à domicile intègre les secteurs économiques qui recrutent le plus mais paradoxalement, ils éprouvent beaucoup de difficulté à pouvoir le faire… ».

Expliquant que cette convention tripartite représentait une formidable opportunité, le signataire de ce protocole d’accord appelait à une intense mobilisation suite à cet engagement entre les partenaires et à une mutualisation des moyens, notamment ceux visant à s’informer sur les besoins de ce secteur d’activité afin de pouvoir sensibiliser de manière optimale les demandeurs d’emploi à ces métiers.

Une activité économique en forte progression et porteuse d’emplois…

Vice-présidente de la Commission paritaire nationale de l’emploi et la formation professionnelle (CPNEFP) de la branche professionnelle des salariés du particulier employeur, Marielle BROUARD effectuait un focus intéressant sur la réalité de ce secteur qui recense plus de 64 000 particuliers employeurs et plus de 59 000 salariés en Bourgogne Franche-Comté. Attractifs aujourd’hui, les métiers de la famille le seront encore plus demain en présentant de réelles opportunités de développement économique équitable entre zones urbaines et zones rurales. Les projections sont simples : à horizon 2030, près de 45 000 nouveaux postes seront à pourvoir d’où la nécessité impérieuse d’y adjoindre de véritables dynamiques en termes de professionnalisation.

« Entre 2012 et 2016, constatait Marielle BROUARD, nous comptabilisons plus de 5 500 départs en formation continue en modules courts sur l’offre prioritaire de notre branche et celle des assistants maternels du particulier employeur et 1 500 parcours de certification… ».

Innovantes et actives, les branches du particulier employeur ont pu instaurer le titre d’assistant maternel/garde d’enfants qui œuvre à la reconnaissance des professionnels de ces métiers. « Celles qui le désirent peuvent même se spécialiser dans la prise en charge du handicap grâce au certificat de qualification professionnelle assistant maternel/garde d’enfants handicap qui a été mis en place récemment, souligna Véronique DELAITRE, la présidente de la même commission.

Déjà une application concrète de ce dispositif dans la Nièvre…

Se qualifier sur les problématiques inhérentes au handicap doit aussi permettre aux demandeurs d’emploi de bénéficier de solutions novatrices. La prise en charge de ces publics fragilisés au domicile intègre le cœur de métier des professionnels de la petite enfance. La création d’un certificat de qualification professionnelle handicap de spécialisation a traduit cette volonté ; d’une durée de 175 heures, il vient compléter les compétences générales sur la petite enfance déjà acquises par les stagiaires au cours de leur formation assistant maternel/garde d’enfants.

« Depuis 22 ans, saluait Anita POUPARD, présidente d’IPERIA L’Institut, nous n’avons jamais cessé de croire en l’importance de renforcer l’attractivité des métiers qui constituent le secteur de l’emploi à domicile : c’est-à-dire assistant de vie, assistant maternel, garde d’enfants et employé familial. Nous avons aussi noué des partenariats constructifs dont le socle repose sur ces certificats de professionnalisation handicap. L’un dans la Nièvre qui concerne un parcours long permettant à des demandeurs d’emploi de suivre un parcours de formation complet (le titre d’assistant maternel/garde d’enfants et le CQP handicap de l’enfant). L’autre en Côte d’Or qui concerne l’obtention du certificat de professionnalisation handicap adulte. Ce cursus se rapporte aux personnes déjà détentrices du titre d’assistant de vie dépendance. Grâce à ces deux spécialisations, les opportunités professionnelles se renforcent et existent mais elles ne rencontrent pas forcément les publics formés… ».

Mais, les choses devraient évoluer positivement à l’issue de la signature de cette convention tripartite puisque les futurs certifiés spécialisés disposeront dorénavant des savoirs et des savoir-faire pour prendre en compte les spécificités de chaque situation de handicap, adaptant au passage leur accompagnement aux besoins des particuliers employeurs ou des enfants au sein de leur domicile.

Enfin, Magali CAZENEUVE, directrice opérationnelle de l’INFA Bourgogne Franche-Comté Grand Est, expliqua le solide partenariat mis en exergue entre les branches professionnelles et IPERIA l’Institut, depuis plus de vingt ans. « Nous dispensons à l’heure actuelle plus de 50 modules de formation. Par exemple, depuis le 25 septembre, une dizaine de stagiaires sont ainsi formés à la Fondation INFA de Nevers au métier d’assistant maternel/garde d’enfants avec un CQP handicap enfance. Ce programme pédagogique est mené à titre expérimental dans le cadre des nouvelles actions co-construites par IPERIA L’Institut, Pôle emploi et le Conseil régional. Il se terminera à la fin du mois de février 2018… ».


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