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De passage dans l’Yonne ce 28 octobre et invité à inaugurer l’extension du siège social de la CAPEB à Auxerre, le président national de la Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment s’est montré optimiste pour les perspectives de sa filière à l’orée de 2018. A condition, toutefois, que les signes favorables à la reprise se maintiennent durablement. Mais, il prévient aussitôt que cette dynamique et le retour aux carnets de commandes mieux garnis sont assujettis aux décisions gouvernementales à valider lors du projet de loi de finances pour l’année prochaine…

 

AUXERRE : « Le mode opératoire de la réussite du bâtiment, c’est simple : cela peut se comparer à un véhicule alimenté au Diesel ayant besoin de préchauffage. Si cela fonctionne bien à l’allumage, alors le véhicule atteindra très vite son rythme de croisière… ».

Muni de ses nombreux dossiers, le président de la CAPEB France constate que la reprise tant attendue est bel et bien là. Mais, sans trop d’exagération. Un frémissement subtil qui se traduit néanmoins par les chiffres. Au terme de l’année 2017, ce sont 4 000 nouveaux emplois qui iront grossir les effectifs des petites entreprises de ce secteur d’activité artisanal ayant souffert de la terrible crise des « subprimes » depuis 2008.

« Si nous relançons l’activité de manière pérenne et que la confiance revienne, alors nous pourrons créer de l’emploi et inciter nos jeunes vers l’apprentissage afin d’inverser la courbe du chômage… ».

En l’espace d’une décade, le bâtiment aura perdu près de 50 000 postes parmi ses entreprises. Sauf en 2016. Où l’actif et le passif en matière de solde d’emploi devaient se stabiliser. Un premier signe devant engendrer l’exercice en cours…

Le crédit d’impôt sur la transition énergétique parmi les priorités…

La reprise actuelle sur le marché de la construction, les programmes incitatifs à la rénovation énergétique, la baisse encore relative des charges dans les entreprises et la hausse du pouvoir d’achat chez certaines catégories socio-professionnelles offrent une conjonction favorable à la relance économique. « Mais, attention, insiste le président de la CAPEB, les crédits à l’investissement s’amenuisent depuis quelques mois : cela est très inquiétant… ».

La sonnerie de son portable ramène Patrick LIEBUS à d’autres préoccupations. Celui des combats quotidiens qu’il livre avec pugnacité à la défense des intérêts de ses adhérents. Le premier d’entre eux concerne le crédit d’impôt sur la transition énergétique, débattu la semaine dernière encore à l’Assemblée nationale. Le gouvernement a déposé un amendement à l’article 8 concernant les modifications immédiates voulues sur la diminution de ce crédit, sur les fenêtres, les portes et les chaudières à fioul. Pour l’heure, rien n’évoluera jusqu’à la fin de l’année. En attendant de nouvelles directives…

« Les artisans doivent le savoir : un client qui a bénéficié d’un devis détaillé de la part d’un professionnel et qui propose un acompte en guise de validation des futurs travaux pourra les réaliser aux mêmes conditions l’année prochaine si les documents sont entérinés d’ici la fin de 2017... ».

Prévue en novembre, une rencontre quadripartite entre les ministères du logement, de la transition énergétique, et des finances, à laquelle seront associés les représentants des syndicats patronaux du bâtiment, CAPEB et FFB, permettra de redéfinir le contenu applicatif du crédit d’impôt en 2018.  Mais, d’autres discussions sont ouvertes sur l’apprentissage, la formation professionnelle et l’assurance chômage avec le Premier ministre Edouard PHILIPPE qui enregistre un déficit de 39 millions d’euros. S’inspirant de l’exemple concret de nos voisins suisses et néerlandais, notamment en matière d’apprentissage, ces rencontres s’effectueraient de manière bilatérale avec les partenaires des filières professionnelles qui auraient leurs opinions à émettre.

Un tour d’horizon des grands dossiers du moment…

Concernant les ordonnances autour de la réforme du Code du Travail, Patrick LIEBUS estime que « c’est une très belle avancée ». Renchérissant à ses propos, il observe « qu’il y a une réelle prise en compte de l’artisanat et de la TPE. Cela correspond à nos souhaits et nous permet de trouver des solutions tangibles afin de sécuriser l’entreprise. Je pense aux embauches et aux risques de désaveu avec un salarié. Pour éviter les problèmes : il y aura l’existence d’un CERFA qui énoncera les règles devant être respectées avant d’engager le processus d’un licenciement… ».

Quant au RSI, le président de la CAPB est favorable à son adossement au régime général mais sous certaines conditions, à savoir sans hausse des cotisations et en conservant les mêmes prestations. « Nous devons rester gestionnaires de cet outil en notre qualité d’indépendants. La mise en place des deux années de transition me semble très importante afin d’éviter les défaillances… ». Enfin, devait-il conclure sur ce thème : « le régime général devra s’assurer que le système informatique soit en capacité de gérer de manière optimale ce futur adossement… ».

Que pense réellement Patrick LIEBUS du compte pénibilité ? Réponse de l’intéressé : « il faut tenir compte des conditions de travail et permettre aux salariés et aux artisans de pouvoir partir avant à la retraite. Cela suppose là aussi des moyens de contrôle accrus et fiables ». La suspension du dossier concernant le prélèvement à la source se justifie pour le président de la CAPEB : « Il n’est pas question que nos entreprises artisanales puissent devenir des préleveurs d’impôts sur le dos de nos salariés, cela engendrait immanquablement des risques de conflit dans nos entreprises… ».

Contrôler les travailleurs détachés grâce à une plateforme européenne…

Reste le dernier volet de ce long entretien : la révision de la directive sur les travailleurs détachés. « A ce propos, beaucoup de travail doit être encore fait en France mais aussi dans le reste de l’Europe. Aujourd’hui, les orientations vont dans le bon sens, avec la limitation du temps de détachement, l’obligation d’un formulaire « A1 » délivré par le régime de sécurité sociale du pays d’envoi qui déterminera si un salarié est affilié au régime général de son pays depuis trois mois, avant d’être détaché dans un autre pays. L’objectif est de sécuriser le salarié détaché lui-même et de lutter avec efficience contre les travailleurs illégaux qui arrivent en nombre sur le territoire. D’ailleurs, à ce titre, la durée de détachement se fera sur un an avec six mois renouvelables grâce à un accord de l’Etat du lieu de détachement. Enfin, la rémunération doit correspondre à l’équivalence du salarié selon sa qualification. Les primes de déplacement et de restauration devant être payés à part…. ».

Patrick LIEBUS en appelle de ses tous vœux à la création d’une plateforme européenne de gestion et de contrôle qui coordonnerait les travailleurs détachés à travers leurs diverses missions professionnelles. Concluant que ce sujet ô combien actuel ne devrait trouver de véritables solutions que lors de sa mise en exergue : en 2022…


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Auxerre, mais aussi Amiens, Blois et Tours, villes charnières et représentatives de la politique d’ancrage territorial de la Caisse régionale Paris Val de Loire, constituent les premières étapes de cet accompagnement économique hors normes pour l’assureur mutualiste. A l’aide d’une convention de partenariat reconduite chaque année, trois structures professionnelles, THERMIBAT, METEO 89 et SG CONSEIL FORMATION COACHING bénéficient depuis le 01er septembre de cet accueil temporaire au siège de GROUPAMA dans l’Yonne ; le temps que ces entreprises en phase de développement et de croissance se projettent avec sérénité vers leur avenir…

 

AUXERRE : C’est un véritable coup de pouce à la pérennité de leurs projets que vient d’apporter GROUPAMA Paris Val de Loire à trois entrepreneurs du territoire icaunais en décidant de les accompagner de la meilleure manière qu’il soit à leurs côtés, en leur proposant la location à prix modique d’un site d’exploitation de leurs activités.

Outre le local faisant office de bureau, l’assureur mutualiste s’est engagé à équiper l’infrastructure en fournissant les vecteurs technologiques indispensables à l’essor de leurs sociétés, à l’instar du multimédia, de l’imprimante, du photocopieur et du mobilier. Il ne manquerait que la machine à café !

Profitant de la réhabilitation du siège social de la rue Guynemer à Auxerre, GROUPAMA Paris Val de Loire a choisi d’ouvrir grandes ses portes à des start-up au profil sympathique, « ces fameuses entreprises innovantes à forte potentialité de croissance », comme devait le préciser dans son préambule introductif, Philippe RENOUX, président de la Fédération départementale de l’Yonne.

Un concept qui fera boule de neige dans les autres départements...

Baptisés « GROUPAMA UP », ces espaces de travail flambant neuf peuvent se considérer comme une véritable aubaine pour les heureux bénéficiaires. Le directeur général de la caisse régionale Paris Val de Loire, l’une des plus importantes en France, Eric GELPE, devait ajouter  que : « les quatre villes où sont opérationnelles ces structures solidaires à l’économie locale ne seront pas les seules. Le concept se déploiera dans les mois à venir plus largement sur notre territoire de prédilection… ».

Sans divulguer d’autres précisions, le responsable régional de l’assureur mutualiste faisait-il alors allusion aux autres agglomérations d’importance que compte sa zone de chalandise, à savoir Beauvais, Melun, Meaux, Paris et l’Ile de France ? Sans omettre Orléans, siège social du groupe puisque ce dernier y dispose de ses bureaux administratifs en périphérie de la capitale du Loiret, à Olivet.

Evoquant le lointain rôle sociétal tenu par ses glorieux aînés qui avaient pour principe de dynamiser les territoires (GROUPAMA est apparue dans le paysage de l’assurance et de la prévoyance en 1870), Eric GELPE insista sur l’aspect bienveillant et altruiste d’une telle initiative : « certes, l’hébergement est temporaire avec une convention qui se renouvellera de manière annuelle mais les relations que nous établirons avec ces dirigeants d’entreprises iront eux crescendo dans le temps… ».

Acteur essentiel de l’économie régionale, GROUPAMA Paris Val de Loire a pris le soin de se rapprocher d’un autre organisme à valeur ajoutée dans le domaine de la création/reprise d’entreprise, BGE Nièvre Yonne. Ce réseau a permis de sélectionner les dossiers de candidature idoines de plusieurs entreprises. Le rapprochement des équipes d’Eric FREYSSINGE, directeur de l’entité BGE à cheval sur les deux départements, et Jacques BLANCHOT, directeur d’établissement de l’assureur mutualiste dans l’Yonne, ont été en cela déterminants. Au terme de ces échanges constructifs, trois dossiers devaient être retenus : ceux de THERMIBAT, de METEO 89 et de SG CONSEIL FORMATION COACHING.

Trois entités aux réelles capacités de développement…

« Je possède une chance inouïe de profiter de ces conditions avantageuses… ». Sophie GAY, dirigeante de SG CONSEIL FORMATION COACHING, ne tarit pas d’éloges sur l’initiative préconisée par l’assureur mutualiste. Accompagnant les décideurs économiques mais aussi les collectivités dans leurs besoins de conseils en management, la jeune femme a pu s’exercer avec brio par le passé (une quinzaine d’années) aux bienfaits de l’économie sociale et solidaire, son créneau. Avec cette structure, elle envisage de relever d’autres défis.

Exerçant leur savoir-faire dans la filière du bâtiment, Pascal COQUELET (AXIPOL)-diagnostics immobiliers, Patrice HENNEQUIN (C2 ENERGIE)-contrôle d’étanchéité à l’air et thermographie, et Marc FERRY (THERMIBAT), études, conseils et rénovation thermique du bâti ancien, ont décidé de mettre leurs compétences en commun, dans un esprit mutualiste au sein d’un groupement, identifié sous la raison sociale de THERMIBAT. Bien qu’autonomes les uns des autres, ces artisans vivent avec passion leur désir d’exécuter ensemble le labeur sur des chantiers connexes, avec ce souci du sérieux et de la qualité. Peut-être, leur avenir commun se traduira-t-il par une seule et unique entreprise, après coup ?

Société de prévisionnistes météorologiques, constituée par trois jeunes étudiants âgés respectivement de 21, 22 et 22 ans, METEO 89 fait figure de pépite insolite dans le paysage régional depuis ses débuts. Désireux d’injecter davantage d’humain dans une science où la part belle à l’automatisation et aux logiciels est devenue avérée, Raphaël ROTH, Clément MEIRONE et Alexandre SLOWIK conçoivent leurs bulletins météo réguliers de manière artisanale en se référant, certes, à cinq modules satellitaires consultables en permanence mais avec une approche didactique très personnelle. Leurs solutions en innovation météo se destinent aussi vers les marchés professionnels : milieux agricoles et viticoles, artisans du BTP et même les collectivités (Conseil départemental, Communauté de l’Auxerrois). Des start-up qui devraient croître dans leur dimension professionnelle au contact des spécialistes de GROUPAMA Paris Val de Loire…


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En invitant une délégation du Conseil départemental de l’Yonne à venir découvrir le site pédagogique de VILLEVALLIER, la Maison Familiale et Rurale du JOVINIEN est entrée de plain-pied dans le processus d’une vraie reconnaissance éducative sur le territoire. Au même titre que les deux autres établissements à l’estampille de la MFR, implantés à GRON et à TOUCY ayant eu, eux aussi, les mêmes faveurs des pouvoirs publics…

 

VILLEVALLIER : Ce message fort, adressé par l’exécutif de l’Yonne, a bien été perçu par Sylvie LOGETTE, présidente du centre de formation de VILLEVALLIER et son directeur, Yannick VILLAIN.

Il s’est traduit par le vif intérêt porté par le président de l’organisme institutionnel icaunais, Patrick GENDRAUD, qui entouré de nombreux élus et responsables de service, ont pris le temps d’approfondir l’ensemble des rouages opérationnels de cet établissement, force d’accueil auprès d’une centaine d’élèves et apprentis.

Ce geste, haut en symbole, décliné lors de la visite du président départemental à l’ensemble des collèges du département, s’est d’ailleurs renforcé quelques jours plus tard lors d’une rencontre officielle avec les principaux à Auxerre.

Présence remarquée aux côtés des représentants de l’Education nationale

Signe des temps et preuve tangible d’une évolution, qualifiée de très positive par les trois responsables des centres de formation de la Maison Familiale et Rurale (Christelle BELLIER, directrice de Toucy, Stéphane PERENNESE, directeur de GRON et Yannick VILLAIN, directeur de VILLEVALLIER), associer les représentants des MFR aux principaux des établissements, gérés par l’Education nationale, constituait une première dans le landerneau.

Il est vrai que les Maisons Familiales et Rurales de l’Yonne offrent une autre alternative de l’éducation et occupent une place prépondérante dans le paysage de l’enseignement depuis leurs lointaines origines il y a une soixantaine d’années. Elles reçoivent aujourd’hui plus de 300 jeunes en quête d’une formation professionnelle. Ainsi que des professionnels venant accroître leurs capacités diplômantes.

Ce geste d’ouverture du Conseil départemental de l’Yonne ne trompe pas. Il laisse augurer d’excellentes perspectives fonctionnelles pour les Maisons Familiales et Rurales du territoire à l’avenir…

Et toujours des contrats sur le CAP agent polyvalent de la restauration en signature...

Côté recrutement, il reste toujours des opportunités de trouver sa voie jusqu’en décembre pour les jeunes gens en quête d’apprentissage, notamment parmi les cursus des agents de la restauration ou des cuisiniers gestionnaires de la restauration collective. La formation continue proposera dès l’automne 2018 des actions à destination des chefs d’entreprise de l’agriculture, par le biais d’offres de VAE (Validation des acquis de l’expérience), de sauveteur secouriste du travail et de l’apprentissage des gestes et postures ergonomiques au travail. De manière ponctuelle, il y aura aussi des cycles dédiés au respect de l’hygiène en restauration ou ateliers agro-alimentaires. Les cibles de ces séances pédagogiques seront en priorité les chefs d’exploitations agricoles, leurs salariés, voire toute personne en phase de reconversion professionnelle…


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Devant plus de deux cents entrepreneurs du nord de la Bourgogne mais aussi de l’Aube et de la Nièvre, le leader charismatique du patronat français a ponctué son discours mobilisateur de formules optimistes afin de motiver investisseurs et décideurs à croire aux potentialités bien réelles de notre pays. A la fois sur le marché intérieur mais aussi à l’export. Taclant au passage l’ISF et l’ « incomparable » gâchis engendré par cette mesure fiscale faisant fuir les capitaux tout en saluant le retour à la confiance impulsé depuis peu par Emmanuel MACRON…

 

AUXERRE : Soixante minutes de monologue afin de brosser un état des lieux succinct de l’économie française et de ses perspectives. Tel était le support thématique de l’intervention de Pierre GATTAZ, président national du MEDEF, invité à découvrir les richesses économiques de l’entrepreneuriat dans l’Yonne au cours de la journée de ce 04 octobre, devenu historique pour les représentants locaux.

Etienne CANO, président départemental de la puissance syndicale, et le secrétaire général, Claude VAUCOULOUX, avaient bien organisé les choses en mitonnant un savoureux cocktail de réussites professionnelles à déguster sans modération, permettant à l’homme fort du patronat français de s’immerger parmi quelques talentueuses pépites du cru : FESTINS où l’utile fut joint à l’agréable aux côtés d’Evelyne et Didier CHAPUIS en goûtant les mets, RB3D et son milieu d’exosquelettes de haute technologie qui a fait de cette structure une entité d’exception internationale grâce à Serge GRYGOROWICZ et l’un des fleurons du nouveau pôle aéronautique de l’Yonne, FIGEAC, entreprise à forte valeur ajoutée pilotée par Patrice PARISOT.

« La croissance de la France ? Elle est minable depuis 2007 ! »

Puis, vint le temps de la prise de parole officielle sur l’estrade du Pôle Formation 58 89. Considérant la France comme l’un des plus mauvais pays européens en matière de lutte contre le chômage, le président du MEDEF rappelait quelques fondamentaux en matière de réussite professionnelle, sur la base des compétences et de la progression des talents.

« Le nombre d’apprentis n’est pas suffisant sur notre territoire : il est grand temps que le MEDEF réhabilite cela. Tout le monde souhaite de l’emploi. Mais, mon discours est simple vis-à-vis des élus : c’est l’entreprise et non pas le tissu associatif qui créé la richesse économique de notre nation… ».

Parcourant de long en large l’esplanade de l’amphithéâtre, le conférencier d’un soir abordera ensuite la croissance perdue de la France. « Depuis 2007, la nôtre est catastrophique en comparaison à d’autres états européens ».

Substance nécessaire à la pérennité de l’entreprise et à sa dynamique, la croissance doit se conquérir ailleurs, à l’international. « La France est l’un des derniers pays au monde à vivre en permanence dans la lutte des classes (faisait-il alors allusion, non sans une pointe d’humour, aux quelques velléités contestataires devant manifester aux portes d’accès du centre de formation ?) ; si l’on arrêtait de s’opposer continuellement, nous pourrions bénéficier d’un climat apaisé, en restaurant la confiance et en maîtrisant le chômage à 5 %... Cela serait tellement plus bénéfique à notre pays et à ses entreprises que le reste…».

60 % de jeunes souhaitent devenir entrepreneurs…

Avec ses immenses possibilités, nourries sur le continent africain mais aussi en Inde ou en Asie, la France pourrait très vite jouer les premiers rôles sur la scène mondiale. « Tous ces états éprouvent des envies de mieux vivre, mieux se soigner, mieux s’alimenter, poursuivait Pierre GATTAZ, à tous ces éléments, il faut y ajouter le développement de la téléphonie et du numérique. Les jeunes générations ne s’y trompent pas : avant, ils rêvaient de travailler dans la fonction publique, aujourd’hui, ils souhaitent être maîtres de leur destin en endossant les habits de responsable d’entreprise… car l’industrie leur offre des emplois fantastiques…».

Abordant le Code du travail et ses réformes, Pierre GATTAZ pointa du doigt la maltraitance systématique subie par le patronat en France de la part d’une certaine frange de la population.

« Pour créer de l’emploi, la présence d’un environnement de confiance est indispensable : c’est la moitié du business qui est ainsi effectué. Emmanuel MACRON possède, quant à lui, de véritables convictions entrepreneuriales. Il a parfaitement assimilé le rôle fondamental de celles-ci au cœur de notre société. D’ailleurs, les entreprises ne sont ni de gauche ni de droite : elles sont tout simplement en marche vers leur avenir, fait de prospérité… ».

Quant au cadre fiscal, il doit être incitatif plutôt qu’idéologique selon le patron des patrons et revu dans ses principes.

« Depuis 1983, une épée de Damoclès se présente en permanence au-dessus de nos têtes avec cet impôt injuste qui se nomme l’ISF. Même nos concurrents industriels ont choisi l’exil plutôt que d’être ponctionnés à n’importe quel prix. C’est un vrai drame pour le pays : des centaines de nos compatriotes se sont expatriés à Londres et au Luxembourg. Le MEDEF n’a qu’un unique objectif sur ce dossier : tuer cet impôt stupide… ».

« Il faut remettre les Français au travail… »

Alors que 50 % des patrons recherchent des apprentis, de niveau bac -3 à bac + 5, en vain, les chiffres concernant le chômage des jeunes ne cessent de décoller : + 25 % de hausse cette année. Une statistique qui provoque l’inquiétude de Pierre GATTAZ, désireux que les réformes sociales définies par le gouvernement se concrétisent au plus vite afin de rendre la confiance aux Français mais aussi aux investisseurs américains et asiatiques.

« Depuis quelques mois, le french bashing n’est plus de mise de la part des anglo-saxons : au contraire, il règne une certaine bienveillance, voire une admiration, à notre égard … ».

Mais, le taux de chômage très élevé de la population française (9 %) plombe la reprise économique : « il faut tout mettre en œuvre pour qu’il y ait des résultats en matière d’emploi, ajoute le leader du MEDEF, recréer de l’emploi passe obligatoirement par la baisse des charges. Ce combat, nous allons le continuer encore longtemps jusqu’à l’obtention de résultats… ».

Concluant son intervention en parlant de la nécessaire revitalisation des territoires ruraux, moribonds avec les commerces de centre-ville, Pierre GATTAZ souhaite que cette cinquantaine de bassins économiques oubliés bénéficient à l’avenir de zones franches, servant à les dynamiser au plan économique. Le nouveau combat du responsable du MEDEF national ?


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Présente dans la ville la plus méridionale de l’Yonne depuis 2009, la société de services à la personne créée par Jérôme ATTIAVE a emménagé au sein de locaux plus spacieux et ergonomiques le 01er août. Une orientation stratégique au bénéfice de la notoriété puisque la PME à la centaine de collaborateurs optimise ainsi son image auprès d’un public composé majoritairement de personnes âgées et/ou en situation de handicap…

 

AVALLON : En guise de cadeau pour le dixième anniversaire de sa structure professionnelle, Jérôme ATTIAVE, le responsable de la société AJ SERVICES 89, s’est offert de nouveaux locaux à Avallon. Une manière volontariste de montrer que l’enseigne est toujours prête à aller de l’avant !

Huit ans après son implantation sur cette zone de chalandise, la PME opte pour un renforcement de sa présence visuelle, au cœur de l’hyper centre. Pourvu de plusieurs bureaux, le local qui accueillait autrefois une mutuelle, se situe Place du général de Gaulle et profite d’un flux important de piétons. Gagnant en confort et en aisance de travail, les salariés de l’entreprise reçoivent plus facilement les personnes âgées et à mobilité réduite qui éprouvaient jusque-là quelques difficultés à localiser le prestataire de services.

« Avallon, comparable à un grand village… »

Alors que la société ne cesse de déployer ses ailes sur l’Yonne (elle est d’ailleurs la seule parmi plus de 80 acteurs de cette filière à développer ce rayonnement géographique), son recentrage à Avallon devenait au fil du temps une obligation. Même si AJ SERVICES 89 connaît depuis ses débuts une courbe exponentielle de son chiffre d’affaires (non divulgué par le chef d’entreprise), revaloriser sa présence au niveau local s’imposait à l’aide d’une infrastructure moderne.

« Le marché de l’Avallonnais représente 30 % de nos résultats. Ces derniers sont en net progression bien qu’il faille prendre son temps pour imposer sa griffe. Nous vivons ici comme dans un grand village…» analyse Jérôme ATTIAVE.

Déclinant une kyrielle d’offres autour du petit bricolage, de l’entretien d’espaces verts (l’un des vecteurs importants qui explique le succès de cette entreprise), du maintien à domicile ou de l’aide-ménagère, AJ SERVICES 89 emploie près d’une centaine de personnes, réparties autour de quatre zones fondamentales que représentent le Sénonais, l’Auxerrois, la Puisaye et l’Avallonnais.

Plusieurs postes de personnel qualifié et diplômant sont à pourvoir de suite sur chacun de ces secteurs. Cela concerne des emplois d’auxiliaires de vie. Notons enfin, pour être tout à fait complet sur la philosophie de cette entité, qu’elle initie une politique novatrice autour du développement durable. Elle n’utilise que des produits biologiques lors de ses missions d’entretien et de nettoyage. Son dirigeant souhaite aussi introduire à l’avenir des véhicules électriques, moins gourmands en énergie fossile, pour équiper sa flotte automobile.


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