Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Athlétique, démontrant déjà de prometteuses qualités de placement sur le terrain, ce jeune homme de vingt ans, arrivé de Picardie où il évoluait à Amiens, s’engage pour une durée de trois ans dans le club bourguignon avec un premier contrat professionnel à la clé. Ce défenseur central figure dans les petits papiers du coach Jean-Marc FURLAN…


AUXERRE : A peine vingt ans, et déjà un premier contrat de pro dans l’un des clubs de légende des championnats nationaux : l’AJ Auxerre ! Le rêve s’est donc transformé en douce réalité pour l’Orléanais. Il devient ainsi le troisième joueur évoluant au sein de l’équipe réserve de l’AJA à franchir le Rubicon, en endossant l’habit de professionnel à part entière.

Arrivé au cours de la période estivale en terre icaunaise, le garçon a débuté à Muides-sur-Loire. Mais, c’est sous licence à Blois et s’entraînant au pôle espoir de Châteauroux qu’il a appris ses gammes. Repéré par les dirigeants du FC Lorient où il reste trois saisons, il rejoint ensuite le club d’Amiens en National 3.  

Titularisé lors des huit premières rencontres de National 2, il arbore désormais les couleurs blanche et bleu de son nouveau club de prédilection, l’AJ Auxerre. Jean-Marc FURLAN a déjà un regard bienveillant sur ce jeune défenseur : le jeune homme au gabarit athlétique (1,82 cm pour 75 kg) est régulièrement convié aux entraînements de l’équipe première. Le sas d’entrée obligatoire pour prétendre évoluer un peu plus haut dans la hiérarchie…

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le décret de la présidence de la République était paru au Journal Officiel en date du 22 septembre 2020. Le temps nécessaire pour la directrice de cabinet du préfet de Saône-et-Loire Julien CHARLES de procéder à la gestion des affaires courantes avant de rejoindre sa nouvelle affectation : l’Yonne. Un territoire que cette native de Trèves (Allemagne) ne connaissait pas au-delà des références coutumières. La nouvelle secrétaire générale et sous-préfète aura désormais tout le loisir de mieux s’imprégner de sa nouvelle terre d’accueil aux côtés du préfet Henri PREVOST…

AUXERRE: Souriante, à l’aise dès le premier contact avec les représentants de la presse, Dominique YANI ne cache pas sa satisfaction d’occuper la nouvelle fonction qu’elle ne découvre que depuis une poignée d’heures dans ce bureau élégant dont elle hérite. Celui de secrétaire générale de la préfecture de l’Yonne et de sous-préfète de l’arrondissement d’Auxerre.

Un lieu de travail que vient de quitter après quatre années d’omniprésence professionnelle son prédécesseur Françoise FUGIER.

C’est en vérité un saut de puce effectué par la nouvelle impétrante à la fonction. La semaine dernière, Dominique YANI exerçait encore ses activités de sous-préfète et directrice de cabinet du préfet de Saône-et-Loire à Mâcon. Auprès de Julien CHARLES, nouvellement confirmé par décret présidentiel à ce poste en juillet.

De la capitale de l’Yonne, la haute-fonctionnaire ne dresse que des éloges vertueux. Elle, qui aime la pratique de la randonnée à bicyclette, se nourrit de découvertes patrimoniales enrichissantes pour l’intellect.

Elle partagera sa passion avec son époux, mais pas avec ses deux enfants âgés de 25 et 20 ans, qui vivent déjà leurs propres expériences à Lyon (sa fille a choisi d’exercer ses talents dans le domaine de l’export) ou à Dijon pour son garçon qui fréquente les cours de l’école de commerce.

Fille de militaire (ceci explique son lieu de naissance à Trèves en mai 1968 de l’autre côté du Rhin où la France possédait différentes places d’armes), Dominique YANI revendique ses racines familiales auvergnates, le sens du service à l’Etat avec des grands-parents instituteurs, gendarmes ou évoluant dans les transports publics.

 

 

Plusieurs dossiers prioritaires l’attendent dont la relance de l’économie…

 

Depuis trente ans, elle a multiplié les postes pour servir la Nation, après des études vécues à Sciences Po Lyon et à l’Institut régional d’administration. Courroie de transmission névralgique au sein de l’organigramme préfectoral, Dominique YANI dit agir avec pragmatisme et humilité.

Apprendre tous les jours de l’existence sans jamais sombrer dans la routine et en apportant aux autres semble être sa ligne de conduite personnelle. D’ailleurs, elle se félicite de s’appuyer sur un collectif pour y parvenir.   

Celle qui fut durant une décennie responsable du service financier de l’Ecole nationale supérieure des Mines à Saint-Etienne aura à traiter parmi ses dossiers prioritaires l’organisation territoriale de l’Etat en prévision des réformes prévues dès janvier 2021.

Le plan de relance économique et sa déclinaison dans l’Yonne intègrent également ses prérogatives.

Parmi les autres faits marquants de sa carrière déjà bien fournie, Dominique YANI a occupé entre autres la fonction de directrice des études et des stages de l’Institut régional d’administration de Lyon, celui de cheffe du bureau de pilotage et de l’organisation financière à la sous-direction de la performance financière (DEPAFI) ou celui d’adjointe à la sous-directrice des actions transversales et des ressources à la délégation à la Sécurité Routière.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Pas tendre le Rassemblement national après l’adoption du Plan d’accélération de l’investissement régional voté par la Région Bourgogne Franche-Comté ce vendredi 09 octobre ! Le président du groupe RN Julien ODOUL n’aura pas tardé à réagir en rejetant d’un revers de la main les cent-deux mesures proposées par l’exécutif en faveur de la relance économique. Un recyclage de projets anciens sans inspiration… d’après lui.

DIJON (Côte d’Or) : Au lendemain du vote positif en faveur de la déclinaison du Plan de relance économique pour la Bourgogne Franche-Comté, Julien ODOUL a décidé de remettre les pendules à l’heure, en montrant son total désaveu à cette initiative défendue par la présidente de la Région Marie-Guite DUFAY.

Selon le leader politique régional, « aucune réponse n’a été apportée parmi les cent-deux mesures » contenues dans ce plan, jugées à ses yeux comme « idéologiques, électoralistes, hors sol et hors sujet » !

Des qualificatifs incisifs qui prouvent que le porte-étendard du Rassemblement national n’a pas été convaincu par l’ensemble de ces dispositions.

Bien au contraire, l’élu de l’Yonne critique l’affectation des 435 millions d’euros mis sur la table jusqu’en 2023. Il s’offusque à l’idée que 294 millions d’euros ne soient seulement accordés à de nouvelles mesures s’avérant plus ambitieuses que les anciens projets qui remontent à la surface.

« Plus de 60 % de cette enveloppe sont consacrés à l’idéologie verte et à la lutte contre la déforestation en Amazonie, précise-t-il dans un communiqué de presse, le reste n’est que du recyclage d’idées piteuses et anciennes… ».

 

 

Quid du plan de sauvetage pour aider les victimes de la crise ?

 

Que demandait l’élu bleu marine exactement ? Le mentor du groupe RN aurait préféré la mise en exergue d’un plan d’investissement qui soit à la fois protecteur des emplois, des salariés et des entreprises. Un programme, davantage orienté vers le local afin de défendre les agriculteurs dans la tourmente et les industriels à la peine côté carnet de commandes.

Bref, c’est un véritable plan de sauvetage à vocation sociale pour sortir hors de l’eau toutes les victimes de cette crise sanitaire sans précédent que souhaitait voir approuver le représentant de l’opposition.

Désavouant le plan de relance en l’état, Julien ODOUL observe que les réponses n’ont pas été apportées par le pouvoir régional. Selon lui, rien n’est fait pour la santé avec seulement cinq millions d’euros injectés pour faire face à la crise. L’emploi et la formation sont les grands oubliés de ce programme à forte connotation écologique (« une écologie érigée en religion obligatoire et punitive ! ») alors que les plans sociaux ne cessent de s’accumuler partout dans la région.

S’insurgeant que « seules quelques miettes ont été jetées à la face des agriculteurs pour les contenter », le chef de file RN s’interroge sur les mesures mises en œuvre pour les familles et la lutte contre la précarité.

Reste l’épineux sujet de l’environnement. « Aucune réponse concrète n’a été donnée pour soutenir la sauvegarde de la nature et le tourisme impactés par la poursuite de la politique d’implantation d’éoliennes qui bétonne nos sols, défigure nos paysages et dégrade notre patrimoine tout en détruisant la biodiversité… ».

Boutade finale à cette diatribe acerbe contre la politique de l’équipe en place : le seul plan de relance, acceptable aux yeux du responsable du groupe RN, n’est autre que le « plan d’alternance » que l’élu appelle de tous ses vœux en mars 2021 avec l’élection d’une majorité RN ! Bienvenue dans la future campagne électorale qui se profile !

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Favoriser la reprise de l’activité et préserver la création d’emplois. C’est la réponse sans équivoque apportée par la Région Bourgogne Franche-Comté aux conséquences dommageables de la pandémie virale sur notre territoire. En adoptant un Plan d’accélération de l’investissement régional, l’organe institutionnel entend bien jouer un rôle majeur dans la gestion de cette crise sanitaire. Autour des trois thèmes que sont l’emploi, l’écologie et la solidarité…

DIJON (Côte d’Or) : C’est l’heure du deuxième acte pour la Région Bourgogne Franche-Comté pour relancer favorablement l’activité économique après la première initiative prise au début de la crise. Une réponse qui semble être appropriée à la situation actuelle, complexe et si délicate à appréhender pour des centaines d’entreprises en proie aux doutes et difficultés.    

Doté d’une enveloppe globale de 540 millions d’euros dont 435 millions d’euros de financement régional et d’un reliquat constitué de fonds européens, le Plan d’accélération de l’investissement régional a été adopté lors de la séance plénière ce vendredi 09 octobre dans l’hémicycle du boulevard de la Trémouille.

Après avoir injecté cent millions d’euros au printemps, le pouvoir exécutif de notre contrée démontre ainsi qu’il entend mobiliser tous les moyens financiers disponibles pour participer au rebond de l’économie. Dès à présent, puisque le plan est devenu effectif dès son adoption par les élus, et ce, jusqu’au terme de 2023.

Elaboré à l’issue d’un cycle de concertations avec les différentes filières économiques, les branches professionnelles et les partenaires institutionnels, ce plan traduit la volonté de la présidente Marie-Guite DUFAY de mettre tout en œuvre pour sortir de l’ornière le monde de l’entrepreneuriat de l’abîme.

 

 

Un plan devant générer 2 milliards d’euros de chiffre d’affaires pour les entreprises

 

« Proposer un plan à trois ans aux dimensions ambitieuses afin de soutenir l’activité économique en Bourgogne Franche-Comté est l’une des premières responsabilités de notre collectivité, devait-elle préciser lors de sa prise de parole introductive.

Ce plan s’inscrit dans la droite ligne de l’action nationale déclinée sous le vocable de « France Relance » et des actions mises en exergue au niveau européen.

Articulé en trois éléments (emploi, écologie, territoires et solidarité), l’outil qui devrait permettre de générer deux milliards d’euros de chiffre d’affaires pour les entreprises régionales préconise cent-deux mesures spécifiques. Certaines d’entre elles à hauteur de 30 % existent déjà : leurs financements en seront élargis. Pour les autres, elles ne sont que le reflet de véritables nouveautés.

 

 

La répartition entre les trois axes privilégiés est la suivante : 237 millions d’euros se destineront à l’écologie, 113,5 millions iront vers le volet pur économie et emploi. L’aide attribuée au pôle Territoires et Solidarité s’élèvera à 84,5 millions d’euros.

Précisons que ce plan d’accélération s’adosse au pacte régional en faveur de l’économie de proximité qui a vu le jour en juin dernier. Conçu avec le concours des intercommunalités, il se destine pour les artisans, les commerçants et les entreprises de moins de dix salariés, pour une enveloppe globale de 27 millions d’euros.

 

Une coloration écologique forte insufflée à ce plan…

 

Parmi les mesures qui ont été votées par la Région dans le cadre de ce plan de reconquête économique, environ la moitié (soit 47 sur 102) se rapporte directement à la transition écologique et énergétique. Dans le concret, une enveloppe de 70 millions d’euros est consacrée aux projets de rénovation énergétique. C’est-à-dire ceux qui ont des effets positifs pour le climat, l’emploi et le pouvoir d’achat des ménages.

L’angle pédagogique n’a pas été occulté de cette vision stratégique globale. La présidente Marie-Guite DUFAY désirait promouvoir la formation professionnelle avec l’adaptation des compétences aux besoins émergents : ce sera fait via une dimension sociale forte.

A ce titre, une charte, en cours de négociation avec les structures patronales et les syndicats, pourrait déboucher pour que ces aides régionales aux entreprises soient assorties de contreparties en matière de dialogue social et de sécurisation des emplois.

Face à « des situations que nous n’avions jamais connues […], nous avons su faire face, résister, créer,  collectivement, a tenu à rappeler la présidente. Nous avons aussi beaucoup appris. Aujourd’hui, il nous faut rester très dans l’humilité, attentifs et vigilants ». 

Face à la situation, la Région a décidé d’agir vite en prenant le taureau par les cornes. Une première enveloppe sera débloquée avant le 01er décembre 2020 avec vingt-cinq millions d’euros à la clé. Pas de doute, il n’y a plus une minute à perdre pour sauver le « soldat » économie de ce bourbier dans lequel il s’enlise…

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Ils sont aux sapeurs-pompiers ce que peut être le « GIGN » aux forces de la gendarmerie nationale. Loin d’être des casse-cou aventureux gorgés d’adrénaline au contact du danger et des risques, les membres du Groupe de Reconnaissance et d’Intervention en Milieu Périlleux (GRIMP) effectuent des interventions hautement sécurisés là où les moyens traditionnels des soldats du feu sont inappropriés…

AUXERRE : Les cinéphiles se souviennent certainement du long métrage américain fleurant bon la période de Noël dans lequel évoluait un bien virevoltant personnage, grimé de vert et réfractaire à l’esprit des fêtes : le « Grinch ». C’est le comédien humoristique Jim CARREY et ses célèbres mimiques produites par son visage élastique qui incarnait ce drôle de luron. Un personnage à la limite de l’anti-héros qui n’hésitait pas à gravir la cime des arbres ou le sommet d’un édifice pour prouver au monde entier qu’il existait. Tout en détestant copieusement la fête de la Nativité...

Chez les sapeurs-pompiers du SDIS 89 (Service Départemental d’Incendie et de Secours), point de besoin de faire des pitreries, tout de vert vêtu, à une certaine hauteur pour se rappeler à notre bon souvenir ! Il y a mieux en effet en matière de présence physique. Grâce à un ersatz de « GIGN », comparativement à la gendarmerie nationale, qui s’est spécialisé dans les interventions peu ordinaires et comprenant une évidente prise de risque à surmonter : le « GRIMP » !

Un acronyme qui rappelle que l’on a affaire aux représentants émérites du Groupe de Reconnaissance et d’Intervention en Milieu Périlleux. Des femmes et des hommes qui possèdent du cran, une sacrée dose de courage et surtout la dextérité dans le moindre des gestes accomplis pour le démontrer lors d’un exercice un peu particulier. Celui-ci fut concocté dans les charpentes séculaires de l’Abbaye Saint-Germain à Auxerre.

 

 

Un exercice de sauvetage dans un théâtre grandeur nature…

 

Le GRIMP en action, mérite amplement le coup d’œil ! C’est ce que devait proposer l’état-major des sapeurs-pompiers de l’Yonne à la presse de notre territoire lors de cette séance de formation de maintien et de perfectionnement des acquis.

Sur le papier, un titre, somme toute très protocolaire et un peu ronflant. Mais sur le théâtre des opérations, ce fut une séance de travail digne de ces « funambules adorateurs de l’altitude » qui exercent leur métier à l’aide de baudriers et de cordages. Haut dans les airs : vertige s’abstenir !

Bref, bienvenue dans une toute autre dimension que l’image que l’on pouvait se faire des traditionnels sapeurs-pompiers en exercice aux côtés du camion-citerne rouge.

 

 

 

Dans le cas présent, il était question d’évacuer par l’extérieur et auparavant depuis la soupente de l’édifice un ouvrier pris d’un malaise sur son lieu de travail. Un véritable rôle de composition pour le soldat du feu vêtu en civil qui endossa la vêture de la victime. Allongé et sanglé dans une civière suspendue dans le vide à dix mètres du sol, le courageux garçon demeura stoïque en espérant que ses collègues maîtrisent bien les gestes de secours devant le ramener sur la terre ferme.

La difficulté de l’épreuve résidait au déplacement de la civière de manière horizontale d’un étage à l’autre. Avant qu’elle ne bascule avec la maîtrise du savoir-faire des forces en présence (une demi-douzaine de sauveteurs) dans le grand vide le long de la façade de ce monument patrimonial.

 

 

Une douzaine d’interventions chaque année sur le département…

 

Tout cela se déroula sous les regards très intéressés de Tristan RIQUELME, directeur de cabinet du préfet de l’Yonne, du vice-président du Conseil départemental et de la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois, Christophe BONNEFOND, pour mémoire président du SDIS 89 et du Colonel Pierre BEPOIX, directeur départemental adjoint du SDIS 89.

Sous la houlette du Lieutenant Gilles PREUX, l’exercice – une simple formalité de routine pour la jeune femme et ses collègues masculins constituant l’équipe de choc investie sur le lieu de l’opération -, se déclina tranquillement. Comme à la parade, pourrait-on dire dans d’autres domaines !

Il est vrai que le GRIMP répète inlassablement les mêmes gestes techniques qui peuvent rappeler ceux effectués par les alpinistes du fait des cordages et de baudriers, à raison de deux entraînements par mois. En faisant tourner ses équipes puisque la cellule se compose de vingt-cinq personnels d’intervention en milieu périlleux. Ils sont répartis dans les centres mixtes, au centre de formation départemental et à la direction départementale.

 

 

Annuellement, le GRIMP procède à une douzaine d’interventions en situation réelle sur notre territoire. Quant aux lieux lui permettant d’acquérir davantage de maîtrise dans les gestes, ils se nomment la basilique Marie-Madeleine de Vézelay, la cathédrale Saint-Etienne d’Auxerre, celle de Sens ou l’abbaye Saint-Germain.

Sont considérés comme des milieux périlleux des espaces artificiels ou naturels où, en raison de la hauteur ou de la profondeur, et des risques divers liés au cheminement ne peuvent être traités par les moyens des sapeurs-pompiers traditionnels.

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil