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L’association « Les Jardins de la Croisière » a inauguré ce vendredi 25 septembre une toute nouvelle pièce de détente dédiée aux jeunes en réinsertion professionnelle. Un bel exemple de projet solidaire qui a été réalisé dans le cadre du Plan de Développement de l’association. Un dossier mené en collaboration avec de nombreux partenaires dont les professionnels du bâtiment et de la formation...

SENS : Créée en 1995 par la Chambre d’Agriculture de l’Yonne et la FDSEA89 (Fédération Départementale des Syndicats d’Exploitants de l’Yonne), l’association « Les Jardins de la Croisière », représentée par son directeur Erik POLROT, accueille régulièrement de nombreux jeunes en difficultés socioprofessionnelles au sein de son « atelier chantier d’insertion ». Soit un équivalent de 60 à 70 personnes chaque année.

La culture de légumes bio sur trois hectares de terres maraîchères et vendus aux Halles de Sens, l’apprentissage de l’entretien des espaces verts, les « Chantiers verts » développés en 2009, sont autant d’activités nécessaires à la réinsertion de ces salariés en quête d’un avenir.

Aujourd’hui, elle emploie 32 salariés polyvalents et huit permanents. Chaque employé bénéficiant d’un suivi individualisé, tant social que professionnel.

« C’est au travers de ce genre d’actions que l’on peut ramener une personne vers le monde du travail, vers une sociabilisation et finalement à être un citoyen actif au sein de notre société » rappelle Anne-Noëlle HEITZ, directrice du SPIP (Service Pénitentiaire d'Insertion et de Probation) de l’Yonne. « Tout le travail réalisé avec « Les Jardins de la Croisière » est très important à nos yeux… ».

 

Réaménagement des locaux pour le bien-être de son personnel

 

Cette année, l’association s’est fixée pour objectif de créer un espace de vie commun. Il a été inauguré vendredi dernier ainsi que le réaménagement d’un espace sanitaire, en cours de réalisation.

La structure avait besoin d’un nouveau lieu susceptible « de créer et de renforcer le lien entre les différents acteurs de l’association », « un espace de rencontre, de partage et de convivialité ».

Deux anciens vestiaires ont été réunis en une salle de pause de 25 mètres carrés. Cet espace comporte une grande table qui servira également pour les réunions de l’association. Il est aussi constitué d’une cuisine aménagée réalisée avec des matériaux de récupération et équipée de divers autres matériels comme un four à micro-ondes, auparavant entreposé sur des étagères instables.

Les travaux d’aménagement, d’un montant de 9 817 euros, sont subventionnés par la Fondation de la Fédération Française du Bâtiment, la Fédération Française du Bâtiment des Yvelines et la Fédération Française du Bâtiment de l’Yonne, ainsi que par la cagnotte lancée sur Leetchi par les élèves de l’Ecole Supérieure des Jeunes Dirigeants du Bâtiment, pilote du projet. Ils ont été réalisés par des entreprises locales (3J BAT, BOURREAU SAS et GABRIELLI SARL).

 

 

Un organisme aux petits soins avec Les Jardins de la Croisière

 

L’Ecole Supérieure des Jeunes Dirigeants du Bâtiment (ESJDB) a été créée en 1994 à l’initiative de la FFB (Fédération Française du Bâtiment) pour les professionnels du secteur du bâtiment dans un contexte de crise.

Il y avait une nécessité de renforcer la compétence des chefs d’entreprise en place et à venir pour augmenter la performance des sociétés, notamment en termes de marges.

« La cause de cette association nous a particulièrement touché » explique Claire COJEAN, coordinatrice du projet au sein de la promotion IDF53 de l’école, et qui prendra la suite de son père, Pierre COJEAN, président de la Fédération Française du Bâtiment des Yvelines.

L’équipe a choisi « les Jardins de la Croisière » parmi huit autres projets pour la nature de ses activités à la fois portées sur le bio et l’aide aux jeunes en insertion professionnelle. Un type de projets qui manque cruellement dans le BTP selon elle.

Le travail des étudiants avait démarré en juin 2019 par la création des plans et la mise en contact avec les entrepreneurs, dont Claire COJEAN était la principale interlocutrice.

D’ailleurs, à l’origine, le projet s’étendait à d’autres ouvrages et s’élevait à 25 000 euros. Mais, il a été réduit à la réalisation de cet espace de repos en raison d’un manque de subventions.

La Fondation MACIF, qui s’était manifestée trop tard, participera finalement au second projet des Jardins de la Croisière, le réaménagement de l’espace sanitaire.

 

Floriane BOIVIN

 


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Le réseau d’investisseurs privés entend réparer une lacune dans le développement de sa stratégie régionale. Se faire connaître auprès des entrepreneurs de l’Yonne devient une priorité. Une rencontre avec les acteurs de l’entrepreneuriat aura permis à la structure qui a déjà injecté 6,7 millions d’euros en soutien d’initiatives économiques depuis ses origines, de faire toute la lumière sur son mode d’intervention…

VENOY : Compétences, confiance et contacts. C’est le triptyque gagnant que préconise le réseau des « business angels » de Bourgogne Franche-Comté lorsque celui-ci apporte son précieux concours financier à un porteur de projets.

Quel que soit la nature de ce dernier, par ailleurs. Même si la tendance actuelle confirme une prédominance exponentielle pour l’univers des « Med Tech ». Un secteur corporatiste qui a le vent en poupe chez les néo-créateurs d’entreprise.

Invités à venir expliquer sa méthodologie pratico-pratique, plusieurs représentants de la structure associative régionale ont pu savamment disserter sur les bienfaits vertueux de ce réseau qui s’appuie aujourd’hui sur des investisseurs privés au profil de dirigeants, cadres supérieurs, professionnels libéraux, encore en activité ou non.

Non seulement ces derniers injectent leurs propres deniers dans un projet de création/reprise ou de développement d’une structure entrepreneuriale, mais en outre, ils mettent à la disposition du dirigeant, sans interférer dans sa ligne managériale, leurs compétences, expériences et autres réseaux relationnels.

Du pain béni pour les chefs d’entreprise, parfois peu enclins à développer ces techniques salvatrices, faute de temps.

Membre du maillage national France ANGELS, BFC ANGELS recense aujourd’hui une soixantaine de participants actifs qui suivent avec grand intérêt les circonvolutions de la sphère économique.

 

 

Des investisseurs au fait des rouages de la vie entrepreneuriale…

 

Conviés à cette présentation concoctée par la structure associative INITIACTIVE 89, autre entité inféodée à l’accompagnement des porteurs de projets, deux des responsables de BFC ANGELS, Pierre VIEILLARD, son président, et France OLLIER, déléguée générale (un troisième représentant en la personne de Daniel KLEE, vice-président en charge du développement et de la représentation sur les territoires de la Nièvre et de l’Yonne) s’exprimèrent longuement sur le rôle méthodique joué par les « anges des affaires ».

Des anges bénéfiques à plus d’un titre puisque des témoignages d’entrepreneurs ayant reçu le soutien du réseau accréditèrent le bien-fondé de ces aides financières qui, a contrario, n’ont rien ni d’aléatoires ni de providentielles.

Il suffit d’un pitch de dix minutes montre en main auprès d’un jury de spécialistes de l’entreprise pour que le dossier défendu par le candidat obtienne les faveurs (ou le désaveu) de ces investisseurs qui dégainent le plus souvent avec rapidité par rapport aux circuits financiers habituels.

 

 

A ce titre, l’effet de levier est multiplié par trois auprès des établissements bancaires et autres organismes financiers dès que les « business angels » se sont prononcés sur la viabilité d’un dossier qui nécessite quatre mois de préparation.

C’est dire si leur avis (et leur action) ne sont pas négligeables dans le sérail économique ambiant !

Originaire des Etats-Unis, et très bien implanté en Grande-Bretagne, le système de cette « love money » accordée par des gens compétents et au fait des rouages de l’entreprise éprouve encore quelques difficultés à se tailler la part du lion dans l’Hexagone.  Et surtout, à se faire connaître des principaux intéressés, les entrepreneurs eux-mêmes !

 

 

Les cibles choisies : des start-up de pointe dans tous les domaines…

 

Pourtant, les chiffres plaident en la faveur de ces structures qui commencent à percer aux quatre coins du pays. Fortes de 75 représentations officielles, les unités territoriales de « business angels » accueillent à ce jour plus de 4 500 adhérents, qui travaillent sur des projets financiers compris entre 50 et 500 000 euros. Le ticket moyen annuel s’élève à 100 000 euros.

Rien que pour l’année 2019, en France, le réseau a investi 43 millions d’euros pour soutenir les initiatives des entreprises ! Soit la bagatelle de 2 500 emplois créés ou sauvegardés.

En Bourgogne Franche-Comté, depuis qu’elle a été portée sur les fonts baptismaux, la structure a débloqué 6,7 millions d’euros en créant 250 emplois.  

Malgré la conjoncture calamiteuse observée en cette triste année 2020, BFC ANGELS a déjà consacré plus de 500 000 euros aux projets créatifs de néo-entrepreneurs.

Parmi les sociétés ayant bénéficié de ces subsides, citons PIXII (Doubs) qui fabrique des systèmes photographiques couplés à une application numérique, DEEDO (Doubs), une plateforme de streaming dans l’univers de la musique panafricaine, SKOPAI (Isère), Le « Tour du Monde des Epices » (Saône-et-Loire) qui importe des épices avant de les vendre dans ses trois boutiques, LEXICLIC (Doubs) encouragée pour une méthode d’apprentissage de la lecture couplée à un dictionnaire numérique, CASIS (Côte d’Or) qui intervient dans l’imagerie médicale, MADE IN PHARMA (Doubs) qui conçoit des produits anti-inflammatoires à base de plasma sanguin ou encore S3DEL, qui a créé un kit de prothèses dentaires…

 

 

Davantage de réunions délocalisées dans l’Yonne à l’avenir ?

 

Le réseau travaille en étroite osmose avec l’Agence Economique Régionale, BPI France et bon nombre de structures associatives inhérentes à la vie économique de Bourgogne Franche-Comté.

A l’instar d’INITIACTIVE 89 et de sa présidente, Malika OUNES, instigatrice de cette première réunion publique officielle dans l’Yonne qui aura réuni une soixantaine de participants.

Pour autant, est-ce à dire que BFC ANGELS délocalisera à terme, via la création d’une filiale, sa prégnance territoriale dans le département le plus septentrional de la contrée ?

Pas si sûr ! Mais, la décentralisation de réunions mettant en rapprochement direct investisseurs et entrepreneurs est dans le domaine du possible.

Afin de renforcer une présence plus soutenue à l’avenir. Il pourrait en être de même dans la Nièvre, l’autre département « pauvre » au nombre de dossiers soutenus par les « anges des affaires » régionaux. 

Il est donc grand temps que ces deux territoires limitrophes profitent enfin de la générosité et de l’expertise bienveillante de ces « gardiens du temple » qui agissent au nom du dynamisme de l’économie ! Ce ne sont pas les entrepreneurs du cru qui s’en plaindront !

 

 

Un article réalisé en partenariat avec INITIACTIVE 89.

 

 


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Dans le cadre du Plan de relance de l'économie, de nouvelles aides sont entrées en vigueur pour favoriser l’embauche des jeunes en CDI, CDD ou en contrat d’alternance. Plusieurs questions nous viennent à l’esprit pour en savoir davantage : comment en bénéficier ? Pour quels montants ? Grille de lecture explicative avec la Chambre départementale des experts comptables de l’Yonne…

TRIBUNE : Parmi ces mesures, il existe l’aide exceptionnelle pour l’embauche d’un jeune de moins de 26 ans. Elle a pour objectif de faciliter l’embauche des jeunes tout en stimulant l'activité des entreprises. Elle vise à réduire le coût du travail en termes de compensation forfaitaire de cotisations sociales.

Le montant de l'aide est de 4 000 euros maximum sur un an pour un jeune salarié à temps plein. Ce montant est proratisé en fonction de la quotité de temps de travail du salarié et de la durée effective du contrat de travail.

Toutes les entreprises, quelles que soient leur secteur d’activité et leur taille, peuvent y prétendre.

Pour en bénéficier, il faut remplir les conditions cumulatives suivantes :

  • recruter un jeune de moins de 26 ans entre le 01er août 2020 et le 31 janvier 2021 (les renouvellements de contrat débutés pendant cette période ne sont pas éligibles),
  • conclure un contrat en CDI, en CDI intérimaire ou en CDD pour une période d’au moins 3 mois,
  • la rémunération du salarié doit être inférieure ou égale à deux fois le montant du SMIC.

Pour en bénéficier, un délai de 4 mois à compter de l'embauche de votre salarié est à respecter. Il faut adresser une demande à l’Agence de Services et de Paiement (ASP). Une plateforme de télé-service sera ouverte à compter du 1er octobre 2020 pour faciliter les démarches. L’aide sera versée par l’ASP, sur un rythme trimestriel, pendant une durée maximale d’un an.

 

 

Cette aide n’est pas cumulable avec une autre aide de l’Etat, liée à l’insertion, l’accès ou le retour à l’emploi (parcours emploi compétences, contrat initiative emploi, aide au poste, aide à l’alternance, emploi franc, etc.) au titre du salarié concerné.

Si le salarié est placé en activité partielle ou en activité partielle de longue durée, on ne pourra pas non plus toucher l'aide pour les périodes concernées.

 

L’aide exceptionnelle pour l’embauche en contrat d'apprentissage

 

Il s'agit d'une aide pour accompagner financièrement les employeurs qui recrutent en contrats d'apprentissage. L'objectif est de soutenir ce dispositif pendant la période de crise économique (maintien et développement des contrats). Cette aide est versée pour la première année d'exécution du contrat et n’est pas cumulable avec l’aide à l’embauche d’un jeune.

Le montant de l'aide varie en fonction de l'âge de l'apprenti : 5 000 euros pour un apprenti de moins de 18 ans. Elle est de 8 000 euros pour un apprenti majeur par contrat d’apprentissage préparant à un diplôme jusqu’au master (bac + 5 – niveau 7 du Répertoire national des certifications professionnelles- RNCP).

Toutes les entreprises de moins de 250 salariés du secteur privé ou public industriel ou commercial (dont les contrats relèvent du droit privé) sont concernées.

Pour les entreprises de 250 salariés et plus, le bénéfice de l'aide est soumis au respect des conditions suivantes : atteindre 5 % de contrats favorisant l’insertion professionnelle en 2021 via un contrat d’apprentissage et de professionnalisation, un VIE, une CIFRE ou avoir au moins 3 % d’alternants avec un contrat d’apprentissage et de professionnalisation, dans leur effectif en 2021 et avoir connu une progression de 10 % par rapport à 2020.

 

 

L'aide s'applique aux contrats d'apprentissage conclus entre le 01er juillet 2020 et le 28 février 2021 pour la préparation d’un diplôme ou d’un titre à finalité professionnelle.

L'aide est versée mensuellement, dès le premier mois et dès la réception de la déclaration sociale nominative (DSN) et contrôle de celle-ci par l'Agence de Services et de Paiement (ASP).

La nouvelle aide aux employeurs d'apprentis se substitue à l'aide unique pour la première année d'exécution du contrat. À l'issue la première année d’exécution du contrat, les entreprises éligibles pourront à nouveau bénéficier de l'aide unique jusqu’à la fin du contrat.

 

L’aide exceptionnelle pour l’embauche en contrat de professionnalisation

 

Cette aide accompagne les entreprises qui embauchent un salarié en contrat de professionnalisation entre le 01er juillet 2020 et le 28 février 2021 pour la préparation par un jeune de moins de 30 ans d’un diplôme ou d’un titre à finalité professionnelle jusqu’au niveau 7 du cadre national des certifications professionnelles (soit jusqu’au master).

Elle est versée pour les douze premiers mois d’exécution du contrat. Le montant de cette aide et ses modalités de versement sont les mêmes que ceux de l'aide exceptionnelle pour l'embauche en contrat d'apprentissage.

Source : Bercy Infos, le 09/09/2020 - Aides publiques et financements

Un article réalisé en partenariat avec la Chambre départementale des experts comptables de l’Yonne.

 


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C’est la troisième rentrée scolaire pour l’Ecole de Production de Chalon-sur-Saône depuis qu’elle a été portée sur les fonts baptismaux. L’établissement affiche un taux de réussite de 100 % au CAP depuis ses origines. Un cap vers l’excellence pédagogique vient d’être franchi. Grâce à la digitalisation. L’initiative a reçu le soutien de la Fondation EDF qui a injecté 10 500 euros dans le projet…

CHALON-SUR-SAONE  (Saône-et-Loire) : Apparue en 2017 sous l’impulsion de l’UIMM 71 et du groupe EDF, l’Ecole de Production de Chalon (EDPC) accueille un jeune public âgé de 15 à 18 ans en situation de décrochage scolaire. L’établissement les prépare au diplôme de CAP professionnel dans les métiers de l’usinage. Un vivier de recrutement dont ont besoin la plupart des industriels de Saône-et-Loire.

Fonctionnant comme une véritable entreprise, l’EDPC réalise de vraies commandes au prix du marché au profit de ses clients. Une vingtaine d’élèves effectueront d’ici quelques jours leur grand retour sur le site. Ils y découvriront un équipement numérique flambant neuf mis à leur disposition dans le cadre de leur apprentissage des métiers de l’usinage.

L’école vient de se doter d’un logiciel d’assistance de production par ordinateur, couplé aux machines adéquates. Une mue nécessaire pour gagner en performance technologique.

 

 

 

Cette numérisation des ateliers concerne également la mise à niveau du réseau informatique qui offre des temps d’apprentissage supplémentaires en autonomie sur ordinateur. L’idéal pour la progression intellectuelle des jeunes apprenants.

Grâce à ces précieux auxiliaires technologiques, l’augmentation du volume de pièces fabriquées en réponse aux commandes passées par les entreprises industrielles du tissu local est désormais possible.

 

 

Une numérisation de l’école encouragée par la Fondation EDF…

 

Instigateur de ce projet pédagogique aux côtés de l’Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie de Saône-et-Loire, le groupe EDF n’a pas hésité à débloquer une enveloppe de 10 500 euros pour financer ce programme de digitalisation.

Fin 2018, l’entité via une opération de mécénat impliquant sa Fondation s’était déjà distinguée en remettant un chèque de 95 000 euros, complété par un don de 25 000 euros du FAPE EDF (Fonds Agir Pour l’Emploi) en faveur de l’insertion par le travail à cet établissement.

La somme fut alors convertie pour l’achat d’une machine à commande numérique destinée à l’usinage de pièces métalliques complexes. Grâce à elle, l’école a pu capter l’intérêt de nouveaux clients industriels et a su développer ses marchés depuis sa mise en service.

Avec ce nouveau geste financier de 10 500 euros accordé ce mercredi lors d’une cérémonie protocolaire, Yves CHEVILLON, délégué régional d’EDF et représentant de la Fondation du groupe EDF en Bourgogne Franche-Comté, a renforcé ce soutien indéfectible fait à l’Ecole de Production du sud de la Bourgogne dirigée par Nicolas PROST.

Un don généreux fort en symboles qui vise à construire l’avenir professionnel de ces jeunes gens.

 

 

 


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Les futures élites de la politique nationale et les cadres supérieurs à vocation commerciale seront-ils issus à l’avenir des classes préparatoires mises en exergue par le groupe éducatif lassalien auxerrois ? C’est tout le bien que l’on peut souhaiter à la judicieuse initiative de l’établissement privé dans sa quête de la diversification des savoirs et de la recherche de nouvelles opportunités…

AUXERRE : Le  23 septembre 2020 est une date qui est biffée depuis très longtemps dans l’agenda déjà bien garni de Marc BESANCENEZ, responsable du groupe Saint-Joseph-la-Salle.

C’est aujourd’hui en effet que débutent les cours de la préparation au concours de Sciences politiques et à celui permettant d’obtenir le précieux sésame qui donne accès aux écoles de commerce. C’est un pas de plus vers les plus hautes sphères de l’enseignement supérieur pour le groupe pédagogique catholique auxerrois après la précédente initiative menée en 2019 : la classe préparatoire au concours de médecine.  

Il y a quelques jours, le responsable du pôle éducatif avait réuni familles et candidats potentiels à ces nouvelles sections pour qu’ils viennent humer la température ambiante. Histoire de leur présenter le mode opératoire décliné en terminale. Une cinquantaine de personnes y participait.

 

 

Selon des modules de trois heures suivi le mercredi, l’ensemble des bacheliers peut s’immiscer dans cet univers didactique de haute volée. Soit un cycle de vingt-deux semaines pour un budget de 330 euros à l’année. Toutefois, des quotas ont été mis en place, limitant l’engouement des élèves à une trentaine de places seulement.

La prépa médecine, opérationnelle depuis deux saisons, a encore enregistré un net succès avec vingt-cinq élèves.  Autre innovation : la création de cette classe préparatoire à la double connotation aura favorisé le rapprochement du groupe Saint-Joseph avec l’EGC de Sens, l’école de gestion et de commerce sous la tutelle de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, pilotée par le responsable du pôle formation consulaire, Hervé AUBERGER.

 


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