Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
ordre-des-experts-comptables-de-bourgogne-franche-comte.jpg
Région Bourgogne France-Comté
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Lycée Saint-Joseph de la Salle
chambre des métiers et de l'artisanat
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
Criquet Magazine
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Ordre des experts comptables de Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

L’équivalent de quatre millions de colis devrait être acheminé chaque jour vers les foyers français durant la période des fêtes de fin d’année. Une surcharge de travail considérable pour l’entreprise qui ne pourra y faire face sans accroître ses effectifs. Conséquence : neuf mille postes proposés en contrat à durée déterminée et intérimaires seront à pourvoir pour endiguer ce flux…

DIJON (Côte d’Or) : Le confinement aurait presque du bon pour le service colis de La Poste ! L’entreprise croule depuis plusieurs mois sous les envois de paquets qui ne cessent de circuler dans l’Hexagone depuis le printemps. Face à la demande des consommateurs qui privilégient les achats en ligne, l’établissement s’attend à gérer des pics record au moment de la période des fêtes de fin d’année.

Pour répondre à ce besoin, il n’y a d’autres alternatives que d’embaucher de la main d’œuvre supplémentaire : soit 9 000 personnes bénéficiant d’un contrat en CDD ou par l’intérim.

Ces nouveaux emplois, concevables sur l’ensemble du territoire national, iront grossir les effectifs des plateformes logistiques où se réalisent le tri des colis et la distribution de ceux-ci vers les bureaux de poste. Sachant que le groupe estime à quatre millions de colis à traiter au quotidien jusqu’au terme des fêtes de fin d’année. Ce sont cent millions de colis qui transiteront en France à cette période contre quatre-vingt millions d’unités l’an passé !

Localement, tous les départements de Bourgogne-Franche-Comté devraient également recrutés de nouveaux éléments pour accroître les capacités opérationnelles des services concernés…

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Existait-il un autre choix que celui d’allonger la dette sur une période plus longue tout en assumant ce cap de la dégradation ? La capacité de désendettement de la Bourgogne-Franche-Comté, bien inférieure à celles de bon nombre de contrées de l’Hexagone, se situait à deux années et demie. Avec les nouvelles mesures prises par l’exécutif dans le cadre du plan de relance économique, soit 400 millions d’euros de plus destinés aux investissements, elle devrait s’étaler sur les neuf prochaines années. Un delta maximal qu’il conviendra de respecter sans aller au-delà pour ne pas tout mettre en péril…

DIJON (Côte d’Or: « J’ai choisi de frapper un grand coup parce que tous les efforts réalisés jusque-là dans les exercices budgétaires précédents nous le permettent… ». La présidente de la Région Bourgogne-Franche-Comté Marie-Guite DUFAY est montée au créneau avec détermination ce vendredi en fin de matinée afin de clarifier sa stratégie avant l’assemblée plénière de ce lundi 16 novembre. Une séance où seront débattues les orientations budgétaires de l’institution régionale pour l’exercice 2021.

Face à la presse mais à distance grâce au principe de la visioconférence, l’élue qui a été contrainte de décaler le rendez-vous prévu initialement le vendredi 13 novembre a détaillé les grandes lignes directrices d’un projet budgétaire, très impacté par la crise sanitaire actuelle.

Si de facto, les débats seront prioritairement concentrés sur les dépenses, la présidente n’en omettra pour autant pas les recettes. Le nerf de la guerre, à ses yeux. Sans qu’il n’y ait de solutions miracle. Car, dans le domaine, il n’existe aucune certitude.

Tout se fera en fonction de la capacité de reprise de l’économie et des…aides fournies par l’Etat. Un état qui s’est porté par ailleurs garant de subvenir aux besoins des collectivités régionales qui en éprouveraient le besoin. La Région aura recours à cette manne quasi providentielle mais indispensable car les nouvelles orientations budgétaires qui seront décidées lors de la prochaine réunion de la commission permanente le 20 novembre s’établissent à 400 millions d’euros de financement supplémentaires. Une enveloppe destinée à l’investissement.

 

Un numéro d’équilibriste qui est très complexe...

 

D’un côté, il faut entretenir l’espoir auprès des commerçants mais aussi des cafetiers et hôtels/restaurants qui ont perdu gros dans l’affaire en les soutenant de la meilleure façon possible (une aide de 7,3 millions d’euros) tout en sachant de l’autre côté que les recettes imputables à la fiscalité (TVA, taxes sur le carburant, rentrées d’argent inhérentes au trafic des TER) seront moindres.

Un véritable numéro d’équilibriste qui nécessite une cohésion dans le pilotage de ce dossier. Rien que la perte des recettes sur les TER a été provisionnée à vingt millions d’euros à titre d’exemple en espérant que l’Etat compense le manque à gagner…

A contrario, dans ce combat qu’elle mène pour favoriser le plan de relance économique avec le soutien des EPCI via la signature d’un pacte, Marie-Guite DUFAY souhaite que la Région soit présente en investissement et en fonctionnement dans son intervention budgétaire.

 

 

Via une équation qui est la suivante : six euros prélevés par habitant dont quatre se destinent à l’investissement, un par le biais de la Région vers le fonctionnement et le reliquat qui émane des intercommunalités.

Toutefois, face aux nouvelles difficultés imputables à la seconde période de confinement, la représentante du pouvoir régional va autoriser les EPCI à intervenir sur les paiements de loyer. Avec quelques bémols, notamment pour les intercommunalités de moins de 15 000 habitants qui seront dispensées de la parité requise.

In fine, c’est une somme de 5,6 millions d’euros qui couvrira les frais de fonctionnement des professionnels qui devra être validée.

 

Pas de coupes sombres ni de hausse de la fiscalité…

 

Quant à réaliser des coupes sombres en réduisant drastiquement les budgets de fonctionnement de certains postes clés, il n’en est pas question. Ainsi, la formation des demandeurs d’emploi ne sera pas pénalisée par une quelconque décision arbitraire.

Ni même le monde de l’éducation nationale via les lycées dont la Région a les compétences en matière de gestion. Alors que la Bourgogne Franche-Comté peut s’enorgueillir de posséder au plan national le plus grand nombre d’établissements répartis sur ses huit départements. Il en va de même pour des secteurs, moins prioritaires certes mais tout aussi importants comme la culture, le sport ou l’enseignement supérieur.

De là à augmenter la fiscalité afin de contenir ces importantes dépenses, il n’y aurait qu’un pas. Que Marie-Guite DUFAY balaie d’un revers de la main définitif : « Il n’en est pas question, et je m’y engage… ».

Enfin, un geste hautement symbolique sera envisagé à destination des soignants. Et  plus spécifiquement des infirmières et des infirmiers de première et deuxième année qui ont contribué à renforcer les équipes sanitaires dans les centres hospitaliers du territoire depuis le printemps. Un subside de deux millions d’euros sera ainsi versé auprès des IFSI (Institut de Formation en Soins Infirmiers) qui devront s’assurer de séances de rattrapage au niveau des formations sans qu’il y ait de préjudices pour les apprenants…

Quant à la préservation de l’emploi, elle reste une grande priorité, notamment auprès des personnes en instance d’insertion dans la vie active. Quatre mille places supplémentaires vont être intégrées à ce projet qui sera supporté avec une manne financière accordée par l’Etat.

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Dix pour cent des start-ups françaises sont fondées par des femmes. Seulement, 7 % des levées de fond leur viennent en aide. Un paradoxe que souhaite inverser l’un des principaux opérateurs de télécommunication dans le monde : ORANGE. Il ne reste plus que quelques heures, soit jusqu’au 15 novembre à minuit, pour déposer sa candidature au programme « #Femmes Entrepreneuses » permettant de bénéficier d’un  soutien synonyme de succès…

 

DIJON (Côte d’Or) : Ambitieux programme que celui-ci. Non seulement, il s’articule autour d’un axe collaboratif mettant en exergue la force de l’ancrage territorial et la présence d’un grand groupe à ses côtés ; mais en outre, il offre son lot de conseils personnalisés et de formations adéquates pour devenir la meilleure entrepreneuse qu’il soit !

C’est le principe fondamental de ce soutien inconditionnel à l’entrepreneuriat au féminin développé depuis trois saisons par l’un des acteurs majeurs des télécommunications, ORANGE. Un positionnement né de la volonté de l’une de ses dirigeantes, Fabienne DULAC, directrice exécutive d’Orange France.

Plus de 220 cheffes d’entreprises ont déjà profité de ce programme au niveau de l’Hexagone. Des créatrices qui ont choisi de mettre en avant leur savoir-faire dans la technique pure à 44 %, la RSE à hauteur de 20 % ou l’art de vivre pour 27 % d’entre elles.

Cette année, huit entrepreneuses de Bourgogne-Franche-Comté ont rejoint le programme. Elles ont été accompagnées par des coaches qui les ont aidées à résoudre leur problématique, constituer leur business « modèle » ou s’initier à la pratique de la cyber-sécurité.

Cent nouvelles entrepreneuses seront choisies pour intégrer la troisième promotion de ce programme pédagogique. Les sessions débuteront dès janvier 2021 sur la base de rencontres physiques et virtuelles, et la connaissance des besoins.

 

En savoir plus :

La date limite de candidature est fixée au dimanche 15 novembre 2020 minuit.

Le programme étant sur-mesure, chacune des candidates au programme peut se rapprocher du contact de sa région pour en savoir plus sur son contenu.

Plus d’informations sur : https://startup.orange.com//fr/start-up/femmesentrepreneuses-saison-3-une-nouvelle-impulsion-du-programme-dedie-aux-creatrices-de-start-up/

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Malgré sa diversité industrielle, la SAS du Sénonais, l’une des quatre références à l’échelle de l’Hexagone intervenant sur la fabrication et la maintenance de moules d’injection plastique n’en a pas oublié pour autant sa cible de prédilection : la filière automobile. Certes, elle ne représente plus que 30 % de son chiffre d’affaires. Mais, le projet de modernisation et d’agrandissement de l’unité de production sénonaise permet d’entrevoir de nouvelles opportunités…

MAILLOT : La diversification des marchés possède de sérieux attraits. D’une part, elle offre l’opportunité à celles des entreprises qui la pratiquent de ne pas mettre tous leurs œufs dans le même panier (il y a trop de risques à appréhender avec un mono-secteur !) ; d’autre part, elle favorise la créativité et la remise en question intellectuelle de ses dirigeants en faisant montre d’éclectisme et d’adaptabilité.

Encore dépendante à près de 50 % de la seule filière de l’automobile il y a cinq ans, la SAS du Sénonais a su convertir son savoir-faire industriel vers d’autres cibles alléchantes comme les domaines des sports, des loisirs ou du médical pour conforter son chiffre d’affaires sans pour autant renier son marché initial, celui de l’automobile en grande souffrance depuis plusieurs années.

Pour autant, le projet d’agrandissement de son unité de production devrait lui permettre d’entrevoir de réelles potentialités de développement avec ce milieu de l’automobile, qui a su imposer BOUDIN SAS dans le microcosme hermétique des sociétés spécialistes de la fabrication et de la maintenance de moules d’injection plastique en France.

 

 

 

Bénéficier de l’enveloppe budgétaire d’1,23 million accordée par l’Etat dans le cadre du plan de relance de l’automobile va inéluctablement impacté la stratégie de la PME eu égard à son cœur de cible originel. Si aujourd’hui, le milieu automobile ne représente plus que 30 % du chiffre d’affaires de la société (2,3 millions d’euros), de nouveaux projets pourraient vite venir se greffer pour favoriser l’essor de l’entreprise.

En particulier, auprès des constructeurs tels que l’a précisé le président de la SAS Dominique VIE interrogé lors d’un point presse à l’issue de la visite préfectorale il y a quarante-huit heures.  

 

 

De nouveaux horizons à envisager avec les constructeurs ?

 

Non seulement, le charismatique chef d’entreprise possède suffisamment de contacts au sens relationnel du terme pour s’ouvrir quelques portes qui n’auraient rien d’hasardeuses dans ce milieu ; mais en outre, la capacité de travailler dorénavant avec des moules d’injection nettement plus importants, soit des pièces pouvant supporter des poids de 25 à 50 tonnes, lui ouvrirait de nouveaux horizons, peut-être encore insoupçonnés et prometteurs. Des horizons à faire converger avec les intérêts et les besoins des constructeurs eux-mêmes !

Parallèlement, en sa qualité de sous-traitant, BOUDIN SAS apporte ses compétences auprès de structures professionnelles départementales qui produisent près de 80 % des feux arrière des véhicules en France.

Des produits qui trônent en bonne et due place parmi les vitrines de présentation placées dans le hall d’accueil de la PME aux vingt-cinq collaborateurs tels des trophées qui ont fait et feront encore la gloire d’une entreprise possédant toujours le vent en poupe à l’aune de 2021. Encourageant !

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Ils sont prêts, les professionnels des travaux publics. Prêts à poursuivre leurs activités malgré la période de confinement afin d’assurer la relance économique de notre pays. Prêts, également à préserver et à créer des emplois. Mais, pour cela, ils ont besoin du soutien inconditionnel des élus. Et surtout de la reprise urgente de la commande publique !

DIJON (Côte d’Or) : Les semaines se suivent et se ressemblent pour les dirigeants des entreprises de travaux publics de notre territoire. Ils ne cessent d’envoyer des messages forts à destination des collectivités locales pour que celles-ci fassent enfin bouger les lignes au niveau de la commande publique.

L’équation est simple. Pas de projets en perspective, donc pas de chantiers à assurer, avec les conséquences que l’on peut aisément imaginer au niveau de l’emploi.

Depuis le discours du président de la République Emmanuel MACRON en date du 28 octobre où ce dernier reconnaissait comme « essentielle à la nation la filière des travaux publics », la FRTP (Fédération régionale des travaux publics de Bourgogne Franche-Comté) adresse une kyrielle de signes auprès des élus locaux. Celles et ceux qui identifient clairement les besoins de développement et d’entretien des infrastructures sur les territoires.

 

 

« Nous sommes là pour les accompagner, explique sans équivoque le président de l’organisme régional, l’entrepreneur Vincent MARTIN, qui a pris à bras le corps la défense des intérêts de sa corporation.

Ce dernier n’hésite pas à préciser qu’il serait dommageable pour les élus locaux de ne pas profiter des effets du plan de relance économique distillé par l’Etat (France Relance) qui favorise l’obtention de financements exceptionnels afin de juguler la crise économique.

En conclusion, la position de la FRTP est très limpide : il faut investir très vite pour garantir la pérennité d’une filière professionnelle qui ne demande qu’à poursuivre sereinement ses activités. Mesdames et messieurs les élus, la balle est désormais dans votre camp !

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil