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La liste pourrait s’égrener comme une longue litanie plaintive. Poitiers, Périgueux, Alès, Nîmes, Niort…et au bout du compte, Auxerre ! D’ici quelques semaines, et après acceptation de l’offre de reprise par le groupe Financière du Trésor du Patrimoine, l’ancien fleuron de la vente de livres France LOISIRS aura disparu ou presque de notre paysage commercial national, clouant aux piloris près de 600 collaborateurs dépités…

 

AUXERRE : Il n’en restera au bout du compte plus que quatorze ! Quatorze de ces fameuses boutiques à la fameuse estampille de France Loisirs qui auront accueilli des millions de nos compatriotes, férus d’ouvrages et de loisirs créatifs.

D’ici peu, à échéance 2022, cent huit de ces commerces vont mettre la clé sous le paillasson. Entraînant la suppression de six cents postes : un nouveau drame sur le registre du volet social et de l’emploi.

Lundi, le Tribunal de Commerce de Paris a validé l’offre de reprise du groupe Financière du Trésor du Patrimoine. Une porte de sortie bien maigre qui ne condamne certes pas l’enseigne mais la réduit à sa portion congrue fonctionnelle et économique après son placement en liquidation judiciaire survenu à la fin octobre.

Sur les 122 points de vente implantés dans l’Hexagone avant cette funeste période, il ne restera donc plus qu’une quinzaine de ces vitrines.

Quant aux filiales de la célèbre maison (on pense au pôle édition), elles devraient perdurer pour un temps.

Selon les experts du Tribunal de Commerce de Paris, c’était la moins pire des solutions. Quatre salariés sur cinq sont ainsi sur le carreau. Avec en perspective un avenir précaire.

Quant au club de livres, il a plusieurs millions de dettes à éponger. Un triste Noël donc pour la sympathique équipe commerciale auxerroise qui la mort dans l’âme se prépare à quitter le navire avec amertume et à laisser définitivement close la porte de la boutique qui n’a plus le cœur à faire la fête…

 

Thierry BRET

 


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Emploi, formation et accompagnement. Une trilogie qui sied très bien à la Mission Locale rayonnant sur l’Avallonnais et le Tonnerrois. C’est aussi le principe fédérateur du PEC. Le Parcours Emploi Compétences dont deux nouveaux signataires profitent depuis mercredi des avantages. Le recours à ce dispositif est-il une solution de recrutement efficace pour les collectivités territoriales ?

 

AVALLON : Elle se félicite de la tournure des évènements. Elle ? Ni plus ni moins que Cécile RACKETTE ! La sous-préfète inféodée à 100 % à sa mission promotionnelle de l’un des dispositifs astucieux, mettant en exergue le partenariat corrélé entre l’Etat, les collectivités territoriales (en l’occurrence dans le cas présent la municipalité d’Avallon), la MILO (Mission locale du cru) et in fine…le jeune signataire !

Deux nouveaux contrats viennent d’être validés cette semaine sur ce secteur géographique. Ils démontrent en substance que cet accord multipartite se révèle plutôt fructueux à bien des égards. D’autant que les jeunes bénéficiaires disposent d’un contrat de travail de huit mois dans leur besace, agrémentés d’un accompagnement tout au long de cette expérience afin de poursuivre la réalisation de leurs propres projets professionnels.

 

 

Des emplois proposés dans le secteur du périscolaire…

 

Bref, ce processus du deux en un judicieux qui offre une possibilité de recrutement pour les collectivités territoriales qui se prêtent volontiers au jeu. Dans l’illustration du jour, ces deux emplois ont été pourvus dans un secteur en extrême tension : celui du périscolaire.

Précisons que l’Etat prend à sa charge 80 % du salaire des jeunes recrutés qui évoluent en zone de revitalisation rurale ; ce qui n’est pas rien in fine.

Rappelons que le PEC repose sur ce triptyque emploi-formation-accompagnement. Le dispositif permet de développer des compétences transférables, un accès facilité à la formation et un suivi tout au long de ce parcours, tant par l’employeur que par le service public de l’emploi.

 

Thierry BRET

 

 


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Cocoonés, choyés, placés sous le feu des projecteurs de l’écoute et de l’altruisme, les demandeurs d’emploi de l’Auxerrois ! Voilà une animation régulière qui sait panser les plaies béantes de l’inaction professionnelle et cette sournoise impression d’être laissé de côté. « Tapis Rouge » via le Plan Local pour l’Insertion et l’Emploi (PLIE) réchauffe le cœur en redonnant espoir à ses bénéficiaires. Une lueur d’humanisme dans un monde social, englué vers les abymes…

 

AUXERRE : Cela ne fait pas un PLIE ! Et pourtant si ! Celles et ceux qui profitent des bienfaits vertueux de cette animation concoctée depuis plusieurs années par les responsables de ce Plan Local pour l’Insertion et l’Emploi savent bien qu’il en ressort toujours quelque chose après coup.

Ce sentiment d’exister, enfin. De ne plus être considéré comme un vulgaire poids mort de la société parce que étiqueté chômeur ou demandeur d’emploi au quotidien. Ne devrait-on pas dire en recherche d’emploi, plutôt, afin de valoriser et de rendre leur dignité à celles et ceux qui éprouvent les pires des difficultés à se réinsérer dans une vie active aux contours si cruels et impitoyables.

Alors se voir dérouler le tapis rouge ne serait-ce qu’une journée une fois l’an est peut-être le plus beau des cadeaux de fin d’année que l’on puisse faire à ces femmes et à ces hommes (quasiment absents de cette session par ailleurs) qui veulent encore y croire.

Malgré les refus successifs de ces entreprises qui daignent encore leur répondre (elles se font rares !) à leur CV et lettres de motivation. Comment ne pas perdre la confiance en soi quand l’on devient invisible à tout ce qui vous entoure, y compris aux plus proches de vos connaissances et amis vous ayant depuis longtemps tourné le dos ! Etre un pestiféré dans cette société déshumanisée est devenue insupportable et n’est pas un rôle que l’on doit assumer avec légèreté en tendant la joue droite. Tandis que la bien-pensance nous livre au kilo des leçons de morale…

 

 

L’importance de l’image et de la confiance en soi : le retour au positivisme…

 

Le rouge, comme symbole de l’espérance ? Pourquoi pas, après tout. Même si au Phare, qui se pare de cette couleur chaude et chatoyante, on est aux antipodes des lumières stellaires du festival de Cannes. Mais, le rouge, c’est aussi le coloris qui incarne le mieux le pouvoir, la puissance, le plaisir et…le Père Noël !

Issus de la sphère industrielle, commerciale, services à la personne ou autres, les 48 bénéficiaires de ce rendez-vous organisé au millimètre près seront donc pris en charge par une équipe toute dévouée à leur cause : les professionnels qui exercent leur savoir-faire au sein du PLIE d’Auxerre, dirigé par l’excellent Wilfrid RICHEBOURG.

 

 

On sent de l’implication, de l’empathie, de la cordialité, de l’écoute sans jamais qu’il n’y ait de jugement sur le vécu des situations qui flirtent le plus souvent avec le pire.

Plans sociaux, licenciements économiques, décrocheurs, personnes en quête du premier job : le panel de ce pas de côté répété par 48 fois se veut malheureusement éclectique. C’est le reflet d’une société ingrate qui ne vit plus que dans l’urgence de la surconsommation et du profit poussé à son paroxysme sans se soucier nullement de l’humain. L’Apocalypse, avant l’heure ?

 

 

Reprendre son destin en main, accompagné par des spécialistes…

 

L’exercice est des plus agréables. On se fait coiffer par des mains expertes (merci aux jeunes apprenties de la Maison de la Coiffure et du CIFA qui excellent avec leurs brosses à cheveux pour assurer cette mise en pli inattendue).

Le maquillage, déposé délicatement çà et là sur des mines parfois défaites, adoucit davantage les visages. Chacune savoure l’instant. Enfin, on s’occupe d’elles. Afin de se préparer à vivre un exercice dès le tantôt où il sera question d’entretien d’embauche virtuel.

Les partenaires se prêtent à ce jeu de rôle avec compréhension et sérieux. Tous donnent de leur temps et de leurs compétences pour la réalisation de ce concept : coaches, spécialistes de l’image, de la prise de parole, de l’auto-école (l’un des freins à l’emploi demeure chez les plus jeunes l’inexistence de la mobilité) et anciens chefs d’entreprise (une douzaine).

 

 

D’autres ateliers proposent une remise en question interrogative sur la « e-réputation » et l’image que l’on donne sur les réseaux sociaux. Merveille de technologie pouvant virer au cauchemar si l’on y fait n’importe quoi !        

Envoyées par les services de Pôle Emploi, du GRETA, de l’ADAPT, de la Mission Locale et du PLIE, ces femmes de tout âge tentent de reprendre leur destin en main. Vaille que vaille. En pensant à l’avenir et à cette année 2022 qui pourrait enfin leur réserver de belles surprises au niveau professionnel ? C’est tout le bien que l’on peut leur souhaiter à l’issue de cette session.

 

Thierry BRET

 

 


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Plus une minute à perdre pour assurer la conservation de l’emblématique édifice architectural, richesse du patrimoine culturel de la capitale de l’Yonne ! L’état de déliquescence avancée s’observe de part et d’autre du bâtiment séculaire rongé par l’humidité et le gel. Quant au toit du cloître, il est en piteux état avec ses bâches plastifiées qui cachent la misère : d’énormes trous où ruisselle en abondance la pluie. Un crève-cœur pour le maire-président Crescent MARAULT qui a intégré la réfection du site dans le cadre de son Projet de Territoire à dix ans. Chantier de réhabilitation à l’appui…

 

AUXERRE : Les choses sont claires comme cette eau de pluie qui détruit sournoisement les pierres de l’édifice depuis des lustres. Avant de parler de restauration de l’endroit, voire de son aménagement spécifique pour y optimiser le tourisme d’affaires et l’afflux massif de visiteurs à l’horizon 2027, l’essentiel parmi les priorités de ces travaux qui devraient débuter au cours du premier trimestre de l’année prochaine se situent bien ailleurs : c’est-à-dire la conservation de l’Abbaye Saint-Germain !

Il y aurait presque péril en la demeure à en écouter en filigrane les exégètes de l’édifice médiéval qui ont accompagné de leurs commentaires techniques, avisés et précis la visite du préfet de Région Fabien SUDRY, lundi en fin de matinée.

Un déplacement capital pour bien considérer l’ampleur des futurs travaux (surtout financiers !) auquel s’associaient le préfet de l’Yonne, Henri PREVOST (en visite la semaine dernière à Sens à la cathédrale elle-même en rénovation) et Crescent MARAULT, maire-président de l’Auxerrois.

 

 

Une Cité des arts et de la parole qui pourrait rester muette en cas d’absence de travaux…

 

Il est vrai que la nouvelle « Cité des Arts et de la Parole », au-delà de sa façade culturelle newlook qu’apprécie bon nombre d’Auxerroises et d’Auxerrois, a grand besoin d’un sérieux lifting pour retrouver enfin de sa superbe !

Une petite visite effectuée en catimini sous les toits du bâtiment principal laisse rêveur, dans la version cauchemardesque. Etat de délabrement garanti, revêtements au sol déplorable et une hasardeuse implantation d’une chaudière de plusieurs tonnes en hauteur qui laissent très perplexe !

Que dire de ces tôles et bâches en plastique qui enlaidissent les toits de ce majestueux édifice, chargé d’histoire et recelant des trésors uniques en France, posées çà et là au fil des ans pour tenter de résoudre la problématique principale, à savoir l’infiltration de l’eau !

 

 

Un projet global évalué à environ 35 millions d’euros…

 

Des rustines appliquées sur une jambe de bois qui font qu’à l’heure actuelle l’abbaye à défaut d’être la cité de la parole telle qu’elle devrait être dans sa flamboyance pourrait rester muette pour l’éternité à terme si l’on n’y remédie pas !

Crescent MARAULT, pour sa part, a décidé de relever le défi de ce chantier à la dimension pharaonique, au vu de l’importance des travaux. Il se dit affligé devant la dégradation du site. Et encore, il n’a peut-être pas tout vu !

Inscrivant ce projet de réhabilitation d’envergure (le chantier devrait courir sur cinq ans avec une demi-douzaine de tranches selon une enveloppe globale d’environ 35 millions d’euros), il a fait appel à la préfecture de Région et à son représentant, Fabien SUDRY, dans la perspective d’obtenir de louables subventions même si la Ville en mettra de sa poche, évidemment.

Les enveloppes européennes seront les bienvenues aussi pour mettre du beurre dans les épinards de ce très coûteux projet.

Rien que la réfection du cloître devrait générer le besoin d’un million d’euros. Douze millions seraient nécessaires à la phase de réhabilitation à proprement parlé. Un budget de 22 millions serait assuré pour les différentes phases d’aménagement du site.

« L’idéal, confie le maire d’Auxerre en contemplant le désastre imputable aux effets de l’érosion et de la pluie qui s’affichent sur les murs humides de l’église de l’abbaye, il nous faudrait obtenir 40 % de subventions des autres partenaires… ».

A terme, précisera-t-il en substance, l’abbaye Saint-Germain rénovée pourrait accueillir de 50 000 à 150 000 visiteurs d’ici une dizaine d’année, recevoir des séminaires et des colloques, devenir une place forte artistique et culturelle, s’ouvrir vers les quais de l’Yonne, être dotée d’un restaurant et de jardins.

Devenant ainsi le phare de l’attractivité touristique que la ville recherche tant pour attirer et capter l’intérêt des visiteurs venant de plus en plus loin…

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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La formule est plaisante. Très marketing, certes de prime abord, avec ce zeste indispensable de bienveillance philosophique. « Concrétisons vos idées, transformons vos opportunités ! ». A l’énoncé de leurs parcours respectifs, c’est certain : les deux jeunes femmes ne manquent ni d’allant ni de compétences. Export, gestion de projet, digital, oenotourisme, distribution. Placée en orbite depuis plus d’un an dans l’univers viticole, la start-up n’est pas prête de redescendre de sa courbe elliptique…

 

AUXERRE : La recette miracle de VINO UP ne tient qu’en un seul mot : assemblage ! Comme celui qui permet de façonner d’excellents nectars à consommer avec modération en temps ordinaire.

Mais, là, dans le cas présent, il n’est pas question de se restreindre, ni sur la quantité, pas davantage sur la qualité ! Voilà deux jeunes filles (de bonne famille !) dont il faut absolument croiser l’itinéraire tôt ou tard pour mieux en savourer la substantifique moelle professionnelle.

L’une est férue de distribution, de gestion de projet et d’export. Il s’agit de Flavie CULOT. Une évidence empruntée à son patronyme : elle n’en manque surtout pas !

L’autre s’est réalisée dans une vie antérieure au contact du digital, du marketing et du développement du tourisme viticole.

Betty BUFFAUT n’est autre que la progéniture du plus connu des cordonniers de la place, aujourd’hui coulant des jours heureux dans le sud de la France à la suite à une retraite méritée, Dominique. Les deux filles forment un tandem unique. Porteuse d’un projet entrepreneurial hors du commun dont elles dirigent la destinée depuis treize mois.

Alors quand il s’agit de célébrer comme il se doit le premier anniversaire de la structure, en faisant la nique à la COVID et à son climat anxiogène, nul autre endroit que « la Scène des Quais » et sa fameuse péniche, bien amarrée au port, ne convient mieux !

 

 

Les premiers clients hors de l’Yonne se manifestent pour bénéficier de leurs services…

 

Etrange paradoxe que celui-ci : ces deux esthètes au service de la vigne et de ses professionnels fêtent leur concept économique sur une surface aquatique ! Le sourire aux lèvres à grand renfort d’empathie dès que le moindre invité descend les quelques marches de la péniche faisant office de cabaret à Auxerre.

Que de chemin parcouru depuis un an pour les deux responsables de la start-up ! Une entité qui se positionne délibérément dans le conseil en développement commercial. Aujourd’hui, les exploitants du Grand Auxerrois et de la région de Chablis applaudissent des deux mains les judicieuses recommandations prodiguées par ces duettistes de choc et de charme.

Immatriculée le 06 novembre 2020, VINO UP a même élargi son champ d’actions auprès des acteurs de la filière de la bière et des spiritueux. Comptant parmi ses aficionados la brasserie FAYYAR de Saint-Bris-le-Vineux. Même un viticulteur de la Loire s’est déjà manifesté. Preuve que les deux comparses peuvent s’exonérer allègrement de la tutelle matricielle de leur département d’origine.

A court terme, des projets d'embauche devraient permettre de compléter l’équipe dès que l’activité partira en flèche. Ce qui ne devrait pas tarder au vue de la solide réputation que la TPE est en train de se faire. Dans l’Yonne mais également dans les territoires limitrophes…

 

Thierry BRET

 

 


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