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Le 09 juin prochain paraîtra son troisième volet autobiographique aux éditions du Sarment. Il se nommera « La Valeur ». Un clin d’œil à son ancienne vie « De la banque à la rue, de la rue à la paix ». Après ses deux premiers opus « Tous les banquiers ne finissent pas en prison…moi c’était dans la rue », sorti en 2011 et « Cancer, de l’espoir à l’espérance » en 2018, cet ultime ouvrage sera l’aboutissement de tous les coups durs qu’il a connu dans sa vie. Mais qui lui ont aussi permis de se trouver là où il est aujourd’hui et d’avoir enfin pu poser ses valises et retrouver une sérénité.

AUXERRE : Pour passer une retraite paisible, Jean-Paul ALLOU a choisi le sud de la France dans un petit village situé entre Grasse et Draguignan. Il y alterne son temps entre l’écriture et le bricolage, passion récente, mais nécessaire pour l’embellissement de sa maison. Pourtant lors d’une rencontre avec un compagnon du Tour de France lorsque ce dernier avait voulu lui montrer comment travailler, à l’époque cela lui semblait une perte de temps vu qu’il n’était pas très doué de ses mains ; vexé le compagnon lui avait alors rétorqué : « un homme n’est pas qu’une tête ou que des mains, mais il est un tout ».

Aujourd’hui, il va même, jusque dans les détails et en souvenir de cet apprenti qui lui avait dit « ce qui ne se voit pas, doit être mieux fait que ce qui se voit », emprunter un nouveau chemin. Celui de l’écriture, alternant textes poétiques et brèves de comptoir.

 

 

 

Inspiré de Christian BOBIN, Jean-Paul ALLOU se livre dans son dernier opus. « Journal froissé ». A l’instar des réseaux sociaux où fleurissent de petites phrases inspirantes, l’auteur nous offre ses mots « cadeaux ». Ils sont une invitation où chacun doit y puiser un message.

« Victime ou coupable, ce ne sont que des rôles que l’on a envie de jouer. On met le costume qui convient, jusqu’au jour où on décide de se dépouiller et de se parer de la joie d’aimer ». Mots glanés au comptoir : « Non, je ne porte pas de petite culotte, le temps de l’enlever et tu peux laisser passer une occasion… ».

La plupart de ses textes se veulent provocateur vis-à-vis du pouvoir mais cet ancien formateur, conférencier, coach dans le domaine de la finance, qui a connu la rue et une vie de SDF, a vécu deux ans chez les moines. Il a enfin appris à lâcher prise sous le soleil du sud, et y vit sereinement avec sa nouvelle compagne qui le soutient dans son écriture, étant elle-même artiste. Elle a d’ailleurs illustré le recueil de textes « Journal froissé ». A lire sans modération !

 

Maryline GANDON

 

 


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Un vent d’allégresse souffle au-dessus des têtes biens pleines des organisatrices de la traditionnelle animation consacrée à l’emploi au féminin. D’autant que la COVID n’aura pas eu raison de ce 24ème rendez-vous, attendu par bon nombre de femmes et de jeunes filles en quête d’un rebond professionnel. Une belle manière de débuter l’an neuf !

 

AUXERRE : C’est un ouf de soulagement poussé par la coordinatrice régionale et chargée de mission égalité au sein de FETE (Femmes Egalité Emploi) Claire DUCHET. La responsable de l’entité associative peut savourer le verre à la main et en le dégustant le liquide effervescent qui l’a met en joie à l’annonce de la confirmation de la 24ème édition de ce Carrefour des Carrières au Féminin, véritable institution dans le paysage de l’Yonne.

On s’attendait au pire comme bon nombre d’évènementiels devenus obsolètes du fait de la nouvelle variante OMICRON : il n’en sera rien puisque l’Espace culturel d’Appoigny accueillera bien en présentiel cette vitrine du savoir-faire professionnel à la sauce féminine.

D’ailleurs, la représentante de FETE dans l’Yonne n’a pas sablé le champagne toute seule ! Les membres du comité de pilotage de ce forum se sont joints à elle pour célébrer comme il se doit le maintien de ce rendez-vous.

Une manifestation conçu en partenariat avec le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, la direction régionale aux Droits des Femmes et à l’Egalité, l’Education nationale, le Conseil départemental de l’Yonne ou encore le Fonds Social Européen.

Ouverte à toutes les strates représentatives de la gent féminine, depuis les jeunes demoiselles qui fréquentent les collèges et les lycées jusqu’aux étudiantes et aux femmes en recherche de projet professionnel, la manifestation accueillera une soixantaine de cheffes d’entreprise trop heureuses de pouvoir témoigner sur les valeurs vertueuses du travail.

 

 

En savoir plus :

Carrefour des Carrières au Féminin

Samedi 22 janvier 2022 de 09h30 à 12h30

Espace culturel d’Appoigny

Route des Bries

Entrée libre.

 

Thierry BRET

 

 


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C’est clair pour le président de la CAPEB et de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne. Il n’existe nulle autre alternative que l’apport bienveillant de la pédagogie pour faciliter l’intégration de nouveaux compagnons au sein d’une structure artisanale. Tout cela ne serait donc qu’une affaire de temps et de volonté ?

 

AUXERRE : Présent lors de la signature de la convention multipartite portant sur les fonts baptismaux « Brique par brique », concept vertueux qui associe le Conseil départemental de l’Yonne, la Fédération départementale du Bâtiment, le GRETA 89, la Fédération départementale des Travaux Publics et l’ARIQ-BTP, le nouveau président de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne, et en parallèle responsable institutionnel de la CAPEB, Jean-Pierre RICHARD a fait l’éloge de la transmission des savoirs par les chefs d’entreprise.

« Dans certains corps de métiers, notamment ceux qui ont recours à une connaissance de la maîtrise technique, on ne peut motiver les nouvelles recrues qu’au travers le temps passé à leur formation… ».

 

 

Une pratique qu’adoptent de nombreux chefs d’entreprise sous couvert de la motivation et de la culture professionnelle.

« Je vois beaucoup de mes collègues entrepreneurs, petits artisans qui emploient de deux à trois salariés, prendre le temps de former leurs compagnons, devait-il expliquer à l’issue de la cérémonie protocolaire de signature.

Une démarche qui concerne également de plus en plus un public féminin, enclin à s’aventurer dans une filière artisanale devenue au fil des mois très porteuse en termes de possibilités de recrutements.

 

Thierry BRET

 


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Deux cents postes d’opticien-lunetier sont à pourvoir en ce début d’année au sein du réseau hexagonal de cette enseigne référente dans la filière. Dont sept sont à occuper en région Bourgogne Franche-Comté. Pour y remédier, le groupe dirigé par Eric PLAT innove en développant un cycle formatif en accéléré afin de faire face à la crise des vocations sur ce segment d’activité.

 

PARIS : Tout le monde a encore en mémoire le célèbre spot publicitaire, aux images un tantinet exotique, où était mis en scène le chanteur-aventurier Antoine qui vantait alors la qualité des produits lunetiers commercialisés par l’enseigne. ATOL : un nom qui ne cesse de résonner depuis dans notre inconscient nimbé de slogans empruntés au marketing qui savait faire mouche sur son cœur de cible.

Apparue en 1970, la marque s’est depuis imposée comme l’enseigne d’optique référente en matière de santé visuelle. En imprimant ses valeurs made in France à la suite de l’incubation de la start-up française, ABEYE.

A l’aune de cette nouvelle année, le groupe recherche deux cents collaborateurs à intégrer au sein de sa force de frappe. Deux cents postes disponibles de suite ou presque sur l’ensemble du réseau en France. La Bourgogne Franche-Comté, berceau de la conception de lunettes (le savoir-faire franc-comtois) ne déroge donc pas à la règle. Avec ses sept postes à pourvoir de suite.

 

 

Deux cents postes créés pour alimenter les 730 magasins du réseau…

  

Pourtant, pour faire face à la crise des vocations de cette filière, l’entreprise pilotée par Eric PLAT a conçu sa propre méthodologie lui permettant d’assurer une formation en accéléré.  

Un programme pédagogique qui a été élaboré dans le cadre d’un nouveau plan stratégique, répondant à l’appellation « Accélér’Atol 2021-2026 ». L’apprentissage de la base du métier comprend ainsi l’acquisition des notions élémentaires de la vente optique, la connaissance des conseils à prodiguer à la clientèle en magasin, la maîtrise explicative d’une prescription de l’ophtalmologiste et surtout l’assurance de pouvoir réaliser une vente pour des corrections visuelles simples.

Bref, déclinable sur une semaine, ce cursus fait également l’objet d’un accompagnement individualisé et personnalisé post formation en magasin. Une initiative bénéficiant de la présence d’un coach formateur, pur produit de la maison.

« Avoir créé cette formation sur-mesure constitue un atout pour mieux attirer de nouveaux profils, hors optique, et les former à la technique de l’optique afin de pourvoir les 200 emplois proposés par notre réseau de 730 magasins partout en France, explique le PDG d’ATOL Les Opticiens, l’enseigne entend développer son réseau sur les territoires pour rendre accessible la santé visuelle et le bien-être à tous ».

 

 

Des recrutements se faisant au niveau Bac + 2…

 

Cette formation est autant adaptée aux personnes venant d’un bac ou BTS optique qu’une personne n’ayant pas forcément les mêmes bases du fait d’allier vente/optique.

De plus, la relation client est clairement abordée, ce qui permet d’avoir moins d’appréhension lors d’une réelle mise en situation.

Concevoir son propre cycle de formation est l’une des réponses concrètes pour attirer de nouveaux talents. Comme le confirme le président-directeur-général de l’enseigne.

« Depuis une dizaine d’années, la filière optique connaît une véritable crise des vocations et peine à recruter. Conscients qu’il est aujourd’hui difficile d’attirer de nouveaux talents dans un secteur de l’optique qui souffre d’un manque d’attractivité, nous avons créé cette formation spécifique qui permet aux personnes ayant un niveau Bac +2 (force de vente) de découvrir le métier d’opticien-lunetier et d’acquérir rapidement les bases fondamentales qui seront ensuite mises en application en magasin ».

Un procédé didactique plutôt astucieux comme on peut l’observer aussi dans le domaine de l’industrie où il n’est pas rare que les acteurs de ce pan de l’économie développent en interne leur école de soudure ou de chaudronnerie afin de combler un manque évident de main d’œuvre qualifiée.

 

 

Un métier qui n’est plus dans les radars des jeunes générations…

 

Pourtant, il existe en France plus de 12 000 magasins d’optique et plus de 40 000 opticiens dont 75 % sont salariés. Depuis quelques années, on observe une légère hausse de l'âge moyen pour la profession d'opticien-lunetier, tout comme un recul continu des candidats au BTS OL.

Entre 2011 et 2020, on rapporte 33 % de diplômés en moins et 70 % des titulaires de ce BTS-OL poursuivent leurs études. Seul un quart entrera in fine  sur le marché du travail une fois le diplôme en poche, selon les sources diffusées par le magazine « Bien Vu ».

Il s’avère que le métier d'opticien-lunetier séduit moins les nouvelles générations à l'heure actuelle. La filière rencontre des difficultés à pourvoir de nombreux postes. D'ailleurs, le nombre d'annonces diffusées par Pôle Emploi et ses partenaires est passé de 13 303 en 2020 à 21 033, rien que pour les dix premiers mois de 2021. Gageons que l'heureuse initiative portée par ATOL Les Opticiens tende à inverser quelque peu la vapeur...

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Il l’a fait. Sous le masque, on devine le sourire. Large et lumineux comme le regard embué d’émotion de ce jeune prodige de la tradition culinaire à la française. Non seulement, Scott (un prénom insolite dans l’Yonne qui fleure bon les racines écossaises) BENIGAUD décroche la timbale en remportant le titre régional de meilleur apprenti en charcuterie-traiteur. Mais, en outre, il obtient son ticket pour la finale nationale prévue en mars.

 

AUXERRE: Ils ont pris un malin plaisir à concocter les différentes pièces alimentaires exposées aux yeux de tous. Dans un pur esprit de recherche de l’excellence, tout en bénéficiant des meilleures conditions pour pouvoir y parvenir. Celles fournies par le CIFA de l’Yonne, temple de l’apprentissage au cœur de cette Bourgogne septentrionale.

Voire peut-être pour en tutoyer un insondable paroxysme intérieur, comme le suggérera dans ses propos le toujours très lettré et philosophique Marc LABARDE, sémillant porte-étendard de ces épreuves honorifiques conçues à la gloire de l’artisanat.

Engagement et déclinaison des savoirs auront donc été au rendez-vous du énième challenge, devant sublimer une filière professionnelle qui n’a plus à faire ses preuves auprès de la jeunesse volontariste.

Embrasser la carrière de charcutier-traiteur n’a rien d’aléatoire et ne souffre d’aucune improvisation possible. Il faut posséder cette fibre vibratoire qui offre parfois l’occasion de se surpasser pour toucher le Graal.

 

 

Un talentueux jeune homme en provenance du CFA de Marzy…

 

Ainsi ces quatre valeureux candidats, déjà vainqueurs des qualifications départementales, n’ont éprouvé guère de difficulté pour se plonger dans le copieux menu du jour à réaliser sans trop de fausses notes dans un délai imparti de quarante-huit heures au centre de formation auxerrois. Deux jours de labeur, juste au sortir de la période festive et de ses réveillons, auront tôt fait de remettre les idées en place de ces jeunes gens, ayant l’âme de la compétition dans le sang.

Pas facile de composer entrée, plat, dessert et quelques mignardises servant d’agréments décoratifs en un laps de temps si court en pensant séduire l’impitoyable jury de ce concours de meilleur apprenti de France ! Des juges qui auront pris du temps avant de se prononcer sur le verdict, délibérant longuement entre eux pour ajuster au centième près la note la plus conforme à leur degré d’exigence.

Et à ce petit jeu-là, c’est le Nivernais, issu du CFA de Marzy près de Nevers, Scott BENIGAUD qui aura su tirer les marrons du feu. Il devient lauréat régional de cette cinquante-et-unième édition et futur représentant de la Bourgogne Franche-Comté aux finales nationales de la discipline, concoctées dans le cadre prestigieux du Salon international de l’Agriculture, porte de Versailles à Paris. Cela méritait bien quelques vigoureuses accolades à l’issue de la remise des prix à laquelle participaient les responsables du CIFA, Michel TONNELLIER, son président et Marcel FONTBONNE, son directeur.

 

Thierry BRET

 


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