Spécialisée dans la pose de canalisations électriques et numériques, qu’elles soient sous-terraines et aériennes, la société de travaux publics de Saint-Florentin diversifie ses activités. Un mode opératoire qu’elle va intensifier au cours de ces trois prochaines années, pour faire face à la baisse conséquente de la commande publique dont elle était trop dépendante. Une perspective encourageante selon son dirigeant, Eric CHARTON, qui ambitionne de s’entourer de nouvelles compétences professionnelles pour parvenir à ses desseins. Une vingtaine de postes, au profil qualifié, devraient renforcer les effectifs des quatre centres d’activité d’ici le terme de l’année…
SAINT-FLORENTIN : Le changement de tactique devrait s’avérer payant pour DRTP, la PME positionnée dans le domaine des travaux publics. Grâce à la diversification de ses activités et l’ouverture vers la multi-clientèle dont le secteur privé, la structure contournera la récurrente problématique inhérente à la restriction de la commande publique. A laquelle l’entreprise était un peu trop liée depuis plusieurs années, de l’aveu de son responsable, Eric CHARTON.
Conséquence immédiate de ce choix stratégique novateur : l’entité de Saint-Florentin recrute. Afin de pourvoir ses quatre centres de profit des personnels idoines en matière de compétences professionnelles, pouvant répondre aux besoins spécifiques. Ces centres sont implantés dans l’Ain, le Loiret, la Marne et l’Yonne.
Un chiffre est d’ores et déjà annoncé par le dirigeant de la PME ; une vingtaine de postes devraient être créés d’ici la fin de l’année. Quant au profil type, il vise à s’adjoindre le bénéfice de personnes diplômées, ayant parmi leurs appétences, outre leur motivation et qualification, le désir de manager des équipes. Ce personnel d’encadrement de chantier comprendra des techniciens supérieurs issus des écoles spécialisées dans les travaux publics.
S’appuyer sur les bienfaits de l’alternance…
Toutefois, la recherche de ces personnels qualifiés s’avère toujours complexe. Il est, en effet, très difficile aujourd’hui pour les entrepreneurs des travaux publics de pouvoir se doter de cette main d’œuvre indispensable à leur épanouissement. L’un des objectifs de l’entreprise est aussi le développement de la formation.
Son rayonnement national lui impose de répondre avec efficience et spontanéité à la complémentarité des équipes qui interviennent selon la typologie des chantiers.
Ainsi, l’apport de l’alternance, au niveau de l’accueil des apprentis, s’inscrit parmi les sages résolutions mise en exergue avec les besoins de la structure. Quant à la féminisation, elle gagne peu à peu du terrain.
De 5 à 10 % de l’effectif de la société proviennent de l’apprentissage. C’est le fruit de conventions formalisées avec les centres pédagogiques de Châtillon-sur-Seine et des écoles techniques qui préparent aux métiers des travaux publics (IUT Génie civil à Auxerre ou à Troyes). La démarche est similaire avec le CIFA de l’Yonne, via son atelier de mécanique et assistant PMI.
Réalisant un chiffre d’affaires annuel de vingt millions d’euros, DRTP entame donc la nouvelle année avec de sérieuses ambitions pour conquérir les marchés publics et privés. La PME emploie plus d’une centaine de collaborateurs.
A titre personnel comme au plan politique où elle représentait le député Guillaume LARRIVE, lui-même mobilisé Place de la République à Paris, la vice-présidente du Conseil départemental de l’Yonne et élue de Puisaye-Forterre ne pouvait se soustraire à ce rassemblement citoyen, mobilisateur à Auxerre. Avocate de formation, Isabelle FROMENT-MEURICE qui avait déjà pris fait et cause dans la lutte contre les violences faites aux femmes souhaite que les réseaux sociaux soient davantage encadrés. Sans tomber dans les travers de la censure. Et surtout, que nos concitoyens ne cèdent pas à la peur…
AUXERRE : Prendre part à cet appel à l’union contre l’antisémitisme et les actes discriminatoires représentait beaucoup pour vous en votre qualité d’élue ?
C’était tout bonnement indispensable à mes yeux ! Le président dans l’Yonne de notre mouvement, le député Guillaume LARRIVE était lui, Place de la République à Paris : il m’appartenait donc, en qualité de secrétaire départementale Les Républicains, de représenter notre formation politique. J’y serai allée de toutes façons, car je condamne ces actes antisémites et discriminatoires qui portent atteinte à la République dont nous sommes, nous, les élus, les représentants au sein de nos collectivités respectives.
Et sur le plan personnel ?
Une évidence ! Petite-fille de compagnon de la Libération, avec de surcroît une mère qui a été collaboratrice de Simone VEIL pendant des années au Ministère de la Santé, et justement parce que élue, il est de mon devoir d’assumer mes opinions. Je ne pouvais envisager de rester les bras croisés, sans exprimer publiquement mon indignation et mon soutien à toutes les victimes de ces actes.
Comment analysez-vous cette poussée de violence et de xénophobie qui se banalise depuis plusieurs semaines dans l’hexagone ?
Le sentiment de délaissement d’une partie de la population. Celle qui peuple la France rurale, loin des métropoles et de leur rythme tourbillonnant. Celle victime de la « fracture territoriale » ou rurale comme l’appelle et l’analyse très justement le géographe Christophe GUILLY, s’est exprimé avec les « Gilets jaunes ». Du moins dans l’essence de ce mouvement, avant qu’il ne soit peu à peu dévoyé par ce que j’appelle les « anti-tout » : anti-élite, anti-élus, anti-journalistes, anti-taxes, qui tapent sur tout ce qui dépasse, tout ce qui réussit et qui attribuent la difficulté du quotidien aux complots mondiaux libéraux et antisociaux…Bref, la vanne s’est ouverte. Et avec elle, toutes sortes de débordements, que certains utilisent, sciemment, pour semer ce climat de violence et de xénophobie.
Légiférer davantage est une chose sur laquelle le Gouvernement souhaite s’atteler plus implicitement ces jours-ci ; en votre qualité de juriste, quelles seraient les parades idéales, selon vous, pour réduire ces intentions malveillantes à l’égard des populations victimes de ces actes odieux ?
L’arsenal législatif est principalement celui mis en place dans le cadre du code pénal et de la loi sur la presse. Cet arsenal permet déjà de poursuivre les auteurs d’incitation à la haine raciale, de harcèlement, d’atteintes au respect dû aux morts (pour la profanation des tombes du cimetière juif de Quatzheinem par exemple), ceux qui enregistrent filment et diffusent des images de violence etc… Mais, cet arsenal ne s’est pas encore adapté aux nouveaux moyens employés par ces auteurs, notamment dès lors que tout cela se fait par les réseaux sociaux… Il faut absolument encadrer la responsabilité des hébergeurs de ces réseaux sociaux, ce qui est un exercice délicat car il ne faut pas non plus tomber dans les travers de la censure…
Adapter l’arsenal législatif est donc une nécessité. Mais, il est également indispensable que les victimes de ces actes portent plainte. Or par essence, les « minorités silencieuses », surtout quand elles portent encore dans leurs chairs les stigmates du passé, souhaitent avant tout se fondre dans la majorité, et ne pas attirer l’attention sur elles. Et le plus souvent, elles se cachent, honteuses alors que ce sont les auteurs de ces actes qui devraient être honteux.
On a connu la même chose avec les femmes battues, harcelées, violées. Depuis l’affaire WEINSTEIN et le #denoncetonporc, elles sont sorties de l’ombre et ont porté plainte. Je souhaite qu’il en soit de même pour les victimes d’actes d’antisémitisme et plus généralement des victimes d’actes d’incitation à la haine raciale : qu’elles soient encouragées à porter plainte systématiquement, qu’elles soient entendues, écoutées par les forces de police et de gendarmerie quand elles auront le courage de porter plainte, et que, du coup, la justice se saisisse et poursuive les auteurs systématiquement. La honte doit changer de camp !
La France Insoumise et le Rassemblement national n’ont pas été invités de manière officielle par le Parti socialiste, à l’initiative de ce grand rassemblement national, à manifester sa désapprobation contre l’antisémitisme. Est-ce franchement républicain dans l’esprit ?
Rien ne les empêchait de se joindre à ce Rassemblement national, la place était ouverte à tous, personne n’a, que je sache, montré la carte de son parti pour entrer ?
Vous êtes une élue de Puisaye-Forterre. Avez-vous eu vent de phénomènes antisémites sur cette contrée icaunaise ? Craignez-vous des effets boule de neige dans l’Yonne devant l’amplification de ces actes, savamment relayés par les médias ?
Je n’ai pas eu vent d’un acte de ce type en Puisaye. Mais, la Puisaye n’abrite à ma connaissance ni cimetière juif, ni synagogue… En revanche, un maire s’est fait très violement attaquer, parce qu’il représentait l’autorité, la République, (le maire de Saint-Privé, Jean-François BOISARD), et à l’heure des réseaux sociaux, personne n’est à l’abri.
Vous développez des permanences qui favorisent les échanges et la concertation dans plusieurs localités de Puisaye-Forterre. Prendre le temps de rencontrer les citoyens est-il le moyen de renouer les liens avec la population et de résoudre les problématiques de la société ?
Je n’ai pas la prétention à moi toute seule de résoudre les problématiques de la société ! (rires). J’ai juste constaté que quand on était conseiller départemental de cantons qui sont maintenant assez étendus (24 communes en ce qui me concerne), il était difficile de rester un élu de proximité en recevant les personnes qui le souhaitent dans un bureau anonyme du Conseil départemental à quarante, voire cinquante kilomètres de là. Donc, j’ai souhaité rester à l’écoute, et si possible apporter quelques solutions en ouvrant une permanence à Toucy. Mais, également en en tenant une à Saint-Fargeau et une à Bléneau… Cela me permet de rester à l’écoute, et d’essayer, très modestement, d’apporter des solutions.
Est-ce que la France de 2019 vous fait peur en l’état actuel des choses ?
Avoir peur, c’est déjà se placer dans un état de résignation, et je ne crois pas que cela soit dans mon caractère. Prendre conscience de l’état de la France, écouter, comprendre et travailler chaque jour à essayer d’apporter des solutions, tel est mon état d’esprit...
Une douzaine de stands itinérants se promènent à travers la France jusqu’au 15 mars, date butoir qui marque le terme du Grand Débat national voulu par la présidence de la République. Depuis le 18 février, une centaine de villes bénéficient de la visite de ce point de convergence, propice à la collecte des idées et de la récolte des préconisations. Ce stand de proximité a fait étape à Auxerre, deux jours durant, où il a été accueilli par le préfet de l’Yonne, Patrice LATRON, et Françoise FUGIER, secrétaire générale de la préfecture et sous-préfète d’Auxerre. Cette dernière est aussi la référente « Grand Débat national » pour l’Yonne…
AUXERRE : Installé sur un point névralgique de la ville, le stand de proximité « Grand Débat national » avait pour objectif de collecter la parole citoyenne de personnes qui souhaitaient contribuer à la consultation nationale dont Emmanuel MACRON s’est fait le garant.
Tenu par des étudiants ou des juniors entreprises, sur la simple base du volontariat, le concept, mobile, s’est donc posé 48 heures dans la capitale de l’Yonne. Occupant ainsi la cour centrale de La Poste.
C’est à cet endroit, précisément, que le préfet de l’Yonne, Patrice LATRON, accompagné de la référente départementale « Grand Débat », la secrétaire générale de la préfecture, Françoise FUGIER, leur ont rendu une visite de courtoisie, placée sous le sceau de la découverte et de l’encouragement.
Collectées, ces contributions feront ensuite l’objet d’une numérisation avant d’être analysées par des logiciels spécifiques faisant appel à l’intelligence artificielle. Conséquence : les résultats déboucheront sur des analyses globales nettement plus abouties, permettant in fine de produire des synthèses très précises.
A ce jour, l’Yonne a déjà été le théâtre d’une quarantaine de rendez-vous publics. Beaucoup de participants sont issus des milieux de retraités, de mouvements associatifs, institutionnels et politiques.
La mise en harmonie de ces différentes rencontres à l’échelle départementale a été le fruit du travail de Françoise FUGIER et des services de la préfecture.
Un dossier sur quatre déposé auprès des services de la Banque de France sur le territoire de l’Yonne est la résultante d’une difficulté immobilière. Ce phénomène va en s’amplifiant d’année en année et concerne le plus souvent de jeunes ménages qui ne peuvent plus faire face à leurs remboursements de crédit, contractés sur plusieurs années. Malgré un coût du logement moindre que l’Ile de France, l’endettement immobilier demeure très élevé dans notre département (45,1 %) et se situe bien au-delà du taux observé pour le reste de la Bourgogne Franche-Comté (38,6 %).
AUXERRE : Comment expliquer de tels écarts avec les autres départements de la région Bourgogne Franche-Comté ? Les chiffres à leur lecture parlent d’eux-mêmes. En matière de surendettement, l’Yonne affiche un zéro pointé pour ce qui est du dossier de l’accès à la propriété.
Cibles visées : les néo-propriétaires. De jeunes couples qui se saignent les veines pour honorer les échéances mensuelles de leurs prêts, venant grever de manière automatique leur budget.
A titre comparatif avec l’ensemble des départements de la région, le différentiel se creuse. Soit un écart de 6,5 % en défaveur du département le plus septentrional de la contrée.
De multiples causes peuvent amener à ces situations complexes à gérer. La perte d’un emploi, la mobilité qui engendre des frais supplémentaires, la recomposition familiale, la baisse du pouvoir d’achat.
Le chômage, à titre d’exemple, régresse quelque peu sur notre secteur. Toutefois, il touche encore 8,3 % de la population. Alors que la statistique n’excède pas 7,7 % à l’échelle régionale.
Un état de fait imputable à de multiples facteurs…
Faudrait-il rechercher les origines de la problématique dans la faiblesse des salaires versés dans notre département et au niveau de qualification professionnelle alors que le nombre d’allocataires bénéficiant du RSA (5,3 %) se positionne là aussi au-delà de la moyenne de la Bourgogne Franche-Comté (4 %) ?
Ce n’est pas pour rien que l’Yonne possède l’un des taux de surendettement les plus élevés de France. Même si la tendance est baissière pour la sixième année consécutive. Une observation qui impacte aussi l’Yonne et ses 1 350 personnes concernées.
Sociologiquement, l’Yonne ne brille pas au niveau de la réduction de son taux de pauvreté et de l’illettrisme, enregistrant des seuils importants (14,6 % de la population), tandis que les données régionales se stabilisent à 13,2 %.
Elément inquiétant à ajouter au dossier : plus de 50 % de ces personnes en situation précaire ne touchent guère que le SMIC en termes de revenus, voire ne disposent pas des capacités financières suffisantes pour honorer leurs remboursements d’emprunts.
Reste le paramètre du coût de la mobilité et des transports. Un facteur aggravant depuis la hausse inexorable du prix des carburants observée au cours de ces dernières semaines.
On le voit, et même si la situation ne s’aggrave pas dans l’Yonne, de nombreux sujets de préoccupation persistent encore selon les rapports officiels de la Banque de France. Le dernier en date se destine aux retraités dont la vie quotidienne se dégrade et qui intègrent dorénavant les paramètres de surveillance de la vénérable institution.
Instaurés depuis 2006, les Prix Initiatives Associations ont pour vocation de récompenser chaque année deux structures lauréates par département. Qu’elles soient clientes ou non de l’établissement bancaire, ils illustrent les actions prises dans le domaine de la solidarité, l’éducation, l’environnement, le sport amateur, la culture et le patrimoine. Toutefois avec un sérieux bémol à la clé qui peut s’avérer rédhibitoire s’il n’est pas respecté scrupuleusement : la réalisation, le lancement et le développement du projet devront se concevoir dans le département ad hoc. Dans l’Yonne, L’Escargot Noir qui promeut le premier salon de la littérature policière à Sens et l’Association Musiques et Spectacles, facilitatrice à l’éveil musical et choral, ont obtenu les suffrages d’un jury de professionnels…
AUXERRE : Portés par la Fondation d’entreprise Bourgogne Franche-Comté Solidarité, appareil inhérent à la Banque Populaire régionale, les Prix Initiatives Associations offrent chaque année l’heureuse opportunité à des structures associatives de pouvoir se distinguer pour leur travail et leur sens de l’abnégation.
En partenariat avec la CASDEN, l’organisme financier soutient les actions locales de ces entités qui font œuvre de citoyenneté et de prosélytisme dans leur environnement.
En recrutant de nouveaux membres motivés, par exemple, au sein de ces outils régis par la loi de 1901. En déclinant, aussi, des opérations sociétales que l’on peut qualifier de capitales dans des domaines aussi éclectiques que fonctionnels que sont la pratique du sport amateur, de la culture, du patrimoine, de l’environnement, de la solidarité ou encore de l’éducation.
Des items forts qui intègrent précisément les pôles référentiels du jury, soucieux de peser le pour et le contre avant de décerner les précieux sésames, pouvant expédier l’heureux bénéficiaire du challenge un cran au-dessus. C’est-à-dire à l’échelle régionale pour y disputer la grande finale.
Un empilement de gains et d’euros supplémentaires…
Dix-huit lauréats, in fine, profiteront de la bonne grâce de ce défi, où l’originalité, mais également la pertinence du projet, suscite de l’intérêt parmi les membres du jury. L’Ain, la Côte d’Or, le Doubs, la Haute-Saône, le Jura, la Nièvre, la Saône-et-Loire, le Territoire de Belfort et l’Yonne, soit les neuf départements formant l’identité géographique de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté et du Pays de l’Ain.
Côté prix, les lauréats se voient remettre une récompense financière de mille euros. Une manne quasi providentielle qui peut représenter un sacré coup de pouce pour le développement de l’action mise en exergue.
Sachant qu’après coup, pour les lauréats, qu’il est toujours envisageable de concourir au niveau régional. Et de gonfler ses gains en obtenant pour les vainqueurs, trois mille euros supplémentaires !
Enfin, pour être tout à fait complet sur le processus de ce challenge, les sociétaires de la Banque Populaire régionale peuvent désigner le Prix Coup de Cœur parmi les trois derniers prix. Soit un subside complémentaire de trois mille euros pour le gagnant de ce super jackpot !
Encore une étape avant de toucher le gros lot régional…
La désignation des deux lauréats de l’Yonne représentait donc une grande première pour le nouveau directeur régional, en charge du développement de l’Yonne, Yann NUNES. Une vingtaine de dossiers de candidature avait été sélectionnée pour cette édition 2019. La plupart instruits par les conseillers commerciaux des agences de la banque.
Bénéficiant d’une cote d’amour sans équivalence de la part du jury, la candidature de l’Escargot Noir vira largement en tête à l’issue de la présentation de l’ensemble des prétendants.
Créée en 2018, la structure promeut la littérature policière sur le Sénonais. Un projet de salon où seraient accueillis plus de trente auteurs de polars se préfigure à l’horizon du mois de mai.
Son dauphin, l’Association Musiques et Spectacles obtint une méritoire deuxième place, qualificative elle-aussi pour la finale régionale prévue le 10 avril à Nevers, lors de l’assemblée générale des sociétaires.
Le projet de création d’une chorale interrégionale de 120 enfants a semble-t-il titillé la fibre artistique de plusieurs jurés, sensibles à la dimension culturelle de cette initiative.
Si les remises de ces deux prix s’effectueront courant mars, les deux heureux récipiendaires n’en ont donc pas fini avec le concours. Place à la finale régionale et à la possibilité de glaner le gros lot !