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Aux côtés de ses sept collaborateurs qui officient dans l’un des points de vente du leader de l’optique et de l’audioprothèse en France, la gérante de la vitrine commerciale auxerroise se félicite de cette initiative judicieuse qui unit son enseigne à la destinée de la start-up de Nice, créatrice de ce système de lunettes connectées au service de l’automobiliste. Son commerce a même présenté de la plus belle des manières le lancement de la gamme « PRUDENSEE » au moment du passage dans l’Yonne du fameux Tour Auto OPTIC 2000…

AUXERRE : On s’en souvient, les 240 bolides datant des années 70 et 80 embarqués dans la folle aventure de ce rallye auto national avaient fait une halte exceptionnelle dans l’Yonne, une visite sportive qui coïncidait avec la présentation en avant-première de la nouvelle ligne de lunettes connectées « PRUDENSEE » (cf : voir les différents articles à ce sujet).

A cette occasion, l’équipe de professionnels de santé du magasin OPTIC 2000 d’Auxerre avait tout à loisir apporté un sens pratique et esthétique au décorum de leur boutique, immortalisant ce rendez-vous avec les prouesses techniques des pilotes et des…concepteurs de cette monture électronique dont bon nombre de médias évoquent désormais l’existence.

Implantée galerie des Clairions, la vitrine accueillit les dessins réalisés par les jeunes élèves des classes de maternelle et de primaire de l’école de VENOY (commune étape du rallye) tout en présentant les éléments marketing vantant les qualités inexpugnables du nouvel objet vedette.

Mieux, l’opticienne de l’enseigne OPTIC 2000 à Auxerre, Frédérique LECOMTE, se chargea même de concocter une mini-conférence démonstrative en invitant une dizaine de chefs d’entreprise de la région. Conviés à venir découvrir ce nouveau processus d’intelligence numérisée au service de l’automobiliste, les entrepreneurs eurent la possibilité, non pas d’essayer en séance réelle le précieux instrument à bord d’un véhicule, mais de pouvoir le soupeser, d’en apprécier les argumentaires technologiques et in fine de le poser sur leur nez.

Rappelant que la somnolence était la cause de nombreux accidents sur les routes et autoroutes françaises, Frédérique LECOMTE expliqua dans le détail le parcours ayant mené les deux structures, OPTIC 2000 et ELLCIE HEATHLY, à concevoir cet outil.

« Je suis très fière d’assurer la promotion de ce bijou de l’électronique servant l’intérêt de la prévention routière, devait-elle commenter à l’issue de sa présentation, j’ai hâte maintenant de voir la réaction du grand public face à ce nouveau produit… ».

Commercialisées depuis la mi-mai, dans les mille deux cents points de vente du réseau en France, les lunettes de la gamme « PRUDENSEE », primées lors du salon des nouvelles technologies de Las Vegas 2018, connaîtront-elles l’engouement auprès des consommateurs de l’Hexagone ?


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Elaborée par la start-up française, ELLCIE HAETHLY, la monture électronique et intelligente « PRUDENSEE » a reçu le Prix de l’Innovation 2018, un accessit décerné par la délégation de la Sécurité Routière qui a placé sous le feu des projecteurs médiatiques cet objet révolutionnaire, salué dans la catégorie des équipements de prévention routière. La trouvaille, digne du vingt-et-unième siècle, permet d’alerter le conducteur automobile au moindre coup de fatigue qui se traduirait par un endormissement derrière le volant. Commercialisées par le leader national dans le domaine de l’optique et de l’audioprothèse, OPTIC 2000 a mobilisé son réseau de près de 1 200 points de vente pour assurer la promotion de ces lunettes connectées originales…

AUXERRE : Les statistiques parlent d’elles-mêmes. 80 % des détenteurs du permis de conduire arborent des lunettes au quotidien. Et, quand on sait, via des études approfondies destinées à alimenter les pôles de R&D de la Fondation VINCI Autoroutes, qu’un adulte sur cinq est sujet à la somnolence diurne au volant, les spécialistes de la prévention routière en France sont en droit de s’inquiéter des risques encourus. D’autant que 63 % des actifs prennent la route pour se rendre à leur travail tôt le matin, en se sentant déjà passablement fatigués…

Serait-ce les fondements de ces intéressantes analyses qui ont poussé les représentants de l’ingénierie de l’enseigne OPTIC 2000 à collaborer étroitement avec la start-up niçoise, ELLCIE HEATHLY, afin de réfléchir à des préconisations ? Peut-être !

Toujours est-il que les deux partenaires ont optimisé leur envie de rapprochement ; cela s’est concrétisé par la conception et la fabrication de cette monture connectée originale, dévoilée à la Terre entière lors du dernier CES de Las Vegas en janvier.

Une avancée importante pour la sécurité des usagers de la route…

Munies de capteurs électroniques, les montures de la paire de lunette du conducteur sont sous haute surveillance. A la moindre perception tangible d’un assoupissement (clignements des paupières accentuées, micro-chutes de la tête, bâillements, température et lumière ambiantes favorisant la somnolence…), l’alerte est irrémédiablement donnée. Un signal sonore s’active et un message est ensuite relayé vers le smartphone de l’automobiliste. Mais, ce n’est pas tout. Des leds, intégrés dans les branches de la monture, créent une intensité lumineuse !

Un mode d’alerte partagée existe dans l’application à l’usage de cette technologie embarquée : conséquence, les passagers peuvent être avertis à leur tour de l’imminence du danger en cas d’inattention du conducteur.

La société de Philippe PEYRAD (ELLCIE HEATHTLY) a procédé à deux longues années de recherche afin de pouvoir développer le concept. Une quinzaine de capteurs ont ainsi été incorporés dans la monture de cette lunette à la James Bond, permettant ainsi de déterminer tous les critères d’un futur endormissement de ses possesseurs. Le système est très élaboré puisqu’une tierce personne qui n’est pas à bord du véhicule peut recevoir un message d’alerte par l’intermédiaire d’un contrat validé auprès de la compagnie EUROP ASSISTANCE.

Le réseau OPTIC 2000 se mobile depuis la mi-mai pour la commercialisation…

Dès la mi-mai, plus de 12 000 spécimens ont été lancés sur le marché afin d’être écoulés à travers l’Hexagone par le biais du réseau de points de vente du spécialiste de l’optique. La ligne « PRUDENSEE » se décline en sept modèles et quatre formes distinctes, certifiées d’origine française.

Ultra légère (moins de 20 grammes), elle offre une compatibilité avec tous les types de verres correcteurs et elle se recharge en près de deux heures, grâce à un câble d’alimentation aimanté sur la branche de la monture. Son autonomie est équivalente à une journée…

Les ingénieurs de la start-up localisée à Nice travaillent déjà à l’évolution de cette lunette du XXIème siècle. La géolocalisation deviendrait une facette potentielle à l’utilisation de ce produit exceptionnel. Dans un autre registre que celui de l’automobile, plutôt sanitaire, la prévention des chutes des personnes âgées offrirait une variante appréciable à la pérennité et au développement de ce concept.

Bénéficiant des remboursements au titre de la sécurité sociale et des mutuelles, le produit connecté se fabrique à Soissons dans l’Aisne. Le coût s’établit aux alentours de 340 euros avec un forfait vision simple, verres anti reflet et anti éblouissement.


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Le traitement de surfaces par l’emploi d’ultrasons offre de multiples opportunités techniques avantageuses pour ses bénéficiaires industriels en matière de nettoyage et de décapage. En conviant le dirigeant de la société TIERRA TECH, concepteur de machines de nettoyage par ultrasons à venir s’exprimer devant un parterre d’une cinquantaine de chef d’entreprise et de décideurs institutionnels de l’Yonne, le collectif défiSON, à la tête d’un programme de développement économique hors pair en faveur de la filière sonore, acoustique et vibratoire à l’échelle du territoire régional, a rempli l’une de ses principales missions : apporter de l’information pragmatique au plus près des acteurs de l’économie…

SENS : Attentifs aux explications liminaires de Serge GARCIA, responsable du mouvement collectif défiSON, de nombreux acteurs des milieux économiques, la plupart issus du secteur industriel de notre territoire, ont pris plaisir à écouter avec réelle appétence les arguments favorables à l’emploi des ultrasons en matière de nettoyage et de décapage.

De surcroît, de nombreux secteurs d’activités étaient concernés par la thématique, plutôt technique au demeurant, de cette causerie à laquelle se prêtait fort bien au jeu du questionnement le dirigeant de la société TIERRA TECH, Rudy BADEY.

Qu’il s’agisse des industries aéronautiques, graphiques, plastiques, énergétiques, alimentaires, pharmaceutiques, électroniques, automobiles, voire agricoles ; tous les participants de ce second rendez-vous d’un cycle de trois conférences déclinées par défiSON dans le nord du département trouvaient chaussure à leur pied tant le sujet couvrait cet ensemble de possibilités.

Un programme éclectique d’ici la fin de l’année…

On y a parlé de décapage, de décalaminage, de dégraissage, de nettoyage, de galvanoplastie, d’usinage, de décolletage, de maintenance industrielle (voire l’article consacré à ce sujet par ailleurs…).

Plusieurs partenaires de défiSON apportaient leur concours à la réalisation de cet événement : la Communauté d’agglomérations du Grand Sénonais, la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, l’Union des industries et des métiers de la métallurgie de l’Yonne, ainsi que les clubs d’entreprises BUSINESS SENS et le GIRS, à l’instar de la plateforme technologique O3PI de l’Université de Bourgogne.

Comme le signala Clarisse QUENTIN, élue de la Communauté d’agglomérations du Grand Sénonais, « nous soutenons avec enthousiasme les projets à vocation économique proposés par défiSON… ».

Valoriser les filières du son et du vibratoire en créant un pôle référent unique en France depuis l’Yonne représente l’un des actes fondamentaux de la structure qui a été créée par Serge GARCIA en 2013.

En mars, la structure et son responsable se sont illustrés au Congrès français d’acoustique au Havre, grâce à un stand, et en nouant des liens avec de nombreux spécialistes de la filière et des laboratoires.

Le 07 juin prochain, le troisième épisode de ce cycle aux multiples facettes sera consacré à la réalité virtuelle sonore et la modélisation acoustique. Il se déroulera comme à l’accoutumée dans la grande salle du Village d’entreprises de Sens. Ensuite, les adhérents du collectif (une cinquantaine d’entreprises à ce jour) auront l’opportunité de visiter un laboratoire le 03 juillet. En août sera proposée la découverte des installations sonores de Lannion et du Trégor en Bretagne. Un excellent préambule avant les Rencontres numériques, électroniques et sonores, organisées à Sens les 03 et 04 octobre avec le partenariat d’ACSIEL : le gros événementiel de cette fin d’année dans l’Yonne.


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Une récente intervention tripartite, proposée à Auxerre par le Conseil départemental de l’Yonne, et ouverte aux représentants de la Région et aux présidents des EPCI (Etablissements publics de coopération intercommunale), s’est achevée sur un constat évident, partagé par l’ensemble des participants. En matière d’optimisation de la santé et du déploiement du numérique sur notre territoire, une indispensable coordination des opérations menées par les différents acteurs institutionnels dont la Région Bourgogne Franche-Comté s’avère aujourd’hui nécessaire dans l’intérêt général.

AUXERRE : Sujets prioritaires inhérents au domaine de compétence du Conseil départemental, la santé via l’amélioration des offres de soins et le renforcement du numérique sur notre contrée ont fait l’objet d’une concertation passionnante lors de cette réunion, qui aura permis aux responsables des EPCI de l’Yonne de pouvoir s’entretenir avec le président de l’exécutif territorial, Patrick GENDRAUD.

Régulièrement, ces échanges distillés entre les deux organes institutionnels du département nourrissent bon nombre de réflexions constructives, orientées vers un intérêt commun : celui de faire progresser le territoire icaunais.  

Ainsi, et de concert, les présidents du Département, Patrick GENDRAUD, et Mahfoud AOMAR, au nom des EPCI, devaient à l’issue de cette rencontre tenir une conférence de presse, afin d’analyser les premiers éléments décisionnaires pris au terme de cette séance de travail explicative à laquelle prenaient part les membres d’une petite délégation du Conseil régional.

Le Département et les EPCI sur la même ligne…

En préambule de cette phase analytique, Patrick GENDRAUD insista sur le besoin stratégique de créer des passerelles significatives avec la Région. « Cela nous permet de glaner de l’information et de posséder une vision claire et actualisée sur les dossiers en cours menés sur chaque territoire… ».

Adepte du vieil adage bien connu où il s’avère que «  l’union fait la force », l’élu du Conseil départemental s’est félicité de ces échanges fructueux, favorisant l’efficience dans la gestion des dossiers.

Ceux-ci étaient de taille en guise de fil rouge de cette rencontre : la santé et le numérique, deux thèmes qui suscitent parfois moult commentaires de l’opinion publique et des médias.

D’une même voix, les deux interlocuteurs ont fait part de leurs ressentis sur le rejet catégorique du PRS, le fameux « Programme régional de santé », préconisé par l’Agence régionale de Santé. Une feuille de route balayée vers la négative par le vote quasi unanime des conseillers départementaux en avril ; et soutenu dans une optique similaire de ce mécontentement par l’ensemble des maires et élus de l’Yonne.

« Nous souhaitons maintenir un véritable équilibre des besoins sur le département, devait préciser Patrick GENDRAUD, en coordonnant ces différentes mesures dans le cadre d’un vrai maillage territorial afin d’éviter les zones désertiques… ».

Saluant le travail effectué en étroite osmose avec le docteur CHARDON, le président de l’exécutif icaunais rappela que depuis 2003, vingt-cinq dossiers de création ou d’extension de Maisons de santé pluri-professionnelles (MSP) avaient été conduits et financés par le Conseil départemental. A cela, il est nécessaire de rajouter des cabinets médicaux, des maisons médicales, des centres de santé mais aussi des structures de soins primaires. Le tout grâce à une enveloppe de 2,7 millions d’euros.

L’Yonne, département précurseur dans la recherche de jeunes médecins…

Autre statistique intéressante : l’Yonne a bénéficié de neuf nouvelles installations de généralistes afin de lutter efficacement contre les nuisances imputables à la désertification médicale. D’ailleurs, une dizaine de contrats établis avec de jeunes médecins pourraient se transformer de manière positive d’ici peu.

« Toutefois, commenta le président des EPCI, Mahfoud AOMAR, pour régler de manière efficace les problématiques observées aujourd’hui dans le domaine de la santé, il n’existe pas d’autres solutions que de légiférer. C’est au niveau de la chambre de l’Assemblée nationale que les décisions doivent être prises… ».

Et Patrick GENDRAUD de renchérir et d’abonder dans le sens de son voisin : « il faut un vrai courage politique dans cette histoire. Il ne faut pas que des mots. On a demandé au gouvernement de prendre des mesures législatives pour imposer à des jeunes médecins de s’installer dans des zones de carence… ».

L’Yonne fait figure de département précurseur dans la méthodologie de « recrutement » des jeunes praticiens. Des bourses destinées au cycle d’étude des internes ont été versées. Idem à l’installation avec la signature d’une convention de présence les engageant sur notre territoire pour une durée minimale de cinq ans. Quant aux déplacements sur les salons professionnels qu’il s’agisse de ceux organisés à Paris ou à Valence, afin de faire du prosélytisme territorial auprès des médecins, ils se sont multipliés pour les représentants du Conseil.

Parfois, les jeunes praticiens s’en amusent et procèdent à la pratique du marchandage mercantile, à la façon de « mercenaires » qui se vendent aux plus offrants. Des attitudes peu civiques et amorales que déplorent les deux élus de l’Yonne. Car, pendant ce temps-là, les zones rurales de la Bourgogne septentrionale manquent cruellement de représentants ayant choisi de prêter le serment d’Hippocrate…

Reste, en substance, l’éternel problème de l’attractivité économique du territoire, surtout dans les zones rurales, où il sera obligatoire de trouver des solutions appréciables en termes d’emploi pour répondre aux besoins d’un conjoint mais aussi d’une quête culturelle et éducative.

La gestion du volet numérique suppose l’emploi de moyens complémentaires…  

Soumis aux diverses et récurrentes contraintes budgétaires mais aussi face aux difficultés d’approvisionnement de la fibre, le volet numérique doit lui aussi supposer le développement de moyens complémentaires afin d’accélérer sa progression territoriale.

Mais, concède le président GENDRAUD, « on sait aussi qu’il y a un certain nombre d’endroits de notre cadre géographique où le numérique n’arrivera pas tout de suite… ». Même si le credo des structures institutionnelles est d’être là pour apporter de vrais services publics aux habitants.

L’idée de constituer un guichet unique avec les élus du département mais aussi ceux de la Région et les représentants des EPCI est dans l’air du temps. Chacun pouvant alors bénéficier d’une vision précise de la situation réelle de ce dossier sans qu’il n’y ait d’interférences et de superpositions.

Concrètement, Patrick GENDRAUD et Mahfoud AOMAR proposent que dans un délai de deux mois, chaque territoire soit en mesure d’obtenir des informations précises sur l’état des lieux de ces différentes étapes conduisant à l’extension des possibilités numériques dans l’Yonne. Une cartographie d’une exactitude affinée permettra de répertorier l’ensemble des pylônes déjà posés par la Région. D’où un gain de temps considérable pour que les communes puissent, ensuite, intervenir dans leur schéma d’équipement de ce besoin nécessaire à la population mais aussi aux forces vives de l’économie.

A ce jour, onze pylônes ont été déployés par la Bourgogne Franche-Comté sur notre territoire ; huit autres infrastructures seront à construire prochainement. Ces appareillages facilitant la pose d’antenne 4G pour arroser un rayon d’action d’une vingtaine de kilomètres à la ronde.

L’union sacrée qui se profile désormais entre la Région, le Département et les EPCI (ex-communautés de communes) devrait être bénéfique pour les Icaunais à brève échéance dans la gestion positive de ces sujets assez délicats. Personne ne s’en plaindra, naturellement…


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A grand renfort de messages digitalisés et de campagnes d’e-mailings destinés aux courtiers et autres assurés sociaux, l’existence du contrat d’assurance santé « KOVERS », initié par l’association Santé Cœur de Puisaye et commercialisé depuis février 2017 par la start-up d’assurance en ligne  QAPE, commence à faire florès dans l’Hexagone. Ce sont aujourd’hui plus de 1 600 contrats qui ont été ainsi souscrits par un ensemble de personnes représentatives de notre territoire (Ile de France, PACA, Normandie, Nord, Bourgogne Franche-Comté…). Permettant à ces bénéficiaires de pouvoir financer leur complémentaire de santé de manière originale, ce contrat conçu sur mesure offre un service de médecine à distance, assuré par une plateforme de praticiens, agrée par l’Ordre national des médecins : l’Agence régionale de Santé Ile de France, qui fait foi sur la France entière. Objectif avoué de leurs ardents promoteurs pour 2018 : atteindre dix mille abonnements et promouvoir ce fameux contrat, établi à l’aide d’un comparateur…

TOUCY : Orienté vers trois catégories distinctes et représentatives de la société française (les actifs, les retraités et les étudiants), ce nouveau contrat d’assurance santé, bâti sur le principe de la mutualisation, bénéficie à l’échelle du territoire des avantages vertueux de la télémédecine et de l’apport d’outils connectés.

Baptisé « KOVERS », il fait l’objet depuis quelques semaines d’une intense campagne de communication et de marketing auprès des spécialistes professionnels de l’assurance, les courtiers, mais aussi des cibles potentiellement intéressées par cette nouvelle couverture. Parmi les strates catégorielles visées pour en appréhender les principes applicatifs : les individuels actifs et retraités, mais aussi les entrepreneurs, les étudiants, les demandeurs d’emploi et les fonctionnaires.

Le support digitalisé au service de tous…

Il est vrai que les deux structures partenaires qui s’activent conjointement derrière ce concept novateur, l’association « Santé Cœur de Puisaye » et l’entreprise QAPE, pilotée par Kim VU DINH, ancien consultant en transformation numérique en entreprise et Julien MOUCHET, ex-agent général et courtier en assurance, espèrent dépasser la barre des dix mille souscriptions d’ici le terme de l’année. Un challenge ambitieux qui ne devrait pas connaître de réelles difficultés pour aboutir…

Distribué via le prisme de la politique santé des territoires, mais aussi en étroite osmose partenariale avec des professionnels de l’assurance et sur simple souscription digitale directe, consultable sur l’application numérique dédiée, le contrat d’assurance santé « KOVERS » donne accès à un service de pré-diagnostic et au recours à la médecine à distance. L’attrait de ces dispositifs médicaux connectés apporte un confort optimal aux praticiens qui peuvent suivre ainsi l’évolution pathologique de leur patientèle.

Techniquement, l’application digitalisée a pu voir le jour grâce à la collaboration maîtrisée et en parfaite symbiose avec la filiale santé de la société VISIOMED, « BEWELL CONNECT ». L’entité travaillant déjà avec QAPE depuis la création de la société de Toucy, survenue en avril 2016.

Démontrer que l’assurance est aussi une affaire de mutualisation…

Partant d’un simple postulat que l’assurance est une question de mutualisation et de partage, les deux dirigeants de QAPE s’attèlent à construire fin 2016 ce contrat d’assurance de complémentaire santé en utilisant la méthodologie déclinée par un comparateur. Ainsi, les dirigeants de la société, aidés de leur équipe de onze collaborateurs, analyseront plus de 1 200 contrats d’assurance en développant leur propre logiciel. Celui-ci s’appuyant sur un moteur d’intelligence sémantique, développé avec le concours d’un laboratoire du CRNS à Dijon et l’expertise avisée d’un spécialiste de sémantique.

Une fois tamisé, et en passant les garanties actuelles desdits contrats au crible, il aura ensuite suffi de bâtir pas à pas et en le dotant de la meilleure efficience économique possible le futur contrat, défini par le programme « KOVERS ».

Aujourd’hui, c’est une complémentaire de santé qui a fait l’objet de cette création originale, soutenue et encouragée par de nombreux acteurs de l’univers de l’économie et de l’innovation (réseau Entreprendre Bourgogne, BPI France…). Mais, l’avenir semble tout tracé pour QAPE.

La structure devrait démultiplier ce processus vers les autres métiers de l’assurance à brève échéance : la prévoyance, l’automobile, l’habitation, les multirisques professionnels….Tout en se donnant une marge de manœuvre internationale au niveau du Vieux Continent et vers l’Afrique.

Avec, il va de soi de réelles perspectives d’embauches de conseillers techniques et d’ingénieurs pour optimiser le développement de la PME…


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