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Depuis la mi-novembre, les manifestations revendicatives des « Gilets jaunes » marquent les esprits. Ceux de nos concitoyens lambda qui suivent avec plus ou moins d’intérêt ce mouvement qui ne cesse de les questionner. Mais également parmi les décideurs de la sphère économique. Cette dernière en subit les désagréments collatéraux. Observateur attentif des soubresauts de l’actualité, le président de l’UIMM de l’Yonne (Union des industries des métiers de la métallurgie), André BEX, livre ses analyses lors d’un entretien…

AUXERRE : Commentant le bilan d’une année 2018 plus que contrastée à ses yeux, le président de la Chambre syndicale territoriale de la métallurgie de l’Yonne fait montre de lucidité.

« Je sais bien que l’Etat n’est pas une entreprise mais il devra faire lui aussi des économies qui devront se traduire par une baisse sensible des prélèvements… C’est ce qu’attendent les Français mais aussi les entreprises, notamment sur les impôts de production plus importants en France qu’ils le sont dans d’autres pays… ».

Pour le président André BEX, le poids de la fiscalité pèse sur la majeure partie de la population. « Nos dirigeants ont atteint l’extrême limite des prélèvements fiscaux supportables, explique-t-il, c’est le message qu’a voulu faire passer le mouvement des « Gilets jaunes » à la gouvernance depuis novembre ».

Pour autant, l’analyse de l’exercice écoulé ne se révèle pas aussi catastrophique que l’on aurait pu le penser. Même si l’économie a enregistré un net tassement en fin d’année, globalement, les entreprises auront généralement poursuivi leur croissance.

« Mais attention, prévient André BEX avec insistance, le chômage ne régresse pas aussi vite que nous l’avions espéré ! ».

La France est dans une situation incontrôlée…

Catégorique dans ses arguments, le représentant de l’UIMM ne croit pas à la distribution d’aides au revenu pour compenser la faiblesse du pouvoir d’achat. « On voit bien ce que cela a donné dans l’agriculture, lorsqu’une entreprise se réorganise, se restructure, qu’elle réalise des économies, ses prix baissent ou ses résultats s’améliorent. Aujourd’hui, la France est dans une situation incontrôlée. Cela est consécutif à la frustration et à l’exaspération de celles et ceux qui travaillent et qui n’arrivent plus à joindre les deux bouts. A cela, il faut y ajouter le mécontentement des populations de province qui constatent avec amertume le recul, voire la disparition des services publics. Quid, également, du rôle des élus de terrain et des corps intermédiaires et de leurs affaiblissements ? Ils sont encore et toujours les collecteurs de la colère qu’ils savent canaliser et apaiser au travers de la négociation… ».

Quant à la transition énergétique, son application stratégique est devenue à bien des égards incompréhensible pour le président de l’UIMM départementale. « Tout ce qui a été présenté par le gouvernement à propos de ce dossier s’apparente à une forme de punition, où le pouvoir d’achat des Français sera impacté. Cela, couplé à l’arrogance ressentie de certains de nos gouvernants, n’a fait qu’attiser une situation sociale déjà tendue… ».

Des réformes nécessaires pour apporter de la sérénité…

L’avenir, André BEX l’espère dans la pertinence, l’agilité, l’audace. « Il faut saisir toutes les opportunités qui se présentent à nous, déclare-t-il enthousiaste. Même si un amoncellement de nuages obscurcit le ciel de la conjoncture internationale en ce début d’année.

« Nous avons besoin de sérénité, de relations, de compréhension et de confiance pour pouvoir avancer. C’est indispensable face aux enjeux d’avenir de notre pays… ».

Les réformes envisagées par le gouvernement l’interpellent. De prime abord, celles qui concernent l’apprentissage et la formation continue.

« Espérons que ce chantier puisse combler les besoins en main d’œuvre qualifiée qui limitent encore la croissance de nos entreprises, ajoute-t-il, même si ces réformes seront applicatives dans le courant de l’année, je sais que le résultat ne sera pas immédiat. Nous avons accumulé beaucoup trop de retards. Toutefois, les Français semblent être enfin réconciliés avec les filières de l’industrie qui ont été délaissées, voire méprisées durant de longues années… ».

Quant aux réformes envisagées sur les dossiers des retraites et de l’assurance chômage, le responsable de l’UIMM aimerait qu’elles aboutissent dans un climat apaisé. Cependant, il croit que les négociations pourraient prendre plus de temps que celui prévu initialement.

Entre sagesse et optimisme, mais en conservant toute sa clairvoyance sur la conjoncture économique, André BEX espère une amélioration en 2019.

 


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Plus de 426 entreprises commerciales nouvelles ont été enregistrées et immatriculées au cours de l’année 2018. Une note d’optimisme, saluée par le président de la vénérable institution, Pascal BAILLY. Pourtant, ce chiffre ne peut faire oublier les 134 audiences qui se sont déroulées au tribunal de commerce auxerrois. Et malheureusement, les mêmes causes qui ont produit des effets similaires au niveau des entreprises en défaillance. Dont 75 d’entre elles ont dû jeter l’éponge et mettre la clé sous le paillasson…

AUXERRE : Pédagogue, le président du Tribunal de Commerce souhaite l’être davantage. En y associant son équipe dont les deux nouveaux représentants qui viennent d’incorporer l’organisme. Afin d’empêcher que de pareilles mésaventures ne surviennent dans la sphère entrepreneuriale du landerneau auxerrois.

Chaque année, lors des audiences officielles, sont prononcées des décisions irrévocables par ces exégètes du droit et de la règlementation. Celles-ci conduisent le plus souvent vers des redressements judiciaires (au nombre de 38 dossiers pour l’année 2018 dont 50 % se sont vus convertis en liquidation judiciaire). Un préalable qui aura concerné 75 entreprises au terme de l’exercice en cours.

Pourtant, le chiffre correspond à une activité relativement stable si on le compare aux années antérieures. La prise de ces décisions avait fait l’objet en amont de vingt-deux audiences de procédure collective

Malheureusement, pour ces 75 chefs d’entreprise qui ont dû tirer un trait définitif sur leurs activités professionnelles, les mêmes causes produisent souvent les mêmes effets. Les liquidations sont encore trop souvent prononcées parfois même sans passer par un redressement judiciaire.

« La genèse de ces décisions s’explique, précise Pascal BAILLY, ces entreprises qui sont pour la plupart de plus en plus jeunes, avec deux à trois années seulement d’ancienneté, manquent singulièrement d’anticipation sur leur mode de fonctionnement. Leurs difficultés sont imputables à une stratégie commerciale pas assez approfondie, le plus souvent associée à un défaut de communication, voire parfois de formation… ».

Bref, un abîme qui ne peut se résoudre de manière positive si la faiblesse du capital initial génère en sus des problèmes de trésorerie à la moindre baisse d’activité ou si la société affronte une crise de confiance même passagère.

« A ceci, ajoute le président de l’instance juridique, il est nécessaire de prendre en compte les aléas de l’existence : les divorces, les séparations, les accidents de la vie. Enfin, la pérennité d’une entreprise englobe les aspects conjoncturels. Ainsi, des difficultés de recrutement du personnel imputent la saine gestion de l’entreprise. Quant à l’omnipotence des sites de ventes en ligne, nul ne peut les ignorer au plan comptable lorsque l’on se destine à la gestion d’une entité commerciale… ».

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Un rôle préventif lors des difficultés de gestion administrative…

De bon conseil, le Tribunal de Commerce agit bien en amont des décisions irrévocables. « On constate toujours de réelles difficultés administratives dans les sociétés, renchérit le président, or, le tribunal peut intervenir avant que ne se produise l’irréparable. Le nombre de mandat ad hoc ne cesse d’ailleurs de progresser puisqu’il double quasiment chaque année. Toutefois, et j’insiste sur ce point, pour pouvoir agir en parfaite connaissance du dossier, le Tribunal  a besoin de s’appuyer sur des indicateurs précis, des signaux tangibles pour vérifier la bonne santé d’une entreprise. Dont, naturellement, le dépôt des comptes… ».

2019 : prévention et augmentation des magistrats en ligne de mire…

L’année judiciaire qui débute devrait se conformer à celle qui vient de s’achever. En ce sens, le président BAILLY ne donne qu’un seul mot d’ordre : la prévention.

« Nous allons poursuivre et accentuer une démarche proactive en matière de prévention au service des entreprises. Cela induira en parallèle un travail continuel de valorisation de notre instance. L’objectif stratégique à obtenir auprès de la chancellerie sera la création de quatre nouveaux postes de magistrats. Ce qui devrait nous permettre de bénéficier à terme d’une organisation plus fluide dans les roulements d’audience et dans le développement du préventif auprès des entrepreneurs… ».

Pascal BAILLY devait conclure cet entretien en rappelant qu’une nouvelle directive européenne, transposée en droit national sur l’obligation qui est faite depuis août 2017 à l’ensemble des personnes morales immatriculées au registre du commerce et des sociétés, l’obligation de déclarer sur le registre des bénéficiaires effectifs, le ou les bénéficiaires.

 

 


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Depuis le 01er janvier, le groupe industriel de Sens s’offre de réelles perspectives d’accroître ses parts de marché au plan national grâce à la commercialisation d’un produit novateur. Celui-ci, baptisé « NOVO GAZ » intègre l’une des segments qui faisait encore cruellement défaut à l’entreprise : le générateur à gaz de petite taille. Désormais, CHAROT lance un sérieux avertissement à l’ensemble de la concurrence avec de solides espérances au niveau des ventes auprès des installateurs…

SENS : L’année ne pouvait pas aussi bien débuter pour le groupe industriel de l’Yonne spécialisé dans la conception de ballons d’eau chaude sanitaire. Après plusieurs mois d’analyse et d’étude de faisabilité, CHAROT a enfin sorti un nouveau produit sur l’une des strates de cet imposant « mille-feuille » que constitue ce secteur d’activité à l’échelle nationale.

Le « NOVO GAZ » correspond à un générateur à gaz de nouvelle génération qui trouve une place légitime sur le segment des ballons d’eau chaude de petit volume.

« Nous possédons depuis toujours une excellente notoriété sur le marché des gros générateurs, confie Pascal CHAROT, dirigeant de la société éponyme, mais nous n’étions pas encore placés sur cette gamme de produits. Or, régulièrement, une forte demande émanait du terrain par les commerciaux qui prennent le pouls sur la réalité des besoins… ».

Lancé le 01er janvier, le nouveau produit offre de belles perspectives de vente pour l’industriel. Il concerne des cibles consommatrices de générateurs de petit volume, c’est-à-dire des salons de coiffure, des structures hôtelières articulées autour d’une vingtaine de chambres.

 

 

Un bonheur technique ne vient jamais seul…

Seconde innovation : le réchauffeur de boucle. Ce système a été élaboré pour équiper des établissements hôteliers d’une dizaine d’étages. Placé à chaque pallier, ce concept intermédiaire permet de chauffer l’eau de manière constante et tempérée à tous les niveaux d’un bâtiment. L’innovation porte sur la possibilité de changer les éléments chauffants de cette technique sans procéder à une vidange ni en modifiant l’installation.

Placé à la verticale, le système permet aux opérateurs de réaliser des vidanges avec aisance et d’extraire les impuretés se déposant dans les tuyaux.

Plusieurs ballons d’eau chaude ont subi un léger lifting technique afin de mieux correspondre aux attentes des installateurs et de leur clientèle.

A l’aide de ces nouveautés, le groupe CHAROT devrait conforter ses parts de marché, notamment sur le segment du chauffage eau chaude sanitaire qui représente à ce jour 80 % de son chiffre d’affaires. Celui-ci s’élevait à 26,3 millions l’an dernier.

 

 

 


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L’excitation des grands soirs électoraux n’était guère palpable dans le bureau de vote des élections professionnelles du monde agricole, ce mercredi soir à Auxerre. Bien qu’il y ait des innovations techniques apportées à ce mode de scrutin avec l’avènement de l’expression électronique. Nonobstant cet artifice numérique, devenu incontournable, le taux de participation global, in fine, équivaut à 28,6 %. Opposée à la Confédération paysanne et à la Coordination rurale, la Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles (FDSEA) n’a connu aucune difficulté pour poursuivre à la tête de la chambre consulaire départementale sa gouvernance, via une nouvelle mandature de six ans à la clé…

AUXERRE : Le nom du successeur du président de la Chambre d’agriculture de l’Yonne, Etienne HENRIOT, n’est pas encore connu. Mais, déjà, les supputations vont bon train dans le landerneau agricole local.

Pour se faire, les observateurs devront faire montre de patience, jusqu’à la date du 04 mars, pour en connaître davantage sur le profil type de l’heureux élu. Celui qui aura la lourde tâche de présider l’organe indissociable du monde agricole. Organe en pleine mutation du fait de la régionalisation avec la Franche-Comté.

Ce jour-là, le 04 mars, une session spéciale sera organisée dans les locaux de la vénérable institution. Un fait qui a été confirmé par le directeur de la chambre, Hervé MIVIELLE, qui assistait avec beaucoup d’intérêt au dépouillement des bulletins de vote mercredi soir.

Non seulement, les nouveaux élus, issus de ce scrutin, occuperont pour la première fois leur fonction. Mais, en outre, ils auront pour mission initiale à élire leur représentant suprême dans le fauteuil présidentiel. Avant de désigner les membres du nouvel exécutif qui composeront le bureau.

D’ici là, en excellent président investi jusqu’au bout de son mandat, Etienne HENRIOT assurera la gouvernance de l’institution sous un mode intérimaire. Ce dernier conservant par ailleurs de nombreux mandats dans les milieux de l’agriculture.

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Un suffrage très favorable à la FDSEA…

Dans le principal collège, celui des « chefs d’exploitation et assimilés » qui donnent la ligne directrice de l’appareil institutionnel, la FDSEA supplante largement les deux autres forces en présence, remportant le scrutin avec 60,76 % des suffrages. Quatorze sièges tomberont ainsi dans l’escarcelle du syndicat majoritaire. La Coordination rurale obtient un score de 20,05 % tandis que la Confédération paysanne plafonne à la limite des 20 % des votes (19,19 %). Dix-huit sièges étaient dans la balance de cette future représentativité.

Elue également à une large majorité, la FDSEA remporte le scrutin du collège des « propriétaires et usufruitiers ». Le syndicat en fera de même pour le collège des « anciens exploitants et assimilés » avec un score de près de 75 % (74,75 %). La Confédération paysanne récoltant au passage 25,27 %.

Trois personnes occuperont également un poste dans le collège des « salariés de la production agricole ». Ils représentent la CFTC Agricole (27,42 %), la CGT (25,08 %) et la CFDT (19 %). Force Ouvrière (14,72 %) et la CFE-CGC (13,71 %) fermant la marche de ce scrutin.

Quant au collège des « salariés des groupements professionnels agricoles », qui enregistre 2 302 inscrits, il aura vu une légère domination de la CGT (28,37 %) devant la CFE-CGC à 25 %.

Le collège « coopératives de production agricole » livrera aussi son verdict. Un siège reviendra à la CUMA (Coopérative d’utilisation de matériel agricole) avec un score digne d’un plébiscite, soit 100 % des votants !

La FDSEA gagnera sans l’once d’un accroc le collège « autres coopératives » où trois sièges étaient à pourvoir. Score de 100 % des suffrages.

Le collège « caisses de Crédit agricole » est dévolu à la Caisse du crédit agricole, de manière légitime. Tandis que le collège « caisses d’assurance mutuelles agricoles et caisses de Mutualité Sociale Agricole (MSA) » sera assuré par la MSA GROUPAMA avec là-aussi un score sans appel de 100 %.

Enfin, l’ultime collège, celui des « organisations syndicales à vocation générale d’exploitants agricoles ou de jeunes agriculteurs », il revient à la FDSEA qui a obtenu gain de cause auprès des votants.

 


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Structure entrepreneuriale en perpétuelle croissance depuis ces trois dernières saisons, le groupe BELLIER livrera d’ici quelques jours ses premiers escaliers, des produits uniques conçus sur mesure, aux Etats-Unis, sous sa marque habituelle OEBA. La PME concrétise ainsi plusieurs mois d’intenses démarches consacrées à l’export vers le continent nord-américain. Et plus particulièrement dans l’état de l’Arizona où elle vient de prendre ses marques…

FAY-AUX-LOGES (Loiret) : Concevant des produits de belle facture, des escaliers traditionnels réalisés sur mesure à base de bois, de verre et d’inox, le groupe BELLIER entame ce mois-ci une phase stimulante de sa longue existence.

Ses deux premières commandes, des escaliers produits dans l’unité de production du Loiret, destinées à l’export seront livrées et posées sur le sol américain avant la fin de février.

Profitant d’une opportunité très bénéfique, Samuel POISSON, président de la SAS, mise aujourd’hui sur le volet de l’international pour faire croître l’outil de travail qui emploie aujourd’hui plus d’une cinquantaine de collaborateurs. Et de facto son chiffre d’affaires.

Une immersion en Arizona aura permis au dirigeant de la PME de nouer des liens stratégiques et précieux avec des architectes et constructeurs de maisons individuelles. L’objectif étant de capitaliser sur le savoir-faire de l’entreprise et les valeurs du made in France pour importer sur un marché américain aux fortes potentialités de développement des escaliers à la française.

Se situant sur la cible du moyen/haut de gamme, l’activité pourrait être soutenue à terme au pays de la bannière étoilée. En effet, peu de fabricant d’escaliers traditionnels y exercent leur influence.

 

 

 

L’ouverture d’un show-room à Phoenix à l’étude…

Représenté sur place par un consultant multicarte qui fait office aussi de distributeur, le groupe BELLIER ambitionne de réaliser un chiffre d’affaires de 400 000 euros dès le démarrage de cette nouvelle activité américaine. Du moins pour la première année. Avant d’envisager de dépasser le million d’euros de chiffre d’affaires, un objectif qui surviendrait un peu plus tard.

Développer un maillage territorial en Arizona, couplé avec l’ouverture d’un show-room à Phoenix, la capitale de cet état, permettraient très vite d’assurer la prospérité de la marque OEBA aux USA.

D’autant que les premières consultations commerciales, auprès de contacts implantés au Texas et dans d’autres états limitrophes, s’avèrent déjà probantes.

Même si le groupe ne possède pas encore d’expériences comparables à l’export, malgré une tentative qui se révéla infructueuse au Moyen-Orient il y deux ans (présence sur un salon professionnel à Abu Dhabi), BELLIER souhaite jauger le marché nord-américain afin de bien en comprendre les mécanismes. D’ailleurs, sa capacité, pour l’heure, se limite à ces projets circonstanciés en Arizona.

La PME aux 5,6 millions d’euros de chiffre d’affaires a bénéficié du soutien de BPI et de ses partenaires bancaires habituels pour consolider ce projet de développement extra-européen.


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