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L’opération s’est déroulée le 01er mars en présence du directeur régional SNCF mobilités TER Bourgogne Franche-Comté, Eric CINOTTI. Elle aura permis à la présidente de la Région, Marie-Guite DUFAY, accompagnée de son vice-président en charge des transports, Michel NEUGNOT, de dévoiler les nouvelles couleurs pelliculées des TER Régiolis, en référence à MOBIGO Bourgogne Franche-Comté. Cette présentation officielle s’inscrivait dans le cadre des investissements que porte la Région Bourgogne Franche-Comté en matière de matériel roulant…

DIJON (Côte d’Or) : Demain, c’est-à-dire en 2020, vingt-quatre de ces machines, composées de quatre voitures, circuleront sur les axes ferroviaires de la Bourgogne Franche-Comté. A ce jour, dix-huit TER Régiolis électriques sont désormais opérationnels.

Mais, le programme Régiolis ne date pas d’hier. Convaincue de sa pertinence, la Région Bourgogne Franche-Comté s’est intéressée dès 2013 à ce matériel roulant. Neuf premières motrices fonctionnant à l’électricité ont ainsi été commandées pour une enveloppe de 57,9 millions d’euros. Parallèlement, l’adaptation de ce matériel aux besoins techniques de sa nouvelle forme d’énergie nécessita des travaux en atelier de maintenance (1,3 million d’euros).

Deux ans plus tard, et s’étant engagée sur un projet global de plus de 170 millions d’euros, la Région consent à ajouter sept autres TER dans son escarcelle. Soit un débours déjà prévu de 48,9 millions d’euros et de 2,2 millions d’euros permettant d’assurer l’adaptabilité du matériel.

Le terme de ce programme à arborescence fut atteint en 2017. Huit autres machines vinrent grossir les rangs de ce parc, qualifié de performant. Pour une ultime tranche financière de 56,2 millions d’euros, à laquelle il fallut adjoindre 4,8 millions d’euros d’adaptation et de maintenance.

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Une quarantaine de Régiolis circuleront d’ici la fin de 2021…

Or, les deux premiers engins, portant les couleurs de MOBIGO Bourgogne Franche-Comté, proviennent précisément de cette dernière commande, sortie des unités de production de chez ALSTOM sur le site de Reichshoffen (Bas-Rhin).

Déjà présente sur plusieurs autocars du réseau, l’estampille chromatique de MOBIGO BFC suppose un investissement de 300 000 euros pour le coût du pelliculage, sur la base de huit TER. Une future commande de seize nouvelles machines, composées de six voitures, devrait être validée lors de l’assemblée générale plénière régionale le 29 mars à Dijon. Ce qui porterait alors le nombre de TER Régiolis à quarante d’ici le terme de 2021.

Cette nouvelle commande nécessitera une enveloppe financière de 224,2 millions d’euros. Somme qui avait été votée au mois de décembre lors de la présentation du budget primitif 2019.

Quant au coût de l’habillage complet des seize futures rames – cela comprend aussi la mise en place des couvertures vertes en toiture-, il s’élèvera à 1,1 million d’euros.


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C’est un mois de mars important qui débute pour les élus de la petite localité de la Forterre. D’ici quelques jours, le conseil municipal aura à se prononcer sur le mode opératoire budgétaire à mettre en œuvre dans le cadre du projet d’aménagement du cœur de ce village si pittoresque. En sollicitant des subsides auprès de  l’Etat et de la Région Bourgogne Franche-Comté, les élus ont la ferme intention de glaner des aides à hauteur de 80 % des futurs travaux d’un dossier dont l’investissement global n’excède pas 150 000 euros…

DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES : Améliorer et positiver le cœur de village de cette bourgade si typique de l’Yonne s’inscrivent parmi les grands chantiers de l’actuel édile, Jean-Michel RIGAULT.

Et comme l’a précisé dernièrement le maire de cette commune aux trois cents âmes de ce territoire occidental de l’Yonne, quoi qu’il en soit, ce dossier devra être finalisé avant le terme du mandat électoral. Sachant, pour mémoire, que les prochaines municipales se dérouleront au printemps 2020.

De quoi s’agit-il précisément ? L’équipe en place souhaite optimiser tant au plan logistique et structurel que sur le développement de l’économie interne l’essor de la localité. Tout en le pérennisant.

Soutenir les acteurs de l’économie locale…

Celle-ci rayonne bien au-delà de sa zone d’influence naturelle (Ile-de-France) par son approche touristique (elle bénéficie de plusieurs labels de qualité qui en valorise sa découverte) et par la présence de plusieurs artisans d’art.

Jean-Michel RIGAULT désire aller encore plus loin dans cette quête utile, faisant d’une pierre deux coups dans ce projet d’aménagement. Non seulement, la commune facilitera l’accueil de ses futurs visiteurs en créant de nouvelles aires de stationnement et en se dotant d’infrastructures ludiques supplémentaires, qui permettront de grossir l’offre de loisirs.

Mais, en outre, il entend bien booster l’activité économique intra-muros en prenant soin de soutenir les professionnels de l’artisanat d’art (potiers, céramistes, peintres, sculpteurs, producteurs de recettes et denrées du terroir…). Ceux-ci pourront bénéficier indirectement de cette manne qui n’a rien de providentielle.

Dans les faits, ce concept s’articulera peut-être en deux tranches de travaux à budgéter sur les prochaines années à venir. Il valorisera certains espaces de la commune. L’idée serait d’utiliser l’ancienne cour de l’école pour y implanter un espace arboré et créer ainsi de nouvelles possibilités de stationnement.

Quant au parking existant, il verrait ses capacités à accueillir des véhicules se prolonger.

L’essentiel des investissements de 2019…

Côté agrément, diverses infrastructures à caractère sportif, à l’instar d’un terrain mixte de volley-ball et de badminton, conféreraient une dimension ludique au projet. Il y serait rajouté un terrain de jeux de boules. 

Les artisans d’art qui créent une plus-value attractive du fait de leurs activités seraient dotés de petits chalets en bois – on parle de trois à quatre points d’accueil -, mis gracieusement à leur disposition au centre de la commune.

Enfin, et pour être tout à fait complet sur la configuration de ce projet, cette dernière se réserverait le droit de construire un bâtiment en bois, dans le même esprit que celui de l’actuelle guinguette au bord du plan d’eau, pour y entreposer divers matériels dans un souci de stockage. L’installation d’un jardin participatif représente aussi une option envisageable.

Une chose est sûre, avant que ne soit décidé par le conseil municipal de l’opportunité ou pas de lancer les demandes de subventions en bonne et due forme auprès des services de l’Etat et de la Région, ce dossier aux multiples ramifications constituera l’essentiel des investissements réalisés par la commune de Forterre cette année.


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Le retour de la belle saison, à l’amorce du printemps, peut s’avérer fatale pour certaines espèces animalières. C’est le cas des amphibiens. Sortant de leur cachette hivernale, les batraciens cherchent à rejoindre leur lieu de reproduction (mare, étang, fossé, plan d’eau…). Un périple qui comporte son lot de dangers. Surtout lorsque ces animaux doivent traverser des axes routiers. Spectaculaires, les migrations concernent plusieurs milliers d’individus qui traversent les routes sur quelques centaines de mètres. Entraînant une forte mortalité de l’espèce. Or, à l’initiative de sociétés d’histoire naturelles, des actions se déploient sur le territoire bourguignon pour que cesse cette hécatombe…

AUTUN (Saône-et-Loire) : Les amphibiens sont de sortie ! Et pour éviter qu’ils ne se fassent écraser par milliers sur les routes, la Société d’histoire naturelle d’Autun vient nous rappeler les règles existantes à respecter lorsque l’on est un automobiliste citoyen.

Durant la période de reproduction, ce ne sont pas moins de treize actions de sauvetage qui sont mises en place en Bourgogne par différentes associations et structures prônant pour la sauvegarde de la nature et de l’environnement.

Multiples et hétéroclites, ces actions se traduisent par le ramassage en soirée des batraciens téméraires ou la déviation temporaire d’une route traversée par le flux migratoire des amphibiens.

Plusieurs communes de la Bourgogne consentent à organiser ces interventions. C’est le cas d’Appoigny, Beine, Bellechaume, Bussy-en-Othe, Chamoux, Malay-le-Grand, Marsangy, Saint-Julien-du-Sault et Vergigny pour l’Yonne. Le succès de ces opérations est possible grâce à la mobilisation de bénévoles, amoureux de la nature. Et des grenouilles et autres crapauds !

Le signalement des zones de traversées s’impose…

Naturellement, avant toute intervention, il est fondamental de signaler les portions de routes sur lesquelles ont été observées des amphibiens. L’objectif de ce chantier est d’identifier le maximum de zones d’écrasement à fort potentiel en Bourgogne. Afin de les répertorier sur la cartographie officielle réalisée par les spécialistes de la faune en Bourgogne. Ces informations peuvent également être transmises, grâce à l’outil de saisie en ligne E-Observations sur le site http://faune.bourgogne-nature.fr ou en renvoyant les observations par mail.

Il existe de nombreuses données d'amphibiens sur les routes dans la base de données régionale, la Bourgogne Base Fauna (BBF). Certains de ces sites présentent un enjeu potentiel vis-à-vis de la problématique d'écrasement des amphibiens, mais il manque des informations pour estimer l'enjeu réel du site. C'est dans ce sens que les citoyens peuvent être amenés à aider les protecteurs de la nature en effectuant des inventaires précis sur certains de ces secteurs.

Vous trouverez plus d’informations sur la page du SOS Amphibiens de Bourgogne, sur le site de l’association Bourgogne-Franche-Comté Nature…


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Le nombre de retours à l’emploi de plus d’un mois est en augmentation dans le département de l’Yonne. En l’espace d’une année, la statistique dévoilée par le directeur général de Pôle Emploi Yonne, Yves HUTIN, est sans équivoque : + 1,91 % de mieux par rapport à l’exercice antérieur. Près de vingt mille personnes (19 298 précisément) ont repris le chemin du travail, profitant d’une reprise économique qui s’amorçait déjà depuis le premier trimestre 2018. Face à cette configuration conjoncturelle inédite et plutôt orientée vers le positif, 44 % des demandeurs d’emploi accèdent au marché du travail dans le semestre suivant leur inscription. Encourageant pour l’organisme de l’Etat, même si beaucoup de choses restent encore à faire…

AUXERRE : Les derniers indicateurs de Pôle Emploi apportent une véritable bouffée d’oxygène pour celles et ceux qui doutaient encore de pouvoir sortir un jour de l’ornière professionnelle dans laquelle ils étaient embourbés. Indubitablement, le taux de chômage diminue en Bourgogne Franche-Comté, y compris sur le territoire de l’Yonne.

Près de vingt mille « chercheurs » d’emploi sont retournés en entreprise pour y exercer leur savoir-faire, entre les mois d’octobre 2017 et septembre 2018. Un chiffre dont le directeur général de l’institution dans le département se satisfait. D’ailleurs, à l’analyse des derniers chiffres, Yves HUTIN confirme que quatorze indicateurs de résultat, propres à évaluer la performance de l’organisme, s’orientent dans la même direction. Ils bonifient et accréditent le travail de fourmi des conseillers en matière d’accompagnement professionnel et du placement en entreprise. Même le volet de l’indemnisation des allocataires vire au vert.

Côté recrutement, la tendance demeure saine avec une hausse enregistrée tant au plan régional que départemental pour l’Yonne. A contrario, mais ce n’est guère une surprise, un léger tassement s’amorce autour de l’emploi salarié.

Multipliant les actions (plus de quatre-vingts depuis septembre 2018), Pôle Emploi ne demeure pas les deux pieds dans le même sabot pour trouver des préconisations fiables et pérennes à son public.

Petit déjeuner avec des employeurs, information collective sur certaines filières (espace vert, vie scolaire…) ou la découverte approfondie des métiers du transport sont autant d’animations concrètes qui ont engendré de bons résultats dans l’une des différentes agences du territoire.

Certaines d’entre elles ont su profiter de l’opération « Vers un métier » pour tirer leurs résultats vers le haut. Incitant des candidats à bénéficier d’une formation (14 %) ou à entrevoir une porte de sortie honorable vers la vie active en trouvant un job (37 %).

De sérieux besoins dans l’industrie et le secteur de l’aéronautique…

Que l’on ne s’y trompe point. 66 % des opérations menées par le partenaire à la recherche d’emploi concernent justement le recrutement. Contre 22 % d’initiatives de découverte des secteurs professionnels et des métiers. Le reliquat étant affecté à la promotion de l’offre de formation, indispensable pour acquérir les rudiments nécessaires à certaines typologies de postes.

Cinq secteurs économiques proposent une réelle dynamique d’intégration des candidats à l’emploi : l’industrie, le transport, l’hôtellerie-restauration, le commerce et le bâtiment. Rien que le secteur du transport offre 60 000 postes à pourvoir de suite en France ! Mention particulière, également, pour la filière aéronautique dans l’Yonne. Une convention de partenariat a été établie avec les services du Pôle de formation des industries technologiques 58/89 et l’Union des industries de la métallurgie. Elle favorise le renfort des effectifs au sein du groupement aéronautique départemental, GISAERO. De nombreuses offres sont encore vacantes.

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Conserver son employabilité à tout prix…

Pour faire taire les idées reçues, la grande majorité des demandeurs d’emploi, c’est-à-dire 95 % d’entre eux, démontrent qu’ils sont bel et bien en quête d’un travail. 40 % sont inscrits depuis plus d’un an au chômage, alors qu’un quart de ces personnes le sont depuis deux ans.

Mais, quatre personnes bénéficiaires de l’assurance chômage sur dix intègrent l’épineuse catégorie des demandeurs d’emploi de longue durée. Agées de cinquante ans, elles entrent dans une tranche de vie où il est difficile d’occuper encore une place au soleil dans le système économique et social actuels. Pourtant, la valorisation des compétences représente une clé de voûte à vendre auprès des entreprises. Car, 60 % des dirigeants de société considèrent que le comportemental est de loin nettement plus en phase avec leurs besoins après 50 ans.

Les entrepreneurs perçoivent favorablement l’action de Pôle Emploi. Pour 68 % d’entre eux, l’accompagnement via les services ad hoc, les propositions inhérentes autour de la formation de leurs futurs collaborateurs et l’ensemble des prestations conviennent. Soit un satisfecit en augmentation de sept points en l’espace d’un an.

Le taux de satisfaction des demandeurs d’emploi se situe encore plus haut. Il atteint 74 % des intéressés. Et progresse de quatre points depuis le précédent bilan.

Quant au paiement des allocations (une enveloppe annuelle de dix millions d’euros), on constate que les délais sont respectés dans 95 % des cas. Cela représente une sensible évolution de 0,2 point par rapport à l’exercice antérieur alors que la direction départementale vise les 100 % de résultat.

 


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Sage conversion professionnelle que celle-ci ! C’est un modèle du genre à expliquer à toutes les personnes en proie aux doutes de l’existence et à dupliquer largement, sans modération, à celles et ceux qui sont en quête d’une nouvelle carrière. La cinquantaine révolue – il a fêté ses 52 printemps en 2018, le néo-chef d’entreprise à la tête de cette société de restauration-traiteur itinérante a su puiser dans son âme profonde les ressources nécessaires et convaincre des partenaires pour se doter d’un attelage économique vertueux et original. Qui lui donne dorénavant des ailes et de l’ambition comme s’il avait toujours vingt ans !

AUXERRE : Ce rêve-là, tout le monde l’a fait, tôt ou tard, dans sa vie. Transformer une passion viscérale, dans le cas présent celle des arts de la table et de la cuisine, en une occupation professionnelle pérenne. Un challenge qui prend aux tripes tant l’envie d’y parvenir est forte.

Pourtant, si cela paraissait simple sur le papier, rien ne prédisposait Christian MACARY, ancien directeur d’agence dans un univers situé aux antipodes de la gastronomie (le nettoyage industriel) de réussir. Car, comme chacun le sait : les rêves ne deviennent pas tous réalité.

Cette conversion professionnelle est le fruit de la pugnacité et du courage. Celui de prendre le futur projet à bras le corps et de le vivre avec sa succession de désagréments si futiles soient-ils : à commencer par suivre des cours obligatoires qui mènent au CAP de cuisinier.

Accueilli au CIFA de l’Yonne, univers pédagogique qui favorise cet état d’esprit de compétiteur qu’il faut posséder avant de créer son entreprise, Christian MACARY s’immerge durant neuf mois dans les méandres de la formation. Aux côtés d’adolescents de 16 ans qui expriment le même désir de réussite que lui ! Un contraste au demeurant singulier mais qui, in fine, s’avèrera très constructif pour le futur dirigeant de la SARL.

Au-delà des 740 heures de ces séances assidues, déclinées en alternance dans plusieurs maisons de la région, le futur entrepreneur, soutenu par sa compagne, Brigitte MANSANI, touche enfin le Graal au terme de l’examen. Un CAP obtenu à 52 ans représente un évènement que l’on ne vit pas tous les jours !

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Etre présent là où se déroulent les évènements… 

Commence alors la seconde étape conduisant à cette transition professionnelle aboutie. La création de la structure (une SARL), au plan administratif, et surtout l’acquisition du véhicule qui fera office de remorque-cuisine pour accomplir son dessein.

Le jeune diplômé investit 70 000 euros dans l’achat de ce précieux auxiliaire roulant qui lui permettra de sillonner l’ensemble des événementiels de la région pour y proposer ses recettes (succulentes après les avoir goûtées) et ses petits plats, à l’instar de ses œufs en meurette sublimes au palais !

Moderniste, l’entrepreneur dispose avec cet attirail fabriqué au Portugal de tous les ingrédients techniques et du matériel nécessaire pour concevoir une cuisine traditionnelle élaborée. L’Authentic Les Saveurs en Mouvement, puisque tel est la dénomination de cette entreprise, propose aussi de la rôtisserie, des grillades, du snacking, et de la cuisine du monde.

Bref, des saveurs inédites et une formulation éclectique de la cuisine à emporter, façon traiteur itinérant.

Opérationnelle depuis le 03 novembre, la structure de Christian MACARY fait depuis des prouesses gastronomiques et des heureux dans les fêtes familiales, auprès des événements créés par le milieu associatif, les manifestations en entreprise ou les activités de loisirs. Autre cible prépondérante : les marchés et les foires. Où le petit complexe ambulant se distingue aux yeux du public dès sa première vision une fois installé sur la place et par les effluves ô combien sympathiques qui s’en dégagent. Ainsi, le concept peut sustenter jusqu’à 250 personnes lors d’une animation spécifique.

Christian MACARY aura aussi bénéficié durant sa période de pré-installation d’un accompagnement de BGE Nièvre Yonne. Une démarche qui l’a nourrie au plan intellectuel et pragmatique à bien des égards : cela lui a permis de conforter et de valider ses choix qui aujourd’hui éclatent en plein jour…


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