« TMC ». L’acronyme ressemblerait presque à s’y méprendre à l’enseigne d’une chaîne audiovisuelle à découvrir sur un bouquet satellite un soir de semaine par temps de pluie ! Avec un côté rétro, il va de soi ! Là, dans le cas présent, on fait fi de la référence télévisuelle pour ne s’intéresser qu’au domaine du sport dans la traduction littérale, pour « Tournoi Multi Chance » ! Une sacrée aubaine, d’ailleurs, quand on évolue dans une discipline sportive où les Français ne brillent malheureusement pas depuis longtemps parmi les hautes sphères internationales, le tennis…
JOIGNY : « Franchement, l’initiative est bonne ! Je ne fais que l’encourager ! Non seulement, elle offre la possibilité de pratiquer notre sport même à cette période de l’année – un laps de temps de quelques jours à peine faisant la jonction avec les ultimes semaines de juillet – et de créer une dynamique auprès de ces jeunes qui ont choisi comme discipline le tennis… ». Frédéric GRANSEIGNE, président du Tennis Club de Joigny, ne tarit pas d’éloges sur le concept proposé par l’un de ses pairs, un adepte de la raquette depuis son plus jeune âge, Sébastien JEAN. Il poursuit, volubile et enthousiaste, « depuis deux ans, ce projet attire du monde. La preuve, nous avons accueilli la bagatelle de 90 rencontres durant ce tournoi alors que d’ordinaire, c’est une période creuse… ».
Son seul désir, que ce « TMC » ouvert aux jeunes pousses, aux adolescents et jeunes pratiquants de ce sport offrant du suspense se pérennise avec la même intensité. « C’est une vitrine idéale pour assurer la découverte de notre sport… ».
Jean-Charles POTTIER, son homologue à la tête du club de tennis de Migennes, se situe sur la même ligne de pensées. Concocté depuis deux ans, ce rendez-vous porté et imaginé par le coach de tennis, Sébastien JEAN, séduit dans le microcosme local de la petite balle jaune. « Cela permet de faire vivre le club, concède-t-il, ce rendez-vous a trouvé son public. On attend avec impatience la troisième édition à l’été 2025… ».
Y associer d’autres clubs de l’Yonne
D’autant que certaines subtilités dans l’organisation logistique de ce rendez-vous 100 % estival plaisent aux suiveurs.
« Quelques jeunes du Sud de la France où Sébastien a déjà testé cette formule, du côté de Carry-le-Rouet, gagnent le nord de l’Hexagone pour venir participer à la fête, dans l’Yonne ! ».
Une approche originale dans la mise en place d’un tournoi ? Toujours est-il, et après deux rendez-vous saisonniers, le principe fonctionne bien et ravi les présidents de clubs locaux. Il en va de même pour Laurent PETIOT, vice-président du club de Sens.
Ayant plus d’une idée dans sa besace, l’initiateur de ce concept, Sébastien JEAN, souhaite monter en gamme la saison prochaine avec ce fameux « TMC » qui aura offert en juillet dernier de belles sensations. Et pourquoi ne pas lancer l’idée d’élargir ce tournoi, en y associant d’autres clubs, afin de créer, une sorte de tournée des « tournois multi chance » à travers le département de l’Yonne à terme ?
Certaines collectivités peuvent y trouver leur compte, côté promotion du sport et occupation des plus jeunes, avec à la clé, de nouvelles vocations qui se solderaient par la prise d’une licence dans l’un des clubs de tennis du landerneau, même si globalement, l’Yonne n’est pas à proprement parlé une terre de tennis !
Quant aux chiffres, ils témoignent de la pertinence de ce projet qui ne demande qu’à mûrir et à s’étoffer davantage.
« En 2023, explique Sébastien JEAN, 80 joueurs âgés de 8 à 18 ans – ils étaient répartis dans quatre catégories d’âge – ont participé à ce tournoi « TMC ». Un an plus tard, la progression au niveau des inscrits s’est élevée de + 65 % ! Soit un total de 132 joueurs, jeunes et adultes, lors de cette édition 2024 ! ».
Et si les tournois s’appliquaient à d’autres périodes de congés ?
Une preuve indéniable que la mayonnaise prend ! De quoi satisfaire le professeur de tennis qui croit dur comme fer à la durabilité de son concept et à son élargissement. Tel qu’il l’avait déjà essayé dans le sud de la France, dans les Bouches-du-Rhône il y a quelques saisons. Un lien intéressant au niveau des passerelles géographiques pour que les jeunes d’autres clubs, plus éloignés des nôtres, ne viennent prendre part aux tournois, accueillis en terre de l’Yonne.
L’idée d’étendre la planification de ces tournois aux autres périodes de vacances scolaires (Noël) fait également son petit bonhomme de chemin. Tout cela se ferait avec l’aval du Comité départemental de tennis de l’Yonne, favorable à la mise en exergue de ce procédé des TMC sur son territoire.
Reste la recherche de sponsors. Sébastien JEAN aimerait entraîner dans son sillage des partenaires privés, intéressés par la démarche à la fois sportive mais aussi pédagogique autour de la discipline et de ses valeurs. Bref, le tennis dans l’Yonne possède de beaux jours devant lui, grâce à ces « TMC » porteurs d’espérance et de cohésion sociale…Sachant que le but n’est pas de se substituer aux tournois classiques déjà existants sur le circuit tennistique départemental mais de proposer une tournée de tournois l’été prochain afin d’en augmenter en période creuse les potentialités. D’ailleurs, qu’on se le dise, d’ores et déjà, les inscriptions pour les rendez-vous de l’été 2025 peuvent se prendre sur le référent suivant, le 06.52.57.54.89.
Thierry BRET
Il a été précoce, le garçon ! A l’âge de 12 ans, celui qui est devenu depuis un expert reconnu internationalement sur les thématiques des nouvelles technologies et de l’innovation, passait son temps en créant…ses premiers sites Internet ! Aujourd’hui, conférencier professionnel, Stéphane MALLARD est l’invité vedette de la conférence spécifique concoctée par les associations Femmes Chefs d’Entreprises (FCE) et BUSINESS SENS le mardi 17 septembre à l’Amphi de Sens. L’occasion d’en connaître davantage sur cette intelligence artificielle et sur ses usages dans la vie des entreprises…
SENS : L’IA, vous connaissez ?! Sans doute ! Mais, quid de sa véritable utilisation dans le quotidien des entreprises, qu’elles soient industrielles, commerciales ou de services ? Déclinée en un double rendez-vous, placé lors de la même soirée, l’initiative de la structure départementale des Femmes Chefs d’Entreprises et de Business Sens aura pour objectif de vulgariser et de sensibiliser le plus possible les dirigeants des sociétés de l’Yonne, au sujet du jour, sujet qui fait florès désormais dans toutes les strates de la vie économique puisque quelques jours auparavant, le 11 septembre, la Maison de l’Entreprise, l’UIMM et le MEDEF se seront intéressés à la même thématique mais sous des angles différents au cours d’une conférence proposée en matinée à Auxerre…
Une table ronde avec des chefs d’entreprises comme témoins
Ici, dans le cas présent, le curseur aura été placé spécifiquement sur l’approche entrepreneuriale de ce sujet récurrent dans la société. Comme le précise l’une des organisatrices de la soirée, et conseillère auprès des entreprises pour le compte de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, Christine JAN.
« Le but de la table ronde que nous allons proposer en seconde partie de soirée est d’apporter à travers des témoignages un véritable éclairage de l’usage de cette intelligence artificielle dans la vie des entreprises, explique-t-elle, on s’intéressera notamment sur les utilisations d’aujourd’hui et surtout de demain ! ».
Seront d’ailleurs présents sur le plateau, trois dirigeants de sociétés, le Sénonais Ned CEKIC, de NEED Technology, l’Auxerrois Alexandre FOULON à la tête de l’entreprise BRAINYTECH (il est également président de la structure « numYco ») et le Chalonnais Frédéric CREUWELS, directeur en charge de la digitalisation au sein de l’Usinerie Partners en Saône-et-Loire.
Le fil d’Ariane de ce rendez-vous accueilli dans la vaste salle de l’Amphi de Sens sera Stéphane MALLARD, autodidacte mais conférencier reconnu aux quatre coins du globe pour ses interventions portant sur la sensibilisation au numérique et au digital dans les entreprises. Le garçon a suivi également des études supérieures de Finances au Canada avant d’intégrer Sciences Po Paris.
« Sommes-nous nous aussi des algorithmes ? »
Lors de son intervention, en première partie de soirée, le conférencier abordera durant une soixantaine de minutes différents points cruciaux à la compréhension : le fonctionnement et limites des premiers modèles à l'IA Generative (au-delà des évidences et idées déjà diffusées partout dans la presse), la transformation des outils technologiques que nous utilisons au quotidien dans nos vies professionnelles et personnelles, vers des logiciels qui s'adaptent à nous, pour tout faire, sans limite ; l’entrée dans un monde algorithmique avec des assistants intelligents, experts en tout ! Puis, il s’intéressera aux impacts concrets sur les métiers, avec exemples des métiers dans la salle, avant de traiter la disruption de la chaîne de valeur des entreprises (elles sont toutes en danger de « Kodakisation »/commoditisation, comment repositionner son modèle d'affaire quand l'IA est partout, accessible à tous et gratuite : exemple des GAFA et des géants du luxe qui deviendront la norme…).
Ensuite, Stéphane MALLARD posera des questions métaphysiques initiées par l'arrivée de l'intelligence artificielle : « sommes-nous nous aussi des algorithmes ? Les émotions humaines ne sont-elles que des programmes d'optimisation de notre survie ? Quel monde lorsque les algorithmes sauront lire et influencer nos émotions ? Le virtuel est-il meilleur que le réel ? Avant de plonger l’auditoire vers la prochaine étape de l'intelligence artificielle : à savoir la conscience artificielle, avec les premiers travaux réalisés dans les laboratoires des GAFA…
Un savant cocktail de choses passionnantes (et utiles) à se mettre entre les oreilles ! D’ores et déjà, préparez vos questions !
En savoir plus :
Soirée conférence et table ronde du Club BUSINESS SENS et des Femmes Chefs d’Entreprises à Sens à l’Amphi le 17 septembre 2024 à partir de 18 heures.
Soirée réalisée en partenariat avec la CCI de l’Yonne, la Banque Populaire de Bourgogne Franche-Comté, BDO, Territoire d’Industries, la Communauté d’Agglomération du Grand Sénonais.
Invité : Stéphane MALLARD, conférencier.
Thierry BRET
Le Conseil départemental de l’Yonne a fait sa rentrée des collèges en ce début de semaine. Le territoire poursuit ses efforts en termes d’actions éducatives. Mais les élus doivent faire l’amer constat d’une baisse des effectifs qui s’inscrit dans la durée en raison de l’évolution démographique mais également au profit des établissements privés.
SENS : Les élus du département ont annoncé une rentrée prometteuse, mettant en lumière un investissement dédié aux collèges de plus de 46 millions d’euros. Un budget qui comprend l’amélioration des outils numériques et de la sécurité informatique (2,2 millions d’euros sur trois ans) ou encore de nombreuses actions éducatives (300 000 euros en 2024). L’offre s’est étoffée avec le temps avec l’intégration d’activités pédagogiques : sorties au cinéma, journée citoyenneté ou encore le concours départemental « Ramène ta science dans l’Yonne ». Le territoire compte aujourd’hui huit collèges avec une section sportive, quatre avec une classe à horaires aménagés (deux classes de théâtre, une en musique et une en cinéma), 16 classes ULIS, huit classes SEGPA et deux classes relais qui accueillent les collégiens en décrochage scolaire.
Du côté des effectifs, les vice-présidents Christophe BONNEFOND et Grégory DORTE ont annoncé une rentrée avec 15 200 élèves soit 300 à 400 élèves en moins dans les collèges publics depuis 2023. Des variations liées à la démographie, l’argument phare des élus. On constate en effet une baisse constante des naissances au niveau national depuis 2012 qui a occasionné une perte de 13 800 collégiens en 2023 et de 20 400 élèves en 2024. Au niveau départemental, la tendance est un peu différente avec une légère hausse du nombre de naissance entre 2012 et 2013 (+ 1,37 %) puis une baisse significative entre 2013 et 2014 (- 4,21 %). Mais une autre réalité s’ajoute au phénomène : l’attrait des établissements privés qui enregistrent chaque année une hausse de leurs effectifs. Près de 50 élèves ont rejoint le privé en 2024 portant leur nombre à plus de 2 000, chiffre encore prévisionnel. Pour la direction du service Education et Jeunesse du Conseil départemental de l’Yonne, les collèges publics subissent essentiellement les conséquences de l’absentéisme des professeurs certaines années dites « noires » ainsi qu’un manque de personnels pour certains établissements.
Floriane BOIVIN
Il faut croire que l’on vieillit très bien à la Résidence Jasmin, sise à Thorigny-sur-Oreuse ! L’air de la campagne septentrionale de l’Yonne et la qualité de l’accueil, peut-être ?! En tout cas, Bernadette BESNARD, pensionnaire de l’établissement dirigé par Christophe VOGEL, vient d’y célébrer son centième anniversaire en présence de plusieurs représentants de sa famille il y a quelques jours.
THORIGNY-SUR-OREUSE : L’évènement s’est déroulé il y a quelque jours dans ce lieu agréable, comprenant des appartements privatifs et tous les services adaptés au bien-être des seniors. Le centième anniversaire de l’une des pensionnaires, Bernadette BESNARD.
Toujours bon pied, bon œil, la « demoiselle » possède toute sa tête ! Il est vrai qu’à 89 ans, cette maman de quatre filles, qui compte aujourd’hui huit petits-enfants, douze arrières petits-enfants et trois arrières-arrières-petits-enfants, découvrait avec un plaisir non dissimulé les subtilités joyeuses de la pratique informatique !
D’ailleurs, le responsable de l’établissement, Christophe FOGEL, dit d’elle : « C’est une personne discrète, très chouette et quand ça ne va pas, elle sait le dire et d’ailleurs l’expression sur son visage exprime de suite qu’il y a un problème ! ».
Native de Trancault, village aubois, Bernadette BESNARD, née PLANSSON est la dernière de la fratrie : la fille « unique » qui vivait aux côtés de six frères ! Elle a vu le jour le 27 août 1924 !
Après son certificat d’études, elle part quelques mois à Troyes pour garder les enfants, faire du ménage, la cuisine et apprendre la couture. Ensuite, elle travaille chez des agriculteurs de son village en qualité de femme de ménage ou ouvrière agricole, suivant les saisons.
En 1948, elle rencontre Emile BESNARD. Ils se marient en juin et habitent à Molinons. Ils ont eu quatre et s’occupaient tous les deux de la ferme.
Des voyages en camping-car pendant une trentaine d’années
Elle tricotait beaucoup. Des pulls, des gants et des bonnets. Elle cousait aussi des vêtements pour les poupées de ses filles. A l’âge de la retraite, le couple a vendu la ferme. Il s’est installé à Gisy-le-Noble où Bernadette gardait ses petits-enfants pendant les vacances scolaires. Elle leur faisait alors de la confiture et des conserves avec les fruits de leur grand jardin, tout en élevant quelques poules et lapins.
Plus tard, le couple a acheté un camping-car avec à la clé des voyages pendant une trentaine d’années. Ils ont aussi participé à des voyages organisés. Ils aimaient également se rendre au club des anciens et retrouver des amis autour d’un bon repas. La belle vie de retraité, que voilà !
Un couple de centenaires avant de poursuivre son chemin, seule…
2019 : année importante pour le couple qui décide de s’installer à la Résidence Jasmin ! Des « jeunes gens » bien tranquille, en effet, Emile était alors âgé de 98 ans et demi, tandis que Bernadette portait allègrement ses 94 printemps !
Mais, en 2020, elle perd son mari, peu de temps après qu’il ait fêté ses 100 ans. Aujourd’hui, Bernadette continue sa vie à Jasmin en faisant des connaissances. Elle se déplace encore toute seule avec son déambulateur, vient au restaurant, retourne chez elle et parfois on peut la voir se promener dans les couloirs, lentement mais sûrement ! On ne peut que lui souhaiter de vivre paisible encore longtemps…
Thierry BRET
Objectif avoué des organisateurs : dépasser la barre des dix mille entrées en deux jours de manifestation ! Si le soleil est de la partie et les conditions météo au rendez-vous, ce qui est prévu normalement, Etais-la-Sauvin pourrait connaître une sacrée affluence ce prochain week-end, avec la réception de la 29ème édition de la Fête de l’Agriculture, concoctée par les Jeunes Agriculteurs du département, associés au canton de Saint-Sauveur-en-Puisaye…
ETAIS-LA-SAUVIN : Les chiffres parlent par d’eux-mêmes ! Le monde agricole attire de plus en plus de badauds et de curieux lors de grandes manifestations publiques permettant de mettre en valeur cette filière de la vie économique, indispensable à notre bien-être alimentaire et à l’aménagement de nos campagnes. La preuve ? Les organisateurs de la 29ème édition de la Fête de l’Agriculture de l’Yonne, accueillie cette saison aux confins de la Puisaye, espèrent bien dépasser la barre fatidique des dix mille entrées aux termes des deux journées de cet évènement recevant plus d’une cinquantaine d’exposants.
Sur place, de nombreuses animations pour petits et grands, ainsi que de multiples stands tenus par des producteurs locaux afin de valoriser l’agriculture icaunaise, ne devraient pas manquer d’interpeller les visiteurs devant s’acquitter d’un droit d’entrée de 5 euros (adulte). On relèvera la gratuité pour les jeunes spectateurs de moins de dix ans : sait-on jamais, ils peuvent se nourrir au contact des professionnels de la terre de précieux renseignements initiateurs de précoces vocations !
Des tracteurs monstrueux pour le plaisir des yeux !
Un cap de dix mille visiteurs pas inatteignable en vérité puisque la fréquentation est sur une pente ascendante depuis plusieurs saisons : en 2022, la manifestation de fin d’été avait accueillie 4 500 personnes à Fontaines (près de Toucy). Celle d’Avallon excédait déjà les 5 500 entrées à Sainte-Colombe/Angely (près d’Avallon).
Pour cette nouvelle édition, les Jeunes Agriculteurs ont fait le choix tout comme l’an dernier de proposer une animation de « tracteur pulling ». Une animation spectaculaire qui avait aussi contribué au succès de l’édition avallonnaise de 2023. Aujourd’hui, l’Hexagone est l’un des pays européens où la discipline s’est le plus développée. Pas étonnant que les JA de l’Yonne aient opté pour pimenter leur évènement de recevoir la finale nationale de ce « sport mécanique » insolite, supervisée par la fédération française.
Parmi les autres animations dont il faudra pleinement profiter durant ces deux jours : la mini-ferme, une démonstration de chiens de troupeau, l’exposition de matériels, la démonstration de moissonneuses-batteuses, des baptêmes d’hélicoptère (payant), de nombreux jeux pour enfants, un bœuf à la broche à déguster et même la présence musicale d’un DJ pour que la « fièvre du samedi soir » prenne vie aux abords de la localité de Puisaye !
Thierry BRET