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Puisaye Forterre

Le maire de Sens Paul-Antoine de CARVILLE était en visite au siège social du groupe LEBHAR situé dans la zone industrielle de Gron ce mardi 10 juin. L’occasion pour lui de découvrir toute l’étendue d’une activité prospère dans le territoire au nord de l’Yonne.

 

GRON : Curieux, Paul-Antoine de CARVILLE souhaitait explorer les coulisses du groupe LEBHAR, partenaire de la ville de Sens. Mais, il s’agissait également de réaffirmer le soutien de la collectivité. Guidée par Yann BARNERIAS, président du directoire du groupe, la délégation municipale a déambulé aux abords des services administratifs et dans les allées de l’usine de Gron, l’un des cinq sites industriels de l’entreprise dont deux sont basés hors Hexagone : en Suisse et en Belgique. Yann BARNERIAS espère d’ailleurs étendre davantage le groupe sur le sol européen, un projet susceptible d’aboutir selon lui. En tout cas, il y travaille…

« C’est vraiment une entreprise très innovante, ce sont des emplois extrêmement durables sur le territoire et il y a un vrai savoir-faire qui a vocation à durer, c’est formidable » a déclaré l’édile. « C’est vraiment une très jolie industrie pour nous » devait-il confier.

Alors qu’il pensait que c’était très manuel, l’élu se dit impressionné par l’aspect technologique de l’usine : « beaucoup d’opérateurs techniques utilisent des machines très techniques », comme des robots palettiseurs.

Depuis la fondation d’une modeste imprimerie par Simon LEBHAR au début du XXème siècle, l’entreprise n’a cessé de se développer, portée par la continuité familiale. Toujours majoritaires au capital, les descendants de Simon LEBHAR ont successivement pris les rênes : Henri en 1938, Jean-Marc en 1980, puis les trois enfants de ce dernier, dont Frédéric, actuel président du conseil de surveillance, depuis 2023.

 

 

Une entreprise fidèle à son ADN industriel

 

Aujourd’hui, le groupe industriel emploie 280 collaborateurs et réalise un chiffre d’affaires de 50 millions d’euros. Il compte plus de 5 300 clients, parmi lesquels le groupe ACCOR (hôtels et restaurants). Depuis plus d’un siècle, LEBHAR a su se renforcer et diversifier ses activités grâce à l’acquisition de nombreuses entreprises : « Le Menu Parisien » en 1921, « Vautrin » en 2008, ou encore « Eppe Packaging » en 2016. Certaines de ces intégrations, comme celle de l’entreprise « COLLIN » en 1987, ont permis d’élargir l’offre de produits, comme le souligne Yann BARNERIAS.

Malgré quelques épreuves, notamment un incendie, l’entreprise a su faire preuve d’une remarquable résilience. Son dynamisme s’est illustré notamment pendant la crise sanitaire, période durant laquelle l’essor des ventes à emporter a entraîné un pic d’activité. Plus d’un siècle après sa création, LEBHAR continue de conjuguer tradition familiale et esprit d’innovation, en s’adaptant aux évolutions du marché tout en restant fidèle à son ADN industriel.

 

Floriane BOIVIN 

 

 


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Est-ce un oubli ou ne souhaitait-il pas abuser de la formule, une fois de plus, lors de l’exercice officiel ? Pourtant, il en fera mention en aparté de la conférence de presse, devant réunir journalistes et institutionnels, au cabinet de la présidence du Conseil départemental de l’Yonne, vendredi matin. Grégory DORTE a parfaitement résumé le contexte qui touche les allocataires du RSA dont il désire remettre progressivement le pied à l’étrier de la vie professionnelle par une citation de Confucius : « Quand un homme a faim, mieux vaux lui apprendre à pêcher que de lui donner un poisson ! ». Une phrase idéale pour justifier la mise en place du nouveau dispositif d’activité de 15 heures hebdomadaires opérationnel depuis le 02 juin…

 

AUXERRE : « Le RSA ? Ce n’est pas une rente sociale à vie… ». Il a le sens de la formule sans langue de bois, le président du Département. Considérant que la politique d’insertion dans l’Hexagone est à bout de souffle, Grégory DORTE a décidé de convier les médias, ce jeudi, lors d’une conférence de presse, explicative sur le dispositif d’accompagnement des bénéficiaires du RSA (Revenu de Solidarité Active) envisagé désormais dans l’Yonne. Pour se faire, il était accompagné pour répondre aux interrogations des journalistes de la première vice-présidente, Sonia PATOURET, en charge de l’insertion par l’emploi.

Et en guise de préambule, l’édile de Pont-sur-Yonne posa immédiatement sur la table la problématique essentielle de ce dispositif qui incombe à la collectivité départementale, son coût exponentiel d’année en année, avec 60 millions d’euros par an. Alors que ladite collectivité ne possède pas la compétence économique, une véritable aberration fonctionnelle ! Il faut savoir, en outre, que cette importante enveloppe est compensée par l’Etat que pour moitié !

« On était à 54 millions d’euros en 2019, précise l’orateur, avec un nombre de bénéficiaires qui s’élève à près de 9 000 personnes. Si ce nombre est sensiblement le même depuis 2019, le coût allocataire, lui, est beaucoup plus élevé depuis cinq ans… ».

 

Des dérives et des contrôles insuffisants

 

Une règle de trois tiers s’applique à ces 9 000 bénéficiaires, selon l’appréciation de Grégory DORTE qui prend le temps d’en réaliser la démonstration arithmétique. Selon lui, un tiers de ces bénéficiaires sont les vrais cabossés de la vie (addictologie, accident de l’existence…) ; le second tiers intègre la catégorie de celles et de ceux qui « bidouillent » et jonglent avec les aides ; le dernier tiers correspond à celles et ceux qui passent leurs temps à regarder la télévision, assis dans leur canapé. Un argument qui a pour résultante d’irriter un Grégory DORTE qui doit faire face comptablement à la réduction drastique de son budget départemental…

« Sur les 60 millions d’euros versés au titre du RSA dans l’Yonne, ajoute Grégory DORTE, tout devrait être compensé par l’Etat ! Or, à date, il n’y a à peine la moitié de cette somme qui soit réellement compensée par l’Etat ! ».

L’Etat ayant procédé à un remboursement de 27 millions d’euros, aujourd’hui. Autre point de tension qui courrouce le président : les indus de la CAF ! A l’échelon national, cela représente 6,4 milliards d’euros. Soit des sommes versées au titre de prestations sociales par la Caisse d’Allocations Familiales indûment données à des bénéficiaires du RSA ! Selon un rapport récent de la Cour des Comptes, il a été établi que dans l’Yonne pour 2024, 5 millions d’euros sont liés à des versements injustifiés. Une situation budgétairement fragile qui appelle à une action déterminée et engagée de la part de la collectivité territoriale.

Réclamant davantage de transparence sur l’origine de ces versements, Grégory DORTE s’insurge contre ce laxisme ambiant qui explique autant d’indus. « Surtout, que cet argent est le fruit de nos impôts et que c’est de l’argent public ! ». L’élu en appelle même à un renforcement des contrôles effectués par la Caisse d’Allocations Familiales. Ceux qui sont pratiqués aujourd’hui ne répondent pas aux craintes des élus de l’Yonne : ils ne recouvrent en effet que 300 000 euros des cinq millions d’euros annoncés par la Cour des Comptes !

 

 

Une centaine de postes en immersion durant un mois pour commencer

 

Surfant sur la nouvelle réforme du RSA voulue par l’Etat, le Conseil départemental de l’Yonne – il a été précurseur et pilote avec une vingtaine d’autres départements en France afin de tester le processus de retour à l’emploi – a parmi ses priorités le retour à l’emploi de ces allocataires. Une concrétisation s’appuyant sur la mise en place progressive et avec la participation des collectivités de l’Yonne, du dispositif d’activité de 15 heures à 20 heures hebdomadaires. Cette initiative s’inscrit dans une logique d’insertion et de retour à l’emploi, autour de missions utiles, formatrices et adaptées à leur situation.

« Il ne s’agit pas de stigmatiser ni de pointer du doigt une certaine catégorie de personnes, souligne le président DORTE, c’est de les remettre le pied à l’étrier vers la vie sociale en leur donnant de l’autonomie, le goût de l’effort et de l’immersion en entreprise… ».

La collectivité départementale a donc décidé de jouer le jeu et d’accueillir ainsi un contingent d’une centaine d’allocataires sur une période d’un mois dans certains de ses établissements (collèges, musées, routes, médiathèques…) avec le concours incitatif des communes. Il est vrai que ce dispositif s’articule avec un accompagnement professionnel renforcé, mobilisant les équipes du Département et les acteurs locaux de l’emploi. Des ateliers de remise à niveau si besoin, des missions d’intérêt collectif et des périodes d’immersion professionnelle seront proposés. En somme, ce dispositif représente un véritable tremplin et non pas une sanction pour reprendre le sens de la marche vers l’emploi.

« Notre objectif est de permettre à chaque bénéficiaire du RSA de retrouver une dynamique de vie, une utilité sociale et une perspective professionnelle. Ces 15 à 20  heures hebdomadaires sont un levier pour redonner confiance, rompre l’isolement et construire un avenir. L’objectif est de créer des opportunités d’engagement, d’acquisition de compétences et de reprise progressive d’une activité adaptée… ».

Deux personnes ont débuté ce nouveau schéma immersif depuis le 02 juin. Ces offres d’immersion sont ouvertes soit au sein du Département, soit auprès des collectivités qui ont été sollicitées, une vingtaine ont répondu favorablement à l’instar d’Auxerre, Joigny, Bléneau, Montholon, Joigny, Sens ou Pont-sur-Yonne (il va de soi !). Même des structures privées se sont engagées dans ce dispositif comme l’abbaye de Pontigny ou le centre commercial LECLERC à Sens.

Ce dispositif représente une manière tangible d’avoir plus de rigueur administrative à l’avenir et de lutter efficacement contre le laxisme habituel – le mal français par excellence ! – observé dans la gestion de l’employabilité dans l’Yonne.

De quoi s’inspirer du philosophe chinois Confucius, effectivement, auteur de la maxime suivante : « Celui qui aime à apprendre, est bien près du savoir »…

 

En savoir plus :

La volonté du Département est claire : faire du retour à l’emploi une priorité. Depuis 2019, des résultats ont été obtenus :

  • baisse de l’ancienneté moyenne des allocataires (de 6 ans à 4,5 ans),
  • réduction du nombre de bénéficiaires de près de 2 000 personnes depuis 2020.

2025 marque un tournant avec la mise en œuvre des dispositions de la Loi Plein Emploi :

  • inscription systématique de tous les bénéficiaires à France Travail,
  • signature d’un contrat d’engagement pour les bénéficiaires avec obligation de 15 à 20 heures hebdomadaires d’activités (formations, stages ou immersions en entreprises et en collectivités…).

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 

 


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La pose est lascive. Un brin étrange. Mais, très sensuelle. On dirait presque le corps d’une sirène ou une naïade sortant de l’eau. Dévoilant au grand jour, toute sa féminité. Le socle représente peut-être la tête et sa chevelure. Longue et gracieuse. Une petite merveille de créativité faite de bronze que l’on doit à l’artiste sénonaise, Valérie FAGEOT, venue le temps d’une exposition présentée ses œuvres aux lignes si féminines et dénudées dans la capitale de l’Yonne…

 

AUXERRE: Il ne reste plus que quelques jours pour se rendre à la galerie auxerroise « Au Théâtre des Arts » (soit le dimanche 08 juin inclus) pour y découvrir l’univers fascinant de la photographe de paysages et sculptrice icaunaise, Valérie FAGEOT. Une artiste qui a fait de la féminité son grand sujet de prédilection au fil du temps et qui présente en ce mois de juin une trentaine de pièces de bronze, réparties dans la galerie tenue par Claire EVIEUX.

« Féminité et sensualité ». Le titre de ce rendez-vous que ne manqueront pas d’apprécier les puristes de ces lignes épurées, de ces bronzes magnifiés par la créativité experte d’une artiste passionnée et fière de l’être. Plus de vingt ans après ses débuts artistiques, l’ancienne professionnelle de la communication – elle officiait au sein du quotidien régional « L’Yonne Républicaine » dans une vie antérieure – a bien négocié le virage de sa reconversion professionnelle, elle qui possède depuis dans sa besace un diplôme de mouleur noyauteur en fonderie d’art !

Sacrée Valérie ! La voilà devenue une artiste à la renommée régionale dont les sculptures séduisent les férus d’art contemporain et d’art tout court. Comme quoi : il y a toujours une vie après…la vie !

Elle s’est donc installée dans la galerie auxerroise, ouverte depuis quelques mois, située juste en face du théâtre d’Auxerre d’où son appellation si significative, pour montrer son travail, fait de dextérité et de patience.

« De la féminité à la sensualité » nous réserve quelques belles surprises au niveau de ces pièces formant une série évolutive, à base de corps réalistes, de courbes et de lignes de belle facture.

Présente au marché couvert à Sens au mois de mai, enchaînant en juin à Auxerre, la blonde Valérie n’arrête pas de garnir de rendez-vous son agenda artistique ; l’an passé, son travail avait été admiré par les férus de l’espace culturel de Gurgy lors d’une exposition collective. Chouette : la saison ne fait que commencer !

 

 

En savoir plus :

Exposition Valérie FAGEOT

A la galerie « Au Théâtre des Arts »

45 Rue Joubert

89000 Auxerre

Jusqu’à dimanche 08 juin 2025

 

Thierry BRET

 

 

 


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À la suite des graves violences survenues dans la nuit du 31 mai à Chalon-sur-Saône, en marge de la victoire du Paris-Saint-Germain en Ligue des Champions (rappel du score historique, un cinq à zéro flamboyant sur l’Inter de Milan), le député de la troisième circonscription de l’Yonne Julien ODOUL et les élus du Rassemblement National de Bourgogne Franche-Comté ont apporté leur soutien au maire de la ville, le Républicain Gilles PLATRET. Un rapprochement des droites avant l’heure ?

 

SENS : Il aura multiplié les messages courroucés sur les réseaux sociaux, durant ce week-end, le parlementaire de l’Yonne, Julien ODOUL ! Le député RN de la troisième circonscription du nord de la Bourgogne s’est dit profondément choqué par les « images déplorables » renvoyées depuis Paris, mais aussi d’autres agglomérations de l’Hexagone, à l’instar de Chalon-sur-Saône, imputables aux débordements violents, marqués par des tirs de mortiers, des dégradations de mobilier urbain et des agressions contre les forces de l’ordre après la victoire du Paris Saint-Germain sur l’Inter de Milan en Ligue des Champions de football. Un spectacle inacceptable, propre « à la haine de la racaille qui pollue chaque manifestation sportive en France ».

« Cela témoigne une nouvelle fois de l’ensauvagement d’une partie de la société pour qui chaque évènement festif est l’occasion de détruire, d’agresser et de piller..., devait-il écrire dans un communiqué de presse officiel, adressé aux médias régionaux, ce lundi matin.

Autre fait inqualifiable à ses yeux et à ceux des représentants du groupe Rassemblement National de Bourgogne Franche-Comté : l’exhibition du drapeau palestinien dans l’espace public de Chalon-sur-Saône.

Il y a quelques jours, le porte-parole du Rassemblement National, avait déjà eu l’opportunité médiatique de s’exprimer sur le sujet, celui de reconnaître ou non un Etat palestinien, par la France.

« Cette démarche de reconnaissance française serait une erreur historique et une faute grave, avait déclaré face caméra l’élu de l’Yonne, s’interrogeant sur la légitimité d’un Etat de Palestine qui est à l’heure actuelle dirigé par le Hamas. « Tous les observateurs sérieux le savent parfaitement, les conditions ne sont pas réunies pour aller en ce sens… ».

Pour qu’il y ait reconnaissance d’un Etat palestinien un jour de la part de la France, suggère Julien ODOUL, il faudrait que « des élus palestiniens défendent le droit d’existence d’Israël au sein de leur parlement, ce qui est loin d’être le cas aujourd’hui… ».  

 

 

« Un drapeau devenu le symbole de tous les désordres et de tous les groupuscules »

 

La présence d’un drapeau palestinien exhibé durant les manifestations populaires à la gloire du club sportif de la capitale l’insupporte au plus haut point. Il s’en explique : « En effet, ce drapeau, qui était auparavant celui de la « cause palestinienne », est devenu le symbole et l’étendard de l’intégrisme, de la violence islamiste et antisémite, du terrorisme… ».

D’ailleurs, l’élu de l’Yonne a pris position en faveur de l’édile Républicain de la sous-préfecture de Saône-et-Loire, Gilles PLATRET, qui a interdit la présence de ce drapeau lors des manifestations.

« Ce drapeau palestinien est devenu le symbole de tous les désordres. En Israël, c’est sous cette bannière que l’on justifie les attaques terroristes et le pogrom du 07 octobre 2023. En France, il est la bannière de ralliement de l’union de l’extrême-gauche sauce LFI, des islamistes et des délinquants. On sait qu’il est le totem de groupuscules et de personnes ultra-violentesSon déploiement s’accompagne systématiquement d’appels à la haine et de débordements intolérables. Il faut être inflexible et interdire son usage, répondre par la fermeté aux mouvements qui s’en revendiquent ».

Julien ODOUL n’est pas le seul des élus du Rassemblement National de la contrée à réagir de la sorte. Le groupe, siégeant au Conseil régional, a suivi à l’unisson sa prise de position, en soutien au maire de Chalon-sur-Saône.

« Le Rassemblement National appelle à généraliser ce type de mesures de fermeté sur l’ensemble du territoire national pour éviter la contagion et l’importation d’un conflit instrumentalisé par l’extrême gauche en France, conclut dans son message envoyé à la presse, Julien ODOUL.

Bref, le drapeau noir est hissé par le RN dans sa lutte contre le communautarisme !

 

Thierry BRET

 


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Ils ne sont peut-être qu’une poignée à se retrouver à l’occasion de l’assemblée générale annuelle, mais leur motivation reste la même comme au premier jour ! Favoriser l’insertion par le logement. Et sur ce registre-là, il y a pourtant du pain sur la planche pour résoudre bien des problématiques dans notre société. Dans l’Yonne, Habitat et Humanisme ne cesse depuis 2017 de militer et agir afin d’accompagner les personnes en situation complexe dans la réinsertion sociale par le biais du logement. Avec chaque année, de nouveaux projets dans la tête…

 

VALLAN : D’ici peu, la résidence intergénérationnelle de Sens ouvrira ses portes pour y accueillir ses premiers bénéficiaires. Une quarantaine de logements seront ainsi proposés par Habitat et Humanisme 89 aux personnes en proie aux difficultés financières.

« C’est le gros projet de développement de cette année, concède Jacques HOJLO à la tête de la structure associative depuis la saison dernière – il a succédé à Roger ROUSSEL qui avait effectué un travail considérable durant son mandat – en qualité de président. Dans cette résidence, poursuit-il, on retrouvera des logements pouvant accueillir tout le monde mais aussi des logements sociaux avec différents niveaux d’accès (PLAI, PLUS, PLS…) et cinq logements temporaires proposés en location aux personnes en transition et en quête de stabilisation sociale et durable… ».

Le propre des missions de l’entité icaunaise, affiliée à la structure nationale qui commémore cette année son quarantième anniversaire ! Ces cinq logements seront mis à la disposition de leurs bénéficiaires pour une durée de deux ans au maximum, de quoi leur laisser le temps de rebondir vers des situations locatives et professionnelles plus pérennes.

 

« Nous recherchons toujours des bénévoles »

 

La recherche de logements avec des propriétaires solidaires demeure néanmoins le gros du travail pour les adhérents de la structure associative qui procédait il y a quelques jours à la salle des fêtes de la commune de Vallan à son assemblée générale ordinaire coutumière.

Certes, il n’y avait pas pléthore de participants lors de cette réunion mais le noyau dur de fidèles était toujours vaillant pour tenter de mobiliser le plus possible de propriétaires ayant le sens de la solidarité immobilière.

« Nous recherchons toujours des bénévoles pour accompagner nos bénéficiaires, glissa Jacques HOJLO en substance, de nouveaux contacts se sont manifesté tant à Auxerre que sur Sens ce qui est plutôt encourageant ! ».

Des contacts qui peuvent également ruisseler via le site numérique de la fédération nationale et basculer ensuite sur l’entité départementale de la Bourgogne septentrionale. Preuve que cela fonctionne : trois nouveaux bénévoles ont rejoint les rangs à Auxerre de l’association « Habitat et Humanisme 89 ». De quoi satisfaire le président HOJLO !

Reste la problématique récurrente d’optimiser les biens à proposer à la location sociale.

« Ce n’est pas facile, précise le président, les propriétaires sont le plus souvent en quête des meilleurs bénéfices et résultats financiers imputables à la location de leur bien. On leur propose alors de devenir des « bailleurs solidaires », c’est-à-dire qu’ils proposent un loyer légèrement inférieur à leur locataire contre une défiscalisation… ».

 

 

 

L’accompagnement est la première des missions

 

Mais, le chemin du combattant pour obtenir des logements ne s’arrête pas là pour les adhérents d’Habitat et Humanisme 89 ! Bon nombre de logements pouvant être proposés à la location sont en partie dégradés.

« Ces logements ne sont plus dans les standards pour la location, aujourd’hui, souligne Jacques HOJLO, il existe des règles qui obligent de remettre les logements à niveau (le respect du DPE, notamment) et malheureusement, ce ne sont pas les locataires qui peuvent réaliser cet effort financier pour les remettre à niveau… ».

« Habitat et Humanisme 89 » n’est pas seule pour aborder ce délicat sujet. L’entité travaille de concert avec les services de l’ADIL et de SOLIHA au niveau départemental dans le cadre du concept « Bail Rénov » qui prodigue des conseils aux propriétaires afin d’améliorer leur logement. Notamment au niveau énergétique.

De son côté, Habitat et Humanisme aide à trouver les locataires idoines rentrant dans les critères retenus.

« Il y a énormément de personnes en grande difficulté financière, insiste Jacques HOJLO, ce sont des gens qui sont originaires de la région mais également des migrants. Notre mission est en premier lieu l’accompagnement et non la gestion immobilière… ».

Un travail de fourmi et besogneux, certes, mais ô combien important par rapport aux énormes besoins de logement des plus précaires.

 

Thierry BRET

 

 


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