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Le projet a séduit parmi les hautes sphères étatiques où se prennent les décisions. Logique, quand il s’agit de valoriser la production des agriculteurs locaux. Surtout après les périodes de disette, synonymes de gel ou de sécheresse. Alors dès que le dossier de candidature constitué dans le cadre de l’appel à projets structuration de filières agroalimentaires et agricoles a été déposé par 110 BOURGOGNE, il avait toutes les chances d’aboutir et de toucher le jackpot. Banco ! La subvention accordée par l’Etat s’élève à 1,5 million d’euros…

 

NITRY : C’est presque à une finale olympique, l’épreuve reine des Jeux, celle du cent mètres à laquelle a pris part la coopérative agricole de Bourgogne-Franche-Comté ! Le tour de force est à la hauteur de l’évènement : se qualifier parmi les huit prétendants nationaux au titre suprême pour tenter de décrocher la timbale. Identifiée dans le cas présent par une généreuse obole qui est versée par l’Etat dans le cadre du plan France Relance.

Au bout du compte, Gérard DELAGNEAU, le toujours vaillant président de la vénérable institution et son directeur, Jean-Marc KREBS, ne regrettent pas une seule seconde le temps consacré par leur service administratif au montage de ce que l’on suppose être un volumineux dossier.

Grâce à cela, 110 BOURGOGNE est l’un des huit premiers lauréats nationaux à bénéficier d’une subvention délivrée à point nommé pour encourager la filière agricole à repartir du bon pied après la sortie de crise. Au total, ce sont plus de sept millions qui vont être ainsi répartis sur ces huit structures dont 1,5 million attribués à la seule coopérative régionale.

Une aubaine qui se convertira en financement d’une partie des investissements indispensable à la réalisation d’un ambitieux projet en lien avec les contrats filières. D’ici douze mois, la structure souhaite développer une filière blé misant tout sur la qualité du produit. Un audacieux projet qui répond à de nouveaux impératifs d’ordre économique.

Pour se faire, la sécurité de la production doit être garantie : c’est la condition sine qua non de la réussite de ce nouveau cheval de bataille. Cela passe nécessairement par l’apport de nouvelles techniques de stockage, occultant toute présence d’insecticides.

Quatorze silos sont concernés par l’application de cette feuille de route stratégique de belle envergure. Ils sont neuf dans l’Yonne dont celui de Nitry, trois en Côte d’Or et deux en Seine-et-Marne. Réhabilités, ils permettront à terme d’accroître la capacité de stockage destinée aux productions en filière de cent mille tonnes. Les travaux ont été planifiés pour les cinq mois à venir. Ils ont démarré le 02 février dernier.

 

 

Une genèse débutée il y a sept mois…

 

Peut-être que la crise sanitaire y est pour quelque chose dans ce choix stratégique. C’est en tout cas ce que laissent entendre les dirigeants de la coopérative ayant observé un regain d’intérêt des consommateurs pour la qualité et l’origine des aliments dégustés dans leur assiette.

Côté ventes, il est vrai que les produits tracés Origine France ont connu une réelle progression de la part des professionnels. Encourageant les têtes pensantes de 110 Bourgogne à revoir quelque peu leur ligne stratégique. Ils ont décidé de donner une impulsion fortement prononcée au développement des contrats filières à destination de leurs adhérents.

But avoué de la manœuvre : la satisfaction des attentes du marché sans oublier de valoriser au passage les productions des agriculteurs.

Ensuite, le processus va s’accélérer. Dès octobre, la recherche de nouveaux débouchés s’inscrit parmi les priorités pour les équipes de l’union SeineYonne. Notamment pour des contrats de production en CRC, acronyme signifiant « culture raisonnée contrôlée ».Ceux de la célèbre enseigne transalpine, BARILLA, entrent également en ligne de compte.

 

 

 

 

En toute logique, la coopérative régionale étudie alors la faisabilité de ce projet bien ficelé, tant au niveau des infrastructures existantes que des matériels pouvant accueillir ces productions.

Faisant montre de réactivité, les dirigeants de 110 Bourgogne ne tergiversent pas. En novembre 2020, les contrats filières en CRC et BARILLA sont proposés à de nombreux adhérents de l’entité.

Résultat des courses : en l’espace de six semaines, ce sont seize entreprises qui seront contactées. A l’issue, 74 devis seront établis.

On connaît la suite : le fameux dossier de candidature à l’appel à projets sera adressé à Paris en janvier. Avec bonheur, quant à ses retombées financières !

In fine, ce sont 45 % des blés de la coopérative en filière qualité tracés qui sont attendus pour la récolte 2021.

Quant au gain de valeur ajoutée, il est évalué à 1,1 million d’euros qui seront distribués aux adhérents. Elle n’est pas belle la vie ?

 

Thierry BRET

 

 

 


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La place de la femme dans la société a souvent été remise en cause. Aujourd’hui, elles luttent pour obtenir une réelle égalité avec les hommes. Création d’entreprises, PDG, les femmes décident. Selon l’INSEE, en 2020, c’est 39 % des nouvelles entreprises individuelles qui ont été créé par des femmes. Ces chiffres sont en évolution depuis les vingt dernières années. Mais, les corps de métiers restent, eux, assez restreint.

 

TRIBUNE : Les femmes sont plus souvent assignées à effectuer un travail administratif ou dans le domaine de l’éducation. Celles-ci sont moins représentées dans les postes à responsabilités. Elles sont souvent moins prises au sérieux que les hommes et ce, davantage dans le secteur de l’entreprenariat et de l’économie. Selon l’INSEE, « en 2017, en France, les femmes salariées du secteur privé gagnent en moyenne 16,8 % de moins que les hommes en équivalent temps plein ».[1]

 

Un changement progressif des mentalités…

 

Les femmes sont toujours aussi déterminées à obtenir l’égalité entre elles et les hommes. Elles veulent faire entendre leur voix et elles sont aidées. C’est le cas avec Elisabeth MORENO, ministre déléguée auprès du Premier ministre, chargé de l’Egalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Egalité des chances.

En effet, elle a lancé un appel à projet afin de permettre d’aider la création de l’entreprenariat féminin. Elle l’a annoncé le 22 avril dernier lorsqu’elle a rencontré Julia CATTIN qui à seulement 34 ans est la PDG de FIMM, un concepteur et fabricant français de solutions de manutention à Joigny. La ministre déléguée y invite toutes les femmes qui souhaitent créer leur entreprise ou bien alors relancer cette dernière. La représentante de l’Etat vise pleinement une indépendance économique pour les femmes.

Celles-ci sont aussi aidées par d’autres femmes. « L-start » – La réussite au féminin[2], est une plateforme en ligne totalement dédiée à la création d’entreprise. Conçue par deux femmes, Dominique DESCAMPS et Sophie COURTIN-BERNARDO qui ont construit depuis presque trente ans, une expérience entrepreneuriale. Elles ont alors imaginé « L-Start » qui va apporter des outils pratiques, des formations, des méthodologies validées aux femmes qui veulent se lancer. Tout ceci sous la forme d’abonnement mensuel sans engagement.

63 % des femmes considèrent qu’il est plus motivant pour elles de créer leur propre entreprise plutôt qu’être salariée. Leurs motivations sont claires : « concrétiser une idée personnelle (47 %) », « donner du sens à leur vie professionnelle (46 %) » et « gagner en liberté (34 %) ».

C’est ce qu’à montrer le sondage réalisé par OpinionWay en 2020 pour France Active et BPI France.[3]

Aujourd’hui, les femmes osent. Le monde est porté par le numérique et notamment avec les réseaux sociaux. De ce fait, les femmes ont le pouvoir de se faire entendre, de véhiculer une information et d’être soutenue. Cela n’était pas forcément le cas avant l’arrivée de toutes ces technologies ; elles n’avaient pas la possibilité d’être soutenue.

 

Jordane DESCHAMPS

 

[1] https://www.insee.fr/fr/statistiques/4514861

[2] https://l-start.com

[3] https://www.franceactive.org/wp-content/uploads/2018/03/CP-Femmes-entrepreneurs-Etude-France-Active-Bpifrance-V7.pdf


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Environ deux mètres de plus ! C’est le niveau de surélévation, désormais nécessaire, pour construire le futur centre aquatique de Puisaye-Forterre à Toucy. Obligatoires pour garantir la pérennité du projet, les études géotechniques viennent de délivrer leur verdict pertinent. Elles ont décelé la présence d’une nappe phréatique à un niveau très proche de la surface du sol. Entraînant de facto une contrainte budgétaire supplémentaire qui est estimée à 620 000 euros hors taxes…

 

TOUCY: C’est un comble pour la construction d’un complexe aquatique. Sa future édification est perturbée par la présence d’une nappe d’eau dans le sol ! Un peu fort de café !  

L’emplacement du centre aquatique intercommunal qui a été validé le 17 décembre 2017 par le conseil communautaire de Puisaye-Forterre se situe en effet précisément sur une zone géologique où une nappe phréatique se trouve à proximité de la surface. On nomme cette caractéristique si particulière, « zone classée en nappe sub-affleurante ».

La découverte de ce liquide indésirable à moins de trois mètres de la surface du sol contrarie quelque peu les plans des concepteurs de l’édifice. Elle est la résultante d’études géotechniques poussées, obtenues au fil de ces dernières semaines, dans le cadre de l’avant-projet.

Des analyses obligatoires, on s’en doute, avant d’entreprendre les moindres travaux qui permettent de garantir la pérennité de l’ouvrage.

Les conclusions de cette étude de cas qui n’avait rien de virtuelle sont péremptoires. Le futur bâtiment accueillant la piscine et ses équipements annexes ne peut être envisagé autrement qu’en étant rehaussé d’environ deux mètres au-dessus du niveau projeté jusqu’alors.

Naturellement, il est exclu de ne pas tenir compte de ces conclusions plus que sérieuses et non hâtives. Conserver le schéma initial du projet d’implantation conduirait à créer une inévitable interférence entre le niveau de la nappe phréatique et les bassins enterrés. Que d’eau, que d’eau, pourrait-on dire alors en cas d’hypothétiques soucis !

 

 

 

L’autofinancement du projet par la CCPF n’est pas modifié…

 

Mais, de cela, il n’y aura pas. Il est prévu justement un rehaussement de l’infrastructure. Prévoyants, les instigateurs de ce dossier ont provisionné 300 000 euros hors taxes pour le poste des fondations spéciales dont une rampe qui favoriserait l’accessibilité des personnes à mobilité réduite.

Toutefois, l’impact budgétaire inhérent à ces probables modifications s’élève à 620 420 euros hors taxes.

Lors d’une conférence de presse qui précédait la tenue du conseil communautaire accueilli à Bléneau au soir du 26 avril, le président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI s’est voulu rassurant sur ce dernier point : « Ce dépassement de budget ne modifiera pas l’autofinancement de l’intercommunalité ».

Celui-ci s’élève à plus de 3,9 millions d’euros alors que le montant total du projet coûte près de 7,9 millions, englobant les études, la maîtrise d’œuvre et les travaux.

Le complément financier proviendra d’une aide exceptionnelle au titre de la DETR (Dotation d’équipement des Territoires Ruraux) de l’ordre de 100 000 euros, obtenue dans le cadre du plan de relance.

 

 

En sus, la Ville de Toucy a voté une enveloppe complémentaire de 250 000 euros pour faire face aux dépenses connexes liées à cet investissement.

Soucieux de préserver l’équilibre global de ce projet malgré la modification de son plan de financement, le président communautaire a revu le programme initial.

Il a ainsi placé en aparté la présence des jeux aqualudiques extérieurs dans une corbeille optionnelle portée à la consultation des entreprises et à ses résultats.

En terme clair, ces auxiliaires de distraction supplémentaires ne pourraient être réalisés qu’en fonction du verdict de l’appel d’offres lancé prochainement auprès des artisans.

Sachant que cette plaine aqualudique requiert a minima une enveloppe de 150 000 euros pour son élaboration.

 

Thierry BRET

 

 


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Etre capable d’aller plus loin. De gravir les ultimes marches qui conduisent au succès, sans trop se mettre la pression. Ce sont les messages que véhicule à quelques heures de cette rencontre capitale face au Stade Malherbe de Caen l’entraîneur auxerrois, Jean-Marc FURLAN. L’enjeu est de taille. Il y a en bout de ligne une place de barragiste, synonyme d’éventuelle remontée en Ligue 1 à conquérir…

 

AUXERRE : Il « flippe » quelque peu le coach de l’AJ Auxerre et il le dit haut et fort ! Non seulement, il y a les absences de deux pièces maîtresses dans son échiquier défensif à déplorer pour cette trente-sixième confrontation en Ligue 2. Mais, en outre, la pression est bel et bien présente dans tous les esprits impatients d’arriver au plus près de l’objectif : décrocher l’une des trois places qualificatives pour des play-offs menant peut-être vers la division supérieure.

L’adversaire du jour, le Stade Malherbe de Caen, n’est pas un perdreau de l’année. Même si les Normands ne sont plus que l’ombre d’eux même après de belles années en Ligue 1.

Pointant à la dix-huitième place du classement, les protégés de Fabrice VANDEPUTTE tenteront néanmoins un baroud d’honneur en trois rencontres sèches pour sauver leur saison calamiteuse.

Face à Auxerre (cinquième), tout d’abord, puis contre Toulouse (troisième) et enfin en affrontant Clermont (deuxième) ! Autant dire que la mission est presque impossible à réaliser pour éviter d’affronter le barragiste de National, voire de succomber aux dangereux chants des sirènes de la rétrogradation.

Alors, Caen sera-t-il le pourfendeur des rêves de l’AJ Auxerre qui n’avait plus connu pareille position stratégique depuis des lustres ?

En vieux renard de la chose footballistique qu’il est devenu au fil des ans, Jean-Marc FURLAN sait pertinemment en son for intérieur que ce déplacement dans le Calvados sent le piège à plein nez. Une chausse-trappe dans laquelle ses protégés ne doivent pas tomber !

 

 

Alléger les joueurs de toute pression…

 

Certes, Caen sera sous pression avec cette nécessaire ambition de se révolter pour ne pas passer sous les fourches caudines de ses supporters.

Mais, les Bourguignons ont des prétentions à faire valoir sur le terrain, possédant la seconde attaque du championnat avec un actif de soixante buts validés contre une petite trentaine à leurs adversaires du jour.

Face aux individualités caennaises, l’entraîneur de l’AJA fait confiance à ses joueurs pour qu’ils débloquent très vite la situation en ouvrant les premiers le compteur. Pour l’heure, l’équipe semble vivre du mieux possible la pression. Comment ? En l’évacuant !

« Je les allège de ce poids, confie l’ancien Girondin, je leur dis : soyez légers avant de pénétrer sur le terrain ! ».

Suffisant pour ramener les trois points de Normandie ? Verdict : samedi soir aux alentours de 22 heures.

 

Thierry BRET

 

 


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Prévu d’être diffusé en novembre, le dernier opus d’Albert DUPONTEL où il se met en scène aux côtés de l’irrésistible Virginie EFIRA était passé à la trappe à cause du second confinement. Le long métrage aux sept César est de nouveau dans les starting-blocks de la programmation de l’association « Druyes fait son cinéma ». Un peu de lumière salvatrice dans la grisaille ?

 

DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES : Le cinéma va-t-il enfin reprendre ses droits légitimes après une longue période de disette culturelle même dans nos campagnes ? Si l’impatience commence à se faire ressentir auprès des aficionados du grand écran, la nouvelle qui suit pourrait leur redonner enfin le sourire.

Notamment celles et ceux de ces fidèles de longue date qui assistent de manière métronomique aux séances proposées chaque mois par l’association « Druyes fait son cinéma ».

Sa présidente, Danielle GERVILLE-REACHE, vient d’annoncer par voie numérique la probabilité d’heureuses retrouvailles dans la salle des fêtes de la commune, là où sont projetés habituellement les films, à la mi-mai.

« Nous ne pouvons pas aujourd'hui vous préciser la prochaine date de cette séance cinématographique, explique-t-elle. Nous attendons avec impatience que l'on nous annonce la réouverture des lieux publics de culture… ».

Selon toute vraisemblance au vu des informations qui tombent en cascade depuis quelques jours via les instances étatiques, ce sera sans doute en milieu de mois.

Dès lors, « Druyes fait son cinéma » reprogrammera l’un des films les plus récompensés lors de la cérémonie des César, « Adieu les cons ».

 

 

700 000 entrées en neuf jours d’exploitation en salles…

 

Portée aux nues par la critique, l’opus a remporté sept trophées dont ceux de meilleur film, meilleur second rôle, meilleur scénario, meilleur photo, meilleur décor ainsi que le prix accordé par les lycéens !

Sans doute seront-ils nombreux, les habitants de la localité de Puisaye-Forterre, voire de plus loin, à se rendre à cette soirée fleurant bon un parfum de liberté.  D’autant que le film d’Albert DUPONTEL aborde des sujets de société très actuels tels que le « burn-out », les maladies professionnelles, les violences policières, le hacking…    

Bref, autant d’items qui évoquent quelque peu notre société délétère dont il faut parfois se moquer. Sorti le 09 octobre dernier, « Adieu les cons » ne fut exploité qu’une dizaine de jours dans les salles obscures de l’Hexagone. Toutefois, il avait déjà dépassé les 700 000 entrées…

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 


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