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Ne pas donner un coup d’arrêt aux projets ! Le message adressé par la gouvernance du conseil communautaire de Puisaye-Forterre à ses détracteurs est, on ne peut plus, explicite. Pourquoi un territoire mettant les petits plats dans les grands afin de se moderniser suspendrait ses investissements ? Cela serait fatal à son essor. C’est ce qu’ont expliqué en chœur le président Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI et son vice-président en charge des Finances Alain DROUHIN lors d’une conférence de presse qui fera date.

 

CHARNY-OREE-DE-PUISAYE : L’exercice n’est pas commun dans le landerneau. C’est même le premier qui soit organisé en l’état à destination de la presse locale. Autant dire que la formule, riche et instructive à bien des égards, a eu l’heur de plaire aux deux instigateurs qui avaient pris soin de la réaliser à quelques minutes de leur entrée en piste face au conseil communautaire.  

Retrouver côte à côte, assis à la même table de la salle du conseil de la mairie qui accueillait ce rendez-vous, ces deux poids lourds de la politique locale que sont Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI et Alain DROUHIN face aux journalistes représentait une réelle première !

« J’ai souhaité travailler aux côtés du président SAULNIER-ARRIGHI pour préserver et encourager les intérêts du territoire et de sa dynamique, déclara en guise de préambule le maire de Bléneau et administrateur de Yonne Equipement Alain DROUHIN.

Rappelant qu’il se mettait au service de la population, l’élu de l’Yonne a donc choisi le registre de la concordance des temps et de l’harmonie au beau fixe avec son homologue territorial. En faisant abstraction de toute frilosité !

Le grand « argentier » communautaire devait intervenir un peu plus tard au cours de ces échanges nourris de questionnements afin de dévoiler la ligne d’orientation budgétaire requise pour mener à bien les projets à venir.

Ces projets, au nombre de huit, constituent la clé de voûte de l’édifice communautaire. Ils furent longuement évoqués par le président lors de sa prise de parole initiale.

 

Des séminaires en amont pour acter la feuille de route stratégique…

 

Chantre du développement économique, le conseiller régional et édile de Moulins-sur-Ouanne est lui-même très investi dans le domaine. Il occupe la fonction de délégataire départemental de l’AER, l’Agence économique de la région.

Tour à tour, il balaiera dans le détail les huit dossiers au centre de la stratégie qui doit donner la nécessaire impulsion et sa résonance légitime à l’attractivité communautaire.

Pour mémoire, citons dans un court inventaire à la Prévert l’aménagement des zones d’activités, le développement du haut débit numérique, l’éclosion des maisons de santé à vocation pluridisciplinaire, le centre aquatique dont l’édification est prévue à Toucy, l’amélioration de l’habitat, la voie verte et ses diverses opportunités de prolongement dans une optique touristique efficiente, l’aménagement du nouveau siège devant accueillir la CC PF à Saint-Fargeau ainsi que, sur le secteur nivernais, l’hébergement du CNIFOP (Centre international de la formation aux métiers d’art et de la céramique) à Saint-Amand-en-Puisaye.

 

 

D’ailleurs, cette feuille de route à six ans, soit la durée du mandat, servit de fil d’Ariane constructif pour les élus lors des différents séminaires concoctés au cours du dernier trimestre 2020.

Là aussi, ce fut une grande première pour la Communauté de communes de Puisaye-Forterre, décidément très en verve en matière d’innovations !  

Y furent examinées à la loupe et à l’appui de moult discussions les thématiques suivantes : celles des compétences de l’organisme et le saint des saints des sujets à aborder en priorité, le financement de ces fameux huit grands projets. Presque les travaux d’Hercule pour leurs défenseurs !

 

 

33 euros de hausse fiscale sur le foncier bâti en moyenne…

 

Qu’à cela ne tienne, la plupart des élus souscrivaient en le manifestant à main levée en faveur des choix budgétaires qui leur furent présentés par Alain DROUHIN.

C’est à ce moment précis de la conférence de presse que le maire de Bléneau prit soin de détailler la perspective de nouvelles ressources qualifiées d’indispensables permettant de financer les projets.

« En l’état actuel des choses, la collectivité ne dégage pas un autofinancement suffisant pour supporter cette feuille de route. Au moment du regroupement communautaire survenu en 2017 la hausse de la pression fiscale annuelle ne s’est élevée que de 3 % et ne fut appliquée que l’année suivante, constate l’élu.    

Or, la volonté de rendre ce territoire occidental de l’Yonne encore plus attractif à l’avenir passe obligatoirement par trois directions stratégiques majeures.

Que ne manquera pas d’expliciter l’élu en charge des finances devant les médias : la poursuite d’une gestion rigoureuse se rapportant au personnel de l’organisme communautaire (le recrutement entre 2017 et 2021 n’a pas excédé cinq nouveaux emplois), une meilleure équité financière entre l’EPCI et les communes et surtout, un coup de pouce à la fiscalité applicable au foncier bâti.  

Une légère augmentation, certes, mais maîtrisée et plutôt indolore pour les foyers puisqu’elle s’établira à 33 euros en moyenne par foyer, avec une oscillation comprise entre 11 euros et 70 euros dans sa fourchette la plus élargie.

Son application devrait être suffisante pour que l’organisme communautaire bénéficie de davantage de souplesse et d’aisance financière (plus d’un million d’euros) pour répondre aux besoins d’investissements prévus au cours de la mandature.

Toujours dans un souci de préserver le monde de l’entreprenariat en proie à de sérieuses difficultés imputables à la pandémie, la CC PF a exclu de la feuille de route la CFE (Cotisation foncière des entreprises).   

Avant de clore ce premier exercice oratoire qui manifestement en appellera d’autres, les duettistes devaient rappeler à la raison celles et ceux des élus qui verraient le report de ces investissements liés aux huit grands projets comme une absolue priorité.

Sans équivoque, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI refusa l’impensable, balayant d’un revers de la main les arguments contradictoires de son opposition.

« Déplacer l’ensemble de ces axes de travail qui vise à l’émancipation de notre territoire lors de la prochaine mandature, celle devant courir entre 2026 et 2032, serait proprement irresponsable ! Aujourd’hui, parmi les dotations financières qui nous arrivent pour les concrétiser, nous allons toucher des fonds européens sans oublier ceux issus du plan « France Relance ». Pouvons-nous décemment nous autoriser à perdre ces subsides et refuser que notre territoire avance ? ».

Son de cloche identique de la part du vice-président Alain DROUHIN.

Ce dernier pointa l’index sur l’ère inflationniste s’amorçant devant nous en précisant  « qu’il fallait mieux s’endetter un peu aujourd’hui avec des taux contenus que plus tard avec des taux qui risquent de flamber du fait de la résultante de la conjoncture économique… ».

Deux élus en parfaite symbiose au niveau de leurs discours qui ne répondent qu’à un seul et unique objectif très consensuel : l’attractivité et le développement de leur territoire de prédilection !

 

Thierry BRET

 


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Le personnage est truculent et volubile. Les anecdotes qu’il distillera en visioconférence depuis le théâtre champêtre de La Closerie ne manqueront pas de remémorer d’excellents souvenirs aux inconditionnels de « La Rue Sésame » ou d’autres émissions cultes, diffusées jadis par TF1. Le réalisateur de « Sur les pas de Gérard-André » évoquera bien sûr l’amitié qui le lie au troubadour/poète de l’Yonne. Une soirée où planera l’ombre de BRASSENS et de son titre fétiche : « Les Copains d’abord » !

 

ETAIS-LA-SAUVIN : Souvenirs et nostalgie seront au rendez-vous, c’est sûr, de cette causerie concoctée par le maître des lieux, l’auteur-compositeur et interprète Gérard-André.

Avec sa muse, la toujours sémillante Andrée, l’artiste propose un rendez-vous thématique virtuel comme il en a pris l’habitude depuis plusieurs semaines en mettant l’accent sur les métiers de l’audiovisuel et la passion de l’un des réalisateurs qui a donné plus de trente ans de son existence à TF1, Claude ROUTHIAU.

Durant quatre décennies, celui qui fit ses armes sur le programme destiné aux enfants, « 1 Rue Sésame » aura eu le temps de cultiver son expertise et sa sagacité aux côtés des plus grands noms du PAF : Pierre DUMAYET, Pascale BREUGNOT, Jean-Marc MORANDINI, Laurent FONTAINE, Pascal BATAILLE ou encore Jacques PRADEL. Sans omettre l’inoubliable Pierre BONTE !

 

 

Installé dans l’Yonne depuis l’an 2000, Claude ROUTHIAU se passionne pour ce territoire qui le lui rend bien en l’inspirant de reportages de qualité qu’il réalise aux petits oignons.

Amateur de musique, il se consacre au tournage de documentaires sur l’Escale, le fameux cabaret de Migennes qui a vu les débuts du regretté Johnny HALLYDAY au début des années 60. Mais, ses pérégrinations l’amènent aussi à filmer des typicités propres à ce territoire : le site d’inspiration médiévale de GUEDELON, les bouchons de Joigny ou l’éclusier de Bassou…

En avril 2016, le réalisateur met en boîte les images de l’artiste Gérard-André pour la postérité. Une postérité aussi forte que leur amitié dont le fil d’Ariane sera perceptible ce soir aux alentours de 21 heures !

 

Thierry BRET

 

En savoir plus :

Pour se connecter librement sans inscription sur le site de La Closerie   https://www.google.com/url?q=http:

https://www.lacloserie-spectacles.fr/   ou sur Facebook https://www.google.com/url?q=http://

https://www.facebook.com/gerardandre.gerardandre

 

 

 


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Le pari était audacieux. Il s’avère ô combien nécessaire depuis sa concrétisation pour que les Icaunais retrouvent enfin un goût de liberté dans leur vie personnelle. Se rendre dans une boutique où l’on évoque librement le sexe et ses pratiques, tout en découvrant les dernières créations de jouets qui procurent du plaisir est possible depuis le 28 novembre. L’endroit de ce love shop ? Il se situe à PERRIGNY. Qu’on se le dise dans les chaumières !

 

PERRIGNY : Voilà un projet professionnel qui a su mûrir tranquille entre deux périodes de confinement. Non-dénué de pertinence quant au choix de son orientation ultime.

Ouvrir un love shop alors que l’amour semble avoir totalement disparu des écrans radars de notre existence du fait de l’hégémonie outrancière de la COVID-19 était sur le papier totalement en décalage.

Oui, mais voilà. C’était ne pas connaître le degré d’obstination de la porteuse de ce concept, Rafaèle BORGES. Choisir la date du 28 novembre pour formaliser de manière officielle sa boutique ne lui a posé aucun problème de conscience !

Implanté dans la zone des Bréandres, le commerce au nom si évocateur est une invitation immédiate à venir se délecter de choses agréables qui sont loin d’être futiles dans le contexte actuel.

Un contexte qui est monopolisé par les taux d’incidence, le nombre de décès au quotidien dû à la pandémie et la récurrente problématique de l’approvisionnement en vaccins.

Alors, placer le curseur médiatique sur une nouvelle affaire commerciale qui vous parle enfin d’amour : c’est tout de même plus sympathique, non ?

 

Un commerce qui se privatisera le temps d’évènementiels collectifs...

 

D’autant qu’un trimestre après l’ouverture de son échoppe, Rafaèle se dit très satisfaite des premiers retours formulés par sa clientèle. Même si l’activité est réduite presque comme peau de chagrin du fait de la conjoncture sanitaire et contredit quelque peu les prévisions initiales du business plan.

Fatiguée par la carrière commerciale qui l’accaparait avec âpreté dans sa vie antérieure, la gérante de la nouvelle boutique a opté pour un changement de cap à 360 degrés. Elle a regardé ce qui ne se faisait peu ou pas dans l’Yonne côté commerce avant de s’orienter vers la création d’un love shop.  

 

 

Du pain béni pour la commerçante qui sait pertinemment que les Icaunais vont avoir besoin de légèreté et de retrouver le sens de la fête, voire du fun, après cette longue période de déshérence émotionnelle positive.

Dès que cela sera possible, « Intime et Sens » se privatisera à la demande de la clientèle pour des animations essayage de vêtements (des nuisettes et autres tenues affriolantes à ne pas fermer l’œil de la nuit !), des enterrements de vie de jeune fille (et les messieurs alors, seraient-ils oubliés de la programmation ?), voire de séances explicatives sur les bons usages des sex-toys !

 

Un programme à venir avec les professionnels de la nuit…

 

Rafaèle BORGES ne s’interdit pas de travailler avec les professionnels de la nuit dès que les autorisations préfectorales le permettront. Elle attend avec impatience la réouverture des discothèques, des clubs de la nuit un peu branchés et des bars pour concocter à l’aide de nombreuses surprises une programmation à vous faire vivre des nuits blanches.

Le cocktail idéal pour que l’on puisse jeter dans la fosse aux lions les méfaits pernicieux du coronavirus à oublier à jamais…

 

Thierry BRET et Maryline GANDON

 

En savoir plus :

Intime et Sens

Contact 

https://www.facebook.com/intimeetsens

https://www.intime-et-sens.fr/

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

 


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Décidément, les saisons estivales et leurs longs épisodes traumatiques de sécheresse que doivent subir les professionnels de l’agriculture se suivent et se ressemblent. A l’instar des trois années précédentes, le gouvernement vient d’exhumer le fameux régime de « calamités agricoles » de ses tiroirs. Il concerne les pertes de récolte de fourrage occasionnées par des températures hors normes…

 

AUXERRE : Que faire face aux aléas climatiques et à la rigueur persistante de la chaleur dès que la période estivale nous revient ? Si les adeptes du farniente et de la bronzette à outrance se contentent volontiers de la situation, ce n’est pas le cas des agriculteurs.

Depuis plusieurs années, ces derniers éprouvent les pires des difficultés à y faire face, notamment les éleveurs qui peinent à nourrir convenablement leur cheptel.

La sécheresse de l’été 2020 se sera inscrite dans la droite ligne de celle subie l’année précédente. Et de celle d’avant par les professionnels de la filière.

Les pertes de récolte sur fourrage ont été très importantes, engendrant la reconnaissance par l’Etat du régime de « calamités agricoles ». Un arrêté ministériel a officialisé la chose en date du 03 mars 2021.

Indemnisables, ces pertes se rapportent à la production des prairies temporaires et permanentes sur bon nombre de communes de notre département (voir la liste en annexe).

Concrètement, les éleveurs concernés par cet aléa climatique peuvent solliciter une indemnisation par le Fonds national de gestion des risques en agriculture. Mais, attention, si et seulement si, leurs prairies ne bénéficiaient pas d’une couverture assurantielle lorsque le sinistre est survenu.

Le dommage indemnisable au titre des pertes de récolte correspond au déficit fourrager, défini comme les besoins alimentaires des animaux non couverts par la production fourragère évalué à 900 UF/EVL.

Lors du dépôt de demande, les éleveurs seront dans l’obligation de justifier la présence d’une police d’assurance incendie/tempête sur leurs bâtiments d’exploitation avec paiement de la contribution additionnelle et d’une perte totale supérieure ou égale à 13 % du produit brut global théorique de leur exploitation.

 

En savoir plus :

 

Les producteurs disposent :

  • d’un formulaire de demande d’indemnisation téléchargeable sur le site Internet des services de l’État de l’Yonne à l’adresse suivante:

http://www.yonne.gouv.fr/Politiques-publiques/Agriculture/Mesures-nationales-et-mesures-exceptionnelles/Calamites-agricoles

Le document devra être retourné dans un délai de trente jours à compter de la date d’affichage de l’arrêté ministériel en mairie. Il existe aussi le site TéléCALAM, permettant d’effectuer la demande d’indemnisation par télé-procédure, à l’adresse :

http://mesdemarches.agriculture.gouv.fr/demarches/exploitation-agricole/demander-une-aide-pac/article/demander-une-indemnisation

Toute demande devra être signée entre le 15 mars 2021 et 14 avril 2021 à 24 h.

Pour être tout à fait complet sur le sujet, précisons que ALYSÉ, en charge de l’identification animale pour le département de l’Yonne, met également ses services à disposition des éleveurs qui souhaitent être renseignés de leur effectif d’animaux présents au moment du sinistre et des quantités d’animaux vendus au cours de l’année 2019.

 

Contacts au :

ALYSE

Tel : 03.86.92.36.32.

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

DDT (Direction départementale des Territoires) :

Tel : 03.86.48.42.34./ 03.86.48.42.66. (uniquement le matin de 09 h 00 à 11 h 45)

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Thierry BRET

 

 


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Opérationnel depuis l’ouverture de sa vitrine commerciale idéalement bien située à l’angle du rond-point de la rue de Paris à Auxerre, ce groupement d’agences immobilières joue la carte de l’autonomie et de la différence dans la pratique de son métier. La structure entend bien marquer les esprits par son approche moderniste et ultra réactive sur un marché en proie à une véritable expansion du fait de la crise.

 

AUXERRE : On ne pouvait rêver de meilleur endroit pour implanter une agence immobilière qui soit à la vue de tous ! Un lieu confortable, offrant ergonomie et praticité, facile à repérer lorsque l’on pénètre sur l’un des axes essentiels menant vers le centre de la capitale de l’Yonne.

La rue de Paris est l’une de ces voies d’accès où il est bon de figurer lorsque l’on développe une activité commerciale. De surcroît lorsqu’elle a un attrait fortement prononcé pour la transaction immobilière !

Il n’en fallait pas davantage pour que le dirigeant de la SARL Mehdi BARBOT ne retienne dans sa stratégie de développement cet emplacement vertueux, propice à la visibilité et à la rencontre avec les prospects devant constituer le futur portefeuille clientèle.

Depuis décembre 2019, GP 89 possède donc pignon sur rue et vient enrichir une offre déjà exponentielle d’agences immobilières locales qui ne semblent pas connaître la crise.

 

Un acronyme simple pour une accroche qui se mémorise…

 

Il est vrai que la COVID-19 a donné de sérieuses velléités de départ de la population francilienne, trop heureuse de se délocaliser temporairement, voire définitivement en province. Là où l’herbe est plus verte et l’oxygène plus respirable !

Les affaires sont là. Elles alimentent les activités journalières de l’effectif commercial qui a été constitué en l’espace de quelques semaines. Sept collaborateurs officient sous la bannière de cette enseigne. Dont l’acronyme résulte en termes de réflexion d’une simplicité enfantine mais plutôt astucieuse : GP pour le mot groupe !

Née dans les Yvelines, où GP 78 a pu se développer en créant sa base arrière à Maurepas non loin de Versailles, l’entité fait aujourd’hui des émules dans l’Yonne grâce à Mehdi BARBOT. Un professionnel de l’immobilier trentenaire qui possède une bonne connaissance de sa zone de chalandise sectorielle. Mais, qui ne se limite pas au seul département de l’Yonne. Limitrophe, la Nièvre n’est pas si loin pour réaliser des affaires.

 

 

D’ailleurs, ce groupement d’agences indépendant envisage de se projeter à l’échelle hexagonale avec des ouvertures possibles de points commerciaux dans l’Aube à Troyes ou en Gironde à Langon.

Autonomes les unes des autres, les structures n’en travaillent pas moins de concert, privilégiant le sacro-saint principe de la relation inter-cabinets qui démontre toute sa pertinence pour optimiser la recherche d’un bien.

 

 

Des atouts digitaux pour avoir un coup d’avance…

Dans l’Yonne, il n’est pas exclu dans un intervalle de trois ans de voir éclore d’autres vitrines commerciales pour asseoir la suprématie de cette nouvelle référence. L’Avallonnais profite déjà de la présence physique de l’expérimenté Yoann MACIAG qui rayonne largement sur les contreforts de la Puisaye-Forterre ou de l’Aillantais.

Spécialiste de la transaction et location de tout type de biens, GP 89 souhaite avoir un coup d’avance sur une concurrence particulièrement exacerbée dans le contexte actuel.

Ses atouts se nomment la dématérialisation des documents administratifs (vulgarisation de la signature électronique) ou encore l’organisation de visite de maisons en virtuel grâce à la magie du numérique !

L’entreprise développe également une offre « Premium » au niveau du mandat qui lui permet d’engranger 77 % de ses affaires.

Dès le mois de juin, quand les conditions sanitaires l’autoriseront, GP 89 organisera des évènementiels thématisés chaque dernier vendredi du mois sur le petit terrain qui jouxte son agence auxerroise. Sous une forme apéritive, Mehdi BARBOT et ses collaborateurs recevront celles et ceux des Icaunais qui sont interpellés par l’actualité immobilière et la recherche de biens.

 

Thierry BRET

 


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