Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Les pays européens prévoient l’interdiction à la vente des véhicules à propulsion thermique dès 2025 en Norvège, en 2030 pour le reste de la Scandinavie ou les Pays-Bas, en 2035 en Grande-Bretagne ou en 2040 dans l’Hexagone. Attendue pour 2025, la norme « EURO 7 » signe la fin de l’ère de l’essence et du diesel. Pourtant, ce virage technique, dixit les constructeurs, est impossible à réaliser en si peu de temps et se présente comme une catastrophe pour tout le secteur.

 

TRIBUNE: Si les voitures diesel d’occasion connaissent un franc succès compte tenu des prix de vente, les marques abandonnent peu à peu la filière.  Une course contre la montre s’est désormais engagée avec des milliards d’investissement à la clé pour répondre à la maîtrise des émissions de Co2 et à la construction de véhicules électriques et hybrides. Tout le monde réclame à la Commission européenne un ajustement du calendrier. Les courts délais sont assortis de pénalités pharaoniques pour les dépassements de Co2 fixés. Le dictat européen met à mal un secteur économique important : près de 14 millions d’emplois en Europe dont 350 000 en France. Dès 2035, l’Europe veut interdire la production des moteurs thermiques. Essence et diesel tombent à l’eau, au profit de la seule voiture électrique ?

A la décharge des autorités européennes, on ne peut pas dire que les constructeurs ont été pris au dépourvu ! Dès la fin des années 1990, les nouvelles règles étaient mises sur la table et diffusées. Les lobbyistes de l’automobile ont cru qu’ils exerceraient les pressions nécessaires à des contournements des règles édictées…

 

Les véhicules électriques, des avantages évidents pour la nature…

 

La voiture électrique ne produit pas de Co2 ou de polluants de l'air à l’utilisation. Elle offre donc de solides avantages, surtout au cœur des villes. Allons-nous tous rouler un jour à l’électricité ? Est-elle réellement le véhicule du futur ? La voiture électrique est alimentée uniquement par... de l’électricité. Elle possède un ou plusieurs moteurs électriques, équipés de batteries, et se recharge chez soi ou à l'extérieur via une borne spéciale, dans la rue, sur des parkings ou des stations-service. Il existe également des voitures hybrides, qui possèdent un moteur électrique et un moteur thermique, ainsi que des hybrides rechargeables ou plug-in. Elles peuvent se recharger en roulant.

La production des batteries, a contrario, pose de sérieux problèmes environnementaux et sociaux. On utilise de plus en plus de batteries au lithium pour les véhicules mais aussi pour leurs équipements informatiques et électroniques. Cela accroît la pression sur ce métal rare.

 

 

Le lithium – aussi surnommé or blanc – provient souvent d’Amérique latine. Sa production, très gourmande en eau, met à mal les écosystèmes et la survie des populations locales dans des zones où la sécheresse est déjà très problématique.

On ne pourra pas tous avoir une voiture électrique et rouler de la même façon qu’aujourd’hui. Il faut aussi noter que pour l’instant un véhicule électrique coûte pas moins de 30 000 euros. Précisons également que pour une voiture de moins de 45 000 euros, le bonus accordé par l’Etat s’élève à 6 000 euros. Mais, quid de la situation réelle lorsque les aides s’arrêteront ?

 

 

Les concessionnaires sont-ils vraiment en danger ?

 

Même si certains le prédisent, ils ne disparaîtront pas du paysage. Leur nombre va diminuer, à cause de la vente en ligne. Conséquence : une adaptation sera nécessaire, notamment en matière de surface. Certaines concessions ressemblent à des châteaux de verre ! La réparation et l’entretien des véhicules électriques est plus simple et va faire disparaître le bon vieux « mécano »  traditionnel. Fini le mécanicien dans les garages, que les moins de 60 ans ne peuvent pas connaître : juste à l’oreille, il identifiait l’origine de la panne…

On peut prévoir aussi que les grands groupes s’adapteront et résisteront mieux aux mutations. Il est certain que des marques disparaîtront au passage. D’autres se créeront sans doute. Mais, la réduction du carbone passe nécessairement par l’hydrogène. L’échéance est fixée à 2050 : zéro carbone pour tout le monde !

Le problème, c’est que pour produire de l’hydrogène, il faut beaucoup d’eau et d’électricité. Par contre, c’est un carburant propre. STELLANTIS fabrique déjà des camionnettes à hydrogène. Elles roulent grâce à des piles à combustible développées par la NASA. Aujourd’hui, un kilo d’hydrogène coûte dix euros. Un plein de 60 euros permet de réaliser 600 kilomètres. Le prix va aller en diminuant au fil des années. Par contre, le prix de vente de ces véhicules reste très prohibitif autour des 70 000 euros !

Un très vieux gag de l’humoriste Francis BLANCHE montrait ce dernier poussant sa voiture manifestement en panne d’essence. Sous le regard médusé du pompiste, il remplissait son réservoir avec un arrosoir rempli d’eau ! La réalité dépassera sans doute la fiction un jour. Nous ne sommes pas si loin d’un moteur transformant directement l’eau en hydrogène ! Alors s’il vous plaît, monsieur le pompiste, donnez-nous encore un peu d’essence pour les briquets et dix litres d’eau pour la voiture !

 

Jean-Paul ALLOU  

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le projet n’en est qu’au stade de l’expérimentation. Il devrait se concrétiser avant le terme de ce printemps. Son principe, vertueux, s’inscrit parmi les axes prioritaires défendus par le Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne. A savoir la promotion de la mobilité électrique, assortie de l’auto-partage. Un véhicule autonome assurant des rotations régulières vers le majestueux édifice de la Colline éternelle, c’est pour bientôt !

 

VEZELAY : Ce sera une phase de test extrêmement importante pour l’implantation durable de ce nouveau moyen de locomotion aux caractéristiques écologiques dans notre environnement.

D’ici quelques semaines débuteront dans la ville la plus universelle de notre territoire les essais liminaires d’un véhicule électrique 100 % autonome qui reliera les visiteurs de passage dans la cité à l’un des chefs d’œuvre de l’art roman inscrit au patrimoine de l’UNESCO, la basilique Marie-Madeleine.

Sans conducteur mais placé sous la surveillance attentive d’un opérateur, ce véhicule électrique autonome d’une capacité de neuf places effectuera la navette régulière entre le champ de foire, situé au pied du promontoire universellement connu par les pèlerins et touristes du monde entier, et l’édifice religieux.

Des rotations seront prévues toutes les trente minutes. Elles faciliteront l’accès à ce site très prisé chaque année par plus d’un million de personnes.

S’inspirant de ce qui a déjà été entrepris dans d’autres villes (Berlin, Paris, Bar-le-Duc…), le SDEY fait de ce futur test grandeur nature une priorité.

Une question de pure logique pour son président, Jean-Noël LOURY, qui ne cesse de prôner les avantages de la mobilité électrique via la multitude d’actions animées par le syndicat.

 

 

Pour l’heure, on ne sait pas encore quelle sera la typologie exacte de ce véhicule ni le nom de son exploitant. Un appel d’offres devrait être lancé très prochainement par le Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne, à la manœuvre sur ce dossier.

L’initiative figure parmi le plan de développement de la mobilité durable dans l’Yonne. Le SDEY a pour vocation d’inculquer les bonnes pratiques de cette stratégie environnementale nécessaire à la préservation de la planète aux représentants des collectivités locales.

Le plan Mobilité durable s’articule en plusieurs axes dont la déclinaison de l’auto-partage et le covoiturage au service des habitants.

L’expérience à vocation touristique qui sera menée à Vézelay pourrait évidemment faire des émules et s’étendre à d’autres joyaux emblématiques de notre département. On pense à Noyers-sur-Serein, à Ancy-le-Franc ou au château de GUEDELON. L’idée, en tout cas, est réjouissante. Elle devrait séduire les touristes embarqués dans ce véhicule, souvent friands de nouveautés…

 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

3,2 millions d’euros : c’est l’enveloppe budgétaire consacrée au futur complexe sportif, un gymnase en cours de réhabilitation, sur le site de Montholon. Une quarantaine de personnes, des élus communautaires mais également municipaux, se sont retrouvées récemment sur le chantier afin d’en apprécier les stades évolutifs…

 

AILLANT-SUR-THOLON : Elle prend corps de manière progressive, la nouvelle structure ! Subventionnée à hauteur de 670 916 euros par la Région et 75 000 euros par le Département, la réalisation a reçu des visiteurs il y a peu sous la responsabilité d’Alain THIERY, troisième vice-président en charge de l’Environnement et du projet d’extension du complexe sportif au sein de la Communauté de communes de l’Aillantais.

Bénéficiant de la Dotation d’équipement des territoires ruraux (DETR) à hauteur de 734 418 euros, ce chantier de réhabilitation sera pris en charge pour son reliquat par l’organe communautaire lui-même présidé par Mahfoud AOMAR.

Avec un agrandissement de près de cinq cents mètres carrés, le futur gymnase proposera une surface de plus de deux mille mètres carrés in fine.

L’édifice recevra un mur d’escalade, nouvellement crée, des tribunes, un dojo pour s’adonner aux arts martiaux, ainsi qu’un parvis aménagé pour l’organisation de rendez-vous festifs. Même les vestiaires et l’aire de stationnement recevront un sérieux coup de lifting !

Au niveau du chauffage, le complexe utilisera la chaleur biomasse. Des éclairages vertueux, c’est-à-dire écologiques, y seront installés. La ventilation deviendra plus ergonomique en réduisant les nuisances sonores, habituelles d’ordinaire dans ce type d’infrastructure, et sera mieux dirigée.

 

 

 

Plus lumineux, le bâtiment gagnera en isolation et en fonctionnalité afin d’apporter le confort nécessaire aux différentes associations qui l’occuperont. Ainsi que les scolaires, les gendarmes et les sapeurs-pompiers, grands amateurs d’exercices physiques. Le planning, au cordeau, prévoit une utilisation du site chaque jour entre 08 heures et 23 heures !

Grâce à cette structure, la Communauté de communes de l’Aillantais disposera d’un parc sportif de premier choix. Une offre de service qui complètera les différentes structures déjà existantes à Fleury-la-Vallée et dans les localités alentours.

 

Maryline GANDON

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Christine AITA, maire de Courtoin, Loïc BARRET, maire de La Belliole, Annie AMBERMONT, première adjointe au maire de Vallery et Étienne SÉGUELAS, premier élu de Lixy, ont officialisé, jeudi dernier, leur candidature aux élections départementales qui se dérouleront les 20 et 27 juin 2021. Une conférence de presse tenue au foyer communal a permis à ces candidats de dévoiler leur programme...

 

VILLENEUVE-LA-DONDAGRE : Soutien aux politiques de sécurité en place (vidéo de surveillance, etc.), aux agriculteurs, souhait de développer le commerce local, demande d’élaboration d’un programme global de rénovation et de modernisation du réseau routier, les candidats aux départementales affichent des volontés plutôt familières, déjà engagées par leurs prédécesseurs.

Sur la couverture numérique du département, les élus déplorent la lenteur de la mise en route de la fibre optique, indispensable pour le développement de l’emploi.

En 2019, le département de l’Yonne a lancé un vaste chantier qui assurera la fibre à tout le territoire icaunais d’ici 2023 selon un calendrier précis. Une feuille de route quelque peu ralentie par des conditions restrictives qui sont dues à la crise sanitaire. Elus et habitants devront donc prendre leur mal en patience.

Côté culture, les candidats ambitionnent d’amplifier ce secteur sur tout le territoire du Gâtinais et de continuer à soutenir la sphère associative.

« Aujourd’hui, les associations n’ont pas le réflexe de s’adresser aux conseillers départementaux. Pourtant leur rôle, c’est de les écouter » explique Loïc BARRET, maire de La Belliole.

D’ailleurs, c’est surtout là que le bât blesse. Chacun réclame plus de cohésion entre les élus territoriaux.

 

 

« Nous ne sommes pas représentés »…

 

Les conseillers départementaux sont « très peu présents. Quand nous ne sommes pas sur le terrain, on ne peut pas être à l’écoute des demandes » d’après Christine AITA, maire de Courtoin.

« Il y a ce vide qui est là ». « Un vide intersidéral » confirme Loïc BARRET. Mais « ce n’est pas notre sujet. On ne se présente pas contre, mais pour quelque chose » tente-t-il de rectifier par cette phrase pleine de sagesse. Malgré tout, les hostilités sont bel et bien lancées.

Les candidats n’ont pas masqué leur amertume envers le Département en raison d’un déficit de communication avec les élus locaux, trop peu consultés. Étienne SÉGUELAS, maire de Lixy évoque avec nostalgie « un lien très fort » passé entre les élus de l’Yonne et ceux du canton.

Il souhaite aujourd’hui « retrouver cet esprit de collaboration et parler le même langage ».

Ils ont même fait de cet « abandon » l’axe principal de leur campagne.

« Sur le département, on a un manque de terrain. Et je crois que le terrain, de faire remonter les informations de la base jusqu’au département, c’est l’essentiel » assure Christine AITA, maire de Courtoin. Pour Loïc BARRET, il est temps « de faire exister le département comme il se doit ».

Les candidats comptent ainsi resserrer les liens entre les mairies, la Communauté de communes, le Conseil départemental et la population. Ils estiment en effet que la fonction de conseiller départemental est aujourd’hui méconnue du grand public en raison d’un manque évident de communication.

 

Floriane BOIVIN

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’interdiction par le gouvernement de distribuer de la publicité non voulue, celle qui regorge parfois au fond des boîtes aux lettres, s’examine à l’heure actuelle au parlement. Si les prospectus et autres flyers représentent près de 40 kilos de papier par habitant chaque année, il n’empêche que cette distribution nourrit toute une filière économique en proie aujourd’hui à la plus vive inquiétude pour son avenir. Etat des lieux, acte un !

 

PARIS : Halte à la publicité non sollicitée qui s’accumule dans les boîtes aux lettres ! C’est le leitmotiv actuel du gouvernement désireux de mettre le holà sur une éternelle problématique qui divise depuis des lustres bon nombre de personnes dans l’Hexagone. A commencer par celles et ceux de nos concitoyens qui relèvent le contenu de leurs boîtes aux lettres au quotidien !

Certains voient en effet un réel intérêt à recevoir avec régularité pléthore de ces documents à l’estampille commerciale qui assurent la promotion de produits et savoir-faire histoire d’en être informés ; d’autres, a contrario, vouent aux gémonies cette pollution marketing trop envahissante de leur espace vital jusqu’à en refuser l’accès en apposant un autocollant spécifique, « Stop Pub ».

Le gouvernement semble vouloir mettre tout le monde d’accord en travaillant actuellement dans le cadre du projet législatif Climat et Résilience un article se référant précisément à cet item contradictoire.

Portant la numérotation « neuf », ce texte examiné en commission depuis début mars autoriserait la distribution desdits plaquettes publicitaires et autres dépliants saisonniers uniquement chez les particuliers qui en accepteraient le principe.

Dans le concret, les boîtes aux lettres des personnes souhaitant bénéficier de cette communication publicitaire se verraient identifier par un autocollant, bien distinct, portant la mention « Oui Pub ». Un adhésif qui remplacerait en pure et bonne forme le document existant jusqu’alors, le fameux « Stop Pub », qui se caractérise déjà sur le devant de certaines boîtes aux lettres.

Précisons que cet article 9 de la loi à l’étude représente l’une des 146 propositions formulées lors de la Convention citoyenne pour le Climat. Les signataires de ce rendez-vous ont dénoncé l’impact écologique de ces documents publicitaires sur notre environnement ; soit près de quarante kilos de papier par personne chaque année !

 

 

Plusieurs filières professionnelles impactées par cette décision…

 

Nonobstant, l’article à l’étude ne fait pas que des heureux. Notamment auprès des professionnels de la distribution, à commencer par MEDIAPOST, l’une des filiales distributrices du groupe LA POSTE.

Plusieurs syndicats dont la CDFT sont d’ailleurs montés au créneau dès l’annonce de ce projet qui pourrait supprimer jusqu’à dix mille emplois en France. Et vu le contexte économique actuel, notre pays n’a vraiment pas besoin de cela !

Les opposants à ce projet estiment que la dimension sociale et économique n’a pas été prise en compte et que seul le volet écologique conditionnera l’application de ce texte.

Plusieurs autres secteurs dont la presse quotidienne régionale, l’imprimerie, les arts graphiques et la distribution directe font grise mine.

Si l’article 9 sortait définitivement du cadre expérimental à trois ans tel que les parlementaires souhaitent lui faire appliquer en cas de validation, il serait alors nécessaire d’accompagner financièrement toutes les filières qui utilisent la distribution directe de documents. Car, la casse pourrait s’avérer terrible.

Question : peut-on au simple nom du gaspillage condamner dix mille personnes à perdre définitivement leur travail et à aller pointer au chômage pour une longue durée ?

L’acte deux de ce volet informatif nous permettra de nous focaliser davantage sur MEDIAPOST et la manière dont est appréhendée le sujet chez ce distributeur de documents publicitaires…

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil