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Le dossier du contournement sud de la ville d’Auxerre irrite au plus haut degré, le parlementaire de l’Yonne. A cause du temps perdu dans sa phase de réalisation. « On nous mène en bateau depuis 2012, claironne le député Les Républicains. Ce dernier est excédé par cette situation d’attentisme où l’Etat et la Région se renvoient l’ascenseur sans que les choses n’évoluent vraiment…

 

AUXERRE : Celles et ceux des observateurs qui ont pu assister la semaine dernière à la conférence de presse du candidat de la droite républicaine aux régionales, l’édile de Chalon-sur-Saône Gilles PLATRET, de passage à l’abbaye Saint-Germain, ont pu le constater de visu : Guillaume LARRIVE était un brin irrité à l’évocation du fameux projet de contournement de la zone sud de la ville.

Un projet qui s’éternise depuis des lustres et qui ne semble pas encore bien calé dans la répartition de son financement par ses instigateurs. En l’occurrence, l’Etat, la Région, le Département et la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois !

Selon le schéma originel de l’enveloppe budgétaire consacrée au projet, l’équation la plus plausible serait la suivante : l’Etat prendrait à sa charge 27,5 % du montant des travaux, la Région Bourgogne Franche-Comté et le Conseil départemental en assureraient 25 % tandis que le reliquat s’élevant à 22,5 % incomberait à l’organe communautaire auxerrois. Mais, derrière cette répartition exprimée en pourcentages, rien ne serait encore définitivement tranché par ces organismes.

Ce qui a provoqué le courroux du député de la première circonscription, qui debout face à un auditoire attentif à ses propos, est parti bille en tête lors de sa prise de parole en dénonçant l’aspect saugrenu de la situation.

« J’en ai marre, a précisé avec véhémence Guillaume LARRIVE, il aura fallu l’alternance à la municipalité d’Auxerre pour que ce projet remonte enfin à la surface. Que de temps perdu ! On le sait : le sujet clé de ce dossier, c’est le financement. Et aujourd’hui, les services de l’Etat et ceux de la Région rechignent à financer une partie de ce contournement… ».

 

 

Que l’Etat et la Région versent 35 millions d’euros !

 

Réclamant davantage de clarté dans ce dossier de plus en plus ambigu, le parlementaire de l’Yonne souhaite du concret dans les actes.

« Ne parlons plus de pourcentages mais exprimons-nous en valeur absolue, en millions d’euros ! ».

Les 9,9 kilomètres de tronçon à réaliser au sud de la capitale de l’Yonne afin d’assurer cette déviation supposeraient une enveloppe budgétaire de 125 millions d’euros. Peut-être un peu plus, à hauteur de 130 millions.

« Je demande à l’Etat de débloquer 35 millions d’euros pour la réalisation de cet ouvrage, ajouta Guillaume LARRIVE, et que la Région Bourgogne Franche-Comté en fasse autant ! ».

Une somme que Gilles PLATRET s’engagerait à reverser au nom de la collectivité territoriale s’il était élu au soir du 27 juin. Histoire de noyer de manière définitive cet antépénultième serpent de mer qui caractérise depuis bientôt dix ans ce fameux dossier de contournement !

 

Thierry BRET

 


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Sa plume est humoristique. L’idéal par les temps qui courent ! Pendant une quinzaine d’années, celle qui a voulu être comédienne a réalisé son rêve. En fréquentant les planches et plateaux en qualité d’actrice mais aussi d’autrice, d’humoriste et de metteuse en scène. Mais, c’est en écrivaine qu’elle se dévoile à nous du fait de son actualité...

 

AUXERRE : Débuté en avril 2020, après six mois d’écriture, le deuxième opus proposé par ce personnage pétri de talents vient de voir le jour. En faisant abstraction d’une avalanche de péripéties qu’il aura fallu gérer à bon escient ! Problème de stocks, soucis à l’impression avec des chapitres de l’ouvrage absents de ce rendez-vous livresque… : Céline HOLYNSKI aura dû faire montre de patience pour ne pas y perdre son latin !

Scénariste (elle a œuvré pour des séries de la télévision ou pour des documentaires dont le commanditaire n’était autre que Julien COURBET), cette spécialiste des one-man show est une touche à tout ingénieuse qui est même passée durant un temps par les studios de Sud Radio où ses chroniques égayaient l’auditoire amusé.

Auteure de la pièce « Les Bons cons font les bons amis », l’artiste crée sa propre chaîne « You Tube » qui lui permet de partager et d’expérimenter ce nouveau mode d’expression. Grand bien lui en a pris il y a quatre ans puisque Céline accueille plus de 145 000 abonnés et propose l’équivalent de 150 vidéos sur ce média.

« Des tutos ? Je ne sais pas faire explique-t-elle et je n’ai pas le matériel pour réaliser de la fiction ! Alors, au final, je pose des vidéos à vocation humoristique où j’y distille parfois un peu de réflexion. Voire des questionnements existentiels ou rien du tout ! ».

L’humour est son fer de lance. Cela se traduit dans son travail scriptural. Elle aime le rappeler : son meilleur canal de communication, c’est l’écriture. Et ce depuis le collège où une professeure de français lisait à voix haute ses dissertations ! Une véritable révélation !

 

 

 

De l’humour avec quelque chose en plus…

 

En janvier 2020, l’écrivaine publie son premier ouvrage. Le nom intrigue : « Tarot, rupture et confiture ». Un opuscule édité par Larousse. L’héroïne, Camille, va vivre de nouvelles pérégrinations dans un second livre, baptisé de manière tout aussi loufoque : « Biberon, vodka et déambulateur » !

L’objectif de ces deux volets romancés est atteint : faire rire et divertir le lectorat. Mais, un rire auquel elle ajoute des zestes de réflexion.

A travers les pages, l’héroïne est en reconquête d’estime personnelle. On y évoque aussi le temps qui s’égrène et le fait de trouver sa place parmi la société. On y décèle aussi une petite coquille avec deux chapitres 11 dans le même ouvrage : une fantaisie comme une petite tâche de naissance.

L’idée d’une trilogie ? Pourquoi pas ! Un troisième opus existera peut-être in fine, clôturant ces aventures rocambolesques de Camille.

Céline HOLYNSKI se remet également de son immersion intense vécue durant près de trois mois au Brésil. Elle y a rencontré des personnages incroyables, vivant dans les favelas qui ont des parcours de vie anachroniques et qui s’en sortent.

Une extraction de sa zone de confort qui lui a permis de se transformer intérieurement, prétexte sans doute à un nouveau roman ?

 

En savoir plus :

https://www.youtube.com/channel/UC7M__bPGgcxiBzjAG0CZ52w/featured 


Thierry BRET et Maryline GANDON

 

 

 

 


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Deux mille postes sont à pourvoir dans l’intervalle de ces vingt-quatre prochains mois sur notre contrée. La Fédération des Travaux Publics de Bourgogne-Franche-Comté entend profiter de la tenue d’un futur évènementiel, la semaine spécifique consacrée à cette filière en novembre, pour inciter les jeunes et le public en insertion vers la vie active à s’intéresser à la kyrielle de métiers proposés.

 

VENOY : Le spectre du choix des futurs visiteurs ne se cantonnera pas à quelques cibles. Bien au contraire ! Etudiants, scolaires, jeunes suivant un apprentissage ou pratiquant l’alternance mais également demandeurs d’emploi seront tous les bienvenus lors de cette future manifestation qu’ils soient filles ou garçons.

Si les conditions sanitaires l’autorisent, celle-ci se déroulera cet automne. Entre le 15 et le 19 novembre puisque sa structure instigatrice a déjà posé ses jalons opérationnels en validant les lieux d’accueil de l’évènement.

Les centres de formation professionnels et de promotion agricole à l’instar du CFPPA Auxerre La Brosse seront placés en première ligne de cet organigramme.

Logique puisqu’ils y assurent déjà abondamment par le biais de leurs cursus la promotion de ces métiers si porteurs en matière de débouchés professionnels.

Qu’on se le dise avec la sortie progressive de ce mauvais pas sociétal dans lequel le monde s’est fourvoyé depuis plusieurs mois : le secteur des travaux publics recrute à tout va !

Ne serait-ce que sur le seul territoire de Bourgogne-Franche-Comté, ce sont deux mille postes à pourvoir dans un court laps de temps de deux années. Autant dire une paille à l’échelle temporelle !

Et celles et ceux qui peuvent décemment en bénéficier ne pourront manquer ce rendez-vous que la FRTP BFC (Fédération régionale des Travaux Publics) leur concocte à cette période de petits frimas de novembre.  

 

 

Visite de chantiers et découverte des usages technologiques…

 

Cette semaine sera le vaste reflet des innombrables possibilités que le secteur corporatiste déploie pour optimiser son modernisme et l’usage de nouvelles technicités dans le cadre de ses chantiers.

Présence de drones très utiles pour les géomètres, de simulateurs afin de découvrir la maniabilité virtuelle d’une pelleteuse face à un écran ou d’exosquelettes favorisant la limite de charges trop lourdes qui développent les TMS (troubles musculo-squelettiques) seront autant d’artéfacts devenus indispensables à l’éradication de la pénibilité, notion qui effrayait autrefois les jeunes recrues.

 

 

Les travaux publics vivent leur mutation technologique et le font savoir par l’entremise de ce type de rendez-vous attrayant. Où des visites de chantiers seront également programmées.

Le fil d’Ariane de cette édition 2021 prendra sa source dans le développement durable et les vertus de la transition énergétique ; ce qui n’est pas une surprise en soi.

 

 

Des jobs d’été à foison pour les étudiants : à vos CV !

 

Employant plus de onze mille salariés répartis dans environ 1 100 entreprises, la filière en Bourgogne-Franche-Comté pèse aujourd’hui 1,3 milliard d’euros de chiffre d’affaires.

Récemment, son président, l’entrepreneur Vincent MARTIN, profitait d’une rencontre avec le nouveau responsable de Pôle Emploi BFC, Michel SWIETON, pour évoquer les besoins importants du secteur au niveau des embauches.

Sans omettre de surcroît les opportunités éphémères existantes avec l’approche de la période estivale où de nombreux jobs d’été seront ouverts aux étudiants. A vos CV, jeunes gens !

 

Thierry BRET

 


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Il n’est pas encore élu à la tête de la Région mais cela n’empêche nullement le chef de file des Républicains de prendre des engagements. Ils sont de taille. Même si ils sont favorables à l’agglomération auxerroise que l’édile de Chalon-sur-Saône a pu visiter lors de son déplacement consacré à la mobilité. Une réelle problématique avec le contournement de la capitale de l’Yonne. En manque de réelle visibilité sur le sempiternel projet de la déviation sud…

 

AUXERRE : Le chiffre est lâché. Il traduit la volonté participative du candidat aux échéances régionales de résoudre enfin une véritable arlésienne qui indispose les esprits auxerrois depuis si longtemps. Le contournement sud de l’agglomération et surtout son mode de financement !

Trente-cinq millions d’euros. Voilà la somme rondelette que la tête de gondole des Républicains engagé dans ce scrutin régional souhaite injecter dans le financement de ce projet s’il décroche le Graal suprême le plaçant en orbite  au sommet du perchoir le 27 juin.

Le montant annoncé par le candidat de la droite n’est pas resté dans l’oreille d’un sourd. Provoquant moult réactions de la part des médias, présents à la conférence de presse concoctée dans l’une des salles de l’abbaye Saint-Germain ce lundi 03 mai. Un site patrimonial de belle envergure pour accueillir une déclaration intentionnelle aussi importante… 

Certes, en esthète de la communication qu’il est, Gilles PLATRET ne pouvait faire l’impasse lors de sa visite de campagne auxerroise sur l’un des dossiers brûlants qui perturbe les habitants de l’agglomération depuis tant d’années. Ce fameux contournement de la ville par sa zone méridionale que beaucoup ont promis et aucun n’a tenu.

 

 

D’infernal, le triangle est devenu apocalyptique…

 

 

La qualité première de tout élu digne de cette appellation est d’être sur le terrain au plus près des citoyens. Un adage que l’élu de Saône-et-Loire sait visiblement s’appliquer à lui-même puisqu’il a profité de son court séjour auxerrois pour se rendre sur le fameux « triangle infernal » du sud d’Auxerre. Là où se constatent les immanquables problèmes dues à l’absence pesante de cette fameuse déviation, serpent de mer dont on ne voit jamais la queue !

D’infernal, cet enfer serait presque gardé par une cohorte de Cerbère prenant la forme de poids lourds, le fameux triangle de la zone sud est devenu « apocalyptique » dans la bouche du candidat LR.

 

 

 

 

Gilles PLATRET qui soutient mordicus le développement des transports ferroviaires et fluviaux dans nos modes de locomotion, s’est ému de cette agglomération auxerroise « balafrée par le passage de milliers de véhicules et de camions au quotidien ».

Il n’est pas le seul, évidemment, à partager ce constat amer. Celui qui lui a servi de guide dans cette balade matinale aux abords du carrefour de l’avenue Pierre-Larousse et de la rue du 24 août, le député de la première circonscription, Guillaume LARRIVE est aussi vent debout contre cette situation qui ne cesse de perdurer depuis une bonne décennie. Un Guillaume LARRIVE courroucé par ce gâchis (voire article à paraître) de la non-résolution de problème.

 

 

 

Plus qu’une simple promesse, un véritable engagement…

 

 

Puis, viendra le moment inattendu de l’annonce chiffrée. De ce montant à l’état brut que le leader régional des Républicains évoquera dans la clarté blafarde de la salle de conférence du monument historique dans un silence de plomb. Quasi monacal.

S’il est élu à la présidence de la Région Bourgogne-Franche-Comté, Gilles PLATRET prendra un engagement : celui de débloquer une enveloppe budgétaire de 35 millions d’euros destinée à la réalisation de ce chantier.  

« Il s’agit de couper court avec celles et ceux qui cultivent l’art de l’ambiguïté et la Région qui chipote, souligna le personnage politique avec véhémence, j’ai trop d’humilité et de respect pour l’institution pour dire si je serai président au soir du 27 juin. Mais, si c’est le cas, je prends l’engagement de sortir ce dossier de son actuelle ornière. Il est impensable de considérer que la Région ne puisse pas mettre les millions d’euros nécessaires pour achever un tel projet… ».

Se refusant de parler de pourcentage, le maire de Chalon-sur-Saône préfère raisonner à partir de chiffres bruts d’où cette prise d’engagement très ferme avec l’avenir.

Un futur où il se projette déjà et ce, dès le mois de juillet, période où en cas de réussite électorale il poserait de sérieux jalons avec l’Etat, le Département et la Ville pour borner financièrement le dossier. En le faisant enfin progresser et faire disparaître à jamais dans les limbes de trop vieilles couleuvres que les Auxerrois ne veulent plus avaler…  

 

Thierry BRET

 


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Le Centre Interprofessionnel de Formation d’Apprentis (C.I.F.A) d’Auxerre possède au total sept cycles pédagogiques au pôle mécanique. L’un d’entre eux s’y est ajouté sous la forme d’une mention. Elle propose l’étude des systèmes embarqués et se réalise en douze mois.

 

AUXERRE : Le pôle automobile et mécanique vient de connaître un sérieux coup de lifting. Objectif : créer un environnement qui se rapproche au plus près des situations professionnelles réelles. L’établissement de l’Yonne a investi 5 millions d’euros en 2019 et en 2020 dont 200 000 euros pour l’acquisition du matériel mécanique.

Ce pôle se décompose en trois bâtiments de plus de 1 000 mètres carrés consacrés à l’apprentissage des élèves. Une salle est réservée à la peinture et celle plus spécifique de la peinture de carrosserie, une autre aux espaces vert et agricole. Enfin, un autre espace accueille l’atelier mécanique.

La formation, depuis 2017, a augmenté de 70 % sa capacité d’accueil en élèves. Avec des classes allant de 10 à 15 jeunes, le CIFA dispose d’environ trente véhicules en statique pour approfondir les connaissances des jeunes pousses à la motorisation.

Certaines de ces automobiles ont été récupérées sous la forme de dons qui sont parfois anciens ou neufs. C’est environ 150 jeunes qui sont ainsi formés chaque année dans les métiers de la mécanique auto. Mais aussi en poids lourds et engins agricoles. Le centre auxerrois bénéficie d’un parc d’équipements pointus tel qu’un laboratoire pour les systèmes embarqués, une station de dépannage des véhicules électriques, etc.

 

Un accompagnement complet pour les jeunes…

 

L’objectif du CIFA étant dans un premier temps la réussite de ses élèves, il a alors mis en place de nombreux dispositifs afin que les jeunes gens puissent apprendre au mieux.

Avec la crise de la COVID-19, de nombreuses formations ont été interrompues. Et ce, notamment lors du confinement allant de mars à mai 2020. Le CIFA consacre ses enseignements à des matières générales mais surtout de la pratique dans l’établissement et en entreprise, l’arrêt de l’école était pour eux compliqué.

 

 

Le centre a dû à l’instar des autres formations générales ou professionnelles de France passés en « e-learning », un apprentissage en ligne. Avec « E-CIFA », les élèves ont pu suivre leurs différents cours depuis chez eux. Les matières pratiques n’ont alors pas été délaissées car des schémas explicatifs de pièces de moteur par exemple ont été mis à leurs dispositions pour continuer d’apprendre dans de meilleures conditions.

 

 

Une boutique virtuelle à la haute technologie pour créer des situations réelles...

 

Malgré les cours à suivre en présentiel, le CIFA a choisi de conserver le concept de l’enseignement à distance au cas où un élève éprouverait le besoin de compléter sa leçon s’il n’avait pas bien compris la séance de la journée.

Quant au un magasin virtuel, le « Clic’Store », il a été mis en place sur une surface de 80 mètres carrés. Développé avec Le concours de la société IDXPROD, ce projet a été créé en 2017. Il représente une nouveauté unique en France.

Celui-ci permet de mettre les élèves en situation réelle avec huit contextes différents : l’habillement, le sport, l’art de la table, etc.

Les Bac Pro mécanique véhicules auto (MVA) ayant une partie livraison peuvent eux aussi profiter de ce concept à la technologie avant-gardiste grâce au contexte automobile qui les immerge dans une boutique de vente.

Ces huit contextes sont changés à partir d’une tablette. Elle permet de modifier la situation choisie en zoomant sur un siège automobile pour la vente de voitures, par exemple.

Le CIFA pousse également les élèves à évoluer grâce à des concours. C’est le cas de Sonny DOIN, apprenti en BAC Pro Maintenance automobile. Il a terminé à la première place du concours général des métiers du jeune espoir professionnel à Lille en 2017 dans la catégorie maintenance automobile.

 

Jordane DESCHAMPS

 

 


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