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Le Gâtinais est un micro-terroir  commun à l'Yonne, la Seine-et-Marne, mais aussi le proche Loiret. Bienvenue dans la Venise du Gâtinais, le pays des véritables « Praslines MAZET » de surcroît, bienvenue à Montargis, où proche de la gare, l'hôtel-restaurant « La GLOIRE » se dresse avec une certaine élégance…

 

MONTARGIS (Loiret) : Dans les années 70, un couple de restaurateurs quitte leur relais routier pour se tourner vers une cuisine plus gastronomique en acquérant l'établissement. L'un de leurs apprentis, Jean-Claude MARTIN, leur succéda, après avoir épousé leur fille !

Avant cela, le jeune Jean-Claude fut parisien, chez LEDOYEN, précisément, sous la férule de Guy LEGAY, un chef exigeant et truculent (Guy a écrit récemment un petit ouvrage à propos des  sauces que je vous conseille !).  Le chef MARTIN fit du homard son cheval de bataille culinaire, et longtemps brilla au fronton de l'établissement une étoile Michelin des plus réputées. Désormais, tant en cuisine qu'en salle, c'est la génération suivante qui est aux affaires !

 

 

On doit pouvoir se mettre à table au-delà de 13 heures !

 

De pousser la porte de ce restaurant revêt un côté un brin rassérénant, et l'on s'y sent bien. La musique d'ambiance est aux ordres des PLATTERS (« You are my destiny) avant de succomber dans les années 80, aux charmes de la jolie Sophie MARCEAU, qui alors adolescente, flirtait au son de « Dream » - gros succès de ces années-là ! - lors d'un langoureux slow, danse désormais passée de mode, car totalement non politiquement correcte !

« On vous a téléphoné ! » me tance alors la cheffe de rang alors qu'il n'est que 13h10. Incroyable ! Comment expliquer qu'à moto, répondre au téléphone n'est guère conseillé ! Mais, bref, passons : ce serait dommage vraiment, que demain, nos restaurants traditionnels n'accueillent leurs clientes et clients - vous savez ces « ploucs » qui les font vivre....- qu'entre midi 17 et 12h32 !

Une jeune et aimable serveuse m'apporte alors un « Américano » de belle facture avec quelques mises en bouche dont un délicieux velouté Parmentier. Pour le verre de vin, j'eus moins de chance : au départ le blanc - fort bon sauvignon du coin, peut-être du Loir-et-Cher qui en produit de délicieux - était tiède, tandis qu'ensuite le rouge bordelais était glacé.

 

 

Ah, les délices du champignon de Paris, le meilleur des champignons…

 

En entrée, je pris le homard à l'impeccable cuisson. Cependant, même produites localement, je ne suis pas certain que les lentilles constituent une alliance de choix avec ce prince de la mer....Passant à mes côtés, j'en profitais pour zyeuter le très beau chariot de desserts. Ensuite, ce fut le poulpe à l'orange, plutôt bien cuit, et belle complémentarité avec l'agrume. Dans l'assiette, toutes ces mini-purées me firent alors penser aux années du film « La Boum » !

La pause glacée arrive alors sans liquide aucun, avant un paleron de veau, morceau peu usité et fort bon, proposé ici façon blanquette. Bonne idée que l'adjonction de quelques lamelles fraîches de champignons de Paris ! Feu mon ami, Michel RICHARD, chef français émigré aux Etats-Unis, trouvait d'ailleurs que c'était le meilleur des champignons.

 

 

 

 

Plus de « Paris/Brest » sur le chariot de desserts : la rançon de son succès…

 

Arrive alors le moment du chariot de desserts. Ce chariot : il a disparu corps et âme de nos restaurants, mis à part à la maison BOCUSE de Lyon, et chez deux à trois illuminés. Désormais règne le dessert à l'assiette : un grand contenant, contrairement au contenu !

Ce chariot est le symbole de la maison, et l'on ne peut que féliciter les pâtissiers de ce travail quotidien. Sorbets, entremets, tartes et gâteaux sont ici  bien rassemblés ! 

Bien sûr que tout fait envie. Aussi se régale-t-on avec l'onctueux sorbet banane, l'œuf à la neige nappée de sa succulente crème anglaise, et autres succès à la pistache.

Quant au « Paris/Brest », il a prématurément disparu, car victime de son succès fort mérité sûrement ! Des desserts au dosage actuel de sucre subtil ce qui les rend souvent meilleurs.

Un café-meringue que je partageais de bon cœur avec l'une des gamines de la maison, qui me confia ce jour-là, qu’elle n'alla pas à l'école, car se sentant malade. Gageons que cette petite mignardise contribua à son prompt rétablissement !

 

 

En savoir plus :

Les + : le chariot de desserts est un modèle du genre. Applaudissements réitérés aux pâtissiers !

Les - : on doit encore pouvoir arriver au restaurant à 13h10, me semble-t-il ! Ce n'est pas encore l'heure du goûter, non ?! Quant au pain, il ne m'a pas semblé inoubliable...

 

 

Contact :

Hôtel-restaurant La GLOIRE

74, avenue du Général de Gaulle

45200 MONTARGIS

Téléphone : 02.38.85.04.69

Fermeture : mardi, mercredi et donc ouvert le dimanche !

Formule pour déjeuner à partir de 29 euros.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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Il aura donc pris son temps l’ancien maire divers gauche de Joigny et personnalité charismatique de la presse départementale avant de se voir distinguer de la célèbre rosette rouge. Un petit sigle ostentatoire sympathique qui trouvera sa place en bonne et due forme au revers de sa veste de retraité, toujours très actif, au service des citoyens. Promu le 01er janvier 2016, Bernard MORAINE a reçu l’objet honorifique lors d’une cérémonie privée ce…samedi. La valeur n’attend point le nombre des années dit l’adage !

 

JOIGNY : La patience est un modèle de vertu, dit-on ! Bernard MORAINE a su en faire preuve dans l’absolu avant de se voir remettre l’une des distinctions les plus honorifiques de l’Hexagone samedi dernier, au cours d’une cérémonie presque intimiste, d’ordre strictement privée. Une réception où il fut décoré par Nasser MEDDAH, président de chambre de la Cour des Comptes de Paris, ancien préfet de Bourgogne Franche-Comté, du Loiret et de l’Aube, excusez du peu ! Un ami de longue date du récipiendaire de la fameuse rosette.

Promu le 01er janvier 2016 au tableau des futurs impétrants de l’honorable distinction, le directeur d’antenne et rédacteur en chef de TRIAGE FM, l’emblématique radio de Migennes, édile de Joigny aura donc attendu toutes ces années avant d’officialiser lors d’une cérémonie concoctée entre ami(e)s cet évènement. Six ans déjà, comme le temps passe…

 

 

Une silhouette reconnaissable surmontée d’une crinière et d’une moustache…

 

Chevalier dans l’ordre national de la Légion d’honneur, Bernard MORAINE le fut ce jour-là aux côtés, à titre posthume, des malheureux dessinateurs de l’hebdomadaire satirique, « Charlie Hebdo », massacrés par une bande de fanatiques sur leur lieu de travail à Paris. Un clin d’œil de la destinée que le maire divers gauche de la ville du Middle Yonne n’avait pas manqué de relever à l’époque, lui l’amoureux de la liberté à tout crin et humaniste dans l’âme…Un récipiendaire parmi 691 personnalités.

Mais, pourquoi avoir attendu si longtemps avant de recevoir cette glorieuse distinction ?

« Parce que Bernard MORAINE est un homme d’honneur, répondra en écho à cette interrogation celui qui lui a remis, Nasser MEDDAH. Bernard, vous êtes une figure au sens propre comme au sens figuré et vous ne laissez personne indifférent… ».

 

 

C’est vrai ! Et les mots de l’ancien préfet de la contrée régionale font mouche lors de sa prise de parole. Un éloge consacré à une personnalité entière, « un caractère », une silhouette reconnaissable entre mille, « surmontée d’une crinière et d’une moustache ». C’est sûr : Bernard MORAINE ne passe pas inaperçu !

Un personnage jovial au regard malicieux et au cœur gros comme ça, à l’écoute de son prochain et altruiste.

Bref, celui qui incarne l’engagement au service des autres l’a maintes fois démontré durant sa longue carrière. Tant dans la sphère de l’ovalie où il interviendra en qualité de capitaine d’une équipe de rugby sur le terrain que dans le milieu associatif dès qu’il porte sur les fonts baptismaux un projet qui lui tient vraiment à cœur : la création d’une radio libre « multicolore » il y a quarante ans de cela !

 

 

Un résistant contre les oppresseurs et les empêcheurs de tourner en rond !

 

Dans la vie professionnelle, tout ce que touche Bernard MORAINE se transforme en or tel un alchimiste qui aurait percé les secrets quasi occultes de Nicolas FLAMEL dans la transmutation du plomb en ce métal jaune si précieux. En 1987, on l’oublie parfois mais le futur maire de Joigny mentionne sur ses cartes de visite la fonction de PDG de la société familiale MOUNEY SA où il officiait jadis et à ses débuts en qualité de manutentionnaire.

Libre penseur, aimant défendre la « veuve et l’orphelin », militant politique (à gauche toute !), se définissant comme un « résistant » contre les oppresseurs et les empêcheurs de tourner en rond…Bernard MORAINE se construit petit à petit une image qui ne le quittera plus.

Faisant de lui un citoyen émérite, toujours tourné au service des autres. Chose qu’il fera à merveille lorsqu’il embrassera la carrière politique et ce, dès 1977. Un parcours ponctué de deux mandats municipaux où il siègera dans le fauteuil de premier élu.

Bien sûr, il y eu aussi un petit chapitre sur la famille – qui ne connaît pas sa fille, Juliette, à la prometteuse carrière artistique ! – son épouse, Catherine et son fils, Paul.

Homme pudique, discret, mais toujours énergique, Bernard MORAINE essuiera presque une larme du revers de la main au terme de cette allocution le présentant dans les moindres détails de sa vie terrestre.

Un instant d’émotion rare où le souriant personnage aura quelque peu perdu de sa confiance jubilatoire et partageuse. Peut-être le sens du don de soi enfin révélé pour vivre ensemble le courage de défendre ses idées au nom des nobles causes…Qui sait ?

 

Thierry BRET

 


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Le département de l’Yonne y présentait cinquante-trois échantillons. Sur un total de 180 spécimens. Grand bien lui fasse ! Le territoire le plus septentrional de Bourgogne s’est vu récompenser de vingt-et-une médailles dont sept en or, six en argent et huit en bronze. Saluant la tradition fromagère fermière de l’Yonne, lors du Concours régional organisé dans la Nièvre le week-end dernier…

 

MAGNY-COURS (Nièvre) : Les amateurs le savent pertinemment : les fromages fermiers produits dans l’Yonne sont de belle facture et plutôt goûteux ! Preuve en a été encore donnée le week-end dernier à l’occasion du Concours régional, proposé dans le cadre du Salon du Bien-être près de Nevers.

30 % des échantillons présentés au palais expert des membres du jury de cette édition 2022 étaient issus de notre département ! L’Yonne s’est distinguée en glanant une vingtaine de médailles dont sept en or.

Au total, ce sont dix-huit producteurs de fromages icaunais qui ont eu la satisfaction de participer à cette épreuve qui permit à treize d’entre eux de toucher le jackpot de la distinction. Précisons que sur les vingt-et-une médailles, douze ont été attribuées aux fromages de chèvre, sept aux fromages de vache et deux aux fromages de brebis.

 

 

En savoir plus :

 

Les lauréats de cette édition :

 

Médaille Or

 

EARL Chevrette et Grenouillette, fromage lactique de chèvre mi sec

La P’tit Chèvre de Bernouil, fromage lactique de chèvre affiné,

Ferme de la Pierre qui vire, lactique de vache mi sec,

GAEC BOUTAUT, lactique de vache mi sec,

Ferme de la Pierre qui vire, pâte pressée de vache,

TRIMOULINARD Pauline, cabrache,

GAEC LECLERE, Soumaintrain.

 

Médaille Argent

 

GAEC DESMOUTIERS BRETON, Vézelay

EARL LES MONTANTS, Vézelay,

La Ferme d’Ultéria, fromage lactique de chèvre mi sec,

Missa Capri, fromages de chèvre cendrés,

SCEA Elevage de Crètes, fromage de chèvre cendré,

GAEC de Champbeaublé, lactique de vache mi sec.

 

Médaille bronze

 

La Ferme d’Ultéria, Vézelay,

Missa Capri, fromage lactique de chèvre mi sec,

La Ferme d’Ultéria, fromage lactique de chèvre affiné,

EARL Les MONTANTS, Fromage de chèvre cendré,

SCEA Elevage des Crètes, fromage de chèvre cendré,

GAEC BOUTAUT, Lactique de vache frais salé de moins de trois jours,

La Bergerie des Sources, lactique de brebis,

GAEC LECLERE, Soumaintrain.

 

Thierry BRET

 


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A l’annonce du résultat, victorieux, le juvénile visage se couvre de larmes. Une joie à peine contenue. Se frottant les yeux comme si elle sortait d’un songe, la jeune fille aux joues rougies doute de l’énoncé du verdict. Au terme d’une très longue journée de compétition – l’épreuve régionale du concours des « Meilleurs Jeunes Boulangers » de France – Margaux CONNET offre le titre à l’Yonne, et au CIFA son centre de formation initial, se qualifiant pour la finale hexagonale à Laval le mois prochain…

 

AUXERRE : Son cœur a dû battre la chamade. Rongeant son frein, dans l’attente des résultats définitifs qui devaient la départager du dernier prétendant au titre, Dylan ROUSSEAU, un jeune homme de Côte d’Or, Margaux CONNET attend.

On l’a sent se crisper au fil des minutes qui passent lentement, écoutant la moindre parole égrenée par le président du jury. Les deux ex-aequo figurant à la troisième place viennent d’être désignés par la voix du jury officiel. Il ne reste plus que deux candidats pouvant s’octroyer le titre de « Meilleur Jeune Boulanger » de France, sélection de Bourgogne.  

Formée par Alexis PEUZIN, professionnel de la boulange officiant à Auxerre, la jeune Margaux avait déjà séduit il y a quelques semaines le jury présidé par Laurent BISSON, le président de la Fédération de la Boulangerie et Boulangerie-Pâtisserie de l’Yonne, lors de sa victoire au concours départemental.

 

 

La joie de Laurent BISSON envers sa jeune protégée…

 

La voir en si bonne position à quelques minutes de la déclaration devant la propulser vers le toit du monde n’est donc pas une surprise pour celles et ceux qui suivent son parcours depuis que la jeune fille a entamé son chemin initiatique dans cette filière artisanale.

Telle « l’heure bleue » que l’on peut apercevoir une demi-heure durant à la tombée de l’astre diurne à l’horizon, le subtil moment où fut prononcé le patronyme de la jeune professionnelle arriva. Lauréate du concours régional bourguignon, Margaux CONNET peut désormais entrevoir un tout autre registre émotionnel en candidatant au concours de la « Meilleure Jeune Boulangère » de France, à Laval.

Une épreuve se disputant au mois de novembre, comme devait le préciser Laurent BISSON. Un président départemental ô combien satisfait de la tournure des évènements puisque la demoiselle est employée dans sa boutique, que les amateurs de bons pains et de succulentes pâtisseries de l’Auxerrois ailent à fréquenter du côté de Chevannes…

 

Thierry BRET

 

 


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Que dire, devant de tels clichés ! Lumineuses, incandescentes, sublimes…les prises de vues de l’artiste icaunaise se contemplent avec respect et offrent une immersion évidente vers l’onirisme. Un ciel d’hiver qui se pare de coloris exceptionnels, où l’astre diurne joue presque à cache-cache avec les volumes vaporeux de nuages aux formes abstraites et poétiques. Du grand art pour la jeune femme qui a su profiter du moment opportun – « l’heure bleue » - pour immortaliser la voûte céleste de Collioure. Comme très peu ne l’avait déjà vue…

AUXERRE : Par le passé, il y a eu l’élément aquatique, l’eau, photographiée dans toutes ses configurations. On se remémore aussi ces clichés atypiques pris çà et là en Occitanie ou du côté de l’oriental Ouzbékistan pour illustrer un intense travail de créativité. Bref, on ne présente plus Liliane PECHENOT. Une artiste féconde, à l’imaginaire débridé qui utilise son objectif pour mieux entraîner dans son sillage un public admiratif de ses réalisations et de ses rêveries.

Cette fois-ci, elle a scruté le ciel, longtemps jusqu’au moment du coucher du soleil. Afin de tutoyer l’un de ces instants magiques de pure beauté que la nature nous offre avant que l’étoile nourricière ne disparaisse de l’autre côté du décor.

On appelle cela « l’heure bleue ». Une courte période temporelle entre le jour et la nuit. Là, où dans le ciel, le bleu azuréen cède la place à un coloris plus foncé et intense que le ciel du jour. C’était un soir de décembre. Le zéphyr local qui souffle d’ordinaire avec impétuosité entre Languedoc-Roussillon et Occitanie, la tramontane, se manifeste. Modifiant sans cesse la forme et les couleurs pourpres des nuages. L’occasion était trop belle…

« J’ai voulu partager avec cette exposition l’intense émotion que j’ai vécue à ce moment-là, précise Liliane PECHENOT, les fragments des nuages formés peuvent être assimilés à des toiles abstraites dans le paysage merveilleux de la baie de Collioure… ».

Il aura suffi d’une petite demi-heure de travail. Pour toucher du doigt tel le célèbre personnage peint par Michel-Ange sur la voûte constellée de représentations picturales de la chapelle Sixtine ce dieu de la création qui lui a offert ce ciel si étincelant.

Instant de grâce et de plénitude. Avec la vision de ces clichés, le plus souvent minimalistes. Un travail qui fut prolongé d’ailleurs aux abords du lac des Settons, autre source d’inspiration paisible aux couleurs chatoyantes. Des photos dont notre regard doit absolument s’imprégner : juste pour l’esthétisme des choses…Simples et naturelles.

 

En savoir plus :

Exposition photographique Liliane PECHENOT

« CouleurS du Ciel » à l’Espace MOUV’ART

2 Rue de l’Yonne

89000 AUXERRE

Ouverture tous les jours, présence de l’artiste de 14h30 à 19 heures.

Thierry BRET

 

 

 


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