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Ils étaient une cinquantaine à manifester à vélo récemment. Répondant à l’appel de l’association « La Roue libre ». Le cortège, vêtu de gilets de sécurité bleus, a parcouru le centre-ville, appelant à une «vélorution». Un néologisme pour désigner une révolution des pratiques de déplacements urbains. Privilégier les déplacements doux, à vélo, à pied ou en trottinette, donc sans émission de gaz polluants, est aux yeux des adhérents une priorité. Voire une nécessité…

 

AUXERRE : Toutes les villes de l’Hexagone ne sont malheureusement pas logées à la même enseigne en ce qui concerne les aménagements qui facilitent ces modes de déplacements.

Auxerre n’est, assurément, pas à la pointe dans ce secteur. Tant il est vrai que l’on a dans les années 70 cherché plutôt à adapter la ville à la voiture. Le fait est que le nombre d’usagers de la route en ville a considérablement augmenté depuis cette époque, rendant l’utilisation de la voiture individuelle souvent problématique.

La première démarche de « La Roue libre » a donc été de rencontrer les élus de la Ville et de la Communauté d’agglomération. Si la C.A. dispose bien d’un adjoint à la mobilité et aux transports sur l’ensemble des 29 communes, il n’en va pas de même pour la Ville d’Auxerre.

Ce qui a amené le président de l’association, Yves LE GOFF, à rencontrer Sébastien DOLOZILEK, chargé de la Sécurité, et Nordine BOUCHROU, adjoint en charge de l’Urbanisme, des travaux et de l’accessibilité.   

De là naît la question : « Qui s’occupe réellement des aménagements vélo à Auxerre ? ».

Car, des aménagements, il en existe ! Que ce soit les consignes à vélos pour les personnes résidant en appartements, ou les voies cyclables, presque toujours discontinues, qui font partie des équipements demandés par la loi Laure de 1996 (Loi sur l’Air et l’Utilisation Rationnelle de l’Energie) et par la loi LOM de 2019 (Loi d’Orientation des Mobilités).

 

 

Un baromètre numérique pour connaître le classement d’Auxerre…

 

La question est là aussi celle du nombre d’usagers : beaucoup hésitent en effet à utiliser davantage le vélo en ville car ils ne se sentent pas vraiment en sécurité.

D’où l’appel de l’association à répondre massivement à la consultation lancée par la Fédération des Usagers de la Bicyclette. Depuis 2017, le baromètre des villes cyclables permet d’établir un classement des villes basé sur les réponses des cyclistes.

Au terme des trois ans du Plan national pour développer le vélo, débuté en 2018, et qui a conduit à une hausse de 30 % des pistes cyclables au niveau national, le moment est favorable pour faire un bilan sur la situation à Auxerre, à travers cet outil unique en son genre qui a totalisé en 2019 185 000 réponses sur 763 communes.

Nul doute que l’année 2021 verra une augmentation significative du nombre de participants à cette consultation, accessible depuis le site www.fub.fr.

 

Claire CIUPA

 

 


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Expliquée en long, en large et en travers, la Responsabilité Sociétale des Entreprises ! Pour beaucoup, la RSE n’est qu’un acronyme parmi tant d’autres. Un de plus qui s’invite comme un effet de mode au quotidien dans l’environnement de bon nombre de patrons de sociétés. Et pourtant, à l’instar de Monsieur JOURDAIN qui pratiquait la prose tout en l’ignorant, cette discipline à mi-chemin entre philosophie de l’esprit et concrétisations bien palpables de projets est devenue le fer de lance stratégique des entrepreneurs qui avancent…

 

AUXERRE : Ah, elle en aura suscité des interrogations de tout ordre lors de ce colloque organisé par le MEDEF de l’Yonne dans le grand amphi de la Maison de l’Entreprise ! Elle l’aura interpellée cette assistance, nombreuse et attentive, qui en aura découvert les immanquables vertus applicatives.

Comme une amie qui nous revient dès les premières feuilles de l’automne tombées, la RSE s’est invitée dans le grand bal de la rentrée. Celui de la réouverture des classes qui accueillent nos chers potaches. Celui de la reprise économique qui pointe désormais à l’horizon après des mois de tergiversations et de palabres inhérentes à la crise sanitaire.

Une amie, la RSE ? Nécessairement ! Si on liste l’inventaire à la Prévert des opportunités, potentialités et projets évolutifs qui la concernent, les entreprises d’hier et d’aujourd’hui l’employant à bon escient se placent en orbite idéale pour aborder les réalités du monde économique de demain. C’est une quasi-certitude !

Alors entre amour et désamour, il n’y a pas photo ! De même, qu’il n’y aura pas eu de contradictions allant à l’encontre de cette théorie, lors de ce rendez-vous peaufiné par le MEDEF de l’Yonne qui se veut le chantre de la pédagogie participative en direction de ses adhérents (et des autres) entrepreneurs.

La RSE s’est installée pour longtemps dans le paysage des méthodologies à adopter sans renâcler par les acteurs de l’économie. Il y va presque de la survie de tout outil entrepreneurial qui se respecte !

 

 

 

Le monde de l’entreprise respire et vit RSE…

 

Bien sûr, pour les béotiens que nous sommes, nous autres journalistes, une question demeure : la RSE relève-t-elle d’un truc (et astuces) de consultants en besoin de conquêtes commerciales à tout prix ? Un épiphénomène modal, un peu fourre-tout, où l’on saupoudre le concept d’un zeste de qualité, d’une once de relations humaines dans l’approche managériale ou encore d’un brin d’innovation permettant d’évoluer sur son marché ?

C’est un peu tout cela qui constitue le fondamental profond de cette méthodologie, ne datant pas d’hier puisque déjà dans les années 60 (sous un tout autre vocable) se développaient partout en France les rudiments de la responsabilité sociétale (peut-être plus sociale à l’époque ?) des entreprises.

 

 

Bref, on s’aperçoit très vite, au fil des deux tables rondes illustrant les propos par leurs témoignages choisis sur le volet ou précédemment par la longue tirade introductive de la marraine d’un jour (brillantissime Dominique CARLAC’H, vice-présidente nationale de la vénérable institution invitante et cheffe d’entreprise elle-même) que nous vivons RSE, respirons RSE, évoluons RSE et anticipons RSE depuis belle lurette !

 

 

 

On se lève tous pour la RSE !

 

Eh, oui, comme le célèbre personnage, tiré de l’imaginaire débridé de Jean-Baptiste POQUELIN, bon nombre d’entrepreneurs, au fil de leurs pérégrinations de dirigeants, développent des idées, des concepts, des thématiques, des préconisations inspirés directement de ce fameux précepte. Au nom de la sacro-sainte stratégie et organisation d’entreprise !

Aujourd’hui, plus que jamais, la RSE est partout ! Elle s’est démocratisée à la vitesse grand V, n’étant pas l’apanage des seules grandes structures. Satisfaisant les cadres comme les salariés qui se reconnaissent dans l’application de ses principes bienveillants : social, environnement, ressources humaines, implications, relationnels avec les consommateurs, etc.  

Agrémentée de nombreux témoignages (la vision stratégique régionale de prime abord, puis par le concret vécu par quelques capitaines d’industries de l’Yonne), la conférence offrira un prisme d’idées et d’exemples éclectiques à souhait, à écouter, afin de donner de bonnes raisons aux réfractaires de l’auditoire dans faire autant. Si tant est qu’il y ait un de leurs représentants dans la salle. Pas si sûr !

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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La goutte d’eau a fait déborder le vase. Une de plus dans un récipient largement rempli de doléances diverses et variées. La crise sanitaire n’aura rien arrangé du tout. Au contraire. Plaçant les enseignants en première ligne sur le front de la bataille contre la COVID avec les moyens du bord. Lassés, leurs syndicats (CGT, FO, FSU et Sud Solidaires) en appellent à la mobilisation générale. Histoire de défendre leurs droits, en réclamant le dégel de leur point d’indice et les recrutements qui s’imposent…

 

AUXERRE: L’intersyndicale peaufine ses ultimes préparatifs. Une action commune dans la rue afin de crier haut et fort son ras-le-bol et son mécontentement général. Contre le gouvernement et le ministre de l’Education nationale, Jean-Michel BLANQUER avec lequel le divorce est amplement consommé avec la base. Et ce, depuis très longtemps.

Contre un état français qui se refuse à améliorer les conditions de travail d’une corporation toujours dans le doute, en prise frontale avec la crise sanitaire et qui gèle les points d’indice permettant de revaloriser les salaires depuis bientôt une décennie.

Le 23 septembre, à l’appel de quatre syndicats (CGT, FO, FSU et Sud Solidaires), enseignants et autres personnels de l’Education nationale descendront dans la rue afin de défendre leurs droits.

Réclamant au passage l’instauration d’un plan d’urgence en faveur de la création de nouveaux postes d’enseignants dans le second degré, la hausse des rémunérations en dégelant les points d’indice figés depuis dix ans et enfin, en favorisant des conditions de travail qui doivent s’améliorer.

 

 

Une audience confirmée auprès du directeur académique de l’Yonne…

 

 

Deux rassemblements sur la voie publique sont d’ores et déjà prévus ce fameux jeudi. Peut-être un jeudi noir si la mobilisation s’avère très soutenue.

L’un se déroulera en matinée devant le lycée de Sens dès 10h30. L’autre prendra son envol place de l’Arquebuse à Auxerre à partir de 14 heures avant de converger vers l’hôtel de ville où les slogans porteront sur le refus de la territorialisation de l’enseignement pour l’adoption d’un réel service public national d’éducation ; puis à l’INSPE (Institut national supérieur du professorat et de l’éducation), avant de se rendre rue Pasteur à la Direction des services départementaux de l’Education nationale (DSDEN).

C’est là, dans le milieu de l’après-midi, que le directeur académique des services de l’Education (DASEN) Vincent AUBERT accordera une audience en recevant une délégation de manifestants afin de prendre bonne note des revendications multiples qui ne manqueront pas d’être exposées. La rencontre a d’ores et déjà été confirmée par les organisateurs du mouvement.

 

Une perte de sept mille enseignants alors que le  nombre d’élèves s’est envolé…

 

Le cahier de doléances croule sous les remarques pertinentes remontées de la base. Remise en cause de la laïcité,  bien-fondé de « Parcours sup », mépris ministériel, gel du point d'indice, inclusion systématique, suppression des postes dans le second degré, réforme du baccalauréat et du lycée, des statuts galvaudés, fermetures de classes...bref, c’est un inventaire à la Prévert déroutant qui constitue le socle des revendications à faire remonter coûte que coûte au sommet de l’Etat.

A date, les chiffres laissent pantois, côté effectifs. Près de sept mille enseignants du second degré ont disparu corps et âmes des références ressources humaines de l’Education nationale. Alors que le nombre d’élèves a progressé en France au cours de ces quatre dernières années de soixante mille unités. Drôle de ratio, en vérité !

Dans l’Yonne, ce sont 130 professionnels qui ont rejoint la sinistre case des pertes et profits en matière de présence physique. En outre, une centaine d'enseignants effectuent leurs interventions pédagogiques journalières en multipliant les déplacements et les kilomètres, pour certains, aux quatre coins du territoire, assurant des remplacements par manque de poste. Du cache misère dont ne veulent plus les quatre syndicats concernés.

 

Le chemin sera long pour se faire entendre et surtout être écouté…

 

Sans compter que la cellule infirmerie et médecine scolaire ne croule pas sous les embauches. Le territoire nord-bourguignon est en déficit de cinq postes de psychologues, immergés en établissement, alors que les difficultés prolifèrent…

Les porte-voix des formations syndicales sont formels : il est indispensable, voire vital de procéder au recrutement de nouveaux professeurs dans le second degré. Coté rémunérations, le bât blesse également.

Au classement de l’OCDE, la France figure à la 23ème place des pays les moins rémunérateurs pour ses enseignants ! Alors, que dans le même temps, l’Allemagne rétribue deux fois plus ses professeurs que chez nous ! Pourquoi un tel écart de salaire ?

« Nous en avons marre de vivre en dessous de nos moyens, confient en chœur les trois orateurs de la conférence de presse qui s’est tenue dans les locaux de l’intersyndicale, ce mardi après-midi à Auxerre. Tout se délite et est en mode dégradé dans notre corporation : nous ne l’acceptons plus ! ».

Les « oubliés » du plan de relance comme ils se définissent ne veulent plus subir sans agir.  

La première conséquence sera cet appel à la grève le 23 septembre lancée conjointement par les quatre syndicats dont trois de ses représentants tenaient une conférence de presse, Nadège GIRAULT, secrétaire départementale adjointe de FO, Philippe WANTE, secrétaire départemental de la FSU et Julien GODARD, pour Sud Education.

Mais, une assemblée générale est également prévue afin de préparer la suite de la contestation, notamment la grève interprofessionnelle qui est déjà biffée sur les agendas en date du 05 octobre.

Le long chemin de croix pour que les enseignants se fassent entendre (et surtout écoutés auprès de leur ministère) ne fait que débuter…

 

Thierry BRET

 


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La Semaine européenne de la Mobilité débute ce jeudi pour s’achever le 22 septembre. Dans l’Hexagone, bon nombre de manifestations vont être déclinées afin de sensibiliser le plus largement possible les Français aux nouveaux modes de transport. Ceux qui ne privilégient pas l’usage des énergies fossiles. Pourtant, un sondage dénote : il révèle que la voiture individuelle demeure le moyen de locomotion le plus usité pour emmener les scolaires vers leurs lieux d’enseignement…Paradoxe.

 

AUXERRE : Vingt-six millions de trajets. C’est le nombre de transports quotidiens effectués dans notre pays par les élèves, les enseignants et les personnels des écoles. On les nomme les transports journaliers, depuis le domicile jusqu’aux établissements scolaires. Pour autant, dans le collimateur de notre gouvernance, ils nécessitent une véritable réflexion pour rentrer dans les clous de la protection environnementale.

D’autant qu’un récent sondage, diffusé par Eco CO2, atteste que le véhicule individuel demeure au centre de ces déplacements, sources de pollution, nuisances diverses et autres inconvénients pour la planète.

Il est vrai que 31 % des personnes sondées lors de ce questionnaire relatif aux parents et aux transports scolaires préfèrent, et de loin, utilisées leur automobile personnelle pour conduire leur progéniture sur le chemin de l’école.

Logique, en vérité puisque le panel choisi montre que 39 % des élèves habitent à moins de deux kilomètres de leur établissement et 64 % vivent dans un rayon de cinq kilomètres.

 

La marche à pied fait de plus en plus d’émules pour se rendre à l’école…

 

Toutefois, 55 % de ces parents questionnés se disent favorables pour privilégier la mobilité dite « active ». Sachant que la marche à pied progresse de + 3 % par rapport à 2020 (28 %) en France.

Aussi, bon nombre de municipalités commencent à piétonniser, voire à fermer les voies de circulation routière aux abords des établissements scolaires. Histoire de refouler les récalcitrants (et ils sont légion dans notre pays de cocagne), hors de ce périmètre.

La présence d’automobiles à proximité des écoles est souvent à l’origine d'embouteillages monstres (un petit tour vers le groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle entre 7h30 et 08 heures le matin vous passera l’envie d’emprunter ce parcours !), d'insécurité routière permanente malgré la présence de ralentisseurs (inutiles) et de pollution constante aux heures d'entrée ou de sortie des élèves.

 

 

Quid des élèves devant parcourir de plus longues distances ?

 

Moyennant en quoi : les déplacements avec son véhicule individuel ne sont plus les bienvenus pour transporter sa progéniture vers l’école. A l’avenir, ils sont à proscrire !

C’est une évidence, les solutions sont pourtant simples. Privilégions les transports collectifs en entassant dès potron-minet nos chères têtes blondes à l’intérieur d’un bus, sur un périple compris parfois entre une heure et une heure et demi de trajet et d’ennui pour les moins biens lotis.

Ou dans le respect de la tendance modale actuelle, expédions-les sur le chemin de l’école avec leurs besaces bien garnies de fournitures futiles dans le dos sur deux, voire cinq kilomètres d’exercice pédestre obligatoire au quotidien ! Rien de tel pour leur apprendre le sens de la vie en pratiquant une activité physique !

Quant aux élèves vivant à de plus grandes distances : ce n’est même plus la peine de se poser la question. L’internat accueillera à bras ouvert et dans un esprit franchement cocooning vos enfants que vous pourrez choyer à distance !

 

Thierry BRET

 


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Les futures échéances électorales (et non des moindres avec les présidentielles, assorties quelques semaines plus tard des législatives au printemps 2022) devraient mobiliser les états-majors des formations politiques. Toutes obédiences confondues. Dans l’Yonne, les « Marcheurs » se retrouveront à la fin de ce mois, histoire de se mettre en ordre de bataille…

 

AUXERRE : Préparer les prochaines échéances électorales ! Sans ambages, c’est le mot d’ordre du futur rassemblement concocté par les représentants de La République en Marche sur notre territoire, à la date du 26 septembre sur la localité de Seignelay.

Mélangeant convivialité et échanges politiques, l’évènement symbolise la fin de la récréation estivale pour la délégation départementale de la majorité présidentielle. Qui se doit de tourner la page après les mauvais résultats obtenus lors des départementales/régionales.

La manifestation de ces retrouvailles sera déclinée autour de plusieurs rendez-vous. Le premier d’entre eux se déroulera dès 09h30 avec une prise de parole du secrétaire d’Etat en charge du Tourisme, Jean-Baptiste LEMOYNE. Un élu aux origines icaunaises. Puis, chacune des composantes de la majorité présidentielle sera sollicitée à la tribune pour livrer ses commentaires.

 

 

L’après-midi, un débat ouvert aux militants et élus s’instaurera afin de déterminer l’organisation de la future campagne (présidentielle ?) et le rôle de chacun dans ce laps de temps si précieux et devant être persuasif menant au mois d’avril 2022.

Le référent départemental de LREM 89, Patrice-José TAMPIED AZURZA espère également la présence d’une autre personnalité nationale ce jour-là qui pour l’heure n’est pas encore identifiée.

Et si la venue d’Emmanuel MACRON en personne à Seignelay faisait office de cerise sur le gâteau de cette manifestation aux caractéristiques conviviales ?

 

Thierry BRET

 

 

 


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