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La goutte d’eau a fait déborder le vase. Une de plus dans un récipient largement rempli de doléances diverses et variées. La crise sanitaire n’aura rien arrangé du tout. Au contraire. Plaçant les enseignants en première ligne sur le front de la bataille contre la COVID avec les moyens du bord. Lassés, leurs syndicats (CGT, FO, FSU et Sud Solidaires) en appellent à la mobilisation générale. Histoire de défendre leurs droits, en réclamant le dégel de leur point d’indice et les recrutements qui s’imposent…

 

AUXERRE: L’intersyndicale peaufine ses ultimes préparatifs. Une action commune dans la rue afin de crier haut et fort son ras-le-bol et son mécontentement général. Contre le gouvernement et le ministre de l’Education nationale, Jean-Michel BLANQUER avec lequel le divorce est amplement consommé avec la base. Et ce, depuis très longtemps.

Contre un état français qui se refuse à améliorer les conditions de travail d’une corporation toujours dans le doute, en prise frontale avec la crise sanitaire et qui gèle les points d’indice permettant de revaloriser les salaires depuis bientôt une décennie.

Le 23 septembre, à l’appel de quatre syndicats (CGT, FO, FSU et Sud Solidaires), enseignants et autres personnels de l’Education nationale descendront dans la rue afin de défendre leurs droits.

Réclamant au passage l’instauration d’un plan d’urgence en faveur de la création de nouveaux postes d’enseignants dans le second degré, la hausse des rémunérations en dégelant les points d’indice figés depuis dix ans et enfin, en favorisant des conditions de travail qui doivent s’améliorer.

 

 

Une audience confirmée auprès du directeur académique de l’Yonne…

 

 

Deux rassemblements sur la voie publique sont d’ores et déjà prévus ce fameux jeudi. Peut-être un jeudi noir si la mobilisation s’avère très soutenue.

L’un se déroulera en matinée devant le lycée de Sens dès 10h30. L’autre prendra son envol place de l’Arquebuse à Auxerre à partir de 14 heures avant de converger vers l’hôtel de ville où les slogans porteront sur le refus de la territorialisation de l’enseignement pour l’adoption d’un réel service public national d’éducation ; puis à l’INSPE (Institut national supérieur du professorat et de l’éducation), avant de se rendre rue Pasteur à la Direction des services départementaux de l’Education nationale (DSDEN).

C’est là, dans le milieu de l’après-midi, que le directeur académique des services de l’Education (DASEN) Vincent AUBERT accordera une audience en recevant une délégation de manifestants afin de prendre bonne note des revendications multiples qui ne manqueront pas d’être exposées. La rencontre a d’ores et déjà été confirmée par les organisateurs du mouvement.

 

Une perte de sept mille enseignants alors que le  nombre d’élèves s’est envolé…

 

Le cahier de doléances croule sous les remarques pertinentes remontées de la base. Remise en cause de la laïcité,  bien-fondé de « Parcours sup », mépris ministériel, gel du point d'indice, inclusion systématique, suppression des postes dans le second degré, réforme du baccalauréat et du lycée, des statuts galvaudés, fermetures de classes...bref, c’est un inventaire à la Prévert déroutant qui constitue le socle des revendications à faire remonter coûte que coûte au sommet de l’Etat.

A date, les chiffres laissent pantois, côté effectifs. Près de sept mille enseignants du second degré ont disparu corps et âmes des références ressources humaines de l’Education nationale. Alors que le nombre d’élèves a progressé en France au cours de ces quatre dernières années de soixante mille unités. Drôle de ratio, en vérité !

Dans l’Yonne, ce sont 130 professionnels qui ont rejoint la sinistre case des pertes et profits en matière de présence physique. En outre, une centaine d'enseignants effectuent leurs interventions pédagogiques journalières en multipliant les déplacements et les kilomètres, pour certains, aux quatre coins du territoire, assurant des remplacements par manque de poste. Du cache misère dont ne veulent plus les quatre syndicats concernés.

 

Le chemin sera long pour se faire entendre et surtout être écouté…

 

Sans compter que la cellule infirmerie et médecine scolaire ne croule pas sous les embauches. Le territoire nord-bourguignon est en déficit de cinq postes de psychologues, immergés en établissement, alors que les difficultés prolifèrent…

Les porte-voix des formations syndicales sont formels : il est indispensable, voire vital de procéder au recrutement de nouveaux professeurs dans le second degré. Coté rémunérations, le bât blesse également.

Au classement de l’OCDE, la France figure à la 23ème place des pays les moins rémunérateurs pour ses enseignants ! Alors, que dans le même temps, l’Allemagne rétribue deux fois plus ses professeurs que chez nous ! Pourquoi un tel écart de salaire ?

« Nous en avons marre de vivre en dessous de nos moyens, confient en chœur les trois orateurs de la conférence de presse qui s’est tenue dans les locaux de l’intersyndicale, ce mardi après-midi à Auxerre. Tout se délite et est en mode dégradé dans notre corporation : nous ne l’acceptons plus ! ».

Les « oubliés » du plan de relance comme ils se définissent ne veulent plus subir sans agir.  

La première conséquence sera cet appel à la grève le 23 septembre lancée conjointement par les quatre syndicats dont trois de ses représentants tenaient une conférence de presse, Nadège GIRAULT, secrétaire départementale adjointe de FO, Philippe WANTE, secrétaire départemental de la FSU et Julien GODARD, pour Sud Education.

Mais, une assemblée générale est également prévue afin de préparer la suite de la contestation, notamment la grève interprofessionnelle qui est déjà biffée sur les agendas en date du 05 octobre.

Le long chemin de croix pour que les enseignants se fassent entendre (et surtout écoutés auprès de leur ministère) ne fait que débuter…

 

Thierry BRET

 


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La Semaine européenne de la Mobilité débute ce jeudi pour s’achever le 22 septembre. Dans l’Hexagone, bon nombre de manifestations vont être déclinées afin de sensibiliser le plus largement possible les Français aux nouveaux modes de transport. Ceux qui ne privilégient pas l’usage des énergies fossiles. Pourtant, un sondage dénote : il révèle que la voiture individuelle demeure le moyen de locomotion le plus usité pour emmener les scolaires vers leurs lieux d’enseignement…Paradoxe.

 

AUXERRE : Vingt-six millions de trajets. C’est le nombre de transports quotidiens effectués dans notre pays par les élèves, les enseignants et les personnels des écoles. On les nomme les transports journaliers, depuis le domicile jusqu’aux établissements scolaires. Pour autant, dans le collimateur de notre gouvernance, ils nécessitent une véritable réflexion pour rentrer dans les clous de la protection environnementale.

D’autant qu’un récent sondage, diffusé par Eco CO2, atteste que le véhicule individuel demeure au centre de ces déplacements, sources de pollution, nuisances diverses et autres inconvénients pour la planète.

Il est vrai que 31 % des personnes sondées lors de ce questionnaire relatif aux parents et aux transports scolaires préfèrent, et de loin, utilisées leur automobile personnelle pour conduire leur progéniture sur le chemin de l’école.

Logique, en vérité puisque le panel choisi montre que 39 % des élèves habitent à moins de deux kilomètres de leur établissement et 64 % vivent dans un rayon de cinq kilomètres.

 

La marche à pied fait de plus en plus d’émules pour se rendre à l’école…

 

Toutefois, 55 % de ces parents questionnés se disent favorables pour privilégier la mobilité dite « active ». Sachant que la marche à pied progresse de + 3 % par rapport à 2020 (28 %) en France.

Aussi, bon nombre de municipalités commencent à piétonniser, voire à fermer les voies de circulation routière aux abords des établissements scolaires. Histoire de refouler les récalcitrants (et ils sont légion dans notre pays de cocagne), hors de ce périmètre.

La présence d’automobiles à proximité des écoles est souvent à l’origine d'embouteillages monstres (un petit tour vers le groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle entre 7h30 et 08 heures le matin vous passera l’envie d’emprunter ce parcours !), d'insécurité routière permanente malgré la présence de ralentisseurs (inutiles) et de pollution constante aux heures d'entrée ou de sortie des élèves.

 

 

Quid des élèves devant parcourir de plus longues distances ?

 

Moyennant en quoi : les déplacements avec son véhicule individuel ne sont plus les bienvenus pour transporter sa progéniture vers l’école. A l’avenir, ils sont à proscrire !

C’est une évidence, les solutions sont pourtant simples. Privilégions les transports collectifs en entassant dès potron-minet nos chères têtes blondes à l’intérieur d’un bus, sur un périple compris parfois entre une heure et une heure et demi de trajet et d’ennui pour les moins biens lotis.

Ou dans le respect de la tendance modale actuelle, expédions-les sur le chemin de l’école avec leurs besaces bien garnies de fournitures futiles dans le dos sur deux, voire cinq kilomètres d’exercice pédestre obligatoire au quotidien ! Rien de tel pour leur apprendre le sens de la vie en pratiquant une activité physique !

Quant aux élèves vivant à de plus grandes distances : ce n’est même plus la peine de se poser la question. L’internat accueillera à bras ouvert et dans un esprit franchement cocooning vos enfants que vous pourrez choyer à distance !

 

Thierry BRET

 


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Les futures échéances électorales (et non des moindres avec les présidentielles, assorties quelques semaines plus tard des législatives au printemps 2022) devraient mobiliser les états-majors des formations politiques. Toutes obédiences confondues. Dans l’Yonne, les « Marcheurs » se retrouveront à la fin de ce mois, histoire de se mettre en ordre de bataille…

 

AUXERRE : Préparer les prochaines échéances électorales ! Sans ambages, c’est le mot d’ordre du futur rassemblement concocté par les représentants de La République en Marche sur notre territoire, à la date du 26 septembre sur la localité de Seignelay.

Mélangeant convivialité et échanges politiques, l’évènement symbolise la fin de la récréation estivale pour la délégation départementale de la majorité présidentielle. Qui se doit de tourner la page après les mauvais résultats obtenus lors des départementales/régionales.

La manifestation de ces retrouvailles sera déclinée autour de plusieurs rendez-vous. Le premier d’entre eux se déroulera dès 09h30 avec une prise de parole du secrétaire d’Etat en charge du Tourisme, Jean-Baptiste LEMOYNE. Un élu aux origines icaunaises. Puis, chacune des composantes de la majorité présidentielle sera sollicitée à la tribune pour livrer ses commentaires.

 

 

L’après-midi, un débat ouvert aux militants et élus s’instaurera afin de déterminer l’organisation de la future campagne (présidentielle ?) et le rôle de chacun dans ce laps de temps si précieux et devant être persuasif menant au mois d’avril 2022.

Le référent départemental de LREM 89, Patrice-José TAMPIED AZURZA espère également la présence d’une autre personnalité nationale ce jour-là qui pour l’heure n’est pas encore identifiée.

Et si la venue d’Emmanuel MACRON en personne à Seignelay faisait office de cerise sur le gâteau de cette manifestation aux caractéristiques conviviales ?

 

Thierry BRET

 

 

 


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Le président du Conseil Départemental de l’Yonne Patrick GENDRAUD a visité le collège des Champs-Plaisant où plusieurs problématiques ont été évoquées par le principal Marc DUMEZ. Parmi les priorités : la citoyenneté, la lutte contre le sexisme, le développement durable ou la continuité du REP (Réseau d’Education Prioritaire) qui intègre de nombreuses activités pour les élèves.

 

SENS : Le montant alloué aux collèges par le Département de l’Yonne s’élève à 33 millions d’euros, dont 15 millions d’euros dédiés à l’investissement, « avec un effort important pour la restauration », contre 11 millions d’euros en 2020 et 10 millions d’euros en 2019.

« Avec les nouveaux élus, nous envisageons, pour les années à venir, d’aller jusqu’à 20 millions d’investissement par an pour les collèges » ajoute Patrick GENDRAUD,  président du Conseil départemental de l’Yonne.

 

Les Champs-Plaisants, un collège en souffrance, pour la restauration…

 

Avec en charge près de 900 élèves, alors que sa capacité d’accueil physique avait été fixée à 800 dans le Schéma Directeur des collèges du Conseil Départemental de l’Yonne de février 2010, le collège des Champs Plaisants nécessite une attention particulière. Aujourd’hui, les élèves sont répartis dans 32 classes, pour seulement 33 salles, « une grosse contrainte en termes d’emploi du temps » comme le précise Marc DUMEZ, le principal du collège.

La réfection du restaurant scolaire doit être réalisée en priorité et fait l’objet d’un projet concret. C’est l’un des points noirs de l’établissement.

Avant l’épidémie de COVID, les élèves étaient accueillis dans une salle assez petite, à raison de six élèves par table. Depuis la mise en place des mesures gouvernementales, le collège a même dû sacrifier le foyer afin de créer une seconde salle, de manière à ce que les élèves puissent manger à trois par table.

La réorganisation du restaurant scolaire impliquera également la mise en place d’un système de tri afin d’éviter le gaspillage alimentaire ainsi qu’une préférence pour le circuit court, soit l’utilisation de produits français.

 

 

Lancement d’un projet contre la discrimination et le sexisme…

 

Le principal souhaite lancer un « Projet Citoyenneté ». Il sera « ambitieux dans la mesure où on marche sur des œufs. Mais je pense que c’est une problématique qu’il fallait soulever au collège des Champs Plaisants en particulier puisque nous avons de nombreuses origines ethniques et culturelles très différentes avec, parfois, des attitudes et des comportements qui sont, en République, pas tolérables ».

Marc DUMEZ compte également prendre à bras le corps le problème de maltraitance psychologique exercée sur les collégiennes, des incidents rapportés récemment par les enseignants.

« Les jeunes filles sont victimes de comportements inadaptés, sexistes, qui sont souvent passés sous silence ».

En cause, la honte ou le refus de dénoncer de peur d’être considérée comme une balance.

« On veut vraiment lutter contre ce fléau » ajoute le chef d’établissement.

Il déplore aussi que « les réseaux sociaux amplifient le phénomène » et que « de nombreux élèves ne mesurent pas la portée de leurs gestes ni celles de leurs publications ».

Il précise même que des « nudes » (autoportraits dénudés) ont obligé des élèves à changer d’établissement.

 

Floriane BOIVIN

 

 


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C’est le jour J pour quatre valeureuses candidates de l’une des épreuves d’endurance à la renommée régionale qui se dispute ce samedi 11 septembre dans l’Avallonnais. Elles se prénomment Alexane, Carine, Elise et Lauranne. Leur objectif est simple : parcourir les cent kilomètres de marche prévus au programme en moins de trente heures. Ce qui n’est pas rien, dans la réalité !

 

AVALLON : Combatives et fonceuses, les jeunettes ! L’équipe des « L’Yonne » justifie pleinement son appellation. Car, les filles à la tête bien remplie intellectuellement ne manquent pas d’ambitions pour effectuer le parcours complexe de ce trail en moins de trente heures. Une épreuve pédestre où elle ne devrait pas trop souffrir des affres de la chaleur, visiblement.

« Nous sommes prêtes à prendre le départ de ce challenge difficile physiquement même si nous savons que nos nerfs vont être mis à rude épreuve, précise l’une d’entre elles, Alexane LABOURIER.

La motivation, elles en ont à revendre. La détermination leur tiendra compagnie tout au long de ce périple insolite où chacune devra se battre avec elle-même pour y parvenir.

Pourquoi leur présence sur une telle épreuve ?

« Nous nous sommes engagées dans cette aventure avec chacune des raisons différentes, ou des personnes à rendre fières. Et c’est ensemble, pour nous et pour nos proches que nous relèverons ce défi ! ».

Joliment dit, en vérité ! Derrière l’exploit sportif (une évidence avec une telle distance à accomplir), les filles de « L’Yonne » dont une Nivernaise ont souhaité relever ce défi humain ayant un coup de cœur pour les actions menées par l’association OXFAM qui vise à combattre les inégalités dans le monde.

« D’ailleurs, précise Alexane, nous nous sommes engagées à récolter un minimum de 1 500 euros de dons à verser aux œuvres de cette structure… ».

On ne peut donc que souhaiter bonne chance à ces quatre demoiselles courageuses (Elise BARON, Carine BEULLARD, Lauranne CLOUET et Alexane LABOURIER) pour l’accomplissement de leur beau défi sportif !

 

Thierry BRET

 


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