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Le conflit russo-ukrainien, ce sont d’abord des centaines de milliers de morts, civils et militaires. Au-delà du conflit armé, comme souvent, c’est aussi une guerre civile. Il marque la fin de l’hégémonie occidentale, la nouvelle donne des alliances et une redistribution des cartes géographiques.

TRIBUNE : La fameuse contre-offensive promise depuis un mois a débuté le 04 juin dernier. Elle semble au point mort et certains experts parlent de son échec. Volodymir ZELENSKY affirme que son armée avance mais qu’elle rencontre de graves difficultés dans sa progression. Quant à Vladimir POUTINE, il assure avoir bloqué l’adversaire, qu’aucune parcelle de terrain n’est cédée mais que son armée subit de lourdes pertes. Il est clair que les lignes de défense construites par les Russes l’été dernier (Donbass et Novorossin) empêchent tout passage de blindés.

Les constats

L’échec provisoire de la reconquête des territoires ukrainiens montre clairement que l’armement des Occidentaux ne suffit pas à gagner le combat et tant s’en faut ! De plus, l’armée russe s’est attachée à cibler avec succès les centres de commandement et les arsenaux ukrainiens. La nouvelle frontière est devenue un horrible cimetière d’hommes et les carcasses de blindés fument encore… Sur de nombreux aéroports ukrainiens des débris de Mig 29 et de M 16 jonchent les tarmacs ! Les morts, civils et militaires, se comptent par centaines de milliers. Les Etats-Unis estiment les pertes en matériel à 500 milliards de dollars… Impressionnant mais dérisoire à côté du drame humain ! Quel que soit le camp, une mère qui pleure son fils mort au combat, ou une épouse qui ne se console pas de la disparition de son époux, sont toutes dignes de notre compassion et de notre respect : la douleur n’a ni frontière ni drapeau, la douleur de ces femmes est universelle…

 

 

De nouveaux enjeux…

On peut se demander ce que valent les armes occidentales (années 1990), face à l’arsenal russe d’aujourd’hui ? La force aurait-elle changé de camp ? L’armée ukrainienne ne peut pas mener une guerre intense et efficace. Parmi les forces vives, il faut distinguer les militaires avec ZELENSKY à leur tête. Ils pensent défendre le peuple, à éradiquer les Russes et leur culture. C’est une faiblesse historique, aucune unité possible et l’armée ne forme pas un bloc indivisible !

Un autre enjeu majeur qui découle également de la fracture nationaliste-peuple de base : la guerre civile ! Le Donbass illustre parfaitement la dérive « guerre civile ». Depuis une quinzaine d’années, on ne compte plus les morts dans le Donbass (certains l’estime à 1,5 million). Donbass, Novorossin et Crimée sont de culture russe et viscéralement contre toute ingérence de l’Ukraine dans leurs affaires. Ils n’accepteront jamais un retour sous l’autorité de Kiev. Ajoutons qu’Odessa est ukrainienne en droit mais de culture russe. La Transnistrie et la Moldavie demeurent russes de cœur et de culture et constituent des menaces de conflits pour l’Ukraine.

La construction d’un état indépendant ukrainien, tel que défini par Volodymir ZELENSKY et ses amis occidentaux semble impossible. Une Ukraine, une et indépendante n’a jamais existé, sauf durant la Première et la Seconde guerre mondiale. L’Ukraine existe depuis 1991 ! La conséquence est hélas claire : le conflit russo-ukrainien n’aura malheureusement pas de fin…

 

 

 

La redéfinition des alliances…

La guerre en Ukraine délimite le paysage des alliances. Europe et Etats-Unis font bloc autour de Kiev et poussent le pays au combat (idéologie, intérêts financiers ? Un peu des deux). L’OTAN appelle aujourd’hui à soutenir la contre-offensive de l’Ukraine et exacerbe les passions guerrières des Ukrainiens, l’Iran livre des drones aux Russes et envoie des hommes en Crimée, la Russie mobilise ses soutiens eu Moyen-Orient et en Méditerranée, avec notamment l’Algérie.

Si une large partie du monde a condamné l’invasion en Ukraine, voire a pris des sanctions contre la Russie, Vladimir POUTINE n’est pas pour autant isolé dans le conflit. Syrie, Venezuela, Biélorussie le soutiennent. Chine, Cuba et Brésil ne souhaitent pas soutenir ouvertement ou totalement les Russes. Quant à la Turquie, elle souhaite jouer un rôle majeur dans des rencontres pour la paix. Ils veulent ménager la chèvre et le chou : ne pas trop contrarier les Occidentaux, affaires oblige…

On commence à entendre quelques bémols en Europe et certains membres ne sont plus aussi enthousiastes à soutenir un effort de guerre qui leur paraît de plus en plus source de gaspillage en vies humaines et en monnaie ! De plus, la Pologne et la Hongrie interdisent les importations de céréales venant d’Ukraine. Varsovie et Budapest ont justifié leur décision par le fait que les céréales ukrainiennes qui transitent par leur territoire depuis le début de l’intrusion russe et le blocage de certains ports de la mer Noire, constituent une menace pour leur propre secteur agricole. Une partie significative de ces céréales, moins chères que la production locale, n’étant pas comme prévue exportée vers des pays tiers en raison notamment de difficultés logistiques.  N’oublions pas que la Commission Européenne a imposé des quotas de céréales ukrainiennes pour chaque membre de la communauté. Bien entendu, Ursula Von der LEYEN, dans sa légendaire mansuétude, promet des sanctions aux pays récalcitrants… 

Un conflit qui risque de s’éterniser…

A l’instar des deux Corées et du conflit israélo-palestinien, on peut redouter que la guerre en Ukraine s’éternise avec des belligérants campés sur leur position et leur certitude d’avoir raison. Séparée depuis 1948, les deux Corées n’ont jamais signé de traité de paix et leurs armées se positionnent de chaque côté du célèbre 38ème parallèle. Quant aux rapports entre Israël et la Palestine tout a débuté bien avant l’ère chrétienne ! Les juifs de l’époque avaient constitué une mutuelle afin de se préserver contre les exactions des âniers Palestiniens. Depuis, deux ou trois millénaires, nous assistons à une suite de guerres, d’escarmouches, d’actes terroristes… Un éternel conflit, hélas, qui ne prendra fin qu’après l’anéantissement de l’une ou de l’autre partie ! On peut juste espérer, pour l’Ukraine et la Russie, de nouveaux Yasser ARAFAT et Yitzhak RABIN pour se retrouver autour d’une table et parler de paix !

 

 

La guerre en Ukraine se soldera par un statu quo provisoire…

Les Ukrainiens soutenus par l’Europe et les Etats-Unis ne renonceront pas aux régions conquises par les Russes, et les Russes ne cèderont jamais les territoires annexés. D’autant plus, que pour le Donbass, POUTINE donne une pseudo-légitimité démocratique à sa conquête, par un vote des autochtones.

Pour l’instant, fabricants et marchands d’armes s’en donnent à cœur joie, engrangent de copieux bénéfices, et demain, comme de coutume, les ferrailleurs investiront le terrain afin de récupérer tout le matériel militaire et prendre au passage de la monnaie facile…

Nous sommes dans l’impasse. Un traité de paix ne pourra s’envisager que si Vladimir POUTINE accepte de renoncer au rêve de la reconstruction de l’ancien empire soviétique, avec des garanties données aux alliés. De leur côté, américains et européens doivent faire pression auprès de ZELENSKY afin qu’il accepte la perte du Donbass. La paix est à ce prix et la reconstruction d’un pays exsangue et ruiné peut donner de l’espoir aux Ukrainiens ! Il vaut mieux financer des vivres que des chars de guerre. Restera à trouver le « Monsieur bons offices », admis par tous et capable de réunir les frères ennemis !

La paix est au prix de l’humilité et de la fraternité entre les peuples, en oubliant un peu l’ego et l’argent…Anatole France avait peut-être raison quand il écrivit : « On croit mourir pour la patrie ; on meurt pour des industriels… ».

 

Jean-Paul ALLOU

 


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La coopérative centenaire de Chablis se porte comme un charme. Pas la moindre ride aux commissures des lèvres ni sous les paupières ! Pour preuve, la vénérable institution viticole regroupant plus de 250 vignerons sera présente le 04 juillet à Londres pour obtenir un nouveau sésame lors de « l’International Wine Challenge ». Une compétition où elle glane succès sur succès à chaque édition…

 

CHABLIS : Elle les accumule au fil des années, les récompenses à l’international. Logique quand on possède l’âge de ses artères et que l’on vient de fêter dignement le centenaire de son existence ! Une célébration de belle facture qui fut accueillie au printemps dans le cadre romanesque de l’Abbaye de REIGNY, haut-lieu de l’art cistercien bourguignon.

Mais, aujourd’hui, les regards de la direction générale de la plus connue des coopératives de notre territoire se tournent vers « la perfide Albion ». Précisément, dans sa capitale, Londres, la mégalopole qui début juillet accueillera l’incontournable « International Wine Challenge ».  

Habituée de ce rendez-vous très prisé par la fine fleur de la filière viticole du globe, La Chablisienne tentera de réitérer l’excellent résultat obtenu l’an passé, à savoir ramener le titre de meilleur vinificateur de vin blanc 2022 dans sa besace.  

Lors de la précédente édition, la coopérative de l’Yonne remportait ainsi son quatrième titre grâce au travail d’expert de son œnologue de l’époque, Vincent BARTEMENT. Ce fut un vrai satisfecit pour Damien LECLERC qui en sa qualité de directeur général de la dive maison fait tourner la boutique avec efficience et réalisme depuis qu’il en a pris les rênes.

 

De 7 à 9 millions de bouteilles en production à l’année…

 

En accueillant il y a quelques jours une délégation de chefs d’entreprises invités par le MEDEF de l’Yonne et la direction régionale de l’assureur mutualiste GROUPAMA Paris Val-de-Loire dans le cadre d’une convention de partenariat, le patron de la coopérative a évoqué l’importance de ce concours, l’un des plus influents dans la sphère viticole internationale. Un concours où il est bon d’être présent et de se distinguer, cela va de soi !

Représentant près d’un quart de la superficie du vignoble du chablisien, la coopérative vinifie l’équivalent de 1 200 hectares de vignes et produit près de sept à neuf millions de bouteilles à l’année, par le biais d’une trentaine de cuvées différentes à obtenues partir d’un seul cépage : le chardonnay. Elle emploie soixante-quinze salariés. La maison est aussi propriétaire du domaine de Château Grenouilles.

 

Thierry BRET

 

 


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Une minute, à peine. Pas une seconde de plus n’est autorisée pour se rejoindre dans les airs à plus de 4 000 mètres d’altitude afin d’y assurer d’étranges chorégraphies. Des figures précises, maintes fois répétées au sol avant l’embarcation dans l’un des avions aux silhouettes si caractéristique, décollant de l’aérodrome de Chéu. « Paris Jump » a réussi son pari : réunir 150 parachutistes internationaux pour un évènement d’exception qui se joue en deux actes…

 

CHEU : « Fais comme l’oiseau », interprétait Michel FUGAIN et son BIG BAZAR en 1972. Des paroles porteuses de liberté qui ont sans doute séduit les adeptes de l’une des disciplines sportives les plus perchées, question altitude : le parachutisme en vol relatif.

Une discipline que les Icaunais ont la chance de pouvoir pratiquer et découvrir de manière régulière en saison, notamment avec la complicité experte de « Paris Jump », l’une des structures associatives les plus en vue dans l’Hexagone avec ses figures marquantes : l’excellente Manue NICOLS ou l’inoxydable, Paul GRISONI, notre « Polo » international. Ce dernier est encore à l’origine avec ses comparses de ce superbe rendez-vous concocté lors de ce long week-end de la Pentecôte, gorgé de soleil.

Un rassemblement annuel qui, à l’instar d’une pièce de théâtre classique, se joue en deux actes. Le premier, ce week-end ; le second du 01er au 04 juin au même endroit. Une aubaine pour celles et ceux qui s’adonnent à ce sport nécessitant physique et concentration, une chance pour celles et ceux qui aiment voir évoluer dans le ciel de l’Yonne ces « papillons » de couleur, formant moult figures géométriques en grappe, au-dessus de leurs têtes.

 

90 000 sauts pour cinq des meilleurs spécialistes de la discipline !

 

Depuis samedi, sur l’aérodrome proche de Saint-Florentin, Chinois, Russes, Américains, Slovaques, Irlandais, Néerlandais, Britanniques…et Français (cocorico !) organisent des sauts en vol relatif à partir de plusieurs avions. Ces sportifs de haute volée ne sont pas venus seuls : ils sont accompagnés de leurs coaches de référence internationale. Parmi les acteurs de ces adeptes de la chute libre, on notait la présence de l’Anglais Milko HOPKINSON, du Néerlandais Angelo DECLERC, des Français Patrick PASSE, Nicolas DAVID et de notre « Polo » GRISONI, frétillant comme aux plus beaux jours à l’idée de remettre le couvert tout là-haut ! Ces cinq-là possèdent à leur actif un sacré palmarès avec plus de 90 000 sauts !

Côté équipement, deux avions bimoteurs d’une capacité de vingt places chacun assuraient les nombreuses rotations dans un ciel azuréen : ils sont venus renforcer les possibilités d’embarquement offertes par le Pilatus de dix places, basé d’ordinaire sur l’aérodrome icaunais.

 

 

 

Un nouveau rendez-vous du 01er au 04 juin dans l’Yonne…

 

La sécurité des vols, au top, était assurée par les équipes de Paris Jump en bonne harmonie avec les usagers de l’aérodrome. On notera la présence de quelques élèves du club icaunais ainsi que plusieurs tandems venus profiter du beau temps et des moyens aériens pour progresser et découvrir ainsi les joies incomparables de la chute libre.

La spécificité d'un des deux gros porteurs étant justement, via sa porte arrière, d’offrir l’opportunité aux parachutistes de se lancer dans le vide en courant... Sensations garanties et poussées d’adrénaline évidentes !

On a hâte de découvrir la deuxième étape de ce challenge international de très belle facture. Rendez-vous est donc pris dès la semaine prochaine à Saint-Florentin où un bimoteur et le Pilatus du centre de Chéu seront à disposition pour que les compétiteurs internationaux se livrent dans les airs à leurs étranges et oniriques chorégraphies.

Précisons enfin, afin d’être tout à fait complet, que les champions du monde Martial FERRE, Polo GRISONI et Nicolas DAVID organiseront un autre évènement international un peu plus tard dans la saison, appelé le « Power Flower » - tiens, tiens, presque une réminiscence de la période hippie dans l’appellation ! – qui devrait rassembler une trentaine de représentants de cette fine fleur des parachutistes internationaux qui exercent leurs talents sur le circuit mondial.

Soit au total, plus de 300 personnes qui auront fréquenté ainsi ces deux évènements annuels… « Paris Jump », toujours au firmament, en fait !

 

Thierry BRET

 

 

 


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C’est sûr, face à un public de scolaires, de niveau collège, il aura vulgarisé à l’extrême ses propos afin de rendre le plus limpide possible ses explications, le géochimiste à l’IMPMC (Institut de Minéralogie, de Physique des Matériaux et de Cosmo-chimie) ! Chercheur à l’estampille du CNRS, de la Sorbonne et du Muséum national d’Histoire naturelle, le parrain de la 11ème édition de « Ramène ta Science » a passionné son jeune auditoire face aux mystères de l’immensité de la Création !

 

VENOY : Souriant et pédagogue, avec ça ! Le parrain-conférencier de l’opération pédagogique « Ramène ta Science », portée depuis maintenant onze ans par le Conseil départemental de l’Yonne, l’Education nationale et CANOPE, a su trouver les mots justes – tout en les adaptant – pour expliquer les origines de la vie à son jeune auditoire.

Ce brillant scientifique exerce ses activités (et sa passion) au sein de l’IMPCM, l’Institut de Minéralogie, de Physique des Matériaux et de Cosmo-chimie tout en fréquentant les laboratoires du CNRS et du Muséum national d’Histoire naturelle. Un personnage qui sait se mettre au niveau des scolaires pour leur inculquer la passion de la recherche et des sciences.

« Le message que je vais faire passer au public lors de ma conférence consacrée aux origines de la vie est que l’on n’en sait rien du tout, argumente-t-il, même si j’aborde les débuts du vivant, quelle est la manière dont cela aurait pu se passer et à quelle période à l’échelle du temps… ».

Bien sûr, l’orateur posera la question qui brûle sur toutes les lèvres de l’humanité depuis que l’homme est l’homme : sommes-nous les seuls dans l’univers ?

Un exercice que le géochimiste affectionne : « les questions que nous posent lors de ces interventions un public de collégiens nous permet d’avoir un regard nouveau sur notre discipline scientifique… ».

 

La vie sur Mars ? Toutes les conditions ont été réunies…

 

Sylvain BERNARD étayera ses propos en s’appuyant sur une somme de documents collectés çà et là sur la planète rouge, Mars. Il collabore à l’heure actuelle sur la mission d’exploration de la NASA.

« On cherche à savoir à l’aide d’un Rover si il y a eu de la vie ou pas sur Mars, ajoute-t-il le regard pétillant, aujourd’hui, nous sommes en quête de preuves mais tant qu’on a rien trouvé, on n’en sait rien ! Mais, potentiellement, toutes les conditions ont été réunies pour qu’il y ait de la vie sur cette planète un jour… ».

Une chose est certaine : les scientifiques n’ont pas tout compris encore à l’heure actuelle et que moult interrogations demeurent en suspens. De là à susciter des vocations et à faire de ces jeunes curieux de futurs collègues de l’orateur ? « Oui, pourquoi pas, plaisante-t-il.

 

Trouver des traces de vie parmi les roches anciennes…

 

Fier d’avoir été plébiscité en qualité de parrain, Sylvain BERNARD se dit ravi d’être membre du jury pour apprécier les travaux inventifs de ces collégiens, tout en accréditant le rôle précieux des enseignants.

Quant à la fonction de géochimiste, notre interlocuteur nous précise sa mission : « je suis géologue de formation à la base, mais aujourd’hui je m’intéresse aux traces de vie dans les roches, qu’elles soient anciennes sur Terre ou sur Mars, et je continue à travailler sur la mission de la NASA où il est très compliqué de prouver que le fruit de nos recherches sur les pierres martiennes ait été vivant un jour ou pas. Sachant que l’on s’intéresse à des microbes et à leurs fossiles présents dans ces roches… ».

Un travail besogneux de fourmi, on s’en doute, pour trouver tôt ou tard une trace de ces fameux Martiens qui, au-delà de notre imaginaire si fécond, s’ils existaient ne ressembleraient vraiment pas aux sempiternels « petits hommes verts » !

 

Thierry BRET

 


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Une chose est sûre avec les « WORLD SKILLS » – l’équivalent des Jeux olympiques pour les représentants des filières professionnelles artisanales -, l’équipe de France des Métiers ramène à chaque édition son pesant de titres et de médailles ! Pas comme le concours de l’Eurovision où l’Hexagone est orphelin d’un couronnement qui nous échappe depuis 1977 ! En témoigne la présence flamboyante au CIFA d’Auxerre du champion du monde, lauréat de la catégorie « service en restauration »…

 

AUXERRE : Ce n’est pas tous les jours qu’un champion du monde foule le sol de la capitale de l’Yonne. Même si, la distinction suprême obtenue dans le cadre d’une compétition universelle ne concerne pas tout à fait le domaine sportif – et encore que au niveau du physique et du mental très éprouvé - mais bel et bien celui de l’artisanat et ses innombrables disciplines.

D’un abord très agréable, souriant, volontaire et pédagogue, Dylan WERNER se dit très heureux d’être à Auxerre, dans le « saint des saints » des centres de formation dédiés à l’apprentissage et à l’alternance, le CIFA de l’Yonne. Qualifié et reconnu par beaucoup, au-delà des frontières régionales, comme un pôle d’excellence !

C’est en observateur avisé qu’il a effectué le déplacement depuis Paris en terre icaunaise, deux jours durant, afin d’accompagner et encourager les prétendants hexagonaux à, peut-être, sa propre succession.

Dylan WERNER n’est autre, en effet, que le champion du monde en titre de la catégorie « service en restauration », consacré aux WOLRD SKILLS qui furent accueillis en novembre 2022 à Salzbourg en Autriche.

 

Quatre années de préparation avant de toucher l’or mondial…

 

Treize de ces candidats, issus des sélections régionales, sont en stage de préparation afin de peaufiner les techniques, les connaissances théoriques et les gestes usuels qui les départageront lors des sélections nationales de la compétition à Lyon à la mi-septembre. L’objectif est simple aux termes de ces retrouvailles conviviales : il n’en restera plus qu’une ou plus qu’un pour rejoindre l’équipe de France et représenter la discipline avant les prometteuses joutes internationales prévues en 2024. L’année des Jeux de Paris, mais dans la capitale des Gaules.

Dylan est venu partager cette expérience unique – il ne peut plus concourir à cette épreuve selon le règlement et ne pourra donc pas défendre son titre – avec ses coreligionnaires qui veulent profiter de son expérience et de son vécu émotionnel avant de disputer un tel rendez-vous.

A l’instar des 38 autres jeunes Français médaillés en Autriche à l’automne dernier, Dylan WERNER aura bossé dur – quatre années de préparation, ce n’est pas rien – pour être au top niveau le jour J de l’épreuve.

Et quand on sait que cette catégorie mobilise presque douze heures de rang l’attention du candidat, on imagine aisément ce qu’il a dû endurer tant au niveau mental que physique !

« C’est pour cela que mon témoignage peut être très utile à tous ces jeunes, confie-t-il.

 

 

Un poste de majordome avant de rejoindre l’ambassade du Liechtenstein à l’Europe !

 

A la fois maître d’hôtel – tout comme l’excellent Serge GOULAIEFF, ancien MOF de la discipline et professeur au lycée des métiers de Vauban à Auxerre qui était également présent à ce stage -, barman et sommelier, Dylan WERNER aura multiplié les distinctions ces dernières années. Il avait décroché l’or au concours de l’Un des Meilleurs Apprentis de France (MAF) en 2018.

Le parcours du jeune homme est pour le moins exceptionnel. Ayant suivi son cursus au lycée Alexandre Dumas à Strasbourg – il effectuera un passage en qualité de chef de rang dans la fameuse « Auberge de l’Ill » -, il embrasse même la carrière de majordome pour une clientèle privée, avant d’intégrer l’ambassade du Liechtenstein auprès du Conseil de l’Europe en qualité de maître d’hôtel.

Président de la Société nationale des Meilleurs Apprentis de France en exercice, le garçon exprime à l’heure actuelle la quintessence de son art au « Cheval Blanc » à Paris, une référence épicurienne très connue et appréciée des amateurs des établissements triplement étoilé au Michelin !

Il est évident que son témoignage et sa présence auront marqué les esprits de ces jeunes camarades, parés à se lancer dans l’ultime ligne droite de la compétition.

 

Thierry BRET

 

 


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