Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
ordre-des-experts-comptables-de-bourgogne-franche-comte.jpg
Région Bourgogne France-Comté
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Lycée Saint-Joseph de la Salle
chambre des métiers et de l'artisanat
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
Criquet Magazine
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Ordre des experts comptables de Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Quintessence moderne des efforts des physiciens pour comprendre la structure de la matière et ses interactions fondamentales, la « théorie des cordes et des super cordes » a ouvert la voie à une investigation de questions aussi essentielles que la dimensionnalité de l'espace-temps, la grande unification ou l'évolution de l'univers. L’univers serait né d’une vibration ! Chaque atome, chaque molécule, chaque être vivant, chaque pensée, chaque émotion, tout vibre à une certaine fréquence. L'ensemble de ces vibrations crée l'univers que nous connaissons.

 

TRIBUNE : Tout est connecté, tout est lié, et cette interconnexion est fondamentale pour comprendre la nature profonde de l'existence. Alors le poète pose des questions : avec quel violon ? Qui tient l’archet ?   

La théorie des cordes sommeillait depuis plus de quinze ans quand elle s'est trouvée brusquement propulsée au premier plan de l'actualité scientifique. En 1984, deux théoriciens, Michael GREEN et John SCHWARZ ont alors montré qu'elle pouvait fournir une nouvelle voie d'accès à un problème fondamental et resté sans réponse depuis Albert EINSTEIN : réconcilier la mécanique quantique avec la relativité générale, unifier la théorie de la gravitation avec les autres interactions fondamentales de la matière.

On peut dire que c'est le début de la réalisation d'un rêve inaccessible, le fameux « champ unique » recherché en vain par le sage de Princeton (EINSTEIN) dans les vingt dernières années de sa vie. Une véritable aventure conceptuelle s'engage donc, mais avec la perspective de prolongements concrets, dans la mesure où les nouveaux accélérateurs de particules comme le LEP à Genève et le SLC aux Etats-Unis, pourraient bientôt ouvrir la voie des vérifications expérimentales.

La théorie des cordes n'est pas encore une théorie établie. Elle suscite cependant encore beaucoup d'espoirs. Comprendre l’origine du monde, l’histoire de l’univers, notre histoire, et les interactions entre le vivant et l’univers…

 

L’univers n’est que vibration

 

On dénombre trois vibrations essentielles : l’énergie émotionnelle – les vibrations de nos sentiments, l’énergie cognitive – les vibrations de nos pensées et l’énergie physique – les vibrations de notre corps. La physique quantique et les neurosciences nous disent que la somme de ces trois vibrations génère l’atmosphère énergétique de chaque être humain. C’est la base de la pensée créatrice. «…l’Esprit de Dieu planait au-dessus des eaux… » raconte la Genèse. Pour l’Ancien Testament (base commune aux juifs et aux chrétiens), l’esprit est à l’origine de la création du premier jour : l’Esprit engendre la lumière pour faire suite aux ténèbres.  La pensée engendre le réel,  l’action est réelle, donc l’action est pensée ! Pardonnez ce syllogisme mais on peut aussi le contester…

La colère ne s’oppose pas à la sagesse, la lenteur ne s’oppose pas à la vitesse… tout est double et toute chose possède des pôles et tout a deux extrêmes. Semblable et dissemblable ont la même signification. Les pôles opposés ont une nature identique mais des degrés différents. Ce vieux paradoxe a toujours rendu perplexe l’esprit des hommes. Pour l’hermétisme, c’est le niveau de vibration, notre interaction avec l’univers, qui génère notre comportement et l’action.  

 

 

Le principe de vibration

 

Une doctrine hermétique vieille de plusieurs siècles qui nous plonge dans les philosophies grecques et égyptiennes. L’histoire a égaré la force de la pensée égyptienne et son maître, Hermès Trimégiste. Au XIXème siècle, la science physique découvrit à nouveau certaines vérités hermétiques. Les découvertes scientifiques du XXème siècle ont apporté de nouvelles preuves concernant les doctrines hermétiques, comme le principe de polarité et le principe de vibration.

Du principe de vibration à la théorie des cordes, il n’y avait qu’un pas… Dans le cadre de ce principe, tout est en état de mouvement perpétuel. La science moderne a démontré que tout ce que nous appelons « matière et énergie »,  n’est qu’un mode mouvement vibratoire.

Pour ces philosophes et certains savants d’aujourd’hui, l’univers serait né d’une vibration primordiale, et continuerait sa vibration jusqu’à… la fin des temps. Toute matière, chaque plante, chaque animal, chaque être humain, est, et serait soumis à la vibration initiale et vibre à son tour ! Quelle poésie que d’imaginer que la pensée peut créer une fleur, un environnement heureux et la sagesse pour l’humanité…

Ceci procède un peu de la recherche de la « Pierre philosophale », qui, pour nos amis alchimistes spéculatifs, permet de trouver l’or (le bonheur partagé) et la vie éternelle (V.I.T.R.I.O.L.U.M.).

« Les lèvres de la sagesse sont closes, excepté aux oreilles de la raison ». Le Kybalion

 

Paul GUILLON

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Allez, il y a longtemps que notre département ne s’est pas distingué dans les médias nationaux ! Qui ne parlent d’ailleurs de notre territoire que lors de faits divers sordides ou exceptionnels par leur catastrophisme ! Voilà un sujet qui pourrait faire les gros titres des quotidiens de nos voisins franciliens : et si ce n’était pas la Seine qui coule à Paris mais bel et bien l’Yonne comme se plaisent à le dire des élus notoires de notre département dès qu’ils en ont l’opportunité ! Confrères des rédactions parisiennes, penchez-vous enfin sur la question ! Cela vous changera des faits divers !

Lundi

Qu’il est loin le temps où de concert avec le calendrier, la presse s’autorisait de fausses informations humoristiques en se prêtant au jeu du poisson d’avril. Même la télévision s’y risquait, à l’image de la BBC, qui une année, dans le cadre de son magazine d’actualité d’alors, diffusa un reportage sur la récolte à la main des « arbres à spaghetti » dans un canton suisse ! Au fil des années, le goût du canular s’amenuise… Il est vrai qu’à l’ère des fake news et des affirmations complotistes envahissant les réseaux sociaux, les plus gros « poissons » risquent de passer inaperçus, voire d’être pris pour argent comptant !     

 

 

Mardi    

C’était il y a cinquante ans, tout juste. En ce 02 avril 1974, les trois chaînes de télévision d’alors, interrompaient leurs programmes pour un flash info. Il était 21h58, Georges POMPIDOU venait de mourir, victime d’une maladie incurable, camouflée pendant plus d’un an sous le nom de « mauvaise grippe »…Un président au visage bouffi et à la démarche chancelante, dont le crépuscule sonnât la fin des « Trente glorieuses ». Un chef de l’Etat aux multiples facettes : chantre de la DS Citroën officielle, mais roulant en Porsche le week-end, amoureux du Cantal mais passant ses vacances à Saint-Tropez, humaniste lettré fou de poésie, mais laissant partir à la guillotine un homme qui n’avait pas tué ! Formant avec celle qu’il surnommait « Bibiche », un couple moderne et amoureux de l’art contemporain, les murs de l’Elysée s’en souviennent encore. C’était l’ère de la « bagnole », des premières autoroutes, du périphérique parisien, du Concorde… L’époque aussi d’un chômage à 5 %, d’une dette négligeable et d’un budget excédentaire ! De quoi donner un brin de nostalgie aux politiques d’aujourd’hui, qui peuvent toujours pour l’occasion, revisiter ces quelques notes susurrées par la sublime Marilyn : « pon, pon bee doo » !  

 

 

Mercredi   

Le département aura une fois encore payé un lourd tribut aux inondations, s’offrant une publicité dont il se serait bien passé, à l’image de la rivière Armançon, invitée des chaînes d’info en continu depuis plusieurs jours… Certains « envoyés spéciaux » sur le front des intempéries auraient pu pour l’occasion, réviser leur « petit icaunais illustré », en reprenant une bonne fois pour toutes une information connue de beaucoup mais hélas pas encore, semble-t-il des rédactions parisiennes : c’est la Seine, dont le débit est inférieur, qui se jette dans l’Yonne à Montereau et non l’inverse, même si l’histoire et la toponymie en ont décidé autrement… Et n’en déplaise à Guillaume APOLLINAIRE, c’est bien l’Yonne « qui coule sous le pont Mirabeau » à Paris !

 

Jeudi

L’année 2024 n’est décidément pas avare de dates mémorielles… Le 07 avril,  on a commémoré les trente ans d’une guerre civile au Rwanda, qui devait durer trois mois et faire plus de 800 000 victimes. Une guerre aujourd’hui encore considérée comme « tribale », là où c’est la main du colonisateur, en l’occurrence l’administration belge, qui en 1931, introduisit la notion ethnique sur les cartes d’identité du peuple rwandais, définissant une prétendue « origine extérieure » pour les Tutsis, qui allait être le foyer de toutes les haines pendant les massacres de 1994. Des massacres qui laissent encore trois décennies plus tard, la France face à ses responsabilités, compte tenu du silence coupable du président d’alors, François MITTERRAND.    

 

 

Vendredi  

 

Est-ce la « bavure » de trop pour l’armée israélienne ? Et d’ailleurs, comment qualifier la mort de sept employés de l’ONG américaine « World Central Kitchen » à Gaza, alors qu’ils distribuaient de l’aide alimentaire aux populations affamées ? La bavure de Tsahal est-elle un crime ou un meurtre ? Ou simplement la conséquence d’une obéissance aveugle à des ordres « venus d’en haut », pour maintenir au pouvoir un homme, Benyamin NETANYAHOU, depuis longtemps honni d’une partie du peuple israélien, accusé depuis plusieurs années de vouloir mettre à mal les institutions démocratiques et faire le jeu des suprémacistes juifs…   

 

Samedi   

C’est bien connu, « God bless America », mais Donald TRUMP s’est dit que si Dieu pouvait dans le même temps, l’aider à financer sa campagne, sa gloire n’en serait que plus grande ! L’ancien président vient de lancer un partenariat pour vendre auprès de ses soutiens évangéliques et autres nationalistes chrétiens conservateurs, constituant le socle de son électorat, ce qu’il présente comme son « livre préféré » : la Bible. Mais attention, pas n’importe laquelle ! Toute de cuir vêtue, avec copie de la Constitution américaine, de la Déclaration d’indépendance et du serment d’allégeance. Ne manque que la Déclaration universelle des droits de l’Homme, mais elle n’est pas au programme du candidat ! Vendue au prix non négligeable de 59,99 dollars avec, « hostie sur le gâteau », pour 25 dollars de plus, une casquette siglée « Make America Pray Again », ou comment  « Rendre sa foi à l’Amérique » pour moins de 80 euros. C’est cadeau !

 

 

Dimanche  

Ils étaient dimanche dernier 55 922 à prendre le départ du Marathon de Paris, pour 54 175 participants à l’arrivée. Pour autant, tout le monde ne joue pas dans la même cour, avec un vainqueur, l’Ethiopien Mulugeta UMA qui a avalé les 42,195 km du parcours en 2 h 5mn 33 sec, là où le dernier à franchir la ligne d’arrivée aura mis 4h 40 mn de plus ! Et pourtant, quoi de plus « fastoche » qu’un marathon : un entraînement forcené, une alimentation équilibrée, un moral d’acier, des jambes d’airain et après, il suffit de suivre les flèches, comme le montre la photo… !

 

Dominique BERNERD

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Week-end pascal oblige, nécessairement, l’actualité nous ramène vers les sources immuables de la croyance, pour nous autres chrétiens, avec la bénédiction papale prononcée par le Saint-Père au balcon de Saint-Pierre de Rome, dans la cité vaticane. Un temps qui se suspend, voire qui s’arrête où des hommes parlent enfin de paix, de réconciliation, de générosité, de bonté, d’altruisme…Un autre monde que celui-là ?

 

HUMEUR : « Quand les hommes vivront d’amour, il n’y aura plus de misère ; les soldats seront troubadours, mais nous, nous serons morts mon frère… ».

Qui ne se souvient pas de cette œuvre mirifique portée par les voix des trois figures québécoises de la chanson francophone, Félix LECLERC, Gilles VIGNEAULT et Robert CHARLEBOIS ?

Et si ces trois-là avaient eu raison en interprétant ce texte si profond, voire bouleversant ?

Verrons-nous, vraiment un jour, la fraternité gagnée enfin l’esprit des hommes de cette planète en totale déliquescence ? La paix retrouvée dans certaines parties du monde, totalement meurtries par la bêtise et la folie des hommes désireux de plus de pouvoir. La joie à partager dans les cœurs de celles et de ceux qui souffrent dans leur quotidien, à cause de la pauvreté, de l’absence d’emploi et de considération…de la maladie et de l’injustice, aussi.

A voir, la foule des grands jours envahir la place de Saint-Pierre-de-Rome en cette période de célébration des fêtes pascales, on ne peut que constater qu’ils sont très nombreux à croire en cela. Venus de toute la planète, même des endroits les plus reculés de la chrétienté. Une utopie ?

Une chrétienté de plus en plus malmenée dans ce monde où l’obscurantisme revient avec la vitesse grand « V ». Il n’y a pas que les chrétiens d’Orient qui sont dans la souffrance, désormais, d’autres ailleurs de par le monde vivent les mêmes angoisses, les mêmes craintes, les mêmes peurs.

 

 

Pourtant, croire, cela n’a jamais fait de mal à personne. Quelle que soient les religions d’ailleurs ! Monothéistes ou pas, car la croyance a toujours habité l’humanité depuis que le monde est monde. Et il en sera sans doute ainsi durant très longtemps…

Croire (en qui ou en quoi que ce soit) permet sans doute à bon nombre de Terriens de vivre mieux dans leur tête, dans leur âme et dans leur quotidien. Tant que cela apporte du bien-être et du positif, autour de nous et en nous.

La croyance aveugle et fanatique n’est en revanche qu’une usurpation qui conduit aux actes les plus fous, parfois sanguinaires.

On connaît la chanson, avec ce quotidien de plus en plus plombé par cet intégrisme religieux, politique, directif qui envahit notre univers. Une menace pour notre existence…et nos libertés.

« Quand les hommes vivront d’amour… » : cette complainte est à réécouter cent fois pour mieux croire en un monde meilleur, on peut toujours espérer !

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

On la connaît, chez  les spécialistes de botanique, sous le vocable latiniste de « alpinia purpurata ». C’est une gracieuse plante exotique, fleurant bon l’Océanie et les terres au sud de l’Equateur, qui ornemente l’intérieur et l’extérieur des habitations. Dont le rhizome se déguste ! L’a retrouvée dans l’Yonne sous une forme alimentaire apporte déjà du soleil et de la chaleur dans les cœurs. Dans le hameau d’Egriselles, Marie-Sylvianne BLUKER vient d’inaugurer son restaurant à son patronyme. A la sauce réunionnaise et bourguignonne, un bien curieux mélange de saveurs qui devraient pourtant égayer les papilles des épicuriens…

 

VENOY : De l’exotisme au fond de l’assiette ? Pourquoi pas ! D’autant que les offres de restauration proposées dans la localité, chère à Christophe BONNEFOND, ne manquent pas. On y recense la bagatelle de quatre établissements où l’on peut se sustenter sur des registres culinaires divers et variés !

Bref, en accueillant la nouvelle entrepreneuse Marie-Sylvianne BLUKER, la commune se dote d’un nouvel atout dans son jeu gastronomique qui se positionnait déjà dans la diversité et une fourchette de prix (logique dans la restauration !) plutôt éclectique.

Autrefois occupée par une spécialiste de la cuisine marocaine, puis par une autre tenancière qui avait apporté une touche lusitanienne à la cuisine locale, voici la Réunion qui est désormais la bienvenue en ces murs : ceux de l’établissement, appartenant à la bourgade, baptisé dorénavant du patronyme très fleuri et exotique, « Le Gingembre Rouge ». Du nom de la plante exotique qui s’épanouit sous le chaud soleil des tropiques.

 

 

Saveurs locales et exotiques : l’embarras du choix !

 

On y retrouvera des spécialités à déguster sur place ou à emporter qui font frétiller les narines : samoussa, accras, beignets d’aubergine, gâteau au manioc, canard à la vanille, du poulpe, autant de recettes réunionnaises agrémentées de leurs tubercules et légumes locaux que l’on espère épicée mais pas trop pimentée tout de même, sinon gare aux brûlures d’estomac !

Mais, il y aura aussi le pendant de la gastronomie régionale avec son bœuf bourguignon accommodé à la façon de la restauratrice, des œufs en meurette ou l’obligatoire jambon à la Chablisienne !

Côté boissons, « les différentes variantes de rhum arrangées – une cinquantaine de produits préparés sur place - pourrait presque se boire dans des verres à eau » plaisantera à ce propos l’édile Christophe BONNEFOND, ravi de pareille opportunité d’enrichir sa commune d’une activité commerciale supplémentaire, située par la voie cyclable à 2,7 kilomètres d’Auxerre. Pratique et utile à savoir en cas de surabondance de consommation de rhum, non ?!

 

 

De l’amour et de la passion

 

Invitée à prendre la parole, Marie-Sylvianne BLUKER a dû écraser une larme, gagnée par l’émotion, avant de pouvoir s’exprimer. Trop de pression, lors de la séance inaugurale !

« J’ai mis beaucoup de mon cœur et beaucoup d’amour pour créer ce lieu, dira-t-elle en substance, j’espère aussi que ce qu’il y aura dans les verres et les assiettes vous plaira également ! ».

De l’amour, il y en a de manière débordante. Puisque c’est ce sentiment universel qui a permis à la restauratrice de s’installer dans l’Yonne et de vivre son rêve professionnel.

Que du bonheur, en définitive ! L’atmosphère est chaleureuse, colorée, propice au voyage dans la tête et l’esprit. Un univers joyeux où la cuisine est faite maison (elle insiste à maintes reprises, Marie-Sylvianne !) sur ce point qu’il ne reste plus qu’à découvrir, toute la semaine sauf le mardi et le mercredi. Dépaysement garanti !

 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

C’est une ruche bourdonnante. Ou presque ! A la seule différence près, c’est qu’ici, sous l’énorme structure de toile et de métal protectrice qui reçoit plus de mille visiteurs de plus de cinquante nationalités, on n’y parle pas de miel ni de gelée royale mais d’un tout autre nectar, le vin ! La 17ème édition des Grands Jours de Bourgogne débute son périple régional en terre de l’Yonne, sous la houlette du BIVB pour en faire un évènement professionnel, digne des plus grands salons viticoles de l’Hexagone…

 

CHABLIS : Mais, combien sont-ils à l’intérieur de ce grand chapiteau, un véritable barnum à la toile immaculée qui a poussé tel un énorme champignon hallucinogène dans un pré, aux abords de la ville ? Sans même connaître le chiffre, il suffit en s’y rendant de comptabiliser les véhicules stationnés çà et là, un peu à la hussarde sur bord de l’accotement pour se forger une première impression. C’est sûr, il doit y avoir du monde en cet après-midi de lundi pour assister à la journée inaugurale – la manifestation en comporte cinq au bout du compte – de cette dix-septième édition des Grands Jours de Bourgogne.

Trois décennies, déjà, que pareille fête existe dans le paysage viticole de Bourgogne ! Trente ans de présence et là, pour cette édition 2024, une affluence quasi record ou presque avec la présence de plus de cent-quarante domaines et vignerons, rivés à leurs stands, prêts à informer, renseigner, expliquer, discuter, échanger, faire goûter et surtout commercialiser leurs produits aux professionnels de la vente de vins en France comme à l’international, les négociants !

Verre à la main, calepin et stylo dans l’autre, les voici qui déambulent d’un pôle de présentation à l’autre afin d’obtenir le maximum de renseignements sur tel ou tel cru, produit par un domaine. On écoute, on compare, on explicite, on teste et on prend des notes ! Le tout dans une ambiance bon enfant !

 

 

 

Point de fioritures ni de salamalecs : muni de son verre – devant le succès obtenu, l’organisation a éprouvé quelques difficultés à en fournir le nombre nécessaire ! -, il suffit de se laisser guider par le flot (le flux ?) incessant qui arpente les travées. Elles sont nombreuses : et les déambulations n’en sont que plus intéressantes afin de prendre le plus d’informations possibles !

Le plaisir est évident. Simple et jovial entre le vigneron et celui qui vantera les mérites de son produit en le commercialisant aux quatre coins de la planète. Ce qui surprend, au-delà de la masse ambiante sous le chapiteau, ce sont les langues usitées autour de soi. Allemand, italien, espagnol, anglais, mais aussi mandarin !

Le BIVB (Bureau interprofessionnel des Vins de Bourgogne) et l’association Grands Jours de Bourgogne nous gâtent en nous faisant voyager.

« Cette année, explique l’un des viticulteurs en présentation, Alexis MADELIN, c’est le retour des importaeurs et agents asiatiques. On ne les avait pas vus depuis longtemps à cause de la crise sanitaire ! ».

 

 

Rappelons que ce rendez-vous s’organise tous les deux ans. Il a pu vivre son véritable retour à la normale avec plus de mille participants et pas loin de cent-cinquante domaines représentés ! Quel retour en flamme et celle-ci n’a rien d’olympique !

In fine, et durant toutes ces pérégrinations de Chablis en passant par Beaune et la Côte des Nuits sans omettre la Côte Chalonnaise ou le Mâconnais, ce sont les derniers millésimes des 84 appellations de Bourgogne qui seront ainsi dégustées par les professionnels de la chose viticole. Près de 6 000 vins, produits par près de mille exposants au terme de cette étrange caravane aux saveurs si subtiles. Au total, plus de 2 600 inscriptions ont été répertoriées avant même que la manifestation ne commence.

 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Page 1 sur 45

Articles

Bannière droite accueil