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Après les trois premiers rounds d’un championnat qui n’aura rien d’une partie de plaisir, l’AJA pointe à la seizième place. Mais ce positionnement n’est en soi guère significatif au plan comptable. L’équipe bourguignonne pourrait en cas de réussite profiter de la venue de l’ancien pensionnaire de Ligue 1 ce soir à l’abbé Deschamps pour marquer les esprits durablement. Il suffirait pour cela que les protégés de Jean-Marc FURLAN affolent enfin le compteur du nombre de buts inscrits (seules deux réalisations pour l’heure) pour que la dynamique et la confiance reverdissent enfin dans le cœur des supporters.

AUXERRE : L’affiche est alléchante. Elle constitue déjà un sérieux test pour la formation de l’Yonne qui l’a appréhendée avec beaucoup de philosophie et de sérénité. Reste à y mettre désormais la manière. Celle de l’offensive car les suiveurs inconditionnels du club ont grand faim de prouesses techniques, de montées d’adrénaline et surtout de buts !

Pourvu de quatre points, l’En Avant Guingamp n’a qu’un seul objectif en tête : retrouver l’élite après sa descente aux enfers après une laborieuse saison. Pas si simple, en vérité car la concurrence est rude dans un championnat qui ne cesse de s’aguerrir d’année en année. Lorient, Lens, Clermont ou le Paris FC ne s’en laissent pas compter. Ces clubs ont des prétentions : ils ne sont pas les seuls.

En s’appuyant sur les qualités professionnelles de leur nouveau coach, qui a, excusez du peu, assurer la montée du Stade Brestois à l’échelon supérieur la saison dernière, l’AJ Auxerre intègre ce maillage de moins en moins hermétique de formations pouvant jouer le titre. Et par effet gigogne l’accession.

Oui mais voilà, malgré les bonnes intentions de leur entraîneur qui ne se formalise pas le moins du monde après seulement trois journées de compétition, les scénarios tournent courts depuis le début du nouvel exercice. Et ils ne s’auréolent que de peu de réussite.

Les « blancs et bleus » possèdent la balle, la font tourner avec une relative assurance tout en occupant le terrain de l’adversaire, parfois avec de la fluidité dans la circulation du jeu. Mais, les offensives demeurent stériles et inquiètent peu les défenseurs adverses.

Bref : hormis la brillance initiale et enthousiaste face au Mans (toujours lanterne rouge du classement provisoire) du premier jour, Auxerre n’a pas encore trouvé depuis son rythme de croisière la menant vers une enfilade de victoires.

Inexpressifs en attaque lors du premier tour de la Coupe de la Ligue face à l’AS Béziers, les attaquants du club icaunais ont ensuite été piégés lors de la séance de tir aux buts (5-6) qui leur aura été fatale.

Un désir de revanche pour les deux formations…

Ce lundi soir soufflera un vent de révolte au-dessus des deux équipes. Du moins, l’espère-t-on ! Entraîné désormais par Patrice LAIR, le team breton aura sans doute à cœur de se refaire la cerise après sa piètre prestation face à Orléans en Coupe de la Ligue (4-1). Malmenés en championnat à l’instar de leurs homologues bourguignons, les défenseurs du maillot rouge et noir breton n’ont d’autres alternatives que de soigner leur image.

La méfiance est donc de mise pour les Icaunais : après une série de six saisons consécutives à l’étage supérieur, Guingamp effectue le voyage dans la cité de Paul Bert avec la ferme intention de glaner les trois points synonymes de succès.

Jean-Marc FURLAN est prévenu. Il lui faudra trouver les mots justes et précis sur le banc pour motiver ses troupes en leur instillant cette envie de vaincre le signe indien du moment. Et de ne plus connaître de mésaventure devant les buts de l’adversaire…

 


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Alors que le mercure devrait culminer avec les 40 ° ces jours prochains, la Direction des Sports et de la Jeunesse modifie la feuille de route de son animation estivale à destination des enfants et de leurs familles. Par précaution, certaines dates ont été purement annulées. Notamment celles comprises entre le 23 et le 25 juillet. Lorsque les effets de la canicule atteindront leur paroxysme…

AUXERRE : D’ici vingt-quatre heures, il ne sera plus possible d’accueillir la moindre tête blonde dehors sur des activités ludiques !

Suffocante, lourde, irrespirable : la chaleur deviendra très vite une gêne insupportable pour tous les acteurs de la caravane estivale du « Yonne Tour Sport ».

Parents et enfants sont donc prestement invités à ne pas se rendre sur le théâtre de deux opérations. Ceux, préalablement proposées à Voisines (le mardi 23 juillet) et à Rogny-les-Sept-Ecluses, le jeudi 25 juillet.

Les services du Conseil départemental suivent avec une extrême vigilance l’évolution des températures. Ces dernières pourraient flirter avec des records historiques ces jours-ci.

Pour l’heure, seuls les rendez-vous prévus à Theil-sur-Vanne (le mercredi 24 juillet) et à Annay-sur-Serein (le vendredi 26 juillet) sont maintenus. Toutefois, avec une relative réserve : ils seront amputés de leur après-midi initial.

Quant aux prévisions météorologiques, elles envisagent une baisse notable des températures à compter du vendredi 26 juillet. Cette journée ne devrait pas être affectée par ces excès de chaleur intempestifs.


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Alors que l’Assemblée nationale a acté le report du vote du CETA, accord commercial conclu entre l’Union européenne et le Canada au 23 juillet prochain, plus de 70 organisations (notamment des ONG, associations de défense de l’environnement et acteurs agricoles)  mettent  en garde la représentation nationale sur ses effets néfastes sur le climat et nos filières agricoles. Présidente de l’exécutif en Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite DUFAY fait part de son avis par le biais de cette tribune…

TRIBUNE : Si cet accord devait être signé, c’est notre capacité à légiférer en matière environnementale, sociale et sanitaire qui se trouverait obérée alors que nous empoignons à peine le combat pour le climat.

L’institut VEBLEN et la Fondation Nicolas HULOT ont ainsi documenté les effets du CETA sur la hausse des émissions de gaz à effet de serre en totale contradiction avec l’Accord de Paris. Plus encore, par les conditions laxistes d’importation concédées, il organise la destruction des filières bovines françaises au profit du bœuf canadien, produit dans des conditions moins vertueuses (farines animales, activateurs de croissance, …) et insécurise notre alimentation.

Aujourd’hui, en examen au Sénat, c’est un troisième accord avec les pays d’Amérique du sud, le MERCOSUR, qui pourrait déstabiliser un peu plus notre agriculture. Avec l’importation massive de viandes et autres produits agricoles au bilan carbone catastrophique, à bas coût de salaire… quand nos éleveurs peinent à tirer un SMIC de leur exploitation.

Un risque de déstabilisation de nos territoires à vocation d’élevage…

Ce ne sont alors pas seulement les éleveurs qui pourraient en pâtir, mais les paysages, la biodiversité et toute une économie agricole, agro-alimentaire et rurale en déstabilisant des zones entières de nos territoires à vocation d’élevage.

La région Bourgogne-Franche-Comté, forte de ses atouts industriels et agricoles, limitrophe de la Suisse et au cœur de l’Europe, est un acteur éclairé du libre-échange gagnant-gagnant. 

Mon opposition, en tant que présidente de Région, à ces accords ne saurait donc être caricaturée comme du protectionnisme primaire.

Nous, acteurs locaux et élus de la Région Bourgogne-Franche-Comté, refusons que ces accords déséquilibrés sacrifient notre modèle agricole basé sur des exploitations familiales engagées en faveur des attentes sociétales de nos concitoyens (polyculture élevage,  prairie  permanente,  bien-être animal, niveau sanitaire exigeant, fermes de taille humaine, ...).

Nous refusons qu’une concurrence déloyale conduise au moins disant environnemental, social et sanitaire sous prétexte de libre-échange. Nous affirmons que le libre-échange doit être équilibré en imposant pour les produits importés la réciprocité des normes et les accords en vigueur dans les pays concernés.

J’appelle donc le gouvernement et nos parlementaires français et européens à remettre l’ouvrage sur le métier en étant à l’écoute des forces vives de la Nation.

Marie-Guite DUFAY


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La maîtrise du verbe ne lui fait pas peur. Ni la verve dont il use à satiété pour jongler avec les mots. Surtout lorsque chacun d’entre eux pèse lourdement dans la balance des explications. Evoquer le plan de réorganisation du centre de formation de la filière industrielle n’est pas chose aisée. Surtout en de pareille circonstance avec le coup d’arrêt qui stoppera net la présence de l’organisme pédagogique sur le Sénonais d’ici la fin 2019. Nonobstant, le délégué général de la Maison de l’Entreprise n’élude aucun questionnement des journalistes qui l’abreuvent d’interrogations au cours de ce délicat exercice de la conférence de presse. Celui de la mise à nue poussée dans les ultimes retranchements de la vérité…

AUXERRE : De son propre aveu, ce n’est pas de gaité de cœur que le délégué général de la Maison de l’Entreprise et du Pôle Formation Nièvre Yonne aborde ce rendez-vous. Celui, si spécifique de la conférence de presse qui a pour objectif d’apporter un éclairage supplémentaire sur l’importante information ayant ébranlé le territoire il y a quelques jours. L’annonce de la fermeture du Pôle Formation 58 89 sur le Sénonais d’ici décembre. La dépêche a fait l’effet d’une bombe dans le landerneau institutionnel et économique.    

D’où la nécessité de procéder avec célérité à une mise au point des plus précises afin de faire toute la lumière sur les causes et origines de ce retrait dans la partie septentrionale de notre territoire et ses conséquences. Sans doute, aussi pour couper court à d’hypothétiques rumeurs pouvant courir çà et là. Le monde, comme chacun le sait, est perfectible ! Il faut donc s’en prémunir en reprenant la main et en gérant au mieux ce que d’aucun nommerait la communication de crise…

« Mise au point » : c’est par ces mots que Claude VAUCOULOUX entame son long monologue. Il puise aux sources initiales de la vénérable institution, soutenue par les organisations patronales (MEDEF, UIMM). Pour mémoire : né en janvier 2013, et issu du regroupement des entités nivernaises et icaunaises, le Pôle Formation de la filière industrielle a pour unique vocation de préparer les salariés actuels et futurs des entreprises de deux départements limitrophes si proches dans leurs besoins de recrutement de valeurs ajoutées qualifiées.

Le Pôle Formation n’abdiquera pas, bien au contraire…

Or très vite, l’orateur abat sa première carte : le Pôle Formation ne déposera pas les armes. Il poursuivra coûte que coûte sa mission pédagogique. Oui, mais, pas à n’importe quel prix : en s’arrogeant le droit et le devoir d’appliquer un plan de réorganisation qui lui sera salutaire.

« Nous devons faire face à une situation exogène et très particulière, concède Claude VAUCOULOUX, et cela est la résultante d’un texte de loi, celui du 05 décembre 2018 applicable à la réforme de l’apprentissage et à l’orientation professionnelle… ».

Mais pourquoi ce texte qui a été émis par le législateur entraîne-t-il des bouleversements aussi intempestifs sur le mode opératoire du Pôle Formation 58 89 ?

« Cette réforme impacte de manière importante la configuration de notre carte de formation qui est orientée vers le haut niveau 1, les masters et les formations d’ingénieur, argumente Claude VAUCOULOUX, dans le cadre de ces nouvelles dispositions, ce sont ces moyens de financement qui sont les plus touchés par ce texte… ».

Soit un différentiel quasi abyssal pour l’organisme, entre le modèle pédagogique qui prévalait jusqu’alors et ce qui devra être fait dorénavant afin de respecter la législation actuelle, qui s’élève à 1,6 million d’euros ! Autant dire, la fin d’une époque…

« Nous n’avons pas d’autres choix que de faire avec, constate amèrement mais de manière contenue le délégué général du pôle. Rapatrier les activités que nous proposions à Sens au sein de l’IESY (Institut de l’Enseignement supérieur de l’Yonne) est très vite devenu une évidence. Sachant que compte tenu des modalités de financement de ce site, son exploitation était chroniquement déficitaire depuis longtemps… ».

 

 

Les effets de la Loi NOTre sont passés par là. Réduisant comme peau de chagrin l’enveloppe originelle allouée par le Conseil départemental à cet égard. Ce dernier n’ayant plus les compétences usuelles sur l’enseignement supérieur.

« Ce retrait de Sens n’est ni plus ni moins qu’une décision de gestion, insiste Claude VAUCOULOUX, comme nous ne possédons plus les moyens légitimes pour faire ce que nous faisions jusque-là, il nous faut procéder à des économies afin de revenir à l’équilibre et combler ce manque d’1,6 million d’euros. Ce n’est aucunement un coup de tête… ».

Une dégradation financière de l’IESY qui perdure depuis longtemps…

On l’aura compris, l’arithmétique est simple. Pour préserver la qualité de ses prestations qu’il doit à ses partenaires du monde de l’entrepreneuriat industriel, le Pôle Formation se trouve dans l’obligation d’appliquer la carte de l’adaptabilité. Et surtout celle de l’anticipation, tout en se soumettant à la loi que nul ne doit ignorer.

Anticipation : un terme qui sied à merveille dans le mode de fonctionnement du délégué général. Celui-ci précise par ailleurs qu’il avait déjà tiré la sonnette d’alarme, non pas sur le texte législatif, mais bel et bien sur la dégradation de la situation financière de l’IESY dès le mois de mai 2015.

« A l’époque, nous avions alerté le Conseil départemental par l’intermédiaire du directeur général adjoint des services, Magloire SIOPATHIS, et la Ville de Sens sur ces préoccupations. Débattus depuis longtemps, ces faits avaient même été relatés dans la presse locale… ».

Et Claude VAUCOULOUX de brandir la coupure de presse extraite de l’Yonne Républicaine en guise de preuve !

« Mais, devait-il renchérir, le plus important désormais : c’est l’avenir du Pôle ! ».

Le délégué général égrena les directives immédiates qui seront déclinées dans le cadre du plan de réorganisation à privilégier. Le recul du Pôle Formation 58 89 ne se cantonnera pas malheureusement à son seul retrait du secteur Sénonais. Le plan tel qu’il a été présenté aux médias, s’oriente vers des économies budgétaires drastiques et inévitablement la suppression de postes de collaborateurs. Une vingtaine d’entre eux pourrait faire l’objet de cette menace. Parmi les profils : des administratifs, des formateurs mais aussi des managers.

« Mais, rien n’a encore été officiellement acté à ce propos. Ce n’est qu’une piste que nous envisageons, ajoute Claude VAUCOULOUX, nous ferons au mieux pour préserver le maximum d’emplois… ».

Rappelons que le Pôle Formation 58 89 salarie plus de quatre-vingts personnes. A contrario, aucun cursus n’est amené à disparaître. Même les modules applicables à Sens seront équitablement répartis entre Auxerre et Nevers. Toutefois, les formations à effectifs réduits pourraient passer à la trappe si l’optimisation du taux de remplissage n’était pas acquise. En terme clair, l’arbitrage sera de mise dès la rentrée quant à la poursuite ou pas de telle ou telle formation.

La période estivale qui s’amorce ne ressemblera donc à aucune autre pour Claude VAUCOULOUX. Conscient de l’énorme chantier qui va l’accaparer des jours durant, la clé de voûte de cet édifice meurtri dans ses fondations endossera l’habit de funambule pour tenter de remédier aux mieux à cette équation aux multiples inconnues.

Lui, l’exégète en expression orale sera-t-il aussi brillant en mathématiques ?

Certes, une soixantaine d’emplois, peut-être un peu plus, seront sauvegardés à l’issue de cette secousse tellurique impromptue. Certes, l’été sera studieux pour tenter de trouver des solutions idoines à ces problématiques.

Mais, il faudra aussi susciter le volontariat pour mettre un terme à certains contrats professionnels qui perduraient. Voire, plus délicat, avoir recours au licenciement économique pour supprimer quelques postes.

Philosophe, Claude VAUCOULOUX sait que le danger aurait été de ne rien faire. Mais, le responsable de l’institution pense aussi que la rentrée sera suffisamment éclairante pour l’aider à trancher dans ce maelström complexe et procéder aux choix les plus justes…


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Originaire de la ville allemande de Kehl, de l’autre côté du Rhin face à Strasbourg, cette détentrice d’une maîtrise en droit privé possède déjà son actif une solide expérience professionnelle, en qualité de magistrat de l’ordre judiciaire. Un parcours riche qui est ponctué de nombreuses missions auprès des ministères économiques et financiers ou du ministère de l’intérieur. Ce lundi 08 juillet, cette fervente adepte du marathon et de la course à pied prendra officiellement ses fonctions de sous-préfète de l’arrondissement d’Avallon…

AVALLON: Pas de break estival pour la nouvelle sous-préfète de l’Avallonnais et du Tonnerrois ! C’est en effet ce lundi 08 juillet que cette quadragénaire passionnée de cinéma d’art et d’essai, et sportive accomplie (gymnastique et course à pied constituent un excellent vecteur physique pour conserver la forme) occupera ce poste de représentant de l’Etat, laissé en vacance depuis quelques semaines.

Native de Kehl, ville voisine de Strasbourg, Cécile RACKETTE procédera à sa première conférence de presse en début d’après-midi afin de se présenter et dévoiler ses axes prioritaires de travail. Des dossiers qu’elle aura pris soin de peaufiner avant sa prise de parole.

Cette lauréate, par deux fois, du Prix du meilleur étudiant en droit judiciaire privé, distinction décernée conjointement par la Chambre nationale des huissiers de justice et par l’Université Robert Schuman de Strasbourg, succède à Abdelmajid TKOUB

L’ancien sous-préfet, parti sous d’autres cieux fin juin, avait occupé cette fonction durant trois ans. Aujourd’hui, il exerce ses activités professionnelles de directeur de cabinet du préfet, à Laon, dans le département de l’Aisne.

 


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