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Le président du Conseil départemental de l’Yonne a souhaité remettre les points sur les « i » publiquement en sermonnant un certain nombre de journalistes présents à une conférence de presse. L’objet de son courroux : la persistance d’informations mensongères qui circulent à l’heure actuelle sur les réseaux sociaux…

AUXERRE : La colère. Profonde, intérieure, sourde mais encore contenue. De celle qui oblige cependant à faire part de certaines vérités. Sans concession. Avant même que ne débute un rendez-vous programmé avec les représentants de la presse. Ce n’est pas dans les habitudes coutumières du responsable de l’exécutif départemental que de s’affranchir de la procédure protocolaire liée à cet exercice. Mais, là, Patrick GENDRAUD aura dérogé à la règle.

Personnalité affable, d’ordinaire bienveillante avec les journalistes, de précieux relais d’opinion avec lesquels il entretient des relations orientées plutôt vers le beau fixe, Patrick GENDRAUD a choisi une posture différente. En montrant les crocs.

Il semble bien que cette fois-ci l’ancien maire de Chablis ait eu un peu plus de mal à digérer toute une série d’allégations qui circule à son endroit sur certains blogs de la sphère numérique. Ces fameux réseaux sociaux qui bruissent de mille rumeurs et autant d’arguties sans que les faits affichés soient par ailleurs vérifiés.

« On peut accepter la polémique dans notre quotidien : cela fait partie de la règle du jeu lorsque l’on évolue dans les milieux politiques et médiatiques, devait préciser un brin contrarié le président du Département, mais en aucun cas, on ne doit subir et propager ce que j’appelle de la diffamation et de la suspicion gratuites… ».

 

Un agacement qui se transforme en colère noire…

 

Le ton change. Le courroux se formalise dans le timbre de voix du responsable politique qui sort de sa coutumière réserve. D’ailleurs, Patrick GENDRAUD n’en dira pas plus sur les faits précis qui l’ont fait sortir de ses gonds.

Affecté, l’orateur n’apprécie pas, mais alors pas du tout, ce qui se répand à l’heure actuelle sur la toile par messages ciblés au cyanure.

La mise au point sera de courte durée. Les trois journalistes présents parmi l’assistance, et conviés à annoncer le lancement de la souscription publique en faveur de la réhabilitation du château de MAULNES, prendront bonne note de la teneur de la critique. En sont-ils d’ailleurs les réels destinataires ? Pas si sûr !

La réaction à chaud du responsable de l’exécutif icaunais aura surpris. Y compris celles des personnalités de son sérail et de sa garde rapprochée qui assistaient à cet évènement. L’orage terminé, les choses ont pu reprendre leurs cours de manière naturelle.

L’épisode, à classer parmi les anecdotes de ces petites choses qui composent notre existence, prouve que les hommes politiques ne sont pas insensibles à ce que l’on peut écrire sur eux. Et qu’il est donc impérieux de ne relater que la vérité…

 


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Dans la petite ville industrielle de Pernik, située à trente kilomètres de Sofia – capitale la plus polluée de l’Union européenne – les habitants ne peuvent plus respirer. L’air y est saturé de particules fines. Des niveaux record de pollution de l’air…

SOFIA (Bulgarie) : En Bulgarie, la pollution liée à la concentration de particules fines dangereuses est la plus élevée d’Europe. Les centrales à charbon produisent 46 % de l'énergie nationale. 60 % des ménages dépendent du charbon et du bois brut pour leur chauffage. Mais, ceux-ci ne sont soumis à aucune norme de sécurité. Ils sont souvent de très mauvaise qualité et émettent du soufre et des particules fines pouvant être mortelles.

Le nombre estimé de décès prématurés attribués à la pollution causée par les dix centrales bulgares, considérées parmi les plus polluantes de l’Union européenne, pourrait être réduit de près de 80 %. Si les nouvelles normes de pollution européennes étaient appliquées…

La Bulgarie a déjà été condamnée en 2017 par la Cour de la Justice européenne pour ses dépassements fréquents des seuils limites de pollution. Pourtant, le gouvernement bulgare a demandé à l’Union européenne d’être plus conciliante dans ses exigences en matière d’émission de gaz.

 

 

Une hausse des tensions sociales contre la transition énergétique

Si la réalité environnementale et sanitaire est claire, l’incompréhension des mineurs et ouvriers des centrales thermiques, condamnés à perdre leur emploi, est aussi bien réelle. Ces trois dernières années, les manifestations se multiplient pour défendre l’industrie du « diamant noir » qui fut un temps la richesse du pays, contre « des exigences européennes impossibles à réaliser ».

La région de Pernik est l’une des plus vieilles régions minières de Bulgarie. A quelques kilomètres, à Bobov Dol, se trouve la plus grande mine souterraine du pays. La centrale électrique construite dans les années 1970 a permis aux familles de la région de travailler.

Aujourd’hui, les mines et les centrales ferment l’une après l’autre, licenciant des centaines de mineurs, qui ne trouvent que difficilement d’autres emplois dans une région spécialisée dans la production de charbon depuis des années.

 

 

Des projets locaux voient le jour, « Greenpeace Bulgarie » a soutenu la mise en place d’une formation sur l’énergie photovoltaïque dans le lycée professionnel de Bobov Dol. Mais, beaucoup de jeunes ont fait leurs valises et sont partis. Le nombre d’élèves inscrits chute chaque année. Depuis le début des années 2000, des usines textiles  italiennes se sont installées dans les anciens bâtiments des mines, employant 400 femmes. Mais les salaires ne dépassent pas les 300 euros par mois. Les employées n’ont pas le choix : si elles réclament une augmentation, l’usine pourrait fermer et se délocaliser au Cambodge ou au Bangladesh.

La maire de Bobov Dol, Elza VELITCHKOVA, dénonce : « Nous vivons dans un pays où les responsables politiques n’ont pas de vision sur le développement de régions comme la nôtre… ».

Malgré la position géographique stratégique, à quelques kilomètres de la capitale, les pouvoirs locaux peinent à attirer de nouveaux investissements dans la région. Quant au marché énergétique, il est aux mains d’un seul homme : KOVATCHKI, le magnat du charbon. La difficile transition vers une énergie propre et un territoire dynamique est complexifiée par la structure du marché de l’énergie bulgare, entièrement concentrée dans les mains d’un grand propriétaire peu soucieux de justice sociale et d’environnement. Après la chute du communisme en 1989, les mines ont été privatisées. Les nouveaux propriétaires, souvent liés à la mafia, ont acquis les centrales pour un prix dérisoire, réduisant au minimum les salaires des travailleurs. Un mineur ou un ouvrier gagne en 2017 environ 300 euros par mois, lorsque le salaire est payé à temps.

 

 

Sur le papier, la mine est la propriété de Vagledobiv Bobov Dol EOOD. Mais en réalité, les mines et les centrales sont toutes possédées par Hristo KOVATCHKI. En 2018, il est le plus grand acteur dans le commerce de l’électricité dont il détient 39 % de part de marché. Il possède 40,2 % de la production de chaleur et d’énergie au niveau national[1]. Du charbon aux déchets toxiques : la reconversion en toute impunité des centrales des communautés locales s’étaient habituées à l’épaisse couche de poussière recouvrant leurs rebords de fenêtres, leurs voitures, leurs terrains de jeux aux alentours des centrales à charbon. Mais depuis quelques mois, des fumées sombres et nauséabondes s’échappent des centrales thermiques de KOVATCHKI. A Pernik, les citoyens descendent dans les rues et déposent une plainte. Le Parquet entame une enquête, visant six centrales, et découvre que des déchets y sont brûlés sans autorisation.

 

 

KOVATCHKI s’est en effet orienté vers ce nouveau combustible pratiquement gratuit qui lui permet de remplacer le charbon, devenu moins rentable. Ces déchets ont été importés en Bulgarie par la société Ecoexport de l’Italien Sergio GOZZA, poursuivi en Italie pour trafic de déchets et falsification de résultats de laboratoire sur la teneur de substances dangereuses.

Les installations d’incinérations bulgares qui reçoivent ces déchets ne sont dotées d’aucun équipement de séparation des déchets dangereux, ni de système de contrôle des émissions, certaines ne disposent même pas d’autorisations d’incinération[2]. Les installations ont été fermées pour quelques jours puis ré-ouvertes jusqu’à la clôture de l’enquête qui établit que « les recommandations données étaient mises en œuvre », les centrales fonctionnent aujourd’hui de plus belle.

La transition énergétique réclamée par l’UE est nécessaire dans ce petit pays des Balkans. Mais, elle reste loin d’être garantie dans un contexte de collusion entre les propriétaires des mines à charbon polluantes, les pouvoirs politiques et la justice.

Aria RIBIERAS

compte twitter @ariaribieras

#ariaribieras  

[1] Greenpeace, Financial Mines, 2018

[2] bivol.bg, Sega, 3 septembre 2019. https://bg.ambafrance.org/Mardi-3-septembre-8370#Des-dechets-d-importation-incineres-dans-les-centrales-thermiques-de-Hristo-nbsp

 


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Pour sortir de l’impasse environnementale vers laquelle nous nous enfonçons de plus en plus et enrayer l’effondrement du vivant et de la biodiversité, il n’y a d’autres alternatives que la révolution écologique. Affirmatif dans ses arguties, le journaliste et historien, en conférence à Auxerre, n’a pas fait dans la demi-mesure. Se faisant le porte-voix de celles et ceux qui veulent rompre avec le mode de fonctionnement actuel et qui désirent adopter de nouveaux paradigmes…

AUXERRE: Le futur nous illusionne. Le mode d’existence qu’il propose, aussi. Il est grand temps de modifier la trajectoire de notre vie car la planète nous rappelle à son bon souvenir. Avec son lot de catastrophes…

Invité dans la capitale de l’Yonne par la liste « Auxerre Ecologie La Ville envie » et son chef de file charismatique, Denis ROYCOURT, l’orateur du soir a su capter l’attention d’un auditoire studieux, venu en nombre.

Il est vrai que Laurent TESTOT avait des arguments à revendre. Après un rappel historique, riche en enseignements sur une réalité environnementale qui ne peut plus être mise en doute, le journaliste/historien a fait le constat de l’impasse dans lequel se trouve aujourd’hui la société. Celle de ces femmes et hommes qui ne sont régies que par les mots productivité et rentabilité.

Les propos de l’intervenant ont été directs et sans fioritures sur ce qu’il est nécessaire de réaliser afin de sortir de ce marasme qui conduit l’humanité vers le néant. Il faut modifier le cap en rompant le plus vite possible avec nos habitudes et nos certitudes.

« J’en appelle à lutter contre les pesticides pour conserver nos sols vivants, clame-t-il haut et fort, il est temps de rendre sauvage la nature et de casser les codes de cette politique ruineuse pour l’humain… ».

Bref, ce fut un plaidoyer en faveur d’une nouvelle révolution, verte cette fois-ci, au nom de l’écologie responsable qui a été édicté.

« L’effort doit commencer par des poches de résistance, il faut être uni pour mettre en place des solutions au niveau local… ».

Si rien n’est fait de manière urgente, ce sera le chaos. Mais, ce profond bouleversement des mentalités qui doit se traduire par des actes clairs ne peut être entrepris qu’au niveau international.

 

 

Une liste non exhaustive de propositions favorables à ce changement de cap…

 

Au cours de l’interactivité orale qui s’en suivit avec le public, plusieurs pistes furent énoncées. On parlera des bienfaits de l’agroforesterie, de la végétalisation des centres urbains, de l’éradication des pesticides, de la révision du plan des mobilités, de l’éducation pour que chacun, petits et grands, soit respectueux de la nature.

Une somme éclectique d’idées et de suggestions qui sera tombée dans l’escarcelle des colistiers de Denis ROYCOURT qui ont pu ainsi réagir à chaud à ces propositions, dévoilant le programme ambitieux qu’ils concoctent à l’heure actuelle en vue des échéances municipales.

Ce fut en toile de fond l’angle de conclusion abordé au terme de ce rendez-vous intellectuel de belle facture où pour faire face au désordre mondial global observé en matière de l’écologie, de nouvelles approches existentielles pour améliorer notre quotidien deviennent plus que nécessaires…

 

 


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En marge de l’assemblée plénière consacrée au budget primitif 2020 qui s’échelonne lors de ces trois prochaines journées à Dijon, la présidente de la Région a défendu avec conviction ses choix stratégiques, justifiant ainsi ses engagements prioritaires alors que son mandat entre dans son ultime ligne droite. Le plus gros investisseur public qui agit sur le territoire ne procèdera donc pas aux vingt millions d’euros d’économies exigées par l’opposition. Des économies qui porteraient atteintes forcément aux nécessaires dépenses d’intervention…

DIJON (Côte d’Or) : Ses contradicteurs lui ont expressément demandé de réduire la voilure côté dépenses à la veille de l’assemblée plénière qui doit se prononcer sur l’adoption du budget primitif pour l’exercice 2020. C’est donc une fin de non-recevoir, en bonne et due forme, que leur proposera en guise de réponse, et ce dès l’ouverture de la session la présidente de l’exécutif régional.

Durant la conférence de presse qui faisait office de préambule à ce rendez-vous qualifié d’extrême importance pour le devenir de notre contrée, mardi après-midi, l’élue de Bourgogne Franche-Comté n’a nullement tergiversé pour apporter des éclaircissements précis et détaillés sur la ligne politique qu’elle a choisie de mener au cours des douze prochains mois de son mandat.

Une année charnière à bien des égards pour la maîtresse femme de la Région qui correspond à celle d’une fin de mandat (2021). Un terme de présidence qui surviendra après six années passées à la tête de l’organe institutionnel mais qui ne signifie pas pour autant la  fin de règne dans l’absolue de l’élue franc-comtoise…

Faisant fi des rodomontades coutumières qui viseraient à ternir son action, Marie-Guite DUFAY aborde cette séance, ô demeurant capitale, avec une certaine sérénité.

« Quel que soit la famille politique qui apporte un regard sur notre travail, délivre-t-elle en guise de hors d’œuvre oratoire, on nous dit bravo pour tout ce que nous avons réalisé depuis cinq ans sur le territoire car nous sommes bien présents au rendez-vous… ».

 

 

Pas d’économies substantielles sur des postes névralgiques de la Région…

 

Alors, ce budget primitif 2020 qui se caractérise comme très ambitieux (il est d’un montant total d’1,631 milliard d’euros – hors gestion active de la dette -) semble conforme aux priorités régionales de l’équipe en place. Afin d’en connaître la substantifique moelle, nous le présenterons par ailleurs plus en détail dans une prochaine publication.

Toutefois, on peut dire que son articulation s’avère être en cohérence avec les aspirations budgétaires habituelles, mobilisant l’ensemble des politiques régionales pour répondre à l’urgence du changement climatique ainsi qu’aux enjeux de l’emploi et de la formation sur le territoire.

Mais, là où l’intervenante s’est montrée intransigeante dans ses formulations, c’est sur le refus de faire des économies substantielles applicables à des postes névralgiques dont ne peut se départir la Région.

Trois catégories de postes bénéficient précisément de ses faveurs : les lycées, les TER (pour les transports ferroviaires) et les ressources humaines.

« J’ai pu observer ce que certaines entités régionales avaient pratiqué en ponctionnant les budgets dédiés à la formation, explique-t-elle, je ne baisserai la ligne budgétaire de ce poste d’un iota : c’est fondamental à mes yeux… ».

Puis, Marie-Guite DUFAY apporte de l’eau au moulin de la justification de ses actes.

 

 

« Je ne ferai pas de coupes sombres sur les lycées. Notre territoire possède la densité la plus importante d’établissements secondaires de l’Hexagone. L’argent que nous leur versons favorise la rénovation des bâtiments, le plan d’évolution des sites, encourage le personnel. D’ailleurs, des phases de mutualisation s’exercent naturellement entre établissements, engendrant de facto des économies… ».

En est-il de même dans son raisonnement pour le transport ferroviaire à bord des TER ?

« Nous avons entrepris des négociations avec la SNCF pour aboutir à une offre de transport en augmentation de cadencements. Les tarifs ont suivi une courbe baissière. Certes, aujourd’hui, les trains ont la cote et sont bondés. Mais, c’est la rançon de notre succès et un problème de riches ! La Région est très sensible au développement des mobilités nouvelles. Je rappellerai que la première expérience unique en France de covoiturage conventionnée par la puissance publique est fonctionnelle chez nous ! ».

Reste pour clore ce tour d’horizon le troisième point de ses préférences, se rapportant aux ressources humaines.

« Si je pouvais augmenter davantage les salaires des fonctionnaires de la région qui sont loin de dormir, je le ferai ! Nous sommes d’ailleurs en flux tendu sur toutes les politiques que l’on mène ; il faudrait même recruter tellement les besoins sont importants… ».

 

 

Le pacte financier est respecté en Bourgogne Franche-Comté…

 

Donc, in fine, il n’y aura pas de réduction budgétaire sur ces postes, véritables clés de voûte de l’arborescence architecturale du Conseil régional.

« D’ailleurs, renchérit la présidente un brin goguenarde dans son propos, quand j’invite l’opposition à me citer les postes sur lesquels je devrais amenuiser les financements, je n’obtiens aucune réponse de sa part… ».

Et la présidente de conclure : « je sais que je rendrai l’exécutif au terme de ce mandat dans le bon état financier que je l’ai trouvé. Disposant à l’heure actuelle d’une situation saine, cela nous permet de nous endetter davantage… ».

Marie-Guite DUFAY profita de sa prise de parole de bon aloi pour saluer le travail de l’ancien Premier ministre, Manuel VALLS, parti depuis à la conquête de Barcelone avec plus ou moins de réussite : « il avait la fibre régionaliste et a su attribuer des recettes dynamiques afin de remplacer la dotation que verse l’Etat par un versement d’une fraction de la taxe sur la valeur ajoutée. Un mécanisme financier qui nous a considérablement aidés… ».

Observant que le pacte financier, soucieux du respect du non-dépassement des dépenses de plus de 1 %, était appliqué en Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite DUFAY insista sur le fait qu’il n’y aura pas d’effet ciseau sur ces postes, fondements de la politique appliquée depuis sa prise de fonction.

Un message clair adressé à l’opposition qui, durant ces trois jours d’assemblée plénière, contestera ces décisions…

 


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En marge de l’assemblée générale, statutaire et ordinaire, de la coopérative agricole régionale, l’éditorialiste de L’Express et de BFM TV analysera les perspectives et conjectures d’une future année riche, en rebondissements, celle qui pointe le bout de nez à brève échéance : 2020…

AUXERRE : Sa dernière visite consacrée au territoire de l’Yonne datait de janvier 2018. A l’époque, l’invité médiatique de la Maison de l’Entreprise s’était interrogé avec sa verve et truculence habituelles sur les projets de réformes engagés par le président de la République, Emmanuel MACRON, à propos des milieux économiques et de l’emploi.

Accessible, agréable avec le sens du relationnel qu’on lui connaît, le journaliste à l’écharpe rouge, aussi célèbre que sa personne, avait échangé lors du cocktail, concocté dans les locaux de la Maison de l’Entreprise, avec des chefs d’entreprises. Qui ne manquèrent pas de le questionner sur ce que demain sera fait.

Il en sera vraisemblablement de même à l’issue de l’assemblée générale de la coopérative agricole, 110 Bourgogne, ce vendredi 06 décembre. Accueillis dans l’enceinte principale du parc des expositions d’Auxerre, les adhérents de la structure présidée par Gérard DELAGNEAU, auront tout le loisir de pouvoir écouter la causerie pleine d’allant de l’éditorialiste qui fait les beaux jours de BMF TV depuis plusieurs années.

Si la plongée systématique dans l’avenir de ce que représente la future année sera le point de départ de son intervention, Christophe BARBIER balaiera toutefois un spectre de sujets nettement plus larges, croisant ses réflexions sur le devenir économique de l’Hexagone et de l’Europe, la place de cette dernière dans le cadre de la nouvelle Politique agricole commune (PAC), sa vision du monde agricole et les enjeux politiques, à l’orée des prochaines municipales du mois de mars.

Bref : pas mal de choses à se mettre sous la dent pour comprendre, voire anticiper, ce que demain sera fait en ce bas monde…

 

 

 

 


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