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Elisabeth BORNE est attendue ce jeudi 04 juin à Dijon pour une visite officielle. La ministre de la transition écologique et solidaire annoncera-t-elle lors ce déplacement le relèvement à 300 kWc du seuil d’appels d’offres du photovoltaïque sur les toitures des bâtiments agricoles ? Evoquée cet hiver, la décision est très attendue de la part de la filière. Mais aussi de la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté qui ne manquera pas d’interpeller la représentante du gouvernement à ce sujet…

DIJON (Côte d’Or) : L’information avait été précisée Porte de Versailles lors du Salon international de l’Agriculture à Paris. Cela se déroulait le 23 février.

Ce jour-là, interpellée par la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté Marie-Guite DUFAY, la ministre de la transition écologique et solidaire Elisabeth BORNE avait annoncé que le seuil d’appels d’offres du photovoltaïque sur les toitures des bâtiments agricoles serait porté à 300 kWC.

Une mesure jugée indispensable pour favoriser le développement de l’énergie solaire dans l’Hexagone. Une mesure qui permettait aussi aux agriculteurs de tirer de cette production énergétique un complément substantiel de revenus.

Or, depuis cette annonce, rien ne semble avoir bougé concernant l’application de ce dossier. Il est vrai qu’entre-temps, la crise de l’épidémie du coronavirus est passée par là.

Se déplaçant dans la capitale des ducs de Bourgogne ce jeudi 04 juin, Elisabeth BORNE est donc priée d’apporter des éléments de réponse par la présidente de la Région.

« Sur ce dossier, explique cette dernière, je me suis beaucoup battue dans l’intérêt des territoires en faveur de l’accélération des procédures administratives. Le solaire photovoltaïque en toiture représente une composante importante de notre trajectoire vers une région à énergie positive et bas carbone… ».

 

 

 

 

Ce jeudi, en association avec le président de la Chambre régionale d’agriculture Christian DECERLE, la présidente de l’exécutif territorial espère obtenir enfin des réponses concrètes à la question.

« Il s’agit de tout mettre en œuvre pour accélérer la procédure de publication du décret d’application et de son arrêté tarifaire. D’autant que nous sommes dans une situation d’état d’urgence sanitaire… ».

On attend avec impatience la réaction de la ministre. Les réponses fournies par celle-ci satisferont-elles définitivement l’élue régionale ?

 

 


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La nouvelle est tombée ce mardi en fin d’après-midi. Triste comme d’habitude. L’emblématique président de l’AJ Auxerre (il le fut pendant quarante-six années entre 1963 et 2009) nous a quittés dans sa quatre-vingt-onzième année. Une perte incommensurable pour les passionnés du ballon rond qui se souviendront de ce personnage majeur dans l’histoire du club, le transformant de petit poucet à une référence éternelle du sport français…

AUXERRE: C’est presque une trilogie à la Pagnol que nous avons vécue durant toutes ces années autour de l’actualité servie par Gérard BOURGOIN, Guy ROUX et du président Jean-Claude HAMEL.

Pendant de nombreuses saisons, ces trois-là ont porté avec brion le club bourguignon vers le firmament de la réussite sportive, glanant au passage de magnifiques titres de gloire : quatre Coupes de France, un titre de champion national en 1996 et des rencontres prestigieuses face aux plus grands d’Europe.

Un brillant passé qui offre encore beaucoup de nostalgie aux suiveurs du ballon rond et de leur équipe qui évolue malheureusement en Ligue 2 aujourd’hui.

Dirigeant d’entreprise (la société éponyme spécialisée dans la distribution et l’entretien de poids lourds à l’estampille de Renault Trucks), Jean-Claude HAMEL était craint et respecté dans le landerneau économique.

Sa passion du sport n’avait pas d’égale. Depuis 1949, date à laquelle il avait chaussé les crampons en qualité de joueur. Son fait d’arme notoire : avoir disputé la Coupe de France.

 

 

Un salon d’honneur qui porte son nom pour l’éternité…

 

Une épreuve qu’il affectionnait particulièrement au point d’en faire l’une de ses obsessions récurrentes en matière d’objectifs afin de la ramener le plus souvent possible à l’Abbé Deschamps au cours de ses années de présidence. Une stratégie qui s’avéra payante : son club de prédilection l’a conquis à quatre reprises.

1963 : Jean-Claude HAMEL succède à la présidence du club à Jean GARNAULT. C’est l’entame d’une longue carrière de dirigeant qui lui permettra de structurer l’AJA avec la complicité d’un coach extraordinaire et au charisme évident : l’inénarrable Guy ROUX.

On doit aussi à ce féru de la formation la création du fameux centre destiné à accueillir de jeunes footballeurs. Le symbole de cette transmission de savoir-faire prendra naissance en 1982 avec la construction de la Pyramide, implantée à quelques centaines de mètres du complexe sportif.

En 2009, Jean-Claude HAMEL choisit de tirer sa révérence : il abandonne son mandat à Alain DUJON. Assidu et supporter numéro un de l’équipe, on le voit régulièrement dans les tribunes officielles pour encourager son équipe fétiche.

L’an passé, le président actuel de l’AJA Francis GRAILLE le convia à l’inauguration d’un salon d’honneur portant son patronyme. Un espace situé juste en face de son ancien bureau qu’il occupa pendant plus de quatre décennies…Nostalgie et émotions furent au rendez-vous de ce moment inoubliable.

 


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L’enseigne de restauration rapide accueille ses premiers consommateurs ce mercredi dès 11 heures dans la ville la plus septentrionale du département. A peine le confinement levé ! De quoi réjouir les aficionados de recettes de poulet cuisinées à la sauce du Kentucky, l’état de naissance de ce pionnier opérationnel à travers le monde depuis 1939. Une cinquantaine d’emplois ont été créés. Une petite bouffée d’oxygène après cette période de disette où plus personne n’osait sortir…

SENS : Le restaurant est flambant neuf. Il recevra ses premiers clients en cette belle journée de mercredi à partir de 11 heures. Une ouverture espérée, attendue et enfin concrétisée pour de nombreux férus de l’emblématique « Bucket » et ses délicieuses recettes de poulet élaborées sur place. Ils semblaient perdre patience. La faute à ce satané coronavirus qui aura quelque peu retardé l’évènement…

Localisée dans la zone commerciale de Champbertrand, l’enseigne ne se présente plus. Elle possède une aura internationale. Son symbole, image de l’archétype Amérique à la réussite si affriolante, est représenté par ce charismatique personnage du colonel SANDERS. L’homme providentiel par qui le succès culinaire est arrivé : il a, dit-on, inventé les recettes de ce poulet qui ne possède pas la même succulence qu’ailleurs.

Filiale du groupe YUM, KFC est l’une des marques vedette que compte cette holding de la restauration de niveau mondial. Pizza Hut et Taco Bell en sont les deux autres composantes.

Avec plus de 48 000 restaurants thématiques implantés dans 145 pays, le groupe YUM surfe irrésistiblement sur la vague de la réussite : l’entité KFC possède à elle seule plus de 23 000 établissements à service rapide dans cent-quarante états.

 

La neuvième boutique en Bourgogne Franche-Comté…

 

Dans l’Hexagone, la marque est plutôt bien lotie. Elle y a développé un maillage façon puzzle où s’imbriquent 266 commerces sous franchise. Le propriétaire de la nouvelle vitrine sénonaise n’est autre que Gian-Marco AMENDOLA. Déjà gestionnaire d’un autre KFC à Bourges.

Précision : la Bourgogne Franche-Comté comprend déjà un petit réseau d’une dizaine de points de vente. Il n’est pas exclu qu’Auxerre soit un jour la cible privilégiée d’une future implantation.

Mickael PINTA, directeur de l’établissement, se dit très enthousiaste à l’idée d’ouvrir ce concept autour d’une équipe forte de cinquante collaborateurs très motivés.

Pour cette nouvelle ouverture, KFC a travaillé en partenariat avec les services locaux de Pôle Emploi afin de recruter ses employés. Un plan de carrière existe pour les salariés qui bénéficient d’une formation adaptée afin d’acquérir les compétences nécessaires à leur progression.

L’un des objectifs avoués de l’enseigne sera d’atteindre les cinq cents restaurants à horizon 2025 sur le sol français.

 


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Accueillir ses petits-enfants. S’en occuper efficacement en étant inventifs, dans des occupations et des balades à moins de cent kilomètres : voilà ce qui nous était proposés durant cette période de confinement. Ce fut l’occasion de découvrir les vertus du « géocaching ». C’est-à-dire l’aventure pour tous ! Imaginez organiser une journée, une semaine ou plus, de vacances, seul, entre amis ou en famille avec des enfants et des petits-enfants, pour chercher « un trésor » ! Il suffit pour cela de s’équiper d’une paire de chaussures de marche et d’un smartphone où sont installés un GPS et un site de géocaching, gratuit le plus souvent…

TRIBUNE : Pour prétendre pratiquer l’art du géocaching, il faut s’inscrire à titre gracieux sur le site « géocaching.com ». Et ensuite, partir à l’aventure pour découvrir des trésors ! Mais, quels trésors ?

Il s’agit de petites boîtes contenant parfois un cadeau que l’on peut prendre (mais à remplacer) et d’une feuille où on inscrit son nom et la date de découverte. On replace ensuite ladite boîte au même endroit. A notre connaissance, il n’existe pas de « géocaches » avec diamants et louis d’or !

On peut aussi créer une « géocache ». Ce jeu est amusant, voire enthousiasmant pour découvrir une ville, une région, la France, le monde et l’univers !

Avec un peu de créativité, des offices de tourisme, comme celui de Bourg-en-Bresse ou de Besançon, peuvent créer des caches afin de faire découvrir des sites archéologiques, des monuments, les richesses des paysages de la région…

Aux Etats-Unis, certaines activités commerciales intègrent le géocaching pour faire découvrir un lieu touristique et la boutique des souvenirs proposés…

Une suggestion idéale pour « La Côte Saint-Jacques » ou « La P’tite Beursaude » afin d’attirer les clients dès l’ouverture possible de leurs restaurants !

 

 

Géocaching, un jeu enthousiasmant !

 

Historiquement, le géocaching est né le 03 mai 2000 dans l’Oregon. Le concept a été créé par un certain Dave ULMER. Effet « boule de neige » immédiat : aujourd’hui, plus de trois millions de caches existent dans 180 pays.

On compte plus de 200 000 caches en France dont 325 à Auxerre et ses environs dans un rayon de 25 kilomètres : Monéteau, Appoigny, Migennes… Certaines caches font l’objet d’énigmes à résoudre afin de trouver le lieu. Dans le monde, sept millions de « géocacheurs » se sont déjà inscrits à ce jeu !

Les géocaches sont classées par niveau de difficultés : du niveau un à cinq. Certains sites ne peuvent s’installer qu’avec une autorisation parentale : il faut éviter aux plus jeunes d’aller dans des lieux dangereux.

On peut ainsi recenser des endroits insolites comme le sommet du Mont-Blanc. Pour le monde, vous pouvez aussi être tenté par les sommets du Kilimandjaro ou de l’Everest, le cœur de la forêt amazonienne ou les caches déposées au pôle Nord (attention aux ours blancs !) et au pôle Sud !

Encore plus fort : il en existe à 2 431 mètres de profondeur au beau milieu de l’océan Indien.

Mais, la cache la plus hallucinante tourne à la vitesse de 8 km/seconde et se situe à 400 kilomètres de la Terre !

C’est le « géo-astronaute » Richard GARRIOTTE qui déposa le 12 octobre 2008 une cache à bord de l’ISS (Station Spatiale Internationale).

Le niveau de difficulté est de cinq pour la trouver ; il faut prévoir un coût d’environ 58 millions de dollars pour le vol et 35 000 dollars par nuitée, hors promotion !

 

Et pourquoi pas le géocaching participatif au dessein écologiste…

 

Mais, le plus important reste que le géocaching est un jeu qui relie les hommes et la nature.

Certaines destinations proposent de faire rencontrer des personnes qui ne se connaissent pas pour découvrir un lieu afin de le dépolluer. Il s’agira alors de ramasser les déchets laissés par les touristes…

La discipline est devenue plus qu’un simple jeu de découverte. On peut se cultiver tout en s’amusant et aiguiser sa créativité en famille. Les témoignages sont éloquents, consultez Internet !

Louis ARAGON écrivait : « Je réclame le droit de rêver au tournant de la route aux grands charmes de la promenade. Le droit de m'émouvoir du monde maintenant que s'approche la canonnade. Je réclame le droit des hommes à pencher leur visage anxieux au miroir des fontaines. D'aimer les blés et de le dire. D'y chercher une douce paix incertaine. Je réclame le droit de peindre mon pays... ».

Alors à vos téléphones portables ! Et bonne chasse dans ces nouvelles aventures palpitantes !

Jean-Paul ALLOU


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Les prévisions économiques et budgétaires de l’Etat sont très pessimistes pour notre avenir ! Les recettes moins les dépenses donnent le niveau du déficit. En conséquence, avec un PIB (Produit intérieur brut) en diminution approché entre 2 000 et 2 100 milliards d’euros auquel il faut ajouter des dépenses qui explosent : le niveau d’endettement risque de  dépasser les 120 % du PIB ! Estimée fin 2020, à plus 2 500 milliards d’euros, la dette de la France représente un additif de plus de 2 670 euros par seconde ! Sidérant…

TRIBUNE : La crise sanitaire nous entraîne vers une crise économique, budgétaire et financière très forte. « Les Français vont souffrir », dixit le président MACRON ! Le « nous allons » aurait été sans doute plus seyant dans la formulation et surtout plus respectueux ! Quand les premiers de cordée méprisent les premiers de corvée, le bail de l’Elysée risque d’être de plus en plus précaire !

Trouver plus de recettes et réaliser moins de dépenses ? Simpliste, me direz-vous ? Peut-être, mais allons plus loin.

Plus de recettes représentent plus d’impôts sur les revenus des particuliers, plus d’impôts sur les sociétés : n’y comptons même pas ! Avec un risque d’inflation avérée, la pauvreté et la précarité vont progresser.

Pour les plus riches, l’Etat devra réfléchir à des barèmes plus équitables. Pour les entreprises, on devra s’interroger sur celles qui délocalisent, créent des filiales afin de limiter leurs impôts en France, tout en profitant des aides publiques liées à la chute des activités : cela devient injuste, non équitable et non égalitaire !

Réduire les dépenses suppose distinguer les dépenses conjoncturelles des dépenses structurelles ! Les diminutions des dépenses de l’Etat concernent surtout le fonctionnement des institutions : frais de gestion, transport et déplacement… Ils projettent de la poudre aux yeux.

Les dépenses structurelles sont principalement liées aux salaires.  Pour l’Etat, il faudrait ainsi diminuer le nombre de haut fonctionnaires, réduire les plus gros salaires, revoir le nombre d’élus (députés, sénateurs, maires, conseillers régionaux…).

 

Partager autrement la valeur ajoutée : pas si simple de changer les mentalités…

 

Pour nos parlementaires, des coupes franches parmi les frais annexes seraient souhaitables ! Haro sur les avantages en tout genre et surtout, le montant nominal des salaires !

En ce qui concerne le salaire des dirigeants des sociétés privées, il serait de bon ton de fixer un écart maximum entre le plus petit salaire de l’entreprise et le plus important, tout avantage confondu.

On entend souvent dire parmi les réactions la formule suivante : « on risque de perdre nos dirigeants, de les voir partir ailleurs avec les plus gros salaires ! ». Soyons rassurés, l’adjoint de direction promu à ce poste acceptera !

Moins d’activité, c’est aussi moins de TVA donc encore moins de ressources. Seule une relance économique, progressive et réaliste donnera l’impulsion nécessaire au rétablissement de l’activité. Il s’agira aussi de juguler le chômage. Cette relance passe par une relocalisation d’une partie de notre production avec des investissements productifs qui génèrent  des emplois, des taxes et des impôts en plus…

On le sait, les Français sont d’une nature solidaire. Mais, de nombreuses mentalités auront du mal à évoluer : gagner plus que « l’autre », prendre des parts de marché au risque de casser des emplois, partager autrement la valeur ajoutée…

 

Changer de paradigme ou poursuivre sur sa lancée ?

 

Des chiffres donnent le vertige. Selon l’Institut de prévisions économiques, « Coe-Rexecode », la suppression de l’ISF en 2018 génère un manque à gagner de 3,2 milliards d’euros.

L’ISF a été remplacé par l’Impôt sur le Patrimoine Immobilier. Il est peu pertinent aujourd’hui si on veut relancer le bâtiment !

En conséquence, les 1 % des ménages les plus riches ont gagné 6 % de pouvoir d’achat ! Avec ou sans ISF, la fuite des capitaux poursuit sa course vers les pays les plus attractifs et les paradis fiscaux !

On estime à plus de 200 milliards d’euros les capitaux sortis de France et 400 000 emplois directs qui ont été détruits.

En outre, la suppression de l’ISF n’a pas amoindri la fuite des capitaux des plus fortunés et des entreprises. Rétablir l’ISF, ce serait gagner quelques milliards et montrer aux plus humbles la volonté de mieux partager le gâteau fiscal ! Le rétablissement de l’ISF fut rappelons-le, l’une des premières revendications des « Gilets jaunes ».

Si on se résume, cette crise économique qui arrive tel un cheval fougueux lancé au galop va faire chuter le PIB de près de 10 %. L’inflation se situera à 6 ou 8 %, quant aux revenus individuels, ils vont diminuer. Le chômage sera durablement en augmentation, engendrant un appauvrissement global de la nation, donc une croissance importante de notre dette. Tout ceci va influencer notre porte-monnaie mais aussi exacerber les tensions sociales du pays !

Selon Gérald DARMANIN, le ministre des comptes publics, ces chiffres devraient être revus à la hausse !

Nous ne nous inscrivons pas dans les « y’a qu’à faut qu’on » mais dans l’expression de la volonté de changer de paradigme Or, nous constatons que nous n’en prenons pas le chemin !

Le mot « crise » en chinois est représenté par deux idéogrammes : ils signifient danger et opportunité. Il y a toujours dans une crise la possibilité de changer, de s'ouvrir à autre chose, d'en comprendre les causes et d'essayer d'en tirer les conséquences.

Elle peut être une prise de conscience qui nous permet de vivre autrement, tant au niveau individuel que collectif selon l’écrivain et sociologue Frédéric LENOIR.

Il serait impérieux de s’en souvenir à bon escient avant de redémarrer !

Jean-Paul ALLOU


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