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Il ne faut pas être devin pour imaginer que la crise économique frappera également le secteur de l’immobilier. Les spécialistes sont pessimistes. Même si certains souhaitent garder l’espoir d’une reprise rapide. L’impact technique et psychologique de la crise sur la pierre est d’autant plus fort que 2020 débutait sous les meilleurs auspices après un exercice 2019 achevé en fanfare !

TRIBUNE : 2019 restera une année record pour les transactions. Le prix ont été soutenus et ils ont progressé grâce à trois facteurs : des demandes croissantes, les acquéreurs se sont précipités pour devenir propriétaires – les offres se raréfient, les stocks diminuent et les vendeurs profitent de la bonne tenue du marché – et les taux de crédit sont restés au plus bas. De 0,75 % à 1,20 % : du jamais vu !

Il existe un lien permanent entre les taux de crédits et les prix de vente de l’immobilier. Les taux bas facilitent l’acquisition immobilière et poussent les prix de vente vers le haut. Avec plusieurs mois d’inactivité, les menaces sur ce secteur sont bien réelles.

Ainsi, la Fédération nationale de l’Immobilier (FNAIM) estime que 3 000 agences risquent de disparaître, laissant ainsi sur le carreau plus de 20 000 salariés.

L’avenir dépendra aussi de l’ampleur de la récession. On peut raisonnablement penser que l’activité sera meilleure dans les régions où la reprise sera plus rapide que dans les régions sinistrées durablement. On en revient à nos trois facteurs fondamentaux qui agissent  sur le marché de l’immobilier.

En ce qui concerne les vendeurs, avec la crise, les programmes neufs vont diminuer d’autant plus que les niveaux d’endettement du secteur public sont déjà hors limite raisonnable.

Certains vendeurs, pour ceux qui n’ont pas un besoin urgent de liquidité, préfèreront différer la vente. Pour les autres, dans l’urgence, ils baisseront les prix. Par définition, l’investissement immobilier constitue un actif non liquide. Ce risque est d’autant plus important que les prix commencent à chuter.

De plus, la rentabilité du placement immobilier est obérée de deux manières : la plus-value possible est aléatoire et prévisible à très long terme ; les loyers sont actuellement bloqués pour les baux professionnels !

 

 

Quid des loyers des particuliers ?

 

Si la récession se confirme, un chômage grandissant et une inflation plus ou moins forte, feront chuter le pouvoir d’achat et exploser les contentieux pour loyers impayés et surendettement !

L’accès au crédit immobilier est une denrée de plus en plus rare ! De nombreuses banques n’acceptent plus les nouvelles demandes de crédit immobilier : elles se concentrent sur les demandes en cours d’étude.

Les courtiers en financement estiment que les refus de prêts vont exploser. L’augmentation prévisible du  chômage génère du risque pour la banque. Cerise sur le gâteau, le Haut Conseil de Stabilité Financière a durci les conditions d’accès au crédit dès décembre 2019 : plus de prêt au-delà de 25 ans, ne pas dépasser des remboursements de crédits supérieurs à 30 % des revenus…

Aujourd’hui, le dossier d’un couple au SMIC n’est plus accepté ! Les courtiers avaient estimé que plus de 100 000 ménages aux revenus modestes seraient exclus du crédit immobilier.

Les prévisions, en sortie de crise sont encore plus pessimistes. La certitude sur les taux : ils ont déjà amorcé leur remontée. En avril, les taux moyens passent de 1,15 % à 1,60 %.

Les courtiers tablent que des augmentations sont possibles de 0,70 %. Certaines banques, peu nombreuses à ouvrir de nouveaux dossiers, en profitent pour augmenter les conditions de crédit !

Les taux sont individualisés en fonction du risque que la banque estime courir face à l’emprunteur. Pire encore, les banques, comme les états ou les très grosses entreprises voient leurs taux d’emprunt augmenter en fonction d’un rating qui se dégrade.

Les banques prêtent mais doivent se refinancer, souvent auprès de la Banque Centrale. Des agences spécialisées comme « Standard & Poor » et « Moody’s » attribuent une note estimant le niveau de risque face un « grand emprunteur » comme un état ou une banque, donnant ainsi le niveau du risque.

Par exemple le fameux triple AAA pour les meilleurs, Aaa, BBB pour les moins bons. D’où le nom d’agence de rating ou de notation. L’état français voit sa note baisser et il en va de même pour certaines banques.

Si les conditions de refinancement de ces dernières augmentent, les taux des prêts pour les clients augmenteront également : CQFD…

Au final,  on peut reprendre ce vieux proverbe français datant du XVème siècle : « qui ne risque rien, n’a rien ! ».

Jean-Paul ALLOU

 


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Dissiper les doutes autour du COVID 19 et procéder à un autodiagnostic en liaison avec un plateau de télémédecine depuis chez soi est du domaine du possible. Un questionnaire conçu sous la forme d’un check-up exhaustif est ainsi proposé aux utilisateurs de l’application de la complémentaire santé de QAPE, entreprise assurantielle de l’Yonne qui officie depuis Toucy. Explications…

TOUCY: Il faut soulager les professionnels de santé. Ces derniers croulent depuis plusieurs semaines sous l’afflux massif du nombre de patients en proie aux doutes les plus éclectiques quant à la propagation du coronavirus.

Aussi, vérifier sa forme physique et le potentiel de risques que l’on possède compte tenu des symptômes ressentis et de ses antécédents est une piste accessible avec aisance que nul ne peut ignorer.

Fondée en 2015 par Kim VU DINH et Julien MOUCHET, QAPE met en accès libre et gracieux depuis le début de la crise deux des services de son application mobile « KOVERS e-Santé », habituellement réservés à ses adhérents.

D’une part, il s’agit d’un questionnaire sous forme de check-up, Celui-ci offre l’opportunité de réaliser un autodiagnostic médical en fonction de ses symptômes. D’autre part, un accès direct via un plateau de télémédecine vers un médecin sans bouger de chez soi est réalisable.

Dans le premier cas, le diagnostic proposé à distance permet de déterminer s’il y a un risque de développer le COVID 19 selon les symptômes du moment. Il évalue non seulement ce risque mais il analyse aussi les autres pathologies possibles : rhinopharyngite, pneumopathie, trachéite, pharyngite, etc.

Quant à la plateforme de télémédecine, « TeleDok », elle met en lien direct l’utilisateur de la plateforme avec un service d’infirmières et de médecins qui répondent sept jours sur sept de 8 h à 20 h.

A l’issue de cette consultation, les professionnels de santé peuvent établir une prescription. Voire déclencher, si besoin, l’intervention du SAMU.

En octobre 2019, le Bureau Veritas a accordé à QAPE le premier label audité « Assurance Santé Éthique » qui valorise notamment son effort de transparence envers ses assurés.

Pour télécharger gratuitement KOVERS e-Santé dès maintenant :

Google Play ? https://play.google.com/store/apps/details?id=com.qape.ekovers&gl=FR

App Store ? https://apps.apple.com/fr/app/kovers/id1485390383

 


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Via sa fondation nationale, le leader de l’énergie a voté la constitution d’un fonds d’urgence et de solidarité d’un montant de deux millions d’euros pour faire face à la crise sanitaire et sociale inhérente au coronavirus. A part égale, une partie de l’enveloppe est affectée pour l’aide d’urgence au personnel soignant et aux plus démunis. Le reliquat sera attribué aux plus précaires à l’issue de la crise sanitaire…

PARIS: Par la voix de son président Jean-Bernard LEVY, également PDG du groupe EDF, la Fondation de l’entreprise a choisi de s’engager dans la lutte menée contre la propagation du coronavirus.

Le conseil d’administration de l’entité a voté la création d’un fonds d’urgence et de solidarité déployé à l’échelle de la France et à l’international.

Pour se faire, une enveloppe de deux millions d’euros est consacrée à l’alimentation de ce fonds qui intervient en faveur du personnel soignant et aux plus démunis, pendant et après la crise sanitaire.

Les actions de la fondation soutiennent des projets associatifs qui ont un impact local, durable et positif sur la société. Trois domaines sont ainsi privilégiés : l’environnement, l’éducation et l’inclusion.

C’est dans ce cadre précis que le groupe EDF a choisi d’aider financièrement des projets ayant une conséquence directe pour les bénéficiaires, à savoir celles et ceux qui sont victimes de la précarité.

Si la Fondation a choisi de soutenir le personnel mobilisé en première ligne dans la lutte contre le virus, par l’apport de services de proximité et de matériel d’hygiène et de protection ; elle n’en a pas oublié pour autant les personnes sans abri et en situation de grande précarité. Ces dernières étant les plus fragiles pour lutter contre la maladie.

Au plan national, le conseil d’administration s’est mobilisé en faveur de la Fondation Abbé Pierre à hauteur de 100 000 euros (soutien à la distribution de tickets service auprès d’un public de grande précarité pour l’achat de denrées alimentaires), de la Fondation des hôpitaux de Paris et de France (60 000 euros pour l’opération « Un bon repas pour bien soigner ») ou encore l’UNICEF au Cameroun (un don de 100 000 euros destinés à la fourniture de kits mobiles d’hygiène).

 

La Bourgogne Franche-Comté bénéficie également de cette manne…

 

Territorialement, notre contrée bénéficie de ces retombées altruistes et généreuses. Par le truchement de deux de ses associations à vocation caritative.

Coordonné par l’ASEM (Acteurs solidaires en marche) à Nevers, un groupement d’épiceries solidaires a reçu un don de 5 000 euros pour l’approvisionnement de ses huit épiceries encore ouvertes sur le territoire. Elles fournissent produits alimentaires et produits d’hygiène d’usage.

 

 

La seconde structure n’est autre que la Société dijonnaise de l’Assistance par le travail qui agit sur l’ensemble de la région. Elle aussi a touché un subside de cinq mille euros. Une somme convertit pour l’achat de produits d’hygiène, vêtements et sous-vêtements à destination des bénéficiaires hébergés.

Pour Jean-Bernard LEVY, «  ce fonds d’urgence et de solidarité s’inscrit dans l’ADN du groupe EDF qui aujourd’hui assure la continuité de service pour répondre à ses missions de fournisseur d’électricité et en faveur des territoires solidaires… ».

En savoir plus :

https://fondation.edf.com/creation-dun-fonds-durgence-et-de-solidarite-covid-19/

 


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Mais que restera-t-il de l’Europe après cette crise sanitaire ? Un redressement commun est-il envisageable, voire possible ? Dès sa création, l’Europe et l’ONU ont eu du mal à se mettre d’accord sur les droits de l’Homme. La fameuse déclaration de 1789, déjà modifiée par ces braves révolutionnaires en 1793, trouve tout de même un texte approuvé en commun en 1948 ! L’Europe solidaire et humaniste n’a jamais su trouver ses marques…

TRIBUNE : La circulation des capitaux, des hommes et des produits fut prompte à se mettre en place. Quid de l’Europe sociale ? La politique des droits sociaux fut toujours repoussée aux calendes grecques !

Les rencontres et débats sur ce sujet sont pavés de bonnes intentions, de discours multiples sans qu’il n’y ait eu aucune politique commune. Les états appliquent le principe de subsidiarité systématiquement.

Le révélateur en est l’ambigüité centrale autour de Maastricht. Cette disposition permet toutes les interprétations possibles ! Si je pense que tel ou tel domaine n’est pas du ressort de la communauté mais uniquement de ma compétence, je prends seul mes décisions. De même, si j’affirme que mes propres dispositions sont supérieures à celles de l’Europe, mes règles s’appliqueront ! La messe est dite !

La corona crise ouvre un triste spectacle. Quant à l’Union européenne, le mot « union » n’est devenu qu’un terme abstrait. Les  populistes reprennent du poil de la bête avec des discours dévastateurs. Pire : les dirigeants européens ont peur que les mesures solidaires, dont ils devront rendre compte un jour, obèrent des votes lors de prochaines élections…

Les pays les plus riches ne veulent pas payer pour les plus pauvres ! Nous avons cru que la crise grecque n’était qu’un épiphénomène…Perdu !

 

L'absence de solidarité au sein de la communauté…

 

Le quotidien allemand « Die Welt » titrait récemment : « Le COVID 19 agit comme un stress test, il révèle l’égoïsme des états membres ». Le Conseil européen du 26 mars a consacré la fracture « Nord-Sud » de l’Europe.

Les pays les plus riches au nord se referment avec leur coffre-fort. La faillite risque de se généraliser. L’Europe montre sa désunion autant dans l’anticipation que dans la gestion de la crise sanitaire : mais ce domaine est celui de chaque état (principe de subsidiarité oblige !).

Notons la fermeture unilatérale des frontières, l’absence de solidarité concernant les masques et les respirateurs, des mesures de confinement disparates, aucune organisation fiable sur la recherche consacrée au vaccin… Pour l’après crise et le redressement  économique, certains ont proposé une mutualisation des dettes (émission de « corona bonds ») : le refus a été catégorique de la part des pays les plus riches !

Les Italiens, qui souffrent le plus de la situation, sont atterrés (pour ne pas dire écœurés) par l’attitude de la communauté…Ils ne vont tarder à nous jouer : « un Divorce à l’italienne » !

L’Europe risque de se situer dans une position à quitte ou double ! Que peut faire l’Europe ? Changer de paradigme, se poser les bonnes questions…

On peut considérer que ce n’est pas le virus qui provoque une crise économique mais nos modèles économiques, loin du respect de la nature, qui ont fait naître le coronavirus !

Les virologues sont unanimes : le virus s’installe pour quelques années. La santé publique doit être au cœur de la souveraineté européenne. En conséquence, nos modes d’industrialisation, de production, doivent être repensés. Leurs actions coordonnées.

Penser l’Europe, c’est redéfinir la mondialisation et l’indépendance de la communauté face aux besoins stratégiques (masques, respirateurs, gel…). Pour les dirigeants accros du Big data, qui souhaitent connaître ce que les citoyens veulent de l’Europe, c’est plus simple : c’est de la solidarité, de l’air pur, de l’anticipation des problèmes, un changement des mentalités, de l’action…

Interrogeons nos anciens : « gérer, c’est prévoir ». Oui, nous avons le droit d’avoir de mauvais résultats mais il est interdit de se tromper et de tromper les autres !

Les Etats sont condamnés à survivre, si l’Europe n’est pas unie. L’Europe est donc condamnée à se réinventer !

« Les crises, les bouleversements et la maladie ne surgissent pas par hasard. Ils nous servent d’indicateurs pour rectifier une trajectoire, explorer de nouvelles orientations, expérimenter un autre chemin de vie. ». Carl-Gustav JUNG.

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Mythique et très classieuse ! Puissante et aventurière ! La célèbre Ford Mustang demeure l’une des références incontournables de la pratique nerveuse de l’automobile dans le monde. Auréolée de la gloire cinématographique grâce à l’un de ses adeptes chevronnés, le regretté Steve Mc QUEEN (il faut revoir la poursuite culte dans « Bullitt » en 1968), le modèle est aujourd’hui un quinquagénaire en grande forme célébré par FORD…

PARIS: Tout le monde se souvient de l’emblématique « Mustang GT » conduite par l’acteur Steve Mc QUEEN dans ce thriller nerveux et oppressant daté de 1968, « Bullitt ».

En janvier, ce célèbre véhicule qui fit la renommée internationale du long métrage signé Peter YATES a été cédé au plus offrant lors d’une mémorable vente aux enchères pour 3,7 millions de dollars.

L’objet de toute les convoitises rugissait de plaisir dans les rues pentues de San Francisco lors d’une chevauchée interminable devenue culte pour les aficionados du septième art.

Acquise pour la modique somme de 3 500 dollars US par son propriétaire de l’époque, l’automobile s’est négociée en millions de dollars lors de récentes enchères. Preuve que son constructeur, FORD, avait misé juste en créant ce modèle de voiture devenue depuis indémodable !

Née il y cinquante-six ans, la Mustang possède deux couronnes mondiales à son palmarès : c’est la sportive la plus commercialisée de la planète. C’est aussi de manière consécutive depuis cinq ans le coupé le plus vendu au monde. Précisons que les consommateurs américains en sont très friands. La Mustang est la sportive qui fait toujours recette aux Etats-Unis depuis cinquante ans !

 

 

L’an passé, le petit prodige mécanique de FORD s’est écoulé à 102 090 unités aux quatre coins du globe. Les ventes ont augmenté de 33 % en Allemagne. Elles se sont envolées de 50 % en Pologne et elles ont doublé de volume en France.

Sur le seul continent européen, le constructeur américain a progressé de 3 % en parts de marché par rapport à l’année précédente avec 9 900 véhicules distribués.

Dans l’Hexagone, on la trouve en deux versions: la Fastback et le cabriolet, dans sa déclinaison V8 5.0l de 449 ch avec boîte automatique à dix vitesses ou manuelle à six vitesses.

L’édition spéciale « Mustang Bullitt » (eh oui en référence au film éponyme), équipée d’un moteur V8 5.0l de 460 ch est disponible en version Fastback dans deux coloris, le « Shadow Black » ou le « Dark Highland Green ».

Comme le spécimen piloté par Steve Mc QUEEN !

 

 

 


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