Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Ne pouvant maintenir la traditionnelle manifestation sous son format habituel, FETE (Femmes Egalité Emploi) a donc revu sa copie de manière intégrale pour réinventer le concept. En lui donnant un sérieux coup de booster grâce à la digitalisation et à ses vertus d’immédiateté. C’est en s’appuyant sur le principe de web-rencontres que l’association propose ce nouveau rendez-vous au service de l’emploi au féminin…

AUXERRE : Pas la peine de se rendre à l’espace culturel d’Appoigny pour y vivre les nouvelles aventures de l’une des manifestations vedette attendue sur notre territoire par une myriade de jeunes filles en quête d’une orientation professionnelle ! Le Carrefour des Carrières et sa vingt-troisième édition ne s’y tiendront pas !

Conséquence : la foule ne se bousculera pas dans le hall d’entrée de l’infrastructure municipale aux premières heures d’un petit matin blême de préférence un samedi pour mieux se précipiter vers les stands où l’avenir aurait pu leur tendre les bras.

Dommage, trois fois dommage, pour celles de ces jeunes femmes qui aiment les contacts en vis-à-vis et osent poser de vraies questions pertinentes sur les méandres d’une filière professionnelle pour atteindre leur objectif.

D’ordinaire, elles sont plus d’une soixantaine de cheffes d’entreprise, cadres, libérales ou fonctionnaires à répondre à satiété aux interrogations inattendues de leurs interlocutrices les plus curieuses. Un crève-cœur évident de ne pas se trouver là pour ces entrepreneuses, jamais avares en communication.

Surtout lorsque l’on sait que 40 % de ces jeunes filles qui fréquentent la manifestation annuelle se disent influencées par celle-ci pour choisir leur future orientation.

 

 

Une parade numérique pour se substituer à l’absence du présentiel…

 

 

Il est vrai que le rendez-vous est depuis très longtemps inscrit dans le marbre. Initié par FETE (Femmes Egalité Emploi), structure constituée d’une association de type loi 1901 et d’une société coopérative d’intérêt collectif (SCIC), son impact ne cesse de croître dans le landerneau. Chaque année, le public oscille entre 500 et 800 visiteuses dont un tiers est accompagné de leurs parents. Mais, cette année, ce sera nada !

Du moins, en apparence sur le seul mode présentiel. Opiniâtres, les organisatrices de cette animation soutenue par pléthore d’acteurs institutionnels et économiques de notre territoire ont imaginé une judicieuse parade pour contrer le contexte sanitaire du moment. L’évènementiel se déroulera de manière virtuelle grâce à la magie du numérique !

Ce sont des web-rencontres qui faciliteront les contacts entre ces jeunes filles désireuses d’en connaître davantage sur le bon cursus à suivre dans un avenir proche et les professionnelles qui leur prodigueront conseils et astuces.

 

Des métiers peu féminisés à découvrir….

 

Lors de ces instants, il sera proposé aux internautes de découvrir les facettes de cinq à six métiers de secteurs différents via le témoignage de ces entrepreneuses toujours motivées à transmettre leur savoir. Des questions pourront être posées de manière libre.

Parmi les univers professionnels abordés lors de ces échanges, citons l’agriculture/viticulture, le bâtiment et les travaux publics, la sécurité-défense, le transport et la logistique, les nouvelles technologies, le numérique et l’industrie.

La cohorte de métiers issus de ces catégories corporatistes ne manquera pas d’aiguiser les appétits des plus véloces côté curiosité, celles de ces jeunes femmes qui désirent en connaître davantage sur une filière.

Certains métiers encore peu féminisés mais ouverts aux femmes pourraient susciter également un intérêt tout particulier : surveillante pénitentiaire,  scientifique en recherche clinique, commandante des sapeurs-pompiers, géomètre experte ou manager d’équipe sur les autoroutes.

Ce sont au total six web-rencontres qui seront programmées du lundi 18 au samedi 23 janvier. Le mode opératoire est le suivant pour suivre la manifestation sur smartphone : il suffira de télécharger l’application Zoom et de cliquer sur le lien de la rencontre. Celle-ci étant diffusée en temps réel sur la page Instagram de FETE (@fete_egalite), accessible en suivant le lien : https://www.instagram.com/fete_egalite/

On pourra également se rendre sur le site de FETE (www.fete-egalite.org), choisir l’onglet « Nos actions », soit Carrefour des carrières au féminin où se trouve l’ensemble du programme avec un lien par web rencontre pour se connecter.

En savoir plus :

Carrefour des Carrières au féminin de FETE

 

Lundi 18 et mardi 19 janvier 2021 de 14h30 à 15h30,

Jeudi 21 et vendredi 22 janvier 2021 de 10h à 11 h,

Samedi 23 janvier de 9h30 à 10h30 et de 11h à 12 h.

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Ouverte depuis le 05 janvier, la campagne de financement participatif destinée à la construction du parc éolien du Télégraphe, près de Vermenton, est une opportunité d’investissement novatrice pour la population locale et celle des départements limitrophes. D’un montant global de 200 000  euros, cette collecte verra ses fonds affectés en partie à l’aménagement de ce parc de quatre éoliennes d’une capacité totale de 14,4 W…

VERMENTON : La mise en service de ce nouveau site est programmée pour le mois d’avril prochain bien que ses travaux initiaux aient débuté en janvier 2020. Sa production correspondra à la consommation électrique annuelle moyenne d’environ 14 500 personnes. Soit près de 95 % de la population vivant au sein de la Communauté de communes Chablis Villages et Terroirs.

Grâce à cette contribution participative originale, EDF Renouvelables, leader de la production d’électricité éolienne et solaire dans le monde, sollicite l’intérêt d’investisseurs locaux qui veulent miser leurs propres deniers dans ce projet énergétique favorable à la relance économique durable.

Une initiative qui apparaît intéressante dans laquelle les citoyens deviennent réellement des acteurs à part entière de la transition écologique et de son accès en zone rurale.

Fixée pour un montant maximal de 200 000 euros, la collecte s’effectue par l’intermédiaire du site www.lendosphere.com/telegraphe, et est réservée uniquement aux habitants de l’Yonne et de ses voisins (Aube, Côte d’Or, Loiret, Nièvre et Seine-et-Marne).

Cette plateforme est la première en France à s’être positionnée sur des projets à l’estampille développement durable. Inaugurée en décembre 2014, elle a déjà collecté plus de 80 millions d’euros investis par des particuliers sur 230 projets d’énergie renouvelable.

Responsable régionale en Bourgogne Franche-Comté d’EDF Renouvelables, Jennifer MENAGE rappelle que « le financement participatif permettra aux riverains de ces parcs éoliens de s’impliquer dans le développement local des énergies renouvelables tout en bénéficiant de revenus financiers issus du projet… ».

Celles et ceux qui souhaitent placer leur bas de laine dans la construction de ce parc éolien peuvent le faire jusqu’au 15 février inclus. A vos portefeuilles !

 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le document adressé à la presse ce lundi 11 janvier a reçu l’approbation d’une dizaine de personnalités très représentatives du sérail économique de l’Yonne. D’autres devraient les rejoindre très certainement ces prochains jours dans cette démarche volontariste faisant office de quête qui doit enfoncer le clou en faveur de la campagne de vaccination contre le coronavirus. Le seul et unique moyen de faire bouger les lignes positivement et de mettre un terme à cette cacophonie innommable…

AUXERRE : Existe-t-il un autre moyen pour sortir de l’ornière inextricable dans laquelle se situent la plupart des pays du globe en ce début d’année nouvelle ? Alors que plusieurs médecins craignent une probable aggravation de la crise sanitaire mi-janvier du fait des mauvais résultats obtenus au moment des fêtes, ce qui aurait pour conséquence de reproduire un nouveau confinement total (déjà évoqué par le Premier ministre Jean CASTEX) dans l’Hexagone, les milieux économiques de l’Yonne tentent de prendre le taureau par les cornes en invitant la population locale à se faire vacciner massivement contre le coronavirus.

La seule option envisageable pour mettre un terme à une situation dont la complexité semble insoluble. Une dizaine de ces acteurs, clés de voûte de la vie économique de notre territoire se sont ralliés à l’initiative prise par Didier MICHEL, le président de la Fédération du Bâtiment dans l’Yonne et lui-même à la tête de la SAS éponyme de rédiger un texte commun.

D’autres devraient se manifester dans les jours qui suivent pour encourager ce désir de faire fi de toutes ses peurs envers les antidotes pharmaceutiques concoctés par les laboratoires de la planète.

L’objectif n’étant plus de se poser des questions avec ses réticences habituelles autour du bien-fondé de cette campagne vaccinale qui a vu le jour en France depuis le début de l’année mais et bien de passer à l’acte. Dans l’intérêt de la vie de ces entreprises qui, pour certaines demeurent fermées depuis des mois et pourraient mourir à petit feu.

 

 

 

Pourquoi nous allons nous faire vacciner ?

 

Voici dans son intégralité ce texte fédérateur et sans équivoque sur la nécessité de recevoir les deux doses de vaccin dans les prochains jours :

« Comme beaucoup de nos compatriotes, nous avons une certaine appréhension, voire disons le mot, une certaine réticence devant ce nouveau vaccin contre la COVID.

Toutefois, une réflexion rationnelle sur le retour d’expériences pratiquées depuis plusieurs semaines à l’étranger démontre qu’il est bien moins dangereux de se faire vacciner que de faire les quelques centaines de kilomètres que la plupart d’entre nous est amenée à effectuer chaque mois dans le cadre de leur activité professionnelle.

Aujourd’hui, nous ne pouvons laisser nos entreprises en grandes difficultés dans l’exécution de leurs tâches quotidiennes, voire pour certains d’entres elles contraintes de rester fermées et mourir à petit feu.

Aujourd’hui, nous ne pouvons laisser nos salariés dans la souffrance de l’absence du lien social qu’apporte normalement l’entreprise. Force est de constater que le télétravail généralisé, l’absence du pot d’entreprise ou la sortie au bistrot avec les collègues le vendredi soir engendre un mal-être social allant jusqu’à conduire certains à la dépression.

 

 

Aujourd’hui, nous ne pouvons laisser les étudiants dans le niveau de déshérence qu’impose le virus. La transmission du savoir doit forcément s’effectuer au moins pour partie en présentiel.

Nous prenons chaque jour du retard dans l’instruction de celles et ceux qui seront nos futures forces vives.

Aujourd’hui, nous ne pouvons laisser s’accroître la dette de la Nation qui, par effet de ciseaux, voit ses dépenses d’aides augmenter alors que ses recettes baissent. C’est un héritage toxique que nous sommes en train de laisser à nos futures générations.

Le seul moyen à ce jour, à notre sens, de nous sortir de cette situation est de rompre les chaines de contamination par la vaccination massive.

C’est pourquoi nous, dirigeantes et dirigeants d’entreprise, estimons qu’il est du devoir du plus grand nombre de citoyens, de recourir à cette vaccination, à l’instar de nous-même, et ce dès que possible… ».

Cet appel qui vient du cœur et de la raison sera-t-il entendu auprès des plus réfractaires de nos concitoyens qui rejettent l’idée de se faire vacciner afin de juguler la circulation du virus ?

C’est tout le bien que l’on peut souhaiter à cette initiative groupée, mobilisatrice de bon nombre de responsables d’organisations syndicales et professionnelles…Il ne faut pas oublier de sauver aussi les entreprises…

 

 

La liste des premiers signataires :

 

Didier MICHEL, président de la Fédération française du Bâtiment de l’Yonne,

Jean-Dominique DAGREGORIO, président de l’Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie de l’Yonne (UIMM),

Olivier TRICON, président de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de l’Yonne (CPME),

Patrick TUPHE, président de PRISME EMPLOIS Bourgogne Franche-Comté,

Christophe DESMEDT, président de la Confédération nationale des métiers des services et de la fabrication de l’Yonne

David MARTIN, président de l’Union nationale des Entreprises de Proximité (U2P) de l’Yonne

Jean-Pierre RICHARD, président de la Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment de l’Yonne (CAPEB),

Jean-François LEMAITRE, président de la Confédération générale de l’Alimentation en détail de l’Yonne (CGAD) et président de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne.

Éric MOUTARD, président de l’Union des Métiers de l’Industrie Hôtelière de l’Yonne (UMIH),

Emmanuèle BONNEAU, présidente du Mouvement des Entreprises de France de l’Yonne (MEDEF).

 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Il a de la suite dans les idées, Mikaël PECHERY. L’agriculteur exploitant de Brosses se révèle être un véritable précurseur pour faire évoluer sa filière. Déjà à l’origine de la fameuse épicerie commercialisant des produits locaux au Silo Rouge à Avallon, le garçon souhaite diversifier ses activités en se lançant dans la conception de produits cosmétiques. Auquel il ajoutera volontiers le volet aromathérapie. Un projet novateur qui a reçu le soutien de la sous-préfète d’arrondissement Cécile RACKETTE...

AVALLON : Conversion partielle de son exploitation de 620 hectares en cultures biologiques, vente directe de produits du terroir à l’aide d’une vitrine commerciale spécifique aux côtés d’une dizaine d’autres producteurs…décidément, rien n’arrête l’exploitant agricole trentenaire du sud de l’Yonne qui déborde de créativité !

En compagnie de deux autres représentants de la filière, le voilà reparti bille en tête dans la réalisation d’un nouveau projet. Celui-ci se positionne dans la réalisation de produits cosmétiques et dans l’aromathérapie !

L’idée est plus que louable : cultiver diverses plantes afin d’obtenir par la magie de la transformation des huiles végétales et des huiles essentielles. Celles-ci servant de base à la création d’une nouvelle gamme de cosmétiques qui seraient vendus de manière semi-directe et directe. Comblant ainsi des consommateurs de plus en plus intéressés par ces articles.  

Précisons qu’une partie de la production serait commercialisée dans une structure implantée aux alentours de Vézelay.

 

 

Un accompagnement du projet avec les acteurs de l’économie…

 

La lumineuse idée de l’éleveur de bovins allaitants a donc fait tilt dès que la sous-préfète d’arrondissement Cécile RACKETTE en a eu écho. Ce futur projet a interpellé la représentante de l’Etat, soucieuse de soutenir toutes les initiatives attrayantes de la dimension économique pour le bienfait de son territoire.

C’est sur le registre de l’accompagnement de ce dossier que Cécile RACKETTE a pris soin d’organiser une réunion de travail en présentiel ce jeudi 14 janvier après-midi à la salle des fêtes de Montillot.

Elle y convie différents acteurs du département afin d’analyser la pertinence de ce projet pour le moins original dans la filière agricole. Les élus, les services de l’Etat, les chambres consulaires, la Région ou encore l’agence de développement Yonne Tourisme ont d’ores et déjà confirmé leur participation.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Les chiffres d'activité cumulés de janvier à fin novembre du baromètre CNPA-SOLWARE viennent de tomber : l’activité mécanique accuse une baisse de - 9,5 %. Un gouffre qui est imputable au contexte sanitaire auquel il faut ajouter la baisse de l’activité carrosserie qui s’élève à - 14,3 %. Le mois de décembre où bon nombre de français ont renoncé à se déplacer pour les fêtes n’aura pas infléchi la tendance.

PARIS : Ce baromètre réalisé auprès d'un panel significatif d'ateliers (1 126) confirme les estimations des professionnels exprimées dans le sondage réalisé par le CNPA (Conseil national des professionnels de l’Automobile) auprès de ses adhérents sur l'impact du confinement de novembre.

Dans le détail, la baisse de la facturation de la main d'œuvre en carrosserie de -20,1 % est davantage révélatrice de la baisse du niveau de charge des ateliers. De nombreux ateliers de carrosserie pure s'attendent en réalité à une baisse de cet ordre à fin décembre. La baisse de chiffre d'affaires en pièces est moindre du fait d'une augmentation forte du prix des pièces par les fournisseurs.

 

 

Les chiffres d'affaires en mécanique semblent marquer un pallier avec néanmoins un très léger recul de la baisse d'activité. Ainsi, les chiffres d'affaires main-d’œuvre et pièces s'établissent respectivement à - 10,1 % et - 9,2 %.

Une nouvelle source d’inquiétude pour les professionnels de la filière automobile…

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil