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Le préfet de l’Yonne Henri PREVOST a décidé de ne pas abaisser l’horaire du couvre-feu de 20 heures à 18 heures. L’annonce a été faite lors d’une conférence de presse tenue ce samedi après-midi. La mesure aurait dû être applicable dès ce dimanche 10 janvier. L’Yonne devient l’unique département de Bourgogne Franche-Comté à ne pas subir ces contraintes supplémentaires...

AUXERRE: Communiquée aux alentours de 15h30 ce samedi, la décision du représentant de l’Etat de ne pas modifier l’horaire du couvre-feu en le ramenant à 18 heures plutôt qu’à 20 heures peut être vécu comme un « ouf » de soulagement pour celles et ceux de nos concitoyens qui ont à souffrir d’ordinaire de ces restrictions limitant leurs libertés.

Henri PREVOST n’a donc pas voulu pratiquer de surenchère en modifiant les règles de cette mesure, déjà très limitative dans nos déplacements. Son choix de maintenir le couvre-feu à 20 heures repose sur la connaissance des ultimes indicateurs fournis par l’Agence Régionale de Santé (ARS) et de ses appréciations.

Ainsi, le taux d’incidence global de référence s’établit à 195 cas pour cent mille habitants sur le territoire septentrional de la région ; a contrario celui de la Bourgogne Franche-Comté s’élève à 245 cas pour cent mille habitants.

Une donnée chiffrée légèrement en deçà du seuil fatidique de 200 qui, en cas de dépassement, aurait déclenché la mise en exergue quasi immédiate de ce changement d’horaire inhérent au nouveau couvre-feu.

Toutefois, force est de constater que l’indice se rapportant aux personnes âgées de plus de 65 ans se situe plutôt au-dessus de cette barre référentielle.

 

Un virus toujours très actif dans sa circulation…

  

Moyennant quoi, le représentant de l’Etat avait pris soin de consulter l’avis de plusieurs élus locaux avant de faire connaître sa décision. Globalement, une majorité d’entre eux n’était guère favorable à cette réduction d’horaire au nom de l’intérêt économique et général.

Après avoir tutoyé les sommets au niveau du nombre de contaminations il y a encore quelques semaines, l’Yonne est désormais le seul département de la région à adopter un profil plutôt favorable. Et ce, depuis bientôt huit jours.

Pour autant, la vigilance reste de mise. La situation peut en effet évoluer à tout moment selon le représentant des pouvoirs publics.

 

 

 

 

Un nouveau point d’étape sera d’ailleurs effectué au cours de la semaine prochaine pour analyser la pertinence évolutive de ces chiffres. Une chose est sûre : la circulation du coronavirus reste très active.

Quant à la stabilité constatée depuis le début de janvier, elle est observée, certes, mais à un niveau élevé. Les statistiques se rapportant aux patients victimes de la pathologie ne sont pas flamboyantes. Deux cent-six personnes fréquentent toujours les  hôpitaux du département. Une vingtaine d’entre elles occupe les lits des services de réanimation. Quant aux décès, ils s’élèvent à 288 depuis la recrudescence de la seconde vague.

 

 

 

La situation évoluerait dans le mauvais sens en cas d’indicateurs en hausse…

 

Quant aux effets préventifs d’entre les fêtes, ils ne seront réellement connus et appréciés qu’aux alentours de la mi-janvier. D’ici là, le préfet demande à la population de ne pas baisser le degré de vigilance. Rappelant au passage que les cercles familiaux et amicaux favorisent la prolifération du virus de manière la plus exacerbée.

« Il est nécessaire de limiter toutes les occasions de se regrouper, devait-il ajouter, c’est le meilleur moyen de juguler les effets dévastateurs de cette pandémie... ».

Hypothèse où au beau milieu de la semaine prochaine les indicateurs vireraient au rouge, le préfet de l’Yonne ne tarderait pas alors à réagir en avançant l’horaire du couvre-feu.

Dernier point : le haut-fonctionnaire n’a pas eu vent de la présence de la contagieuse variante britannique de la COVID ni dans l’Yonne, ni en Bourgogne Franche-Comté.

Lors de son intervention audiovisuelle de jeudi, Jean CASTEX avait annoncé la présence d’une vingtaine de cas dans l’Hexagone.

La Bretagne, l’Ile-de-France ainsi que les Hauts-de-France ont été signalés comme secteurs à risque. Maigre consolation pour la Bourgogne Franche-Comté, d’autres territoires sont encore plus mal lotis que nous !

 

Thierry BRET

 


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A eux deux, ils affichent 160 années d’existence. L’Office public de l’habitat du département de l’Yonne (DOMANYS) a soufflé l’année dernière ses soixante-dix bougies ce qui ne l’a pas empêché de rejoindre IDELIANS, une société de coordination régionale. L’Office Auxerrois de l’Habitat (OAH) reste, lui, un fringuant acteur du logement social sur la place malgré ses quatre-vingt-dix ans ! Il était grand temps que les deux bailleurs se rapprochent enfin pour renforcer leur coopération !

AUXERRE : Si d’évidence, de bonnes relations existaient jusque-là entre ces deux acteurs du logement social dans l’Yonne, rien n’avait été encore entériné de manière officielle pour en favoriser leur application optimale. C’est désormais chose faite après la signature d’une convention de partenariat, porteuse de partage des compétences et de meilleure coordination.

Devant un parterre de personnalités réduit à la portion congrue du fait des mesures sanitaires en vigueur, l’acte de naissance de ces relations novatrices a donc été paraphé à plusieurs mains ce vendredi 08 janvier.

Celles des présidents des deux organismes : Patrick GENDRAUD pour le compte de DOMANYS et de Vincent VALLE, le nouveau responsable de l’Office public de l’habitat de la Communauté de l’Auxerrois qui a succédé le 10 septembre dernier à Jacques HOJLO. Des signatures supplémentaires sont venues s’ajouter au bas du document : celles de Karine LASCOLS, directrice de DOMANYS, et celle de son homologue de l’OAH, Eric CAMPOY.

C’est la contrainte économique inhérente à la loi ELAN qui a su créer cette heureuse opportunité souhaitable par les deux parties. Certes, il n’est nullement question d’altérer l’indépendance de chaque organisme. Chacun intervenant dans un cadre bien particulier.

Toutefois, ce partenariat permettra de répondre de manière optimale aux besoins des habitants et des territoires. Sachant que DOMANYS gère à l’heure actuelle 8 880 logements répartis sur 190 communes et que l’Office Auxerrois de l’Habitat loge près d’un tiers de la population de la capitale de l’Yonne dans l’un des 6 200 logements répertoriés dans son portefeuille.

 

 

 

 

Mener des projets en commun au service des habitants…

 

Si chacun des signataires s’est dit satisfait de la concrétisation de cet acte, en revanche, comme devait le confirmer Vincent VALLE, tout est à construire en matière de contenu. Ce que le président de l’OAH qualifie de « texte de fraternité » suppose à court terme un partage de compétences, de coordination et de partenariat d’innovation.

La première étape passe donc par la concertation. Un comité de pilotage sera chargé d’harmoniser les actions, la définition et l’adaptation des moyens.

« Nous allons renforcer nos forces en nous parlant avec régularité, explique le successeur de Jacques HOJLO, nous serons unis tout en conservant nos identités propres… ».

Un souhait corroboré à son tour par Patrick GENDRAUD. « Notre autonomie et notre indépendance seront préservés, explique-t-il, mais nous allons construire notre avenir ensemble selon l’adage habituel que l’union fait la force… ».

 

 

 

Parmi les sujets de convergence,  citons la transition énergétique, l’innovation, les questions sociales et environnementales. Mais aussi, le patrimoine et son entretien.

La mutualisation de certains services s’inscrit de facto dans cette nouvelle ligne stratégique pour un souci d’efficience et d’économie. On peut décemment penser à la maîtrise d’ouvrage ou à la régie des travaux…

D’autre part, s’accorder sur les investissements, en termes de création et de réhabilitation, intègre les priorités de cet accord. Comme devaient le souligner en chœur Karine LASCOLS et Eric CAMPOY.

« DOMANYS et l’OAH s’engagent à harmoniser leurs actions en faveur des familles dans la mesure où celles-ci sont déjà locataires dans le parc de l’un d’eux vers un objectif de priorisation et d’efficacité dans le traitement des demandeurs figurant dans le fichier partagé national… ».

Bref, même si le concept démarre à partir d’une feuille encore vierge, celle-ci devrait très vite se noircir de propositions profitables aux deux partenaires. Et à leurs locataires.

 

Thierry BRET

 

 


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Pour la seconde année consécutive, le modèle conserve les faveurs des automobilistes de l’Hexagone. Il caracole en tête des ventes avec 47 609 exemplaires écoulés au terme de 2020. Malgré le contexte particulier qui a secoué le secteur, DACIA réussit à maintenir son leadership. Même si le constructeur a vu ses ventes reculer de près de dix mille unités par rapport à l’année antérieure…

PARIS : Ce n’est finalement pas une surprise pour les spécialistes de la question. Même si le marché de l’automobile a perdu de sa superbe au terme de cette édifiante année 2020. DACIA place une nouvelle fois l’un de ses modèles, la Sandero, sur la plus haute marche du podium des meilleures ventes de véhicules auprès des particuliers. Renforçant un peu plus une position confortable de leader qui s’était déjà affirmée en 2019.

Toutefois, le constructeur n’a pu réitérer les excellents résultats obtenus l’année précédente. La baisse de ses ventes se solde par un débours de dix mille véhicules entre les deux exercices. Preuve manifeste que la pandémie a laissé des traces indélébiles dans le monde des affaires.

 

 

 

 

 

DACIA possède avec la Duster un autre modèle qui rivalise avec la brillante lauréate de ce classement. Le SUV de la filiale de Renault a séduit 75 % d’acheteurs non-professionnels.

Cependant, ces résultats sont à relativiser quelque peu. Notamment si l’on s’intéresse aux ventes effectuées sur le marché des entreprises. Le sémillant produit de DACIA ne figure pas dans le trio de tête. Il est nettement devancé par la Peugeot 208 (92 796 exemplaires), la Renault Clio (84 031 unités) et la Peugeot 2008 (66 698 exemplaires).

 

 


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Les regards furtifs traduisent leur appréhension. L’inquiétude s’installe peu à peu dans les cœurs de ces courageux qui osent braver les frimas de l’hiver. L’humidité glaciale transperce les os. Une indescriptible tristesse envahit petit à petit le marché couvert. Celui-ci est vide de sa clientèle, voire de ses exposants. Ils ne sont que sept à avoir donné une suite favorable aux sollicitations des organisateurs de l’évènement éphémère. Sept qui ne se sentent pas forcément des âmes de mercenaire en cette journée de grisaille…

AUXERRE : Mais, où est donc passée la clientèle ? L’interrogation tourne en boucle dans toutes les discussions de ces valeureux professionnels de la restauration qui se sont mobilisés lors de ce nouveau rendez-vous de « Place aux Restos ».

La manifestation dite éphémère renouvelle, toutefois, son bail pour le troisième mercredi consécutif sur l’esplanade du marché couvert de l’Arquebuse. Objectif : mettre en exergue le savoir-faire des chefs et autres toques du sérail grâce à la judicieuse formule des plats à emporter et à déguster chez soi.

En cette période de disette culinaire inhabituelle où le consommateur doit apprendre à faire le deuil des esthètes de la gastronomie que sont les restaurateurs, l’idée est plutôt opportune. Généreuse, gourmande, voire solidaire à bien des égards !

Proposer un évènementiel amplement sécurisé vu le contexte et renouvelable dans le calendrier où le chaland découvre à satiété les recettes de ces spécialistes des arts de vivre est suffisamment rare dans le microcosme actuel.

L’opportunité d’y rencontrer de nouvelles têtes de la corporation ou des figures charismatiques de la régalade gustative à l’instar du chef du Bourgogne Eric GALLET n’est pas vaine. C’est de la chaleur humaine dont on peut se sustenter aisément sans modération…

 

 

Une clientèle quasi absente du rendez-vous…

 

Pourtant, en cette matinée du mercredi 06 janvier, il flotte dans les airs un curieux parfum de « Waterloo morne plaine ». Une atmosphère si étrange et inattendue qu’elle n’engendre que mélancolie et cafard.

Onze heures carillonnent aux cloches des églises alentours et ce constat doux amer qui assèche la gorge et rend le palais pâteux est flagrant : la clientèle est absente du rendez-vous. Dommage !

Plongeant les pugnaces professionnels en poste derrière leurs étals dans un profond désarroi que ces derniers ne souhaitent pas trop commenter publiquement. Logique, ils restent pudiques dans leur malheur tout en conservant un pâle sourire de circonstance.

Mais, le mal au cœur est bel et bien là. D’autant que dans le même laps de temps, tous savent qu’ils ne pourront rouvrir leurs établissements à la date promise. Celle du 21 janvier qui n’était in fine qu’un simple prétexte à une revoyure des mesures gouvernementales les ayant obligé à fermer leurs commerces et en aucun cas la possibilité de recouvrer leur liberté professionnelle. Un double effet « Kis Cool » pas très sain pour le moral et le porte-monnaie.

 

 

Signalétique spécifique et adosser la manifestation au marché ?

 

Nonobstant, les raisons de ce faux pas sont multiples. La froidure de ce petit matin blême qui n’aura pas incitée les consommateurs Auxerrois à se précipiter vent debout au marché couvert, où la température des lieux n’excède pas les quelques degrés ambiants.

La première semaine de janvier n’est, quant à elle, jamais propice à la propension consumériste des acheteurs après les fêtes de fin d’année. Le pouvoir d’achat étant déjà en berne pour bon nombre de nos concitoyens qui craignent les probables conséquences funestes d’une crise économique à venir.

Novatrice dans le paysage local, la manifestation souffre sans aucun doute d’un manque de communication pour en faire sa véritable promotion. Même si ses instigateurs louables que sont l’UMIH (Union des métiers de l’industrie de l’hôtellerie) et l’enseigne METRO ont largement relayé son existence via les réseaux sociaux ou par voie de presse. Mais, cela ne suffit pas.

 

 

Ne faudrait-il pas apposer quelques signalétiques utiles et visibles dans les artères passantes de la ville (Rue du Temple, boulevards qui environnent la place de l’Arquebuse…) pour inciter la population à pousser ses pas jusqu’à ladite place ?

Ne serait-il pas judicieux de faire coïncider cet événementiel solidaire ne devant durer que quelques semaines (« on croise les doigts pour une réouverture des restaurants d’ici avril » dixit Eric GALLET) avec le traditionnel et populaire marché du vendredi matin qui bénéficie quant à lui d’un flux naturel de consommateurs ?  

Quant à la présence des professionnels, elle demeure encore trop timide. Les organisateurs espéraient une vingtaine de stands pour cette première animation de l’année. Ce fut loin d’être le cas. Pourquoi ne rejoignent-ils pas en nombre leurs collègues en se mobilisant davantage ?  

Sept professionnels transis de froid auront eu le mérite de faire tout leur possible pour créer l'ambiance et donner un air de fête à ce tableau, digne d’un « petit bal perdu… ». On espère nettement mieux à l'avenir... 

Thierry BRET

 

 


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Le courrier daté du 10 décembre avait pour destinataire la ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion Elisabeth BORNE. Dans cette missive, l’Union des Entreprises de Proximité (U2P) souhaitait la prorogation de l’une des mesures salvatrices appliquées en cette période de crise : l’aide exceptionnelle aux employeurs de salariés en contrat d’alternance. La pertinence de la démarche n’est plus à démontrer. Il semblerait que sa reconduction soit inévitable…

DIJON (Côte d’Or) : Elisabeth BORNE renouvellera-t-elle les mesures de soutien à l’emploi des jeunes en 2021 ? C’est l’une des interrogations prépondérantes que titillent les esprits des responsables de l’Union des Entreprises de Proximité via sa fédération régionale de Bourgogne Franche-Comté.

Destinataire d’un courrier adressé par l’U2P début décembre, la ministre qui devrait effectuer un déplacement en terre bisontine ce vendredi 08 janvier pourrait trancher en ce sens.

A l’issue de ces récents échanges avec les partenaires sociaux, Elisabeth BORNE envisage très sérieusement de prolonger deux mesures phares pour favoriser l’accès à l’apprentissage. Une éventualité qui suscite déjà l’intérêt positif de Christophe DESMEDT, président de l’U2P Bourgogne Franche-Comté.

« Les mesures de soutien sont de nature à inverser la tendance (le report des projets d’embauches, voire les licenciements) en rassurant les employeurs. Elles doivent absolument être reconduites sur l’ensemble de l’année 2021 afin de conforter la formation et l’emploi des jeunes… ».

Le président de l’organisme, réélu il y a peu à son poste, fait ainsi référence au plan « Un jeune, une solution » où un subside financier de 4 000 euros est versé aux employeurs pour toute embauche d’un jeune âgé de moins de 26 ans.  

 

Le boom de l’apprentissage se confirme en 2020…

 

Quant aux aides exceptionnelles applicables aux contrats d’alternance, elles s’élèvent à 5 000 euros pour l’emploi d’un mineur et à 8 000 euros pour un alternant majeur. Des opportunités que les chefs d’entreprise doivent saisir afin de pouvoir se replacer dans la course à la prospérité.

L’U2P estime que 2021 verra inévitablement se développer les fermetures d’entreprises avec son lot de licenciements. D’où l’intérêt d’accélérer sans plus tarder la relance économique et ses aides salvatrices en s’appuyant sur de nouvelles compétences.

Précisons que les entrées en apprentissage ont vu leur nombre augmenter en 2020 de près de cent mille unités, avec un total de 440 000 contrats signés contre 353 000 en 2019. Des alternants dont la moitié sont formés au sein d’une entreprise de proximité de type artisanale, commerciale et profession libérale.

Thierry BRET

 


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