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Résolument « familiale ». Telle est l’approche novatrice, bienveillante mais légitime portée par l’établissement bancaire interrégional dans son plan d’action qui se décline en 2023. Une banque, toujours aussi verte à plus d’un titre, mais davantage axée sur l’ensemble des maillons de la cellule familiale, depuis le plus jeune âge jusqu’aux seniors. Une volonté intrinsèque pour ce « façonneur d’avenir » qui entend être l’un des grands acteurs économiques du territoire…

 

TROYES (Aube) : Il y en a pour tout le monde au Crédit Agricole ! C’est une évidence dans les faits, et cela devient même le credo de l’établissement bancaire de Champagne-Bourgogne.

Se positionner comme étant le « partenaire incontournable de la famille » se mue en une réalité palpable à l’analyse des principaux chiffres qui ont été communiqués par le groupe lors de sa conférence de presse annuelle. Un exercice oratoire, dédoublé physiquement – l’un à Dijon, l’autre qui l’aura précédé d’une journée à Troyes – et qui aura servi de prétexte à ses dirigeants de pouvoir expliquer avec moult détails les données statistiques de l’année écoulée.

En choisissant cet axe marketing très marqué qui se décline à toutes les sauces – « être la banque de la famille » -, le Crédit Agricole Champagne-Bourgogne souhaite surtout être apparenté à un « amortisseur de la crise » au plan sociétal. Des crises successives que traverse et encaisse le pays depuis bientôt trois ans qu’elles soient sanitaires, économiques, énergétiques et inflationnistes.

Comment pourrait-il en être autrement à bien y regarder ? D’autant que quatre habitants sur dix établis dans cette double région sont clients, voire sociétaires de la fameuse maison !

 

 

Une belle formule, en vérité : « façonneur d’avenir »…

 

Dans les faits, les porte-voix de la « Banque verte », à commencer par le président Jean-Yves REMILLET, et le directeur général, Emmanuel VEY, veulent accentuer leur mobilisation et celle de leurs équipes sur leurs territoires de prédilection, afin de financer l’économie locale avec une écoute attentive et optimiser en parallèle le développement durable des quatre départements que sont l’Aube, la Côte d’Or, la Haute-Marne et l’Yonne.

L’objectif est simple sur ce terrain de jeu : se présenter comme un « façonneur d’avenir ». La belle formule, en vérité…

Agir sur le présent pour mieux modeler le futur de sa clientèle : voilà une ambition louable, presque à la limite de la philosophie, pour une banque qui a contribué au bien-être, en les finançant, de quelques 22 744 projets de vie issus de ces familles au cours de la seule année 2022 !

Soit dans les faits, 1,3 milliard d’euros de crédits qui auront été réalisés, notamment, dans le domaine de l’habitat, celui-ci demeurant l’une des priorités majeures des Français.

 

 

Un leader sur sa zone de chalandise pour les assurances…

 

Cette politique verte – de la pure logique lorsque l’on défend depuis des lustres les intérêts et que l’on finance les projets des professionnels des filières agricoles et viticoles du territoire mais pas que – s’est déclinée également par le biais d’offres de prêts travaux verts et à l’Eco prêt à taux zéro. Dans le concret, 1 641 foyers ont bénéficié l’an passé de ces dispositifs financiers, permettant de les encourager dans ce parcours de rénovation énergétique nécessaire de leur logement. Un franc succès par ailleurs !

Mais, les besoins de la famille supposent aussi de se munir de protections assurantielles garanties et fiables. Sur ce chapitre-là, le Crédit Agricole a aussi mis le braquet supérieur l’année dernière, confortant sa pôle-position de leader régional avec la souscription de 443 124 contrats d’assurance. Précision qui permet d’apprécier la vivacité de ce secteur d’activité : 13 450 nouveaux clients en auront fait la première demande en 2022. Pas mal !

L’assurance est le reflet flamboyant de ce cocon protecteur que souhaite développer l’établissement auprès des cellules familiales qu’il travaille via son réseau d’agences de proximité.

A date, 44,3 % des clients de Champagne-Bourgogne sont assurés par la caisse régionale. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : après un sinistre, 93 % de ladite clientèle s’estiment amplement satisfaites de la réactivité et de la pertinence d’intervention du Crédit Agricole.

Ce qui aujourd’hui fait de cette banque mutualiste la première de la catégorie des banquiers assureurs sur sa zone de chalandise. Parce que les familles le valent bien selon la formule publicitaire empruntée à un poids lourd de la cosmétique !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Depuis le 13 mars, trois banques américaines ont coulé : la « Silicon Valley Bank », la « Silvergate Bank » et la « Signature Bank ». Ces faillites  ont  suscité l’inquiétude en Europe, notamment en France. Mais les banques de l’Hexagone sont-elles réellement en danger ? La déconfiture de la SVB représente aux Etats-Unis, la plus grande faillite bancaire depuis 2008 ! Après une semaine de dégringolade en bourse, la présidente de la Banque Centrale Européenne (BCE), Christine LAGARDE, a tenté rassurer les investisseurs et épargnants…

 

TRIBUNE : Il lui aura fallu trouver les mots justes : « Le secteur bancaire de la zone euro est résilient, avec de solides positions en capital et en liquidités, que nous pouvons allouer au système financier de la zone euro si nécessaire ». Ainsi s’est exprimée la patronne de la BCE, Christine LAGARDE, le 17 mars.

L’emballement a débuté le 13 mars en Californie, après la faillite de la banque américaine « SVB », et les images de centaines de clients venus retirer leur argent. La banque s’est trouvée dans l’impossibilité de trouver les liquidités nécessaires…De triste mémoire pour les nostalgiques.

Cette annonce est intervenue quelques jours après la liquidation de "Silvergate Bank", un établissement surtout présent dans les crypto monnaies. Cela a surpris les investisseurs et a ravivé les craintes sur la solidité de l'ensemble du secteur bancaire, notamment avec la rapide montée des taux d'intérêt qui fait baisser la valeur des obligations dans leurs portefeuilles. De quoi déclencher un mouvement de panique sur les marchés, où les quatre plus grandes banques américaines ont perdu 52 milliards de dollars en peu de jours.

 

Les spécialistes tentent de se rassurer… 

 

En quelques jours, le Crédit suisse et le fond américain « First Republic » ont dévissé à leur tour. Les deux banques, monuments de la finance helvétique, ont des profils très similaires. C'est une fusion emblématique pour le secteur bancaire européen : le géant helvète « UBS » va racheter son grand rival le Crédit suisse, en grande difficulté après s'être effondré en bourse la semaine passée (l’action est en berne !). L’inquiétude a gagné les marchés. Sur l’ensemble de la semaine, BNP (14,11 %), Crédit Agricole (9,23 %) et Société Générale (16,81 %) ont vu leurs actions plonger. Peut-on revivre la crise bancaire de 2008 ? Non, selon les spécialistes.

La faillite de la SVB est emblématique à plus d’un titre. D’abord, il est important de réaffirmer qu’une banque peut faire faillite et ce, quelle que soit sa taille. D’autre part, la SVB, après des investissements financiers désastreux, les clients de la banque ont quasiment tous demandé le retrait de leurs fonds déposés : c’est la base même de la banqueroute.

Une situation bien différente de 2008…

 

Les experts scrutent désormais un possible effet sur des plus grandes banques, nationales, et donc le fameux effet domino. « Le seul problème, c'est qu'on ne sait pas tout pour l'instant. Je pense qu'il faut être honnête, on ne sait pas quelles sont les ramifications de cette banque avec d'autres banques américaines. Si de grands établissements américains sont concernés, alors là, il y a effectivement un danger », souligne l'économiste Marc TOUATI. Ajoutons tout de même que les deux banques qui ont fait faillite aux Etats-Unis étaient la référence du Bitcoin…

En revanche, les observateurs sont unanimes : la situation est très différente de celle en 2008. Aujourd’hui, le cas de « Silicon Valley Bank » est circonscrit aux États-Unis et au seul secteur des nouvelles technologies. « La bourse réagit parce qu’elle comprend que c’est la fin de la bulle du numérique », explique l’économiste. « Mais il y a quand même une bonne nouvelle : nous ne sommes pas face à « LEHMAN Brothers » qui était la banque d’affaires du monde entier. Quasiment toutes les banques du monde y étaient liées… ajoute-t-il.

Les problèmes rencontrés par la banque « sont très spécifiques » et ne sont pas de nature « à affecter l'ensemble du secteur bancaire, encore moins les grandes banques », abonde Ken LEON, analyste pour le cabinet CFRA.

De fait, depuis la crise financière de 2008/2009 et la faillite de la banque américaine « LEHMAN Brothers », les banques doivent donner des gages renforcés de solidité à leurs régulateurs nationaux et européens. Elles doivent par exemple, justifier d'un niveau minimal de capital plus important destiné à éponger les éventuelles pertes.

 

 

Les garanties de l’Etat aux personnes physiques et aux comptes professionnels…

 

Les autorités américaines ont rapidement annoncé que les clients ne seraient pas lésés. Rappelons au passage que pour les banques françaises, l’Etat apporte des garanties spécifiques aux clients « personnes physiques » : 100 000 euros par personnes et par banque. Même garantie pour les comptes des commerçants, artisans et professions libérales. Pour les sommes exceptionnelles déposées : la vente d’un bien immobilier, la donation, l’héritage… la limite d’indemnisation de 100 000 euros est relevée de 500 000 euros pendant trois mois. Les dommages corporels sont couverts sans limites de montant. 

La faillite de SVB pourrait aussi avoir des répercussions sur l'écosystème des startups et des VC (Venture Capital) en France. De nombreuses startups françaises ont des liens étroits avec la « Silicon Valley ». Certaines d'entre elles ont peut-être des comptes chez « SVB ». Celle-ci se targuait d'avoir pour clients « près de la moitié » des entreprises technologiques et des sciences du vivant, financées par des investisseurs américains. La mise en liquidation ordonnée de la banque va leur permettre de récupérer jusqu'à 250 000 dollars par client, soit le maximum garanti par la FDIC. Mais, selon le rapport annuel de « SVB », la partie des dépôts non assurée se montait à environ 96 % du total des 173 milliards de dollars confiés à l'établissement.

 

 

Quelles précautions prendre ?

 

Tout d’abord, pour les plus fortunés, si vous avez plus de 100 000 euros sur un compte bancaire, ouvrez autant de comptes, dans des établissements différents, par fraction de 100 000. Faut-il vendre ses actions ? C'est même, bien généralement la pire chose à faire, puisque vous raterez très probablement le rebond.

Prenons un exemple : vous avez acheté 10 actions au cours de 80 euros  – le cours passe à 30 : perte potentielle évaluée à 800 – 300 = 500 euros. Prudent, vous n’avez pas vendu mais acheté 10 titres à 30 (rachat à la baisse). Le rebond permet au titre de remonter à 65. Vous revendez 20 actions à 65 euros, soit 1 300 euros. Gain : achat de 10 titres à 80 et 10 titres à 30, le total déboursé est de 800+300 = 1 100 euros. La vente permet d’encaisser 1 300 euros, donc un bénéfice de 200 euros – à comparer à la perte de 500 euros si vous aviez tout vendu dès la chute des titres…

Lorsque la bourse perd 20, 30 ou 40 %, il est généralement trop tard pour vendre ses titres. Pour mieux anticiper, la meilleure solution est de bien diversifier ses placements et de se montrer patient. La diversification boursière, c’est de répartir les titres sur des secteurs différents en évitant pour l’instant les banques (ne pas vendre et attendre le rebond) et les startups.

En conclusion, aujourd’hui pas de panique mais de la prudence dans l’orientation des placements et diversifier les placements boursiers !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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La caisse régionale Champagne-Bourgogne du Crédit Agricole organisait le « Rendez-vous des sociétaires » à la salle des fêtes de Sens. L’occasion de dresser le bilan des actions de l’établissement bancaire. Avec, en sus, une remise de chèque à la clé pour le club de football, « La Jeunesse Sénonaise »…

 

SENS : L’assemblée générale de la caisse régionale Champagne-Bourgogne du Crédit Agricole était l’occasion de féliciter les sociétaires pour leur travail et d’échanger avec eux. D’ailleurs, la banque s’est voulue rassurante pour donner suite à une question posée par l’un d’eux au sujet de la faillite de la « Silicon Valley Bank ».

« Sur le groupe Crédit Agricole, il n’y aura strictement aucun impact » a affirmé le directeur général Jean-Yves REMILLET.

 

Que les plus modestes et les plus fortunés puissent réaliser leurs projets…

 

Le directeur général est également revenu sur la réorganisation de ses agences par territoire, l’Yonne, de l’Aube, de la Côte d’Or et de Haute-Marne pour la caisse de Champagne-Bourgogne. Les directeurs d’agence endossent désormais le rôle de directeur de territoire. Puis, il a évoqué leur rénovation pour un montant de cinquante millions d’euros et la volonté de la caisse régionale de créer des filières d’expertises dédiées aux clients telles que le patrimonial. Elle sera également la première à s’engager dans des actions en faveur de la transition écologique.

Un autre des objectifs de la caisse régionale, réaffirmé chaque année, est de participer au dynamisme du territoire, du Sénonais en l’occurrence.

« C’est façonner notre territoire, c’est faire que, par l’action du Crédit Agricole de Champagne-Bourgogne, tous, des plus modestes aux plus fortunés puissent réaliser leur projet de vie » rappelle Jean-Yves REMILLET.

Le groupe soutient activement les acteurs de la vie économique et sociale ainsi que le monde associatif. Cette année, il remettait un chèque de 3 000 euros au club de football « La Jeunesse Sénonaise » en guise de co-financement d’un minibus.

 

 

 

Une page d’histoire et d’anecdotes narrée par l’incontournable Bernard BROUSSE…

 

 

In fine, Bernard BROUSSE n’a pas hésité à prendre le micro pour narrer des décennies d’existence des deux agences de la ville de Sens. L’historien s’était armé de documents d’archives et de nombreuses anecdotes, riches en humour.

On apprend notamment que l’agence de la rue du Général Duchesne fut autrefois une maison de chanoines. Le bâtiment fut transformé en auberge à la Révolution française, puis agrandi en 1820, lieu de naissance du général Duchesne acclamé par la foule sénonaise à son retour de Madagascar. Ou encore que l’agence a été victime d’un hold-up le 30 juin 1987 vers 15h45.

« Le Crédit Agricole avait attiré un client qui n’était pas très recommandable…  plaisanta-t-il en guise de conclusion.

 

Floriane BOIVIN

 


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Entre le Rugby Club Auxerrois et l’antenne départementale de l’assureur mutualiste, la relation ne file pas du mauvais coton ! Bien au contraire ! Avant d’accueillir une nouvelle édition du « Club 15 » – la formule business structurelle réunissant les soutiens économiques du pensionnaire de Fédérale Trois – chez GROUPAMA, le partenariat entre les deux entités a donc été entériné pour trois saisons supplémentaires. Quand on aime, on ne compte pas !

 

AUXERRE : Ils affichent un large sourire, les signataires du renouvellement de ce partenariat qui offre l’opportunité à deux structures locales aux valeurs identiques de s’embarquer vers le même objectif. La réussite d’une stratégie sportive menée à bon port ! Celle qui devrait peut-être s’avérer payante pour le RCA (Rugby Club Auxerrois) au terme d’une saison particulièrement idyllique pour ses supporters, avec à son terme une possible accession en division supérieure, soit la Fédérale Deux.

Pour le président du club, David PARIZOT, apposé sa griffe au bas du document n’est pas un geste anodin. Chaque partenaire compte. En avoir davantage au compteur représente un gage de succès et l’optimisation de la confiance dans cet indispensable soutien moral et financier dont les clubs sportifs, disposant de quelques prétentions, ne peuvent raisonnablement se priver.    

Alors quand il s’agit d’une prorogation de trois années supplémentaires d’une convention existante de la part d’un poids lourd du sponsoring et du mécénat de notre paysage – GROUPAMA Paris Val-de-Loire via la Fédération de ses caisses départementales -, la joie n’en est encore plus intense pour le chef d’entreprise aux manettes du club ! D’autant que ces deux-là partagent de nombreuses valeurs communes…

 

Un partenaire pérenne qui change de catégorie et devient « prestige »…

 

Appréciant la volonté éducative que décline le RCA auprès de la jeunesse, le double directeur départemental de GROUPAMA Yonne et Seine-et-Marne, Jacques BLANCHOT, insista sur les motivations de son soutien par la formule suivante : « tout le monde le sait, un jeune qui pratique une activité sportive sur le terrain apprend des valeurs de partage et d’humilité, mais aussi de responsabilité, de solidarité et de proximité. Des thèmes qui nous sont chers… ».

De vraies références morales, applicables dans la vie au quotidien qui ont donc trouvé grâce aux oreilles du responsable de l’assureur mutualiste et ce, depuis le début de cet indéfectible soutien.

 

 

Sans en déflorer le montant exact, on sait que la reconduction de ce partenariat qui va donc courir jusqu’au terme de la saison 2025 a été augmenté de manière significative au niveau de son enveloppe financière. Serait-ce ainsi le coup de pouce idéal pour assurer la présence du club auxerrois en Fédérale Deux la saison prochaine ? Une chose est sûre avec la continuité de cet encouragement statué par des paraphes au bas de ce document : GROUPAMA change de catégorie et intègre désormais le club « Prestige », soit les meilleurs partenaires du cru qui encouragent le développement de la pratique rugbystique dans la capitale de l’Yonne.

 

Un accompagnement qui coïncide avec le projet global du club…

 

Pour David PARIZOT, contracter un tel partenariat et le rendre pérenne à travers le temps – les deux structures marchaient déjà main dans la main bien avant que le dirigeant d’OXO prenne les rênes de la présidence du RCA – est preuve de stabilité. Or, pour mener à bien sa stratégie évolutive qui amènerait le club auxerrois en Fédérale Deux et à s’y maintenir durablement, cette stabilité devient un élément inéluctable dans la recherche et l’affirmation des partenariats. Concrétisé par le renforcement de ce soutien ô combien important qui est prodigué par le spécialiste de l’assurance et de la prévoyance régional. Un soutien s’étalant sur les trois prochaines années en accointance avec le projet global porté par l’association sportive.

 

Thierry BRET

 


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L’orage gronde : la retraite par répartition demeure le système premier pour financer notre retraite. Or, la capitalisation est aussi une possibilité d’améliorer l’ordinaire et de bien préparer sa retraite. Dans le labyrinthe des placements possibles, essayons de nous orienter. Je vous invite d’abord à méditer une pensée de Sénèque : « la vie, ce n’est pas d’attendre que l’orage passe, c’est d’apprendre à danser sous la pluie… ».

 

TRIBUNE : Les agences bancaires proposent de multiples produits et des solutions financières à nos projets de placements et assurances. Nos conseillers ne possèdent pas toutefois la triple compétence de banquier, d’assureur et de financier. Ce n’est pas leur faire injure, mais face aux centaines de produits dont ils disposent, ils ont parfois du mal à s’y retrouver eux-mêmes ! N’oublions jamais que la plus grande carence des réseaux bancaires, c’est le droit !

Quand on veut placer de l’argent, il y a une question essentielle à se poser : quel est l’objectif central que je poursuis ? Pour ma future retraite, il faut des placements qui ne rapportent rien, ou peu, mais qui maintiennent le pouvoir d’achat de mon capital. Quand je suis en retraite, il faut des placements qui rapportent un maximum, mais en contrepartie, le capital s’érode. De plus, n’oublions jamais que la rentabilité est proportionnelle au risque… On peut ajouter la protection des enfants en simplifiant la succession. De toute façon, il sera indispensable de consulter son notaire : l’incontournable en matière de transmission du patrimoine. Il aura un avis éclairé sur les placements que vous envisagez, compte tenu de vos objectifs.

 

L'assurance-vie : un placement adapté…

 

Les contrats d’assurance-vie offrent une grande souplesse pendant la phase de constitution de l’épargne et sur les modalités de sortie. Vous pouvez récupérer vos sommes épargnées, soit sous forme de capital, soit sous forme de rente et vous constituer ainsi des revenus supplémentaires à vie. Elle offre également des avantages fiscaux importants, notamment une fiscalité privilégiée en cas de retrait après huit ans d’ancienneté du contrat. Par ailleurs, en cas de retrait plus tôt, l'impôt s'applique uniquement sur la quote-part de plus-value comprise dans le retrait. En outre, en cas de décès, l'épargne est transmise aux bénéficiaires librement désignés, dans la majeure partie des cas sans droits de succession. Un conseil : vous n’êtes pas tenu de donner le nom du ou des bénéficiaires en cas de décès. Il suffit simplement d’indiquer que le nom est déposé chez le notaire. C’est plus simple lorsque l’on souhaite changer le nom des bénéficiaires en cours de route.

 

 

Le PER (Plan d’Épargne Retraite)…

 

L’assurance-vie est concurrencée par le PER (Plan d’Épargne Retraite). Cette enveloppe juridique et fiscale permet de se constituer un complément de retraite, en plus des régimes obligatoires. Vous pouvez transférer l'épargne des anciens plans (Perp, contrats Madelin…) déjà ouverts sur votre nouveau PER. Le PER est très avantageux fiscalement, puisque les versements volontaires sont déductibles de l’assiette de l’impôt sur le revenu à hauteur de 10 % de vos revenus d’activité de l’année précédente, avec un plafond maximum de 32 909 euros pour 2021.

 

Le PEA : un placement boosté par la loi Pacte…

 

Le Plan d’Épargne en Actions (PEA) permet d'investir à long terme, majoritairement dans des actions d'entreprises françaises ou européennes, et de générer, après un minimum de 5 ans, une rente viagère exonérée d'impôt sur le revenu. Le PEA bancaire permet d'investir en bourse. Il prend la forme d'un compte titres associé à un compte espèces. C’est plus intéressant pour la préparation de la retraite car le PEA Assurance permet de bénéficier à la fois des avantages du PEA, mais aussi des atouts des contrats de capitalisation en unités de compte. Les conditions de fonctionnement de ce compte sont fiscalement plus avantageuses qu'un compte titres standard. En outre, un peu d’or ne nuit pas. Au début de l'année 2023, la valeur du métal jaune a dépassé le seuil de 2 000 dollars l'once. Investir dans l'or en 2023 semble donc être une bonne idée, surtout compte tenu du taux d'inflation estimé à 6,1 % en juillet 2022.

 

 

 

L’immobilier, un placement toujours à la pointe…

 

Le premier placement immobilier, c’est l’achat de sa résidence principale. Il permet de capitaliser pour sa retraite. Au moment de la retraite, la vente du bien en viager permet un complément de ressources non négligeable. Viennent ensuite les placements individuels et collectifs. Banquiers, assureurs et notaires proposent des placements sous forme de SCPI (Société Civile de Placement Immobilier). L’achat de parts de SCPI offre quelques avantages. Depuis la transformation de l’ISF (Impôt de Solidarité sur la Fortune) en IFI (Impôt sur la Fortune Immobilière), les patrimoines immobiliers supérieurs à 1,3 million d’euros sont imposables à l’IFI. Les parts de SCPI investies dans des parcs de biens immobiliers entrent ainsi dans ce calcul.

Le démembrement des parts de SCPI peut permettre de réduire sa facture fiscale. Concrètement, il s’agit de séparer la nue-propriété des parts et leur usufruit. L’épargnant achète la nue-propriété et possède les parts de SCPI mais ne perçoit pas les revenus. Il récupérera la pleine propriété des parts à la fin de l’usufruit. L’usufruitier, de son côté, perçoit les loyers pendant toute la durée du démembrement. Cette technique permet d’investir à moindre coût et de ne pas alourdir sa fiscalité (impôt sur le revenu et IFI) pendant la durée du démembrement. Dans le cadre de la préparation de la retraite, il suffit de bien caler la durée du démembrement pour la faire coïncider avec la période de vie active où la fiscalité peut être parfois lourde. Au moment de la retraite, les revenus issus des parts pallient alors la baisse des revenus.

L’achat d’appartement présente des risques : loyers impayés, dégradations, squats… On peut envisager des placements orientés vers l’acquisition de studios pour étudiants : bon turnover des locataires, meilleure actualisation des loyers, et caution des parents. Le LPMP, Loueur en Meublé non Professionnel, est un statut permettant d’investir dans un bien immobilier afin de le louer meublé et de percevoir des revenus peu ou pas fiscalisés. Il s’agit de résidence étudiante est destinée à accueillir pendant plusieurs mois au moins 70 % d’étudiants. Ce qui veut dire qu’elle peut également accueillir 30 % d’autres types de locataires, en priorité des jeunes travailleurs ou des touristes. Le taux d’occupation avoisine donc souvent les 100 %. Les résidences sont exploitées par un gestionnaire exploitant unique qui assure le remplissage de la résidence, son entretien, et assure le paiement des loyers aux investisseurs dans le cadre d'un bail commercial.

Investir dans une résidence étudiante est un placement qui offre des perspectives sur un marché en plein essor : la population étudiante ne cesse d'augmenter, alors que l'offre de logements en résidences couvre à peine un tiers de la demande. C'est, surtout en période d'incertitude économique, un investissement sur une valeur refuge. Avec un ticket d'entrée autour de 70 000 euros, c'est aussi l'opportunité pour les personnes désirant investir dans la pierre avec un budget limité. Le rendement annuel moyen va de 3,5 % à 4 % nets de charges. Sans risque de vacances, d'impayé ni de souci de gestion ou d'entretien. Grâce au bail commercial signé avec la société gestionnaire, c'est un investissement sécurisé et sans imprévu.

 

 

Investir dans des « éco-parking » en profitant des rendements…

 

L’investissement dans des box de voiture ou des places de parking correspond à un placement pour de petits budgets et permet de se constituer un patrimoine progressivement. Les charges sont limitées et pour les box, les dégradations se limitent à la porte. Une nouvelle forme de placement  émerge : l’éco-parking ou la place de parking avec borne électrique. Il s’agit d’un placement immobilier éco responsable et cohérent avec le développement des véhicules électriques. La rentabilité annoncée est de l’ordre de 10 à 12 %. On peut trouver des places de parking à 10 000 euros, mais il faut compter 50 000 euros à Paris et 3 400 euros à Oissel en Normandie…

En tant que propriétaire d’un investissement locatif, vous devez déclarer les loyers perçus sur vos revenus locatifs, et vous acquitter de la taxe foncière. L'emplacement entre dans le calcul de votre impôt sur la fortune immobilière (IFI) à hauteur de sa valeur patrimoniale (prix de l'emplacement moins le montant de la dette immobilière). A Auxerre, nous avons noté une place de parking à 7 500 euros et un box à 12 600 euros.

Précisons que les investissements immobiliers sont soumis à l’IFI. Si vous êtes concernés, il est possible d’y échapper par des montages juridico financiers en intégrant  des SCI familiales : dans ce cadre il est impératif de prendre conseil auprès du notaire.

Il existe un Fonds de Garantie des Dépôts et de Résolution (FGDR) qui protège les titulaires de comptes en cas de défaillance de la banque. Toutes les banques établies en France adhèrent à ce fonds. Les avoirs sont couverts jusqu'à 100 000 euros par personne et par établissement. Votre épargne placée sur un Livret A, un Livret de développement durable (LDD), un Livret d’épargne populaire (LEP) est garantie en totalité par l’Etat, et non par le mécanisme de garantie des dépôts.

Les sommes placées sur ces livrets d’épargne ne sont donc pas décomptées du plafond de 100 000 euros. Il existe aussi une garantie des titres, plafonnée à 70 000 euros par détenteur de compte titres.

En matière de constitution d’un patrimoine, la diversification est vitale. Il ne faut pas oublier l’adage : « ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier ». Et penser à la carte « chance » du jeu de Monopoly : « faites des travaux dans vos maisons » ! En conséquence, tout investissement immobilier doit générer 10 à 15 % de liquidités disponibles sur des livrets par exemple.

Les solutions pour préparer sa retraite par capitalisation sont multiples et peuvent correspondre à tous les cas de ressources et de projets. Il faut s’entourer d’un banquier, d’un assureur, d’un notaire et éventuellement de son avocat. Les consultations sont gratuites. Après, il faut choisir son camp : cigale ou fourmi !

En dernier recours, Voltaire nous propose un ultime conseil : « Si vous voyez un banquier sauter par la fenêtre, suivez-le, c’est qu’il y a de l’argent à prendre »…

 

Jean-Paul ALLOU

 


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