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Premier indice qui explique ce rendez-vous proposé à la presse pour faire plus ample connaissance : la raison d’être de ce mouvement souhaitant plus qu’une simple transition, une « véritable transformation sociétale ». Si quelqu’un doit se mouiller pour prendre de bonnes initiatives afin de faire bouger les lignes, ce sera eux ! Eglantine BORGNAT, Charisse NGOUMBI, Olivier BOURGEOIS et Rachid EL IDRISSI, seul candidat de ce team newlook à être inféodé à une formation politique, celle des « Nouveaux Démocrates » dont il est le porte-étendard départemental…

 

AUXERRE : C’est la liste du « territoire en mouvement ». Dans sa parfaite globalité, son éclectisme absolu et son universalité réaffirmée. Ici, le projet ne s’oriente pas à grands coups d’étiquettes politiques. Encore moins à l’estampille politicienne, le « gros mot » à ne pas prononcer !

Les candidats de cette liste résolument humaniste et citoyenne concourant sur le canton d’Auxerre 3 veulent être bercés par le chant des sirènes du pragmatisme et de l’efficience. Au service des autres, pour qu’ils aient le bénéfice d’un avenir meilleur, équitable et surtout plus juste.

Alors de là à évoquer quels seraient les soutiens potentiels accordés par les formations politiques à leur endroit, la question est balayée d’un large revers de la main par la tête pensante de ce collectif, qui croît au fil des jours sur les pages des réseaux sociaux, Rachid EL IDRISSI.

Les « Gens d’Ici », une appellation que ne pourrait renier le faiseur de mots Etienne RODA-GIL sur une mise en musique de Julien CLERC dans l’un de ses succès de 1975 (« This melody »), ne portent pas d’étiquettes, ne répondent qu’à leur seule vision du monde (peut-être un peu trop utopique ?) et clament leur indépendance d’esprit vis-à-vis de l’intelligentsia habituelle !

 

 

Un référentiel d’idées qui distille une trentaine de propositions…

 

Beaucoup peuvent se retrouver derrière ces mots. Où il est question de liberté, de paix, de préservation de l’environnement, d’initiatives collectives et participatives en faveur de la nouvelle économie.

Pas celle trop productiviste des libéraux à tout crin, mais celle qui, au contraire, encourage le développement de proximité avec ses circuits courts, l’auto-partage ou l’alimentation saine. En somme, en étant respectueux d’une éthique et de la qualité de la vie. Axiomes que recherche dorénavant tout être humain bien-pensant en cette période de crise.

Trente propositions constituent ce programme plutôt digeste qui est dévoilé parfois avec moult détails par leurs thuriféraires.

On y valorise le volet social. On y favorise le renforcement des échanges avec Paris dans les domaines de l’enseignement, de la culture, des affaires. On y marque l’identité viticole de ce territoire où les crus regorgent. On y parle de la « Cagnole », cette valeur numéraire locale permettant de payer des prestations dites de proximité. On y recycle les friches industrielles pour y accueillir des artistes et des intellectuels. On y soutient les jeunes désireux se lancer vers l’emploi. On y remodèle l’existence pour les citoyens du monde que nous sommes tous !

 

 

Bref, c’est une noria de préconisations vertueuses ne demandant qu’à faire consensus et florès auprès du plus grand nombre.

L’une de ces idées maîtresses, défendue depuis très longtemps par le leader des « Nouveaux Démocrates », reste l’instauration du revenu universel. L’ex-socialiste Benoît HAMON en avait parlé en son temps lors de la présidentielle 2017. Une idée que s’arroge à l’échelle départementale le très déterminé Rachid EL IDRISSI sur cet item.

Lui qui a toujours eu une longueur d’avance dans son vécu professionnel consacré à la cause du digital croit dur comme fer à la pertinence de ce précepte social très altruiste.   

Toutefois, l’accélérateur de projets qu’il aimerait devenir le sait très bien. Derrière cet inventaire à la Prévert pavé de louables intentions, le plus dur reste à faire car désormais il faut convaincre. Sur les réseaux sociaux, évidemment, la crise sanitaire étant si persistante, il faudra donc repasser pour assister cette année à la moindre réunion de campagne…

 

 

 

Une équipe accro à la révolution environnementale et sociétale…

 

Pour se faire, le natif d’Auxerre (quartier Rive-Droite) – le curieux dénominateur commun des prétendants de cette liste des « Gens d’Ici » -- s’est entouré de personnes motivées et combattantes dans l’âme. Certaines sont connues, d’autres sont à découvrir.

A commencer par l’autre versant du sommet de l’iceberg, l’entrepreneure Eglantine BORGNAT, chantre d’une viticulture qualitative et gouleyante. On connaît le passé mâtiné de volontarisme et d’originalité de l’hébergeuse de tourisme, via le domaine éponyme que l’on ne présente plus. La voici qui endosse une toute autre vêture, inhabituelle cette fois, de tête de gondole aux départementales !

Deux remplaçants accèdent à ce dernier carré électoral, composé d’un double binôme. La première se nomme Charisse NGOUMBI. Une personne très investie auprès des Auxerrois depuis une décennie, se disant très « timide » mais qui ne l’est nullement en vérité lorsqu’elle explique, dithyrambique, sa vision des choses pour améliorer le sort de ses congénères.

 

 

Il y a aussi Olivier BOURGEOIS. Le fonceur au tempérament bien trempé, pur produit de la filière rugbystique locale. Lui, il a déjà vécu une expérience d’élu municipal sous l’ère FEREZ il y a longtemps. Il se définit comme un facilitateur de l’émergence d’une filière d’excellence dans le domaine de l’agriculture biologique pour approvisionner la restauration collective et individuelle en encourageant les circuits courts.

La légitimité des Gens d’Ici suinte à fleur de peau à la moindre parole édictée. Leur seule vocation dans cette joute est de fédérer des électeurs flirtant sur un prisme hétéroclite dont le curseur de pensées s’étalerait du centre droit à l’écologie.

Proposant un mix de suggestions basées sur la fraternité et le social, cette liste atypique se veut être le mouvement  représentatif d’un autre entrepreneuriat sur le volet de l’économie.  Au seul bénéfice d’une profonde transformation de la société, plus que d’une simple transition.

Les citoyens qui se rendront aux urnes les 20 et 27 juin seront-ils prêts à tenter l’expérience ?

 

Thierry BRET

 

 


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La micro-brasserie artisanale située à Saint-Bris-Le-Vineux a remporté plusieurs récompenses au concours international de Lyon grâce à deux des quatre bières présentées. Une satisfaction pour les gérants de la brasserie qui viennent seulement de fêter la première année d’activité de leur entreprise…

 

SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Simon BERHAUT et Romain SORIN sont âgés respectivement de 33 et de 35 ans. Leur rencontre a abouti à la création d’une micro-brasserie, implantée sur notre territoire en 2019.

Frère d’un brasseur amateur, Simon a tout de suite été bercé dans l’apprentissage de ce métier. Romain, élève en viticulture, a rapidement été pris de passion pour l’organisation de soirées festives où il souhaitait maîtriser son sujet.

A la suite de leur rencontre, ils ont eu l’envie de se projeter et de créer ensemble un projet basé sur le local et l’écoresponsable. Pour le réaliser, ils se sont appuyés sur certains acteurs locaux tels que BGE, un réseau d’accompagnement et d’aide à la création d’entreprise. INITIACTIVE 89 les a soutenus dans l’élaboration de leur projet d’entreprise. C’est ici que FAYYAR est né.

 

 

Une première commercialisation en pleine période de confinement…

 

Cette entité, c’est avant tout, la conception de bières biologiques, une revalorisation des drêches (résidus de malt après empâtage) et moins de déchets. La structure dispose d’une gamme fixe de cinq bières (Pale Ale, Witbier, Porter, Amber Ale et IPA) et une gamme éphémère, avec des bières élaborées en fonction des saisons (Cherry Milkshake, une bière blonde aux cerises et lactose), des rencontres (l’exotique variante Sumatra) mais aussi de leur folie créative (une bière aux baies de Timut, des bières aux bourgeons de sapin et miel, etc.). Ces produits peuvent être achetés dans le réseau BIOCOOP ou dans la boutique auxerroise à l’appellation si curieuse « PYNEAU PRUNUTZ », consommés à La Scène des Quais ou au restaurant du « Grandgousier » à Auxerre.

FAYYAR s’est aussi élargi dans tout le département avec d’autres points de vente par exemple à la « Boutique des Saveurs » à Joigny ou chez « Gamm Vert » à Toucy. La structure développe doucement son réseau de distribution hors du département.

Les premiers produits ont été commercialisés seulement trois semaines avant le premier confinement en mars 2020. Les deux entrepreneurs ont alors tenté de trouver des solutions en allant sur les marchés hebdomadaires de différentes villes ou villages. De plus, ils en ont profité pour mettre en place la logistique pour les livraisons à domicile. Ils ont tout même réussi à obtenir une aide de l’agglomération pour un projet basé sur la réduction de déchets.

 

 

Un concours plus que positif pour les deux entrepreneurs…

 

Avec un chiffre d’affaires annuel de 50 000 euros, les deux garçons décident de tester leur fabrication. Ils participent à deux concours. L’un est le national de la bière du musée Français à Nancy où les résultats ne sont pas encore publiés à ce jour. Le second étant le concours international de Lyon où ils remportent deux trophées.

Ils y présentent quatre bières : Pale Ale, Porter, Witbier et Sumatra, où cette dernière a été évaluée dans la catégorie de bière spéciale. La bière brune Porter et la bière Sumatra qui est ambrée aux fèves de café, un concept mené en collaboration avec la Boutique des Saveurs à Joigny, ont été primées lors de ce concours. La première a obtenu la médaille d’or, la seconde décrochée l’argent.

Les bières ont été jugées sur leur qualité organoleptique évaluée par le jury selon la grille de notation qui est fournie par le concours.

Ces challenges ne sont pas nouveaux pour ces deux amis. Ils les ont vus naître étant donné qu’ils sont dans la filière brassicole depuis plus de dix ans. Mais, avec à peine un an d’existence, ils pensaient que participer à une telle compétition était trop prématurée.

En décrochant ces deux médailles à Lyon, Romain et Simon ont eu l’opportunité de se faire connaître. Ils ont déjà été contactés par plusieurs professionnels. Quant aux ventes de leurs boissons, elles suivent depuis une courbe ascendante, même en dehors de la Bourgogne.

L’avenir, ils y pensent. Les deux compères souhaitent recruter un étudiant en alternance afin de lui transmettre leur philosophie dans le but de pouvoir l’embaucher ensuite.

Brasseurs mais aussi interpellés par l’écologie, les jeunes entrepreneurs ont pour projet de lancer le « growler », bouteille qui permet de réduire sensiblement les déchets.

 

Jordane DESCHAMPS

 

 


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Fermé depuis six mois en raison de la crise sanitaire, le théâtre d’Auxerre rouvrira ses portes au public jeudi 20 mai avec à l’affiche une fantaisie lyrique autour du téléphone de Menotti. Un spectacle vivant porté par les étudiants de l’Ecole Supérieure de Musique, qui sera suivi début juillet par trois jours de fête et de convivialités musicales mettant en avant les artistes en résidence au théâtre…

AUXERRE : Eteignez vos portables, installez-vous vous bien dans votre fauteuil, ouvrez grands vos yeux et vos oreilles et laissez-vous porter par la musique ou le spectacle … ! Un scénario qui depuis le 30 octobre dernier, date de début du second confinement et de la fermeture des théâtres, relevait de la fiction. Autant dire que l’annonce du plan de réouverture des lieux culturels avec places assises à compter du 19 mai aura été vécue par tous comme une délivrance. Pierre KECHKEGUIAN, qui œuvre à la direction du théâtre d’Auxerre depuis neuf ans, ne cachait pas son plaisir gourmand ce lundi à en présenter le programme de réouverture, avec à ses côtés, George BASSAN, présidente de l’Association Icaunaise de Diffusion Artistique (AIDA). Une double satisfaction même, puisque la veille, les intermittents du spectacle qui occupaient le théâtre depuis le 21 avril avaient quitté les lieux dans la soirée. Une occupation qui n’était pas sans conséquences financières explique George BASSAN : « considérées d’un point de vue juridique comme du public, les personnes présentes jour et nuit, nous ont mis dans l’obligation d’assurer un gardiennage de sécurité, pour un coût d’environ 5 000 euros par semaine, soit l’équivalent du prix moyen d’un spectacle, réduisant d’autant notre budget… ». Saluant au passage avec le directeur, l’état de propreté dans lequel les occupants avaient rendu les lieux.

 

 

Un opéra bouffe pour démarrer la saison…

 

A l’affiche du spectacle de réouverture, jeudi 20 mai : « Le téléphone », un opéra bouffe de Gian Carlo Menotti, fruit du travail mené depuis deux ans par les jeunes chanteurs de l’Ecole Supérieure de Musique de Bourgogne Franche-Comté. Une formation qui depuis deux ans avait pris ses quartiers au théâtre d’Auxerre. Initialement prévu le 30 avril dernier, ce spectacle entièrement gratuit sera agrémenté d’une fantaisie lyrique reprenant les grands airs des comédies musicales américaines. La réservation sera ouverte dès ce mercredi. Mais, il faudra faire vite car la jauge autorisée par l’exécutif n’est pour l’heure que de 35 % de la capacité d’accueil, soit à peine plus de 200 places assises. Priorité sera donc donnée aux personnes ayant initialement réservé cette représentation.

 

 

Suivront du 01er au 03 juillet trois jours de spectacles mettant en avant des artistes actuellement en résidence au théâtre d’Auxerre, comme Nathalie PERNETTE et sa Compagnie de danse éponyme, ou Sébastien VALIGNAT autour de son spectacle « Love me ». Une programmation enrichie de soirées « after » conviviales et musicales ou « d’apéros concerts » avec notamment l’ensemble de musique baroque « Les Epopées », de reconnaissance internationale. Avant le traditionnel rendez-vous de rentrée, début septembre, pour la présentation officielle des spectacles de la prochaine saison. Une programmation qui devrait reprendre pour moitié celle de cette année, mais « quelques belles surprises » sont d’ores et déjà annoncées fait remarquer Pierre KECHKEGUIAN, qui se refuse à envisager un éventuel quatrième confinement : « ce serait une véritable catastrophe ! ».

 

Dominique BERNERD

 


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L’école nationale vétérinaire de Maisons-Alfort a fermé son site au domaine de Crouzilles. « Il n’y avait plus de porosité avec le village » indique le maire, Eric PAURON. Les six dernières personnes vivaient en vase clos. Elles sont parties. Faute de gardiennage, des vols d’outillage et équipements ont été constatés. Les quatre personnes « clefs » de la nouvelle vie du village se sont réunies pour envisager l’avenir…

 

CHAMPIGNELLES: Ce fut un excellent réflexe. Comme le designer star Thomas DARIEL lui confiait son grand projet, François GUYARD, alors maire de Tannerre-en-Puisaye, lui a fait rencontrer Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre (CCPF).

Il a la charge du développement économique du territoire. Ce dernier a très vite compris l’opportunité. « Ce fut alors un long marathon semé d’embûches, mais, avec Thomas DARIEL, nous avons rencontré le préfet, Henri PREVOST » rappelle le président. Heureusement, le représentant de l’Etat a saisi l’enjeu.

« Il fallait expliquer le projet et faire comprendre qu’une superficie minimale nous est indispensable » complète le designer, fort d’avoir réuni plus de trente hectares.

Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI devait rappeler que « l’enseignement, la diffusion du savoir, c’est dans les gênes de Champignelles ».

Il insiste : « Grâce à ce campus, des artisans d’excellence vont être attirés ici. D’ailleurs, la Maison Normand s’installe déjà. » Sa directrice Elisabeth LEBEGUE a sauvé l’entreprise et décidé son déménagement de Saint-Amand-en-Puisaye à Champignelles, après avoir rencontré Thomas DARIEL.

La MaNa, comme « manufacture nationale », est le nom de baptême de l’ensemble créé par celui-ci. La formation dispensée s’adresse à des professionnels diplômés, déjà actifs. Ils sont architectes, ébénistes ou autres. Ils sont attentifs aux évolutions des usages et désireux de se perfectionner.

En recherche d’évolution et d’excellence, ces professionnels veulent innover, dans le choix des matériaux comme dans celui des formes et fonctionnalités. A côté des salles de conférences, ils disposent d’espaces de travail et de production. Les programmes proposés varieront de deux à douze semaines, en résidence.

 

 

Un concept créatif unique en France…

 

« La superficie est nécessaire car les stagiaires vont avoir la possibilité de créer des maquettes à l’échelle un » précise Thomas DARIEL. Ainsi un architecte pourra construire une représentation de villa à sa taille normale. « C’est unique en France » souligne le créateur.

Les équipements du campus sont étudiés en conséquence. Dans le bâtiment central, les ateliers individuels voisinent avec une riche bibliothèque de matériaux, des plus anciens à ceux du futur. Pour le travail du métal, une ferronnerie prend place dans un bâtiment indépendant, bientôt doté de sa forge. D’autres ateliers sont répartis sur le domaine, à l’exemple de la menuiserie ou de la céramique.

Naturellement, le campus est relié au village par une voie douce. Un garage de vélos est prévu. Dans un premier temps, quinze chambres sont aménagées dans la maison de maître, avec tous les équipements nécessaires.

Le campus ainsi créé est le vaisseau amiral. Des artisans d’excellence vont s’installer dans ce lieu et alentour. Ce positionnement est à l’image de ce que le faubourg Saint-Antoine fut pour la menuiserie parisienne.

Le bouillonnement induit par la « MaNa » est précieux pour des professionnels soucieux d’échanger leurs expériences.

« La Puisaye est par tradition une terre d’excellence pour les métiers d’art » rappelle le président de la CCPF.

Créée en 1736, la Manufacture Normand est la plus ancienne manufacture de grès de France. Elle apporte son prestige, telle une perle sur la couronne en construction. Depuis sa reprise par Elisabeth LEBEGUE en 2017, elle a obtenu le label « Entreprise du Patrimoine Vivant » (EPV).

Elle fournit le Château de Versailles, pour le Hameau de la Reine. En effet, à partir d’un ancien modèle de pot répertorié par le conservateur, une fabrication nouvelle a été développée. Le grès ne gèle pas. C’est essentiel pour un usage en extérieur.

Pragmatique, le président Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI refuse de tirer des plans sur la comète. Cela ne l’empêche pas de répéter que « grâce à l’énergie de Thomas DARIEL, l’avenir de Champignelles, « Cité des Métiers d’Art », s’annonce florissant ».

 

Thierry CARABIN

 

 


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Le profil idoine est le suivant. La TPE auxerroise recherche des personnes possédant de solides expériences dans la transaction immobilière. Et cette immodérée soif de se constituer un portefeuille clientèle et de biens qui ne demandent qu’à croître. Surtout que le secteur de l’immobilier n’a pas été impacté par les effets coercitifs de la crise dans notre contrée. Trop de Franciliens voulaient quitter la capitale…

 

AUXERRE : En matière d’emploi, la filière de l’immobilier demeure une valeur sûre en cette période de marasme économique. Même si les prémices d’une future embellie se font quelque peu ressentir.

Prenez à titre d’exemple, l’Atelier de l’Immo. Une entité professionnelle qui a pignon sur rue en plein cœur d’Auxerre. La structure pilotée par Julie GENEST croule sous les demandes les plus diverses se rapportant à la transaction de biens.

Majoritairement, ces besoins émanent de prospects franciliens désireux de reverdir leur existence en province, loin des miasmes de la capitale. D’autant que la pandémie et les confinements successifs ont laissé des traces quasi indélébiles dans les esprits.

 

 

Aujourd’hui, l’agence immobilière recherche deux nouveaux collaborateurs. Objectif : occuper dès que possible les fonctions de négociateurs sur un rayon d’action qui englobe Auxerre et sa grande périphérie.

La cible devant intégrer ses futurs portefeuilles se constituerait de potentiels acquéreurs parisiens en quête de leur Eldorado en proche province. Du pain béni pour celles et ceux qui feraient acte de candidature d’autant que la demande est plutôt florissante. De plus, les postes sont à pourvoir de suite.

Pour y prétendre, il suffit juste d’avoir la fibre intérieure et de croire en sa bonne étoile pour décrocher la timbale !

 

Thierry BRET

 

 

 


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