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Officiellement, le nouvel organigramme de l’AJ Auxerre n’est pas encore ratifié. Mais, en vérité, ce n’est qu’une question de jours puisque le prochain conseil d’administration du pensionnaire de Ligue 2 est prévu à la date du 10 mai. Ce jour-là, l’actionnaire majoritaire du club bourguignon, l’industriel chinois James ZHOU succédera à Francis GRAILLE à la présidence de l’AJA. Révolution de palais ?

 

AUXERRE : Les rumeurs allaient bon train depuis quelques temps dans le microcosme footballistique auxerrois. Mais, les choses se sont accélérées à la sortie de ce week-end, synonyme au plan sportif d’une rétrogradation d’une place au classement de Ligue 2.

Sixièmes à deux longueurs du Paris FC dans la course aux play-offs (celle-ci est loin d’être terminée), les protégés de Jean-Marc FURLAN ne seront plus présidés par Francis GRAILLE.

A 66 ans, ce personnage emblématique du football français, ancien président du LOSC et éminence grise du Paris Saint-Germain, quittera officiellement ses fonctions dont il avait hérité en mai 2017 d’ici une semaine.

Pour autant, l’ancien homme d’affaires, spécialiste de la presse, continuera à agir à l’AJ Auxerre, au sein du conseil d’administration.

 

 

C’est donc l’actionnaire majoritaire du pensionnaire de Ligue 2 et président du groupe industriel spécialiste de l’emballage de produits, ORG Technology, James ZHOU qui reprend les rênes de ce club. Il a su tisser patiemment des liens ténus avec la Chine dont il est originaire.

Outre Francis GRAILLE, il se murmure aussi que Cédric DAURY, directeur sportif, pourrait lui aussi quitter ses fonctions. Réponse dès le lundi 10 mai à l’issue d’un conseil d’administration lourd de conséquences…

 

Thierry BRET

 

 


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Renforcement du lien avec le local, endiguement de la pénurie de médecins, croissance du territoire : tel est le programme de Michèle CROUZET, députée de la troisième circonscription de l’Yonne, et de son assistant parlementaire, Steve CAMPAGNE. Le binôme a annoncé sa candidature aux départementales. Leurs suppléants, Eve JANOT, conseillère municipale à Serbonnes et médecin retraitée, et André PITOU, maire de Sergines, sont bien résolus à les soutenir.

 

THORIGNY-SUR-OREUSE : Sans surprise, la députée Michèle CROUZET souhaite renouveler son mandat de conseillère départementale. Mais, sans faire équipe avec Alexandre BOUCHIER.

« Au bout d’un moment, je me suis retrouvée un peu seule à porter tout ce qui se passait au niveau local… » commente-t-elle. Notamment le projet de collège à Sergines. Un manque de collaboration et de fortes divergences politiques ont mené les deux collègues à une rupture nette. Et même si la députée ne l’évoque pas, c’est, sans doute, sans compter l’affaire de diffamation qui oppose à l’heure actuelle le maire de Saint-Denis-les-Sens et Clarisse QUENTIN à son collaborateur Steve CAMPAGNE.

Ce dernier, au caractère bien trempé et empli d’espoir, aspire à rétablir une politique sous sa forme noble, sans démagogie. Il a d’ailleurs rapidement montré les dents en prévention de propos invalidant sa candidature. L’assistant parlementaire donne également le ton de sa campagne, dite de « propositions », par un éloge continuel de Michèle CROUZET et en rhabillant au passage ses opposants pour l’hiver, notamment Julien ODOUL, le chef de file du Rassemblement National.

Plus de jeunes dans le paysage politique du département : c’est un autre mot d’ordre de Steve CAMPAGNE qui s’inquiète fortement de la moyenne d’âge très élevée des élus.  « Comment peut-on être attractif si les gens ne s’identifient pas à ceux qui nous représentent ? » s’interroge-t-il. Le candidat compte bien inverser la tendance. Nos anciens n’ont donc qu’à bien se tenir !

 

 

Rajeunir les représentants de l'hémicycle : un vrai leitmotiv…

 

Il faut néanmoins reconnaître que moins de la moitié des jeunes comptent voter aux élections de 2022 et parmi eux, 21 % pencheraient pour Marine LE PEN. « Cette classe-là est particulièrement touchée par la désillusion vis-à-vis de toutes les formations de droite comme de gauche qui se sont succédées au pouvoir » selon le politologue Jean-Yves CAMUS.

En dépit de sa fougue, l’ambassadeur d’une politique clarifiée n’en oublie pas pour autant ses autres compagnons de route qui souhaitent maintenir un travail d’équipe au-delà des élections. Steve CAMPAGNE aura donc l’occasion de mettre en pratique des principes qui lui sont chers, a priori : la loyauté et la cohésion d’équipe.

Médecin généraliste, Eve JANOT dit avoir souhaité faire partie de cette équipe en raison de son dynamisme et de son efficacité. Elle lui offre généreusement son expertise médicale. Ses préoccupations portent surtout sur la santé, à travers divers thèmes tels que l’écologie ou encore le phénomène de désertification médicale. « J’ai exercé à Saint-Denis-lès-Sens et je me suis rendue compte qu’il y avait un gros problème de pénurie de médecins traitants. Du coup, on voyait des pathologies que je n’avais jamais vues auparavant » témoigne-t-elle.

« Le territoire, c’est ce qui m’anime. Il a une vraie valeur. Il a besoin d’être porté et d’être défendu » confie André PITOU, maire de Sergines et président du SIVOM. L’élu souhaite apporter sa connaissance et son expérience du terrain à l’équipe afin de développer le nord de l’Yonne. A commencer par le projet de collège de Sergines dont il est un fervent défenseur. Par ailleurs, il en profite pour dénoncer des inégalités de traitement entre les communes par le département et des choix dont l’intérêt purement politique empêche son aboutissement.

 

Floriane BOIVIN

 

 

 


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Ce n’est pas encore le Nirvana propice aux grandes embrassades. Mais, à défaut de grives, on se contentera des merles comme le précise l’adage. Alors que le variant à l’origine britannique monopolise toutes les attentions des spécialistes du fait de sa large présence sur notre territoire (près de 90 % des cas de contamination), le nombre de personnes admises dans les centres hospitaliers de l’Yonne décroit légèrement. Enfin, le reflux ?

 

AUXERRE: Tiendrait-on enfin le bon bout, cette fois-ci, dans la gestion de la crise sanitaire à l’aune de la sacro-sainte période estivale, synonyme de départs en vacances et de retrouvailles festives jusqu’à plus soif ? On ne peut que l’espérer !

Ou du moins y croire un peu plus après l’intervention passionnante de la déléguée de l’Agence régionale de Santé (ARS) pour l’Yonne, Eve ROBERT. Invitée à venir s’exprimer lors de la conférence de presse ce lundi 03 mai tenue dans les salons de la préfecture, la jeune femme a présenté un tableau optimiste, à défaut d’être idyllique, du contexte sanitaire qui préoccupe les esprits depuis plus d’un an.

Un mot prononcé par la représentante de l’agence régionale aura résumé tout l’intérêt de cet exercice oratoire faisant office de repère : « embellie » ! Les signes avant-coureurs de ce nouvel état de fait ne se contentent pas d’être signalés, ils se corroborent à travers les exemples chiffrés qui ont parsemé ces explications.

Primo, le taux d’incidence pour cent mille habitants d’ordinaire très élevé dans notre département est de 166 à date. Seuls trois départements de la couronne francilienne (Val-de-Marne, Val d’Oise et Seine-Saint-Denis) dépassent encore allègrement le taux d’incidence, soit 400 !

Secundo : le nombre de personnes hospitalisées dans les établissements de soins icaunais régresse. Elles ne sont plus que 228 à recourir aux soins pour se sortir de cette mauvaise passe. Confirmant ainsi ce mouvement de décrue, certes sensible, mais qui redonne espoir.

 

Un recul moins progressif dans l’Yonne qu’ailleurs…

 

Toutefois, Eve ROBERT n’aura pas manqué d’insister sur le fait que l’épidémie recule moins vite dans l’Yonne que dans d’autres territoires de l’Hexagone. Cependant, la progression rapide du nombre de décès constaté en si peu de temps relativise l’ensemble de ces informations moins pessimistes. Pour mémoire, 539 décès viennent ternir le bilan de cette crise depuis ses débuts.

Si près de 1 800 personnes se soumettent volontiers à un test quotidien dans l’Yonne, précisons que le taux de positivé demeure à la hausse, affichant 10 % des cas enregistrés.

Côté réanimation, la situation reste tendue. Surtout dans le Sénonais, zone plus affectée que d’autres secteurs du département. Au total, vingt personnes y sont traitées avec moult précautions par les services hospitaliers.

Quant à l’origine du coronavirus qui circule dans le nord de la Bourgogne, elle est très majoritairement issue de sa variante britannique (une dominante à 90 %). Les souches originaires du Brésil et d’Afrique du Sud ne représentent que 3,4 % des cas, bien inférieures à ce que les scientifiques observent sur l’ensemble du territoire national.

 

Thierry BRET

 


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Le poste ne sera pas resté vacant très longtemps. Quelques jours après l’envol de son prédécesseur Tristan RIQUELME vers les Antilles, la nouvelle directrice de cabinet du préfet de l’Yonne, Marion AOUSTIN-ROTH, a pris ses fonctions le 26 avril. Elle arrive de la préfecture du Doubs où elle officiait en qualité de cheffe du bureau de la sécurité intérieure et de l’ordre public. 

AUXERRE: Il n’est pas si courant pour la préfecture de l’Yonne d’accueillir en son sein une personne passée successivement par le Centre pénitentiaire de Fresne, la Maison d’arrêt de Bois-d’Arcy et celle de Besançon ! Un parcours pourtant des plus classiques si l’on se réfère au cursus de Marion AOUSTIN-ROTH.

De formation juridique, la nouvelle directrice de cabinet du préfet de l’Yonne a en effet par la suite intégré l’Ecole Nationale d’Administration Pénitentiaire (ENAP) et fait ses classes dans le Val-de-Marne, puis dans les Yvelines, avant de diriger pendant quatre ans la Maison d’arrêt de Besançon. Depuis septembre 2018, elle avait en charge le pôle sécurité intérieure et ordre public de la préfecture du Doubs, en qualité d’attachée de liaison Intérieur/Justice.

Sa nomination dans le département ne relève pas d’un « choix subit », mais bien de la volonté de parfaire un parcours entamé en Franche-Comté : « j’aurai ainsi une vision globale de la nouvelle région en continuant à la découvrir… ».

 

Dans l’Yonne, le premier poste dans l’administration préfectorale…

 

« Plus qu’une fierté, c’est surtout une grande responsabilité ! ». Bien décidée à trouver un équilibre entre la gestion des dossiers, les urgences et la proximité avec les gens sur le terrain : « si vous n’aimez pas le contact, si vous n’aimez pas aller vers autrui, avec l’envie de comprendre, d’écouter, vous ne parvenez pas en deux ans, à vous imprégner d’un département… Vous ne pouvez pas donner des décisions et conduire des stratégies d’ordre public si vous ne visualisez pas les lieux ».

Sa feuille de route est déjà tracée : s’articulant sur des enjeux de sécurité publique au premier rang desquels bien sûr, la gestion de la pandémie et la perspective de sortie de crise, comme annoncée par Emmanuel MACRON, mais aussi la préparation des prochaines élections en juin ou la mise en œuvre de la période estivale en matière d’ordre public.

Si les derniers chiffres concernant l’accidentologie routière dans le département sont encourageants, en lien avec le confinement et le couvre-feu en vigueur, faut-il s’attendre à un retour à la hausse une fois les restrictions levées ?

Marion AOUSTIN-ROTH se refuse à une telle éventualité : « alcool, vitesse, comportements infractionnels sont une réalité pour ce département et nous resterons vigilants… ».

Cette jeune sportive de 33 ans, passionnée de trails et autres courses nature se dit par ailleurs bien décidée à en perpétuer la discipline le temps de son séjour icaunais. Nul doute que les coteaux du Chablisien ou les forêts morvandelles lui en offriront la redoutable opportunité !     

 

Dominique BERNERD

 

 


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Les pays européens prévoient l’interdiction à la vente des véhicules à propulsion thermique dès 2025 en Norvège, en 2030 pour le reste de la Scandinavie ou les Pays-Bas, en 2035 en Grande-Bretagne ou en 2040 dans l’Hexagone. Attendue pour 2025, la norme « EURO 7 » signe la fin de l’ère de l’essence et du diesel. Pourtant, ce virage technique, dixit les constructeurs, est impossible à réaliser en si peu de temps et se présente comme une catastrophe pour tout le secteur.

 

TRIBUNE: Si les voitures diesel d’occasion connaissent un franc succès compte tenu des prix de vente, les marques abandonnent peu à peu la filière.  Une course contre la montre s’est désormais engagée avec des milliards d’investissement à la clé pour répondre à la maîtrise des émissions de Co2 et à la construction de véhicules électriques et hybrides. Tout le monde réclame à la Commission européenne un ajustement du calendrier. Les courts délais sont assortis de pénalités pharaoniques pour les dépassements de Co2 fixés. Le dictat européen met à mal un secteur économique important : près de 14 millions d’emplois en Europe dont 350 000 en France. Dès 2035, l’Europe veut interdire la production des moteurs thermiques. Essence et diesel tombent à l’eau, au profit de la seule voiture électrique ?

A la décharge des autorités européennes, on ne peut pas dire que les constructeurs ont été pris au dépourvu ! Dès la fin des années 1990, les nouvelles règles étaient mises sur la table et diffusées. Les lobbyistes de l’automobile ont cru qu’ils exerceraient les pressions nécessaires à des contournements des règles édictées…

 

Les véhicules électriques, des avantages évidents pour la nature…

 

La voiture électrique ne produit pas de Co2 ou de polluants de l'air à l’utilisation. Elle offre donc de solides avantages, surtout au cœur des villes. Allons-nous tous rouler un jour à l’électricité ? Est-elle réellement le véhicule du futur ? La voiture électrique est alimentée uniquement par... de l’électricité. Elle possède un ou plusieurs moteurs électriques, équipés de batteries, et se recharge chez soi ou à l'extérieur via une borne spéciale, dans la rue, sur des parkings ou des stations-service. Il existe également des voitures hybrides, qui possèdent un moteur électrique et un moteur thermique, ainsi que des hybrides rechargeables ou plug-in. Elles peuvent se recharger en roulant.

La production des batteries, a contrario, pose de sérieux problèmes environnementaux et sociaux. On utilise de plus en plus de batteries au lithium pour les véhicules mais aussi pour leurs équipements informatiques et électroniques. Cela accroît la pression sur ce métal rare.

 

 

Le lithium – aussi surnommé or blanc – provient souvent d’Amérique latine. Sa production, très gourmande en eau, met à mal les écosystèmes et la survie des populations locales dans des zones où la sécheresse est déjà très problématique.

On ne pourra pas tous avoir une voiture électrique et rouler de la même façon qu’aujourd’hui. Il faut aussi noter que pour l’instant un véhicule électrique coûte pas moins de 30 000 euros. Précisons également que pour une voiture de moins de 45 000 euros, le bonus accordé par l’Etat s’élève à 6 000 euros. Mais, quid de la situation réelle lorsque les aides s’arrêteront ?

 

 

Les concessionnaires sont-ils vraiment en danger ?

 

Même si certains le prédisent, ils ne disparaîtront pas du paysage. Leur nombre va diminuer, à cause de la vente en ligne. Conséquence : une adaptation sera nécessaire, notamment en matière de surface. Certaines concessions ressemblent à des châteaux de verre ! La réparation et l’entretien des véhicules électriques est plus simple et va faire disparaître le bon vieux « mécano »  traditionnel. Fini le mécanicien dans les garages, que les moins de 60 ans ne peuvent pas connaître : juste à l’oreille, il identifiait l’origine de la panne…

On peut prévoir aussi que les grands groupes s’adapteront et résisteront mieux aux mutations. Il est certain que des marques disparaîtront au passage. D’autres se créeront sans doute. Mais, la réduction du carbone passe nécessairement par l’hydrogène. L’échéance est fixée à 2050 : zéro carbone pour tout le monde !

Le problème, c’est que pour produire de l’hydrogène, il faut beaucoup d’eau et d’électricité. Par contre, c’est un carburant propre. STELLANTIS fabrique déjà des camionnettes à hydrogène. Elles roulent grâce à des piles à combustible développées par la NASA. Aujourd’hui, un kilo d’hydrogène coûte dix euros. Un plein de 60 euros permet de réaliser 600 kilomètres. Le prix va aller en diminuant au fil des années. Par contre, le prix de vente de ces véhicules reste très prohibitif autour des 70 000 euros !

Un très vieux gag de l’humoriste Francis BLANCHE montrait ce dernier poussant sa voiture manifestement en panne d’essence. Sous le regard médusé du pompiste, il remplissait son réservoir avec un arrosoir rempli d’eau ! La réalité dépassera sans doute la fiction un jour. Nous ne sommes pas si loin d’un moteur transformant directement l’eau en hydrogène ! Alors s’il vous plaît, monsieur le pompiste, donnez-nous encore un peu d’essence pour les briquets et dix litres d’eau pour la voiture !

 

Jean-Paul ALLOU  

 


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