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Le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY) a décidé de rénover son parc de transformateurs situés dans différentes communes du territoire. Pour le moment, une vingtaine de ces structures ont été recouvertes de couleurs chatoyantes à l’œil pour environ 2 000 euros chacune…

 

AUXERRE : Le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY) a pour mission d’aménager et rénover les réseaux afin de les rendre plus performants. Le SDEY est un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) qui s’accompagne d’un comité départemental où y sont présents 47 élus, ainsi que des services techniques et administratifs.

Le syndicat s’appuie sur huit Commissions Locales d’Énergies (C.L.E.) qui se répartissent sur tout le département tel que C.L.E. Auxerrois-Serein, C.L.E Tonnerrois, etc.

Le SDEY met en avant l’amélioration énergétique au sein du territoire icaunais. Il participe à la distribution publique d’électricité, de gaz, éclairage public mais aussi de bornes de recharge pour les véhicules électriques. L’entité s’occupe également des domaines de la cartographie et de service d’information géographique, de la maîtrise d’énergie. Il cherche tout en respectant l’environnement, à améliorer le développement économique ainsi que la qualité de vie des habitants.

 

 

De la couleur aux quatre coins du territoire…

 

Le SDEY a décidé de rénover le parc de transformateurs qu’il possède. Ce dispositif est utilisé pour rendre l’électricité transportable sur différentes distances au sein du réseau de connexions. Il permet de perdre peu d’énergie. Souvent imposantes, ces structures ont tendance à être positionnées de manière à cacher le paysage.

Afin de rendre plus harmonieux l’environnement visuel de ces transformateurs, le SDEY met en place une opération d’embellissement de ces postes à base de stickers dans l’Yonne.

En collaboration avec le studio Xavier MORIZE, situé à Auxerre, un visuel a été imaginé avec le service de communication du SDEY.

De la couleur vive allant aux motifs voyants en jonglant avec des formes qui ne passent pas inaperçu : c’était l’idée des différents stickers prévus pour chaque transformateur afin de pouvoir attirer le regard, non seulement sur le syndicat mais aussi rendre les collectivités attractives.

 

 

Outre le fait d’améliorer le cadre de vie, l’objectif suivant était de lutter contre les incivilités telles que les tags et les graffitis qui peuvent être fait.

De ce fait, le syndicat a choisi de relooker les portes de vingt transformateurs au total qui sont répartis dans différentes communes du département : Fleury-la-Vallée, Toucy, Saint-Georges-sur-Baulche, etc. En moyenne, une journée et demie de travail est nécessaire pour rénover un transformateur ainsi qu’un budget de 2 000 euros pour chacun d’entre eux.

Pour le moment, cette initiative semble plaire aux collectivités. Le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne a déjà reçu des retours d’habitants afin de les complimenter mais aussi d’autres collectivités qui seraient intéressées pour rénover leurs transformateurs délaissés.

Un sans-faute pour cette collaboration. Devons-nous nous attendre à un retour dans les années 1960 avec ses visions un brin psychédélique ?

 

Jordane DESCHAMPS

 

 


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Une fois n’est pas coutume dit l’adage. Mais, l’univers agricole sera placé sur le devant de la scène médiatique en juin prochain. Grâce à des spots publicitaires qui inonderont les canaux cathodiques des chaînes du groupe France Télévision. Objectif : vanter l’une des filières ayant le vent en poupe en France, la CRC pour « Culture Raisonnée Contrôlée ». Précisément celle que promeuvent les coopératives 110 Bourgogne et YNOVAE sur notre territoire…

 

PARIS : La campagne s’invite à la ville. Plus exactement, la vision bucolique de champs ensemencés de cultures imprégnera de ces images les esprits curieux des téléspectateurs. Les yeux rivés sur les écrans de leurs téléviseurs, ceux-ci découvriront tout au long du mois de juin une série de clips projetant sous le feu des projecteurs la filière CRC et ses bienfaits !

De quoi ravir les dirigeants des deux importantes coopératives de notre contrée, à savoir 110 Bourgogne et YNOVAE, qui encouragent au développement de ladite filière. Eux-mêmes étant de judicieux ambassadeurs de ce concept de valorisation.

Récemment, les responsables de 110 Bourgogne ont obtenu de précieux subsides de l’Etat dans le cadre de l’appel à projet France Relance. Afin de restructurer les filières agricoles et agroalimentaires au centre de bon nombre de préoccupations gouvernementales.

 

 

 

Concrètement, nous l’avions expliqué par le biais d’un article paru dans nos colonnes, l’entité 110 Bourgogne lançait un programme de travaux visant à réhabiliter quatorze silos à grains répartis sur la Côte d’Or, la Seine-et-Marne et l’Yonne.

Au-delà du réaménagement pragmatique de ces silos se grève également la volonté de mieux rétribuer les productions des adhérents de la structure. Considérant que la filière CRC représente l’une des voix d’excellence dans sa démarche qualité, la coopérative 110 Bourgogne, à l’instar de trente-quatre autres entités similaires et plus de 3 000 agriculteurs, est devenue l’un des promoteurs de cette branche qui ne demande qu’à croître.

Gageons qu’après la diffusion de ces courts métrages, la filière CRC (elle a de beaux jours devant elle) sera mieux reconnue et identifiable par le grand public. Une filière qui produit 550 000 tonnes annuelles et représente 10 % des blés français destinés à l’alimentation humaine…

 

Thierry BRET

 


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Elle l’aime ce territoire de l’Yonne, la présidente de la Région Bourgogne-Franche-Comté ! Et ses colistiers de la liste « Notre Région par cœur » le lui rendent bien ! Tous lui accordent leur entière confiance pour la voir renouveler son bail à la tête de l’institution qu’elle gouverne avec une main ferme contenue dans un gant de velours depuis six ans. Une photo de famille où l’on retrouve des visages connus du sérail politique. A l’instar de Nicolas SORET en chef de file, d’Isabelle POIFOL ou du sortant Gilles DEMERSSEMAN…

 

AVALLON : Satisfaite de se retrouver en un si beau cadre un tantinet bucolique et patrimonial, la présidente de l’exécutif régional ? Visiblement, oui ! Elle n’était d’ailleurs pas la seule à partager cet avis, lors de la présentation officielle de la liste « Notre Région par cœur » qui pourrait peut-être, si les suffrages lui reviennent favorables, la conforter durablement dans son rôle suprême : celui de « patronne » réélue de la vénérable institution.

La candidate socialiste, originaire de Franche-Comté, ne s’est nullement sentie étrangère dans le territoire le plus septentrional de sa contrée de prédilection. Elle y a retrouvé des figures connues et reconnues qui suivent avec passion ses combats depuis tant d’années. Des silhouettes familières qui la poussent à reprendre le leadership des forces de gauche (PS, PC, PRG et société civile) pour une seconde mandature consécutive.

 

 

Fustiger la folle course des alliances trompeuses…

 

C’est dans ce positionnement fédéraliste que s’est présentée celle qui fait nourrir de grands espoirs à toute une frange de citoyens qui se reconnaissent en ses valeurs, fondées sur l’humanisme et l’écoute. Même si la lutte sera âpre au bout de compte, sachant qu’aucune élection n’est jamais gagnée d’avance…

Fédéralisme, c’est l’un des mots clé de cette réunion de campagne. Peut-être l’une des rares qui sera organisée avec la présence d’un public d’aficionados en quantité restreinte car il semblerait que ces échéances électorales proposées dans un contexte sanitaire exceptionnel se fassent sans débats. Hormis, sans doute, ceux conçus sur les réseaux sociaux. Mais, est-ce vraiment la tasse de thé en matière de communication de Marie-Guite DUFAY ?

Fustigeant la folle course aux alliances de ses adversaires (allusion à peine voilée à la liste des Républicains et à son chef de file Gilles PLATRET qui a conclu des accords avec Debout la France et un mouvement écologiste), la présidente de l’exécutif a rappelé l’identité idéologique propre à la liste qu’elle conduit : une liste de gauche, point barre !

Seul bémol pour l’élue bisontine, elle aurait voulu un rassemblement comprenant toutes les grandes composantes de la gauche, unissant socialistes, communistes, radicaux et…écologistes sous la même bannière.

Mais, rétifs, ces derniers ne se rallieront pas à son projet, préférant faire cavalier seul, du moins pour le premier tour de ces élections se déroulant en deux épisodes, les 20 et 27 juin.

 

 

 

« Les Verts désirent vivre leur radicalité, explique la présidente sortante. Puis, se voulant rassurante auprès de l’assistance, « mais les ponts ne sont pas coupés pour autant : je ne désespère pas trouver un accord de principe en vue du second tour… ».

Pourtant, se serait-elle fait un peu prier pour conduire la liste, Madame la présidente ? Ses propos surprennent les observateurs de la sphère médiatique qui assistent à sa prise de parole.

« Je n’avais pas envie d’y aller, souligne-t-elle, mais je me suis sentie une responsabilité au niveau des forces de gauche… ».

Qualifiant son bilan de réussi (« nous avons fait du bon travail » martèlera-t-elle à maintes reprises), Marie-Guite DUFAY évoqua la dure réalité de cette fusion entre ces deux régions voisines qu’étaient autrefois la Bourgogne et la Franche-Comté. Un contexte d’harmonisation difficile qui fut réalisé dans l’intérêt des habitants.

 

 

 

La Région n’a pas à rougir de ses engagements…

 

Réalisant une analyse introspective des six années de mandature écoulée, la présidente de l’exécutif passa en revue les aspects régaliens de l’organisme institutionnel. Avec ce seul credo : harmoniser davantage vers le haut !

Au-delà de la crise sociétale imprimée par les Gilets jaunes ou celle, plus dangereuse inhérente à la COVID, la Région a dû s’employer à trouver des parades efficientes mais nécessaires pour en juguler les effets désastreux sur la vie économique.  

« On a utilisé différents leviers pour développer les programmes de formation, explique l’intéressée qui revendique cette agilité et cette réactivité dans l’action. Nous avons mis en place des filets de sécurité pour protéger tous les acteurs du tourisme et de l’évènementiel mais aussi les étudiants ».

L’élue régionale rappellera en aparté comment elle a pu négocier l’achat de masques protecteurs dès les prémices de la crise pour les besoins des départements sans omettre l’anecdotique mésaventure de Bâle et de son tarmac où lui furent réquisitionnés par l’Etat lesdits masques !

Parmi les autres arguments positifs évoqués : le doublement de la rémunération des stagiaires, la création du fameux ticket de mobilité pour les salariés résidant en campagne et devant se rendre en zone urbaine pour y travailler, les gestes envers les agriculteurs dont les récoltes furent anéanties par les vagues de chaleur successives.

Reste l’emploi, parmi ces principaux items. Là aussi, la Région sous l’ère DUFAY a su se doter de nouveaux jalons qui forcément seront confortés dans le programme que la liste « Notre Région par cœur » entend bien développer en cas de réélection. C’est le cas notamment de l’hydrogène, des biotechnologies, de la métallurgie, de la mécanique, de l’horlogerie, de l’agroalimentaire.

 

 

Toutefois, la présidente n’en dira pas plus sur la stratégie à venir. Se promettant de revenir dans les huit territoires départementaux afin d’expliquer la méthodologie lui permettant d’amplifier le travail aux côtés de sa nouvelle équipe.

Une liste où se retrouvent des personnalités emblématiques de la politique départementale, à commencer par le premier d’entre eux qui ouvrira le ban en accueillant l’élue régionale, le président de la Communauté de communes du JOVINIEN et édile de Joigny, Nicolas SORET.

A 40 ans, ce dernier portera l’étendard de la gauche aux côtés de quelques indissociables partisans de cette union sacrée, gage de victoire par le passé.

Ainsi, n’est-on pas surpris de retrouver Isabelle POIFOL, ancienne adjointe à la culture de la Ville d’Auxerre sous le mandat de Guy FEREZ en seconde position, le nouvel édile d’Avallon, Jamilah HABSAOUI qui entre de plain-pied dans ces joutes régionales en quatrième de liste, le communiste et syndicaliste Patrick BLIN ou le conseiller régional sortant Gilles DEMERSSEMAN qui aimerait poursuivre l’aventure aux côtés de sa présidente. Histoire de solidifier un peu plus les liens que Marie-Guite DUFAY entretient avec l’Yonne ?

 

 

La liste « Notre Région par cœur » :

1) Nicolas SORET

2) Isabelle POIFOL,

3) Patrick BLIN,

4) Jamilah HABSAOUI,

5) Gilles DEMERSSEMAN,

6) Nathalie LABOSSE,

7) Christophe BEN ALI,

8) Sylviane TOULON,

9) José DA SILVA,

10) Béatrix ZEPPA,

11) Dominique BOURREAU,

12) Véronique CARRERE,

13) Sylvain QUOIRIN,

14) Joëlle GUYARD.

   

Thierry BRET

 

 

 

 


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La précédente version de cet outil numérique indispensable à la communication n’était pas devenue obsolète. Pire ! L’hébergeur du site communal était aux abonnés absents depuis belle lurette. D’où l’intense réflexion, entamée dès le début du semestre par la nouvelle équipe municipale. Objectif : recréer un produit 100 % newlook répondant aux besoins de la population…

 

CHEVANNES: Interactive, ergonomique et opérationnelle la version 2021 de l’espace Internet, véritable lien social et point d’information entre les habitants de la bourgade située en périphérie ouest d’Auxerre ! Tels étaient les désirs initiaux voulus par la petite cellule municipale qui a dû plancher ferme depuis le début de l’année pour en assurer un profond remodelage.  

Mise en ligne dès potron-minet ce lundi 17 mai, la variante 100 % modifiée de ce site, savamment agrémenté d’une kyrielle de renseignements pratico-pratiques et de visuels à la gloriole du village, peut donc enfin s’apprécier après plusieurs mois de circonvolutions intellectuelles et techniques.

Primo, un appel d’offres aura permis d’identifier très vite le prestataire auxerrois devant intervenir pour assurer la conception de l’ouvrage numérisé.

Secundo, une ligne budgétaire a été validée pour en régler les aspects financiers. Soit une enveloppe de quatre mille euros. Un prix qui n’a rien de prohibitif et qui se situe dans la logique des choses au niveau de la grille tarifaire lorsqu’on parle de création ou de relookage de site !

 

 

Une mise à jour régulière des informations…

 

Il est vrai que l’outil offre un maximum d’opportunités utiles pour celles et ceux qui veulent réellement s’en servir.

Possibilité de télécharger des formulaires et documents officiels inhérents à l’état civil, visualisation de six rubriques clairement définies autour de la vie et de l’actualité municipales dans ses approches les plus éclectiques, présence des bulletins communaux, mais aussi découverte des arcanes historiques de la localité : tout y est ou presque et pour le même prix en matière de consultation, c’est-à-dire entièrement gratuit !

Ce site sera réactualisé avec régularité constante une fois par mois par Patricia de SOUZA, nouvelle responsable de l’accueil et de l’état civil de la commune.  

Grâce à son arborescence résolument axée sur la plus-value visuelle (les illustrations des villageois sont les bienvenus !) et le classement catégoriel des informations, ce site devrait répondre aux attentes des villageois.

D’autant, qu’il sera également interactif et participatif, l’un des souhaits émis par l’édile Dominique CHAMBENOIT qui en a codirigé la refonte aux côtés de la première adjointe, Anna CONTANT, et de Christophe PAYMAL, le spécialiste de la communication en sa qualité de délégué.

Lors de la présentation officielle de l’outil, Dominique CHAMEBNOIT devait rappeler que « rien n’était figé, bien au contraire, et que ce site, un brin expérimental, n’attendait plus que les contributions informatives (associations, commerces, artisans, autres…) et visuelles de ses deux mille deux cents lecteurs potentiels ». Une communication qui fleure bon l’esprit de la citoyenneté ?

 

En savoir plus :

Site à consulter : chevannes-yonne.fr

 

Thierry BRET

 


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Cette fois, c’est sûr : l’équipe du MUSEO Parc entrevoit enfin le bout du tunnel ! Après avoir connu des hauts et des bas, côté humeur, tant les incertitudes et les fausses joies s’étaient accumulées au cours de ces dernières semaines. Une première fois annoncée, puis remisée sous le manteau, la réouverture du site touristique de Côte d’Or est enfin acquise pour ce mercredi 19 mai. Mais, sous certaines conditions…

 

ALISE-SAINTE-REINE : L’impatience est non feinte parmi les collaborateurs qui travaillent au succès de cette aventure entamée il y a déjà plusieurs saisons. D’ici quarante-huit heures, ce haut lieu du tourisme régional ouvrira ses portes après de longs mois de fermeture.

Une réouverture attendue par beaucoup mais qui devra se conformer aux consignes sécuritaires en vigueur, eu égard à la pandémie de la COVID-19 et à l’application stricto sensu des inévitables gestes barrières.

Dès mercredi, petits et grands auront la faculté de pouvoir s’immerger dans cet univers consacré aux Gaulois en découvrant une exposition spécifique pour les enfants dédiée à leurs habitudes alimentaires. Elle sera agrémentée de différents ateliers (cuir, argile, cuisine –décidément très en verve ! -, verrerie et mosaïque).

Une exposition temporaire sera visible jusqu’à fin juin. C’est un nouvel éclairage informatif qui expliquera que les Romains étaient amateurs, entre autres, de la chair de flamants roses ! Plus sérieusement, les férus d’archéologie auront le loisir d’apprécier une collection de pièces uniques retrouvées sur le site, théâtre de la fameuse bataille où Jules César vainquit le célèbre chef gaulois.

La technologie et la magie du 3D plongeront les visiteurs dans l’univers d’une ville antique. Un voyage virtuel insolite pour mieux s’imprégner de l’urbanisme et de la vie quotidienne des habitants de l’époque.

 

 

Des nouveautés à la pelle qui se découvriront durant tout l’été…

 

Quant à l’exposition permanente, elle ne sera pas accessible pour le moment, étant toujours en travaux. Toutefois, un espace de découverte sur l’histoire d’Alésia sera aménagé dans l’atrium afin de livrer quelques clés à la compréhension du lieu.

Côté nouveautés, signalons un jeu, décliné sous la forme d’un « escape game » baptisé la « Furie d’Alésia ».

Les participants se glisseront dans la peau d’un journaliste enquêtant sur un certain nombre d’énigmes à résoudre sur la cité gallo-romaine, mettant en scène le Gaulois EBERIUS.

Un programme alléchant de nouveautés (Festival Image Sonore, la nouvelle scénographie, organisation d’un week-end de sports antiques, spectacle de la reconstitution de la célèbre bataille…) étoffera les journées estivales. Nous y reviendrons plus en détails dans un autre article.

Enfin, pour les amoureux de la nature, profitez de votre séjour pour contempler les 35 moutons qui paissent sagement aux abords des bâtiments.

Ils sont issus de la race « romane » dont les brebis sont réputées pour être maternelles et câlines. Un clin d’œil appuyé à l’environnement que la direction met en exergue depuis des années avec une multitude de partenariats pour protéger les oiseaux, les insectes et la végétation.

 

En savoir plus :

 

Compte tenu des règles sanitaires, il est fortement conseillé de réserver sa visite à l’avance sur le site www.alesia.com ou par téléphone au 03.80.89.95.20.

Possibilité de restauration à emporter avec le restaurant Le CARNYX.

Tarif réduit durant la période de fermeture de l’exposition permanente à 6,50 euros pour les adultes et 8 euros avec la visite des vestiges.

 

Thierry BRET

 


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