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Ne serait-il pas un tantinet philosophe, le nouveau président de la JCE d’Auxerre, cette institution à l’estampille « Jeune Chambre Economique », créatrice d’incubateurs de talent ? Lors de la passation des pouvoirs avec son prédécesseur, Maud DUSSOL, Yannick ROBIERE plantera le décor dès les premières minutes de son intervention. « Les énergies du passé rencontrent les promesses de l’avenir » ! Tout un programme qui en dit déjà long sur le caractère pugnace de ce président qui veut relever les défis se présentant à lui…

 

AUXERRE : Qui ne tente rien, n’a rien ! Une antienne que beaucoup d’entre nous ne cessent de répéter à longueur de journée. Façon méthode Coué, histoire de se nourrir de motivations profondes ! Sauf qu’il serait bon d’ajouter une autre phrase à cette formule magique de l’esprit : « qui ne tente rien, n’apporte rien ! ».

C’est en préambule les propos liminaires et salvateurs tenus par un jeune trentenaire dynamique et posé, maîtrisant à la perfection l’art de la litote lors de son passage à la tribune d’ « Aux R Lab » où se déroulait la cérémonie de passation des pouvoirs de la JCE, Yannick ROBIERE !

Durant cinq minutes, le garçon a exposé de quoi serait fait son mandat 2024, après avoir succédé à l’ancienne responsable de la structure associative, Maud DUSSOL.   

« Si nous sommes ici, c’est parce que nous avons décidé de tenter et d’apporter quelque chose, renchérit l’orateur, un peu gêné par la lumière d’un projecteur mal réglé lui éclairant les yeux, la Jeune Chambre Economique est une institution qui œuvre depuis des décennies, tant à l’international qu’au niveau local. Elle forme des leaders et des citoyens engagés, qui veulent être responsables… ».

 

 

 

Les membres de la JCE ? Des optimistes exigeants et qui le revendiquent !

 

 

En l’espace de quelques mots, le jeune homme, élégamment vêtu, clarifie la position sociale de ce mouvement citoyen au service de la population, des entreprises et des collectivités. « Nous sommes les héritiers d’une longue tradition de l’excellence, d’engagements et de services. Nous avons tant besoin de rayonner auprès de la jeunesse et de les forger à devenir des incubateurs citoyens… ».

Mais qui sont-ils donc, ces jeunes femmes et jeunes hommes, cadres, dirigeants d’entreprises (si, si, déjà à leurs âges cela existe !) aux valeurs si vertueuses ? Yannick ROBIERE en donne la réponse : « Nous sommes des optimistes exigeants qui veulent améliorer l’avenir. Nous sommes un phare d’espoir et un réseau global qui transcende les frontières, les cultures et les différences… ».

Parmi les items qui trouvent grâce à leurs yeux, le développement durable, la paix, les services divers et variés à apporter à la communauté. Quant à la prospérité, elle est un droit pour tous, martèle le jeune intervenant, face à une salle comble, composée d’élus et de représentants des sphères économiques et institutionnelles.

 

 

Il faut élever plus encore nos ambitions !

 

« La JCE est une force de propositions et d’actions au service de l’intérêt général, souligne Yannick ROBIERE, nous sommes la preuve vivante que notre engagement et notre passion peuvent transformer ici même à Auxerre, notre ville et notre région ».

Pour 2024, le schéma est clair : « il faut élever encore plus nos ambitions ! ». Un président confiant et passionné qui gère idéalement bien son temps de parole. « Nous sommes comme des athlètes olympiques et nous visons l’excellence dans nos actions ! ».

La première étape se concrétisera en mars avec la réunion de l’écosystème qui gravite autour de la Jeune Chambre. Une sorte de brainstorming à la puissance dix qui ne sera pas forcément très facile à appréhender, dixit Yannick ROBIERE, « mais cela en vaudra vraiment la peine ! Aucun d’entre nous n’est plus intelligent que l’ensemble d’entre nous ».

Puis, le nouveau président énoncera quelques idées de thématiques qui seront abordées ce jour-là, à l’instar de la formation, de l’emploi, la santé, l’attractivité du territoire, etc.

Quant aux partenariats avec le tissu associatif, ils seront privilégiés par la structure auxerroise au cours de l’année. Via les valeurs de la francophonie. Mais, aussi en stimulant la synergie existante autour des talents et des passions.

« Ensemble, insiste Yannick ROBIERE, nous pouvons relever les défis les plus ardus et transformer les obstacles en opportunités… ».

Des mots qui réchauffent les âmes et qui sont employés à bon escient par le nouveau responsable qui sait pertinemment que face à lui se dressent d’innombrables défis.

Mais, aussi des perches tendues. « Saisissons-les ! Soyons les artisans du changement pour que cette année soit inoubliable… ». On en demandait pas tant ! Mais, là, pas de soucis, on est preneurs devant tant d’enthousiasme et de volonté…

 

Thierry BRET

 

 


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Il n’a pas pour habitude de se murer dans le silence le troisième vice-président de la Région Bourgogne Franche-Comté ! Surtout en si bonne compagnie ! Avec, excusez du peu, les présences de son ami de longue date – ils se connaissent depuis deux décennies -  Thibaut GUILLUY, nouveau directeur général de France Travail (ex-Pôle Emploi), Jérôme MARCHAND-ARVIER, délégué général à l’Emploi et à la Formation professionnelle ou le préfet Pascal JAN. Nicolas SORET a fait entendre la voix de l’institution régionale, très investie sur le volet de l’emploi et de la formation, lors de cette visite d’envergure nationale…

 

AVALLON : On sent une réelle complicité entre ces deux personnages ! En effet, dans des vies antérieures, ils ont cheminé côte à côte dans le Nord de la France lorsque Nicolas SORET s’intéressait de très près à l’insertion par le volet économique. D’ailleurs, le grand argentier de la Région Bourgogne Franche-Comté ne tarit pas d’éloges sur les qualités de son ami de deux décennies, un Thibaut GUILLUY, tout sourire et satisfait d’être là, dans l’agence de l’ex-Pôle Emploi locale, venu accompagné de plusieurs personnalités évoquer la préfiguration du Comité départemental pour l’emploi dans l’Yonne.

« Je dirai du directeur général de France Travail qu’il a la remise à l’emploi des publics en difficulté chevillée au corps depuis très longtemps et qu’il sait comment faire ! ».

Cela ne pouvait pas mieux démarrer pour caractériser la venue du nouvel homme providentiel de l’univers emploi et formation de l’Hexagone, accueilli avec un cérémonial très solennel, dans l’agence avallonnaise de France Travail, dirigée par le responsable du cru, M. ROY.

 

Une enveloppe annuelle de 140 millions d’euros pour la formation

 

Porte-parole de l’institution régionale dont il est l’un des rouages importants dans l’organigramme en sa qualité de numéro trois, le maire de Joigny rappela à qui voulait l’entendre que la Région apportait dans la corbeille de la mariée ses compétences obligatoires. Notamment dans le domaine de la formation.

« Ce n’est pas un vain mot, devait-il souligner, c’est le parcours personnel de la présidente Marie-Guite DUFAY qui l’a toujours traduit dans son action au quotidien… ».

Dans les chiffres, 140 millions d’euros sont mis chaque année par la Région BFC dans le volet formation. Nerf de la guerre indissociable au retour vers l’activité des demandeurs d’emploi.

« Précisons, poursuit Nicolas SORET devant le parterre de VIP très attentifs à ses propos, que notre Région investit sur ce registre beaucoup plus que les autres contrées ! Dans son budget, en nombre d’habitants, l’institution régionale met énormément de moyens sur la formation des demandeurs d’emploi… ».

Le département de l’Yonne profite naturellement de ce ruissellement régional. Rien qu’en 2023, ce sont 1 700 demandeurs d’emploi qui ont été ainsi accompagnés par les services de la Région. Un maillage de différents organismes assurant des formations, extrêmement denses dans le paysage territorial.

 

 

Des moyens importants et tricotés en lien avec les entreprises

 

Plus petite des régions hexagonales en termes de budget avant la Corse, la Bourgogne Franche-Comté est peu dense en habitants. « Ici, insiste Nicolas SORET, on gère l’espace et l’accès au service public plutôt que les hommes ! ».

Pourtant, notre région n’a pas à rougir de cet accès à la formation. Elle occupait en 2023 la seconde position nationale, juste derrière les Hauts-de-France ! Signalons que la BFC se place sur la troisième marche du podium pour l’accès à la formation reconnue comme certifiée. Un vrai cocorico que nous apportera là, le 3ème vice-président en charge des finances, du développement économique et de l’emploi.

Ravi de la mise en place de ce nouveau dispositif France Travail – « c’est une belle union reconnaît l’orateur -, la Région arrive avec des moyens importants et tricotés au plus proche du territoire en lien avec les entreprises.

« Nous nous assurons qu’il y ait une demande et nous, organisme régional, nous mettons la formation en face de la demande des entreprises, schématise le président de la CC du JOVINIEN, un vrai continuum précis entre entreprises, organismes de formation financés par la Région et demandeurs d’emploi… ».

 

Une belle expérimentation qui honore l’Yonne…

 

Autre axe de réflexion de l’institution régionale : la mobilité. Un dossier qui concerne directement la Région avec la gestion des TER et des lignes de bus mais aussi des intercommunalités. « Nous sommes en attente de la copie des PETR, ajoute Nicolas SORET, le territoire doit présenter une vision des cinq derniers kilomètres à parcourir, la Région apportant son concours pour y répondre… ».

Et le maire de Joigny de parler ensuite de la mobilité solidaire et de MOBIL ECO, structure accueillie dans la « belle ville » du centre de l’Yonne avec moult moyens.

Mais, parmi les freins du retour à l’emploi, un autre sujet pointa son nez. La garde des enfants. « 95 % des familles monoparentales peinent à faire garder leurs enfants, annonce Nicolas SORET, si l’une de ces femmes décroche un job lundi matin à la suite d’un entretien, nous n’avons pas de solutions pour faire garder leurs enfants ! ».

Quelles seraient les bonnes solutions, alors ? « Il faudrait geler des places dans les crèches, plaide l’élu de l’Yonne, une sorte de place d’urgence sur l’heure mais il faut partager le coût ! C’est pourquoi, je fais des appels du pied à la CAF et au Conseil départemental sur ce sujet… ».

Si la mobilité semble à peu près gérée, la vraie problématique pointée du doigt par Nicolas SORET se rapporte à ces gardes d’enfants, préjudiciables aux mères seules qui souhaiteraient retourner vers l’emploi. Toutefois, le maire de Joigny terminera son propos sur une note optimiste : « L’Yonne se distingue avec cette belle expérimentation ! Il faut le dire aux journalistes – tiens, tiens, serions-nous visés par nos propos ?! – il y a des choses que l’on sait faire dans notre département pour le retour à l’emploi des bénéficiaires du RSA… ».

Message reçu cinq sur cinq !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Un emploi pour tous. Ce ne serait donc pas un vain mot dans la bouche des trois interlocuteurs qui se prêtent au petit jeu de la conférence de presse, tenue ce jeudi matin dans l’une des salles de la préfecture à Auxerre. Vaste programme que celui-ci ! Il traduit l’ambition à peine voilée de France Travail, nouvelle appellation de Pôle Emploi. Il est déclinable par le Conseil départemental et l’Etat. Il est le socle qui préfigure la naissance du Comité départemental pour l’emploi dans l’Yonne. Favoriser le travail de proximité en accompagnant les demandeurs d’emploi, surtout les plus éloignés, est aussi la clé de ce dispositif mis en œuvre dès à présent…

 

AUXERRE: Imaginez un compas tenu dans la main. On trace un cercle fictif qui correspond à cinq à dix kilomètres de surface et là, on trouve de deux à trois offres potentielles de travail. Des jobs issus de l’agriculture, du commerce, de l’artisanat, de l’aide à la personne, de l’industrie. Un premier repère, indispensable pour s’orienter ensuite sur sa zone de recherche. Bien sûr, l’usager du dispositif n’agirait pas seul. Il serait accompagné par l’un ou plusieurs des différents acteurs de l’emploi dans sa quête. Directeur départemental de France Travail dans l’Yonne (ex-Pôle Emploi), Yves HUTIN, toujours très pédagogue dans ses interventions, déroule son raisonnement. A ses côtés, Sonia PIRES, directrice adjointe aux solidarités dans l’Yonne et Salia RABHI, directrice départementale DDETSPP 89, écoutent attentivement, acquiesçant de la tête.

Utile et pratico-pratique, ce petit point presse où notre consœur Floriane BOIVIN, de « L’Indépendant de l’Yonne », est au bout du fil – un souci technique la prive de la visioconférence initialement prévue, la pauvre ! – se révèle très intéressant pour bien comprendre toutes les méandres et autres subtilités de la réforme du service public de l’emploi, prétexte à un important déplacement d’envergure national vendredi dans l’Yonne, avec la visite de Thibaut GUILLY, directeur général de France Travail et du préfet de Région Franck ROBINE à Avallon.

 

Gérer toutes les problématiques de l’individu à 360 degrés !

 

Yves HUTIN – il a la parole et ne la lâche pas ! – poursuit sur sa lancée. Ce retour vers l’emploi et vers une dynamique s’appuie bien évidemment sur la mise à disposition d’un certain nombre d’outils. Dont la logique d’immersion. Une réelle plus-value où le demandeur d’emploi, parfois très éloigné du monde du travail, est plongé quelques jours durant, voire un peu plus, au cœur même de l’entreprise, histoire de tâter le terrain de l’activité.

« Une fois que l’on s’est instruit du milieu dans lequel on a été immergé, renchérit le responsable de l’ex-Pôle Emploi 89, cela conduit vers de la formation avec un conseiller afin d’obtenir le titre nécessaire… ».

Et notre interlocuteur de donner l’exemple caractéristique de la fameuse jeune femme atteinte d’un handicap, devenue la première représentante de la gent féminine à exercer à date le métier de…grutière ! Alors qu’en France, seule une vingtaine de femmes (valides) sont positionnées sur ce segment sectoriel ! Une belle reconversion pour une femme courageuse de 45 ans qui se prend de passion pour l’un des 150 métiers proposés par la filière du bâtiment.

« Il est nécessaire d’articuler les dispositifs de manière transparente, ajoute Yves HUTIN, on ne traite pas d’abord le champ social, puis le champ de l’emploi. Il faut envisager de trouver des solutions pour tous les problèmes qui se présentent à nous : le logement, la mobilité, la maîtrise linguistique, etc. Il faut une approche globale qui permette de gérer à 360 degrés toutes les problématiques des individus… ».

 

Exit le terme senior, place aux « personnes expérimentées » !

 

Les codes de l’emploi se doivent d’être de nouveau à l’appropriation des prétendants salariés. Se lever tôt le matin, être à l’heure à l’embauche, être dans le civisme et la politesse, autant d’éléments de savoir-être que les personnes en décrochage de l’emploi depuis dix à quinze ans doivent réapprendre. Bref, au-delà des techniques qui peuvent s’acquérir, il est urgent de modeler son comportement social, une garantie nécessaire d’un retour positif vers l’emploi.

Reste la sacro-sainte épine imputable aux seniors ? Réponse tout de go d’Yves HUTIN : « moi, à titre personnel, j’ai du mal avec cette appellation de senior ! ».

Puis, proposant une relecture de la sémantique : « je parlerai volontiers de personnes expérimentées ! Elles ont du savoir-vivre, des capacités à s’adapter. A nous, d’augmenter le taux d’employabilité des seniors qui est particulièrement faible dans l’Yonne comme ailleurs. Il faut enlever de l’esprit ces schémas un peu datés et valoriser l’expérience de ces personnes, grâce au tutorat, l’intelligence du geste, son expertise. C’est l’un des enjeux fondamentaux de 2024 ! ».

 

Identifier les freins à l’emploi pour mieux y remédier

 

Pour Sonia PIRES, il est important de pratiquer le co-diagnostic et la double vision, à la fois du conseiller de France Travail et du travailleur social sur le degré d’éloignement de l’emploi. Déterminer les freins à l’emploi est aussi une étape importante dans ce processus de découverte du demandeur d’emploi. Les identifier permettra au Conseil départemental et à l’Etat mais aussi à l’ensemble des partenaires ad hoc de trouver des solutions afin de gérer les problématiques de garde d’enfants, de crèches, d’assistances maternelles, etc. Les aides à la mobilité figurent aussi parmi ces critères qu’il s’agira d’analyser au mieux.

Des ateliers individuels et collectifs devraient voir le jour pour que les personnes en quête d’un job puissent  parler d’elles. « Il faut que ces personnes prennent conscience en parlant d’elles qu’elles sont encore capables d’accéder à la vie active, comme madame ou monsieur tout le monde… ».

Dans le concret, les chargés d’insertion des six unités territoriales du Conseil départemental suivent une formation par les services de France Travail dans l’aide à l’entretien et à l’accompagnement de ces publics éloignés de l’emploi. Des parcours très différenciés entre les personnes.

L’addiction, sévère facteur de risque, sera également abordée lors de cet échange. « Travailler avec des structures comme TAPAGE est important, ajoute Yves HUTIN, on va travailler avec des experts et des associations qui connaissent ces publics. Le monde associatif nous permet de réaliser ce lien. On a une vraie richesse de ces structures qui ne sont pas forcément articulées. On ne prétend pas aujourd’hui pouvoir traiter tout de manière immédiate. Le club des Entreprises qui s’engagent a un rôle à jouer avec l’illettrisme en sensibilisant les employeurs. Il faut articuler les offres de service pour que chacun puisse avoir sa part contributive… ».

Une loi et sa philosophie qui reposent sur une approche globale de l’insertion et de la réinsertion qu’elle soit professionnelle ou socio-professionnelle. Avec l’appui de France Travail et du Département, l’Etat animera dorénavant ce réseau des acteurs de l’emploi afin de créer toutes les synergies nécessaires à une mise en œuvre efficiente des politiques publiques et planifier les actions afin de les rendre les plus efficaces possibles. C’est tout ce que les demandeurs d’emplois, au RSA ou pas, désirent dans leur quotidien…

  

Thierry BRET

 


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Le nœud papillon tient toujours une place prépondérante dans le dressing code du patron du groupe SCHIEVER. Elégance dans la vêture, élégance dans le verbe ! Les habitués du réseau Entreprendre Bourgogne de l’Yonne en savent quelque chose. Eux qui se délectent chaque année du discours original les accompagnants dans la nouvelle année, celui des vœux de leur président, Vincent PICQ. Un must dans le genre oratoire qui se veut dynamique et vraiment très énergisant !

 

SENS : Décalé, le président de l’antenne icaunaise du réseau Entreprendre Bourgogne ? Certes, le charismatique responsable du groupe SCHIEVER – un des poids lourds de la grande distribution hexagonale – est toujours affublé d’un ravissant nœud papillon à chaque apparition publique ; c’est un peu sa signature vestimentaire en quelque sorte ! Raffinement et élégance quand tu nous tiens !

Mais, c’est plutôt dans la formulation de ses discours que se situe réellement le distinguo qui le place sur le seuil de la différence, vis-à-vis d’autres représentants de la sphère économique. Car, écouter un Vincent PICQ s’exprimer, c’est prendre un sacré bol d’énergie dans la face, en laissant idées noires, pessimisme et manque de confiance à la revoyure !

 

« Chaque année, je fais des vœux qui ne servent à rien ! »

 

Le ton, tout d’abord. Il est enjoué, chaleureux, convivial. Pas de monotonie lénifiante ni de discordance dans les propos. Devant un parterre représentatif de ce qui se fait de mieux dans le milieu économique du terroir – le réseau Entreprendre Bourgogne animé depuis le départ vers les étoiles de la regrettée Sophie BERNARD par la pétillante et lumineuse  Catherine GUIGNARD-MILLET – ne cesse de croître en termes d’effectifs. Pour preuve, la grande salle mise à la disposition par Pascal CHAROT au sein de sa structure professionnelle éponyme pour accueillir cette cérémonie annuelle était comble.

Le contenu de l’allocution, ensuite. Une fois la page d’histoire tournée – Vincent PICQ fait référence en quelques mots à la capitale des Sénons et à son commandant militaire Brennus qui a mis la pâtée aux soldats romains ! -, l’orateur aborde ses vœux. Présentés à l’ultime journée de janvier. Un 31 ! Comme si c’était ceux-là qu’il fallait imprimer longtemps dans toutes les mémoires !

L’humour, enfin. C’est presque dans l’ADN de notre personnage qui se veut être un trublion du verbe. « Chaque année, je fais des vœux qui ne servent à rien ! ». Prétextant qu’il souhaite le meilleur à chaque exercice à ses ouailles entrepreneuriales mais que ce n’est ni pire, ni mieux, au demeurant une fois l’exercice calendaire clôt !

 

Une bande d’entrepreneurs, bourrés de qualités…

 

Nonobstant, il y a de l’optimisme à revendre dans le discours. « Est-ce que c’est si grave si chaque année on observe son lot de crises, de guerres ou de catastrophes, s’interroge celui qui place Avallon parmi les plus belles villes de l’Hexagone, ce sera toujours comme ça… ».

Surprenant ? Sans doute, mais poursuivons. « Ce soir, vous êtes tous là parce que vous avez réussi à surmonter les obstacles. C’est ça, la bonne nouvelle : c’est que vous avez toutes les qualités pour savoir surmonter les obstacles ! ».

Pourquoi ? « Parce que vous êtes une bande d’entrepreneurs, bourrés de qualités, qui avez réussi à braver les obstacles de 2023… ».

Fidèle à sa litote décomplexée, le président du réseau Entreprendre Bourgogne répète avec insistance : « je n’ai rien à souhaiter pour 2024 puisque vous êtes pareil qu’en 2023 ! 2024 ? Vous avez l’année entre vos mains. Donc, qu’est-ce que je peux vous souhaitez de plus que vous n’ayez déjà ! Si vous êtes là ce soir, c’est parce que vous êtes tous performants, individuellement… ».

 

 

Des phrases qui font afficher de larges sourires à un auditoire sous le charme. Et conquis par une intervention oratoire, pour le moins peu ordinaire.

« Ce soir, vous souriez, c’est du bonheur, continue un Vincent PICQ qui ne sait que faire de son micro car adepte de la gestuelle scénique, vous souriez parce que vous êtes heureux et que vous avez réussi ! Malgré les difficultés et la concurrence – elle est saine sinon on n’avance pas ! -, et le côté anxiogène de la vie, vous êtes tous là, souriants ! ».

 

Partager le bonheur de créer et de réussir autour de soi !

 

S’en suivra la justification de ces sourires : « l’entreprise, vous appartient, vous vous éclatez, vous générez de l’emploi, vous réussissez… ».

Puis, Vincent PICQ demandera aux adhérents du réseau d’affaires régional de partager ce bonheur. « Vers les autres, dans l’entreprise, communiquez ce bonheur autour de vous ! Rendez heureux vos salariés ! Parce que c’est bon pour l’entreprise et la santé, ce bonheur du désir d’entreprendre doit se répandre autour de vous… ».

Philosophe, il citera même le grand VOLTAIRE, le chef d’entreprise de l’Yonne !

« J’ai deux vœux à formuler, dira-t-il en guise de conclusion, partager votre bonheur de réussir et d’accomplir avec votre entourage cela contribuera à améliorer le climat social et à le rendre meilleur, le deuxième est de prendre conscience du moment que l’on vit. Nous avons la chance d’être ensemble ce soir, des entrepreneurs heureux et ensemble… ».

Mieux que la prestation d’un consultant, d’un coach ou d’un psy ! Dites, Monsieur PICQ, est-ce que vos discours vitaminés et réconfortants à l’endroit des entrepreneurs sont remboursés par la Sécurité sociale ?! En tout cas, ils sont source d’inspiration !

 

Thierry BRET

 

 


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Pas de courant alternatif ni de basse tension pour le Syndical départemental d’Energies de l’Yonne (SDEY) qui, cette année, commémorera comme il se doit le dixième anniversaire de son existence. La date est d’ores et déjà à biffer sur les agendas des représentants institutionnels et des collectivités de l’Yonne, le 06 juin. Une célébration, accueillie à Venoy, qui sera ouverte également au milieu économique, il va de soi !

 

AUXERRE : Ca sent déjà l’effervescence à plein nez, prélude aux grands jours de festivités, dans les bureaux du Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne ! Car, cette année, on ne plaisante pas avec le calendrier : le 06 juin symbolisera la célébration des dix années d’existence de la fameuse structure institutionnelle de notre territoire. Dix ans, déjà, de présence dans le paysage icaunais, au service de la sobriété et de l’amélioration énergétique des collectivités territoriales.

Le 06 juin prochain, à la salle des fêtes des Joinchères, à Venoy, le SDEY proposera donc un évènement spécifique à cet anniversaire, dès la fin d’après-midi.

 

 

« Nous en profiterons pour faire un retour sur les dix dernières années, souligne le président de l’organisme, Jean-Noël LOURY en évoquant la probable rétrospective dates à l’appui qui pourrait être réalisée autour de cet évènement, mais surtout nous nous projetterons dans le futur en vous proposant des innovations adaptées aux besoins de notre territoire… ».

Et on le sait, au SDEY, on ne manque ni d’idées ni d’énergie !

 

Thierry BRET

 


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