Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Avant l’ultime rencontre de la saison de Ligue 2 accueillie à l’Abbé Deschamps, face à l’Athlétic Club d’Ajaccio, le coach Pablo CORREA a dévoilé la stratégie de son équipe qui sera portée sur l’offensive afin d’engranger de précieux points au classement. Pour atteindre, pourquoi pas, la dixième place d’un championnat très serré qui aura permis d’augurer de sérieuses espérances chez les Bourguignons. L’avenir se déclinera toujours aux côtés de ses joueurs pour l’entraîneur aux origines sud-américaines : son contrat venant d’être prolongé d’une saison supplémentaire par le président du club Francis GRAILLE…

AUXERRE : Un signe fort vient d’être adressé par les dirigeants du club de football de l’Yonne à ses suiveurs. La prolongation du contrat de l’actuel entraîneur, le franco-uruguayen Pablo CORREA pour une saison supplémentaire, n’a semble-t-il été qu’une formalité en règle auprès des responsables de la structure ; en premier lieu le président Francis GRAILLE.

Six mois après sa venue en territoire icaunais, le bilan de l’ex-coach de l’AS Nancy Lorraine s’avère positif après les déboires vécues lors des dix premières journées de la compétition en Ligue 2. Le club aura sauvé sa tête en se maintenant, certes, au cœur du ventre mou du championnat mais sans avoir eu à affronter les turpitudes extrêmes que peuvent connaître les structures qui ne connaissent leur salut in extremis qu’à l’ultime journée de compétition.

Septième entraîneur en autant de saisons abordées de manière consécutive en Ligue 2, Pablo CORREA demeure humble et disert dans son analyse lorsqu’il évoque cette marque de confiance accordée par ses dirigeants.

« Vous savez, pour moi, c’est quelque chose de naturel et je remercie les personnes qui m’accordent leur confiance. Je ne suis pas quelqu’un qui est inféodé à un contrat. J’aime travailler dans une dynamique de confiance réciproque et cela me sied parfaitement. Le président m’a rencontré et nous nous sommes mis d’accord avec le sentiment de partager les mêmes valeurs et des idées communes. Les choses doivent s’effectuer dans le respect d’un ordonnancement : c’est la volonté du club et je l’accepte telle quelle est… ».

Un feeling omniprésent avec les dirigeants et les joueurs…

Après la période de la découverte mutuelle est venue se greffer le temps de la confiance. Au fil du travail et des matches. Pablo CORREA l’avoue tout de go : il croit en la faisabilité de ce projet depuis le début. Il est cohérent…

« Gouverner, c’est prévoir, ajoute le coach, le président désire de la stabilité au sein de cette structure. Il est nécessaire de s’octroyer du temps pour aboutir à la légitimité de ce projet, c’est la règle dans le football… ».

Alors, le maître est-il l’homme providentiel qui assurera la remontée du club parmi l’élite ?

« Ce sont les joueurs qui détiennent la réponse, esquive-t-il avec un léger sourire, mais tous ensemble, nous y travaillons. Une accession à la division supérieure se prépare avec les dirigeants et le staff. Ici, à Auxerre, il existe une forte pression car l’attente est très forte après le glorieux passé qui a permis de construire la légende de ce club. Si nous remontons un jour, ce ne sera pas un effet de surprise ni dû au travail mais à la seule abnégation et au travail… ».

Un stage de six semaines en Espagne afin de souder le groupe…

Martelant les principes vertueux pouvant amener l’équipe première à l’obtention de cet objectif (stabilité, travail, compétence et performance), Pablo CORREA estime que désormais, avec le prolongement de son contrat et la pugnacité de ses garçons, tous les voyants se mettent au vert pour faciliter désormais cette possibilité.

Reste à passer le cap des deux dernières rencontres en championnat dont celle contre les Corses qui n »a rien d’anecdotique.

«  L’AC Ajaccio, c’est un gros client qui peut encore prétendre jouer la montée en ascension directe. Mais, face à cet adversaire de grande valeur, nous allons clore ce championnat sur la dynamique de la victoire. Ce sera de bon augure pour la saison prochaine que je commence à concevoir dans ma tête… ».

De jeunes éléments auront été intégrés sur la feuille de match au cours de ces dernières journées. Même si tout n’est pas encore parfait, Pablo CORREA se veut magnanime avec eux : « il faut savoir accepter les erreurs de cette jeunesse ; ils doivent se construire dans la victoire de manière progressive… ».

Enthousiaste comme au premier jour, le coach de l’AJA emmènera ses protégés durant six semaines en stage en Catalogne, près de Figueras dès le 23 juin. Une manière à la fois ludique, conviviale et pédagogique de renforcer les liens de ce groupe pavé de réelles intentions pour espérer dès la saison prochaine gravir de nouveaux paliers.


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Planning foncièrement axé autour de l’Europe et de ses valeurs en ce mois de mai pour les pensionnaires du lycée auxerrois, qu’ils soient élèves, enseignants et encadrants. Après la visite accordée au Parlement de Strasbourg, fin avril, les 44 ambassadeurs européens des classes de terminale ASSP (service à la personne) et de première professionnelle option cuisine ont accueilli lors d’un échange constructif et pédagogique (voir notre article à ce sujet) la députée européenne, élue sur la circonscription Est de l’hexagone, représentante du Mouvement démocrate (MODEM), Nathalie GRIESBECK. Avant de recevoir dans leurs locaux, ce jeudi 04 mai, le député Edouard MARTIN (PS et ancien syndicaliste) et de vivre intensément à l’heure européenne…

AUXERRE : L’Union européenne est à l’honneur au sein de l’établissement pédagogique auxerrois. Alors que certains célèbrent les souvenirs embués de nostalgie de « Mai 68 », la direction de l’établissement a choisi de regarder vers l’avenir, en abordant la citoyenneté européenne et les programmes pédagogiques issus du concept Erasmus, sous ses diverses variantes.

Ainsi, de nombreuses manifestations émailleront le calendrier consacré à l’Europe et à ses institutions au cours de ces prochains jours.

Abondance de députés européens pour parler d’Europe…

Après l’évaluation du label « école ambassadrice » de l’Europe avec la venue de la députée européenne Nathalie GRIESBECK le vendredi 27 avril, ayant offert la possibilité à cette dernière de pouvoir échanger avec les élèves ambassadeurs et de visiter l’exposition conçue au centre de documentation de l’établissement, le lycée Vauban s’apprête à recevoir un autre député européen cette semaine, en la personne d’Edouard MARTIN. L’ancienne figure de proue du syndicalisme lorrain avait élu sous l’étiquette du Parti socialiste lors des dernières échéances européennes.

Son immersion, le 04 mai, dans le monde lycéen lui donnera l’occasion de discuter avec les ambassadeurs juniors sur son rôle et ses fonctions, et aborder ainsi les questions européennes traitées au Parlement de Strasbourg. La visite se ponctuera par un déjeuner avec la dizaine d’ambassadeurs seniors, enseignants et encadrants du groupe scolaire.

Le 07 mai, une douzaine de jeunes gens, délégués du lycée Vauban, prendront part à une simulation de séance du Parlement européen dans l’hémicycle du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté à Dijon.

La Maison des Jumelages et de la Francophonie entre dans le jeu…

Deux jours plus tard, le mercredi 09 mai, la Maison des Jumelages, de la Francophonie et des échanges internationaux, présidée par Marité CATHERIN, interviendra au restaurant pédagogique de l’établissement auxerrois dans le cadre d’une séance de café polyglotte, proposée avec le concours des assistants de langues (anglais, allemand et espagnol) du lycée.

Enfin, à partir du 14 mai, les saveurs gustatives européennes seront à découvrir dans le restaurant d’application de l’établissement ainsi qu’au self-service où les équipes de la restauration proposeront une semaine européenne autour du goût.

Mais, la conclusion de ce « Joli mois de l’Europe » se fera par une séance cinématographique le 18 mai après-midi avec la projection d’un long-métrage, « Sami Blood », film tourné en 2017, traitant de la xénophobie dans l’Europe des années 1930. La projection sera suivie d’un débat animé par Prudence ADJANOHOUN, responsable de la communication, au sein de la Maison des Jumelages, de la Francophonie et des échanges internationaux. Le respect de l’autre et le rapprochement entre les peuples devraient susciter de très nombreuses interrogations…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le « Joli mois de l’Europe », opération pédagogique initiée par le lycée Vauban d’Auxerre auprès de ses élèves s’est décliné, entre autres, par la visite d’une délégation du parlement européen conduite par la députée en charge de la commission sur la lutte contre le terrorisme et élue de l’Est de la France, la démocrate Nathalie GRIESBECK. La conseillère générale de Moselle s’est prêtée avec aisance et subtilité au jeu d’une table ronde constructive en dialoguant ouvertement avec une trentaine de jeunes gens, issus des classes de première professionnelle en cuisine et de terminale suivant le cursus de la filière des services à la personne…

AUXERRE : En guise de préambule à cet entretien des plus insolites pour le jeune public icaunais fréquentant l’établissement auxerrois, la question suivante à laquelle il était judicieux de plancher au préalable : « que veut dire être citoyen européen dans notre société actuelle ? ».

Peut-être qu’une large majorité de cette trentaine de lycéens possédaient déjà une esquisse de réponse après leur séjour, vécu quarante-huit heures auparavant, au Parlement de Strasbourg et au mémorial d’Alsace. Rencontrant plus d’une heure durant lors d’un exercice oral la députée européenne Nathalie GRIESBECK dans leur salle de classe, les représentants de la nouvelle génération ont pu soupeser les aspects favorables ou négatifs de cette participation à l’Europe, parfois décriée par certaines formations politiques.

Etre députée européenne, un rôle de « soldat nomade »…

Invitant son jeune auditoire à venir s’immerger une fois prochaine au sein du Parlement de Bruxelles, l’élue de Lorraine débutait son propos en expliquant réellement les enjeux imputables à l’exercice de son mandat. Tout en apportant d’intéressantes précisions sur la couverture de sa zone géographique, la circonscription de l’Est, à laquelle ce maître de conférences en droit est rattaché.

« Soixante-quatorze députés européens représentent la France auprès des institutions de Strasbourg et de Bruxelles, commença-t-elle, à titre personnel, mon secteur d’intervention englobe l’Alsace, la Lorraine, la Champagne Ardennes, la Bourgogne et la Franche-Comté. Soit un total de dix-huit départements pour un peu plus de 8,5 millions d’habitants. Le deuxième député européen n’est autre qu’Arnaud DANJEAN (ce dernier était intervenu à l’automne dernier à l’invitation du député Les Républicains Guillaume LARRIVE à Auxerre dans le cadre d’une conférence dont le thème faisait la part belle à la défense et aux risques de conflit potentiels à travers la planète). Face à cette taille critique de la circonscription, je me considère telle un « soldat nomade » qui doit plaider à l’échelon européen toutes les causes dont me font part la population hétéroclite de ce vaste secteur… ».

Puis, ralliant ses explications à l’actualité immédiate du parlement, Nathalie GRIESBECK aborda un point qui interpella de longues minutes les élèves des deux classes de Vauban, écoutés attentivement par l’équipe enseignante. La lutte contre l’emploi des pesticides et la dégradation de leurs effets impactant la nature offrirent de belles possibilités d’échange aux orateurs.

L’élue se félicita, que le matin même de sa visite (le vendredi 27 avril), le conseil de l’Europe avait adopté à la majorité l’interdiction d’employer certains de ces pesticides sur les cultures. Seize pays sur les vingt-huit états membres se prononçant en faveur de cet arbitrage.

L’appartenance de la France à l’Europe : la véritable solution…

Interrogée sur la construction européenne et le couple franco-allemand, la représentante du MODEM insista sur l’impérieuse nécessité pour notre territoire de jouer les premiers rôles au sein de l’appareil exécutif. Défavorable à un nouvel élargissement des frontières, alors que divers pays frappent à la porte, Nathalie GRIESBECK penche pour une modification irrémédiable du vote des traités. « Un seul pays peut bloquer l’ensemble des décisions collégiales, ce qui n’est pas normal… ».

Quant à la position des Britanniques dans le concert européen depuis le Brexit, elle est, selon la présidente de la commission de la lutte contre le terrorisme, peu enviable et le plus souvent ambigüe.

« On s’aperçoit depuis leur prise de décision que les Britanniques ne cessent de nous solliciter mais l’Europe s’en remettra ! C’est trop tard… ».

Près de 640 accords seront d’ailleurs à renégocier avec les Anglais à l’avenir sous la houlette d’un seul et unique négociateur, le Français Michel BARNIER.

« Les Britanniques ont choisi d’emprunter la voie de la Norvège sur ce dossier de l’Europe, être ami et partenaire sans avoir réellement voix au chapitre des décisions. Forcément, ils en subiront les effets… ».

Parmi les autres thèmes évoqués entre les lycéens et la députée, l’emploi et les opportunités de stage à travers le programme Erasmus. Des pistes à privilégier selon elle pour faciliter l’intégration de cette génération au cœur de la vie économique…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Destinée à accueillir des décideurs économiques et cadres inspiré(e)s et inspirant(e)s, la structure associative, portée depuis 2017 par la spécialiste en coaching auprès des milieux professionnels Claire DOUTREMEPUICH, délocalise ses rencontres mensuelles sur la place d’Auxerre, après une première année de présence réussie en Puisaye. Un choix stratégique qui se justifie pour sa fondatrice. Cette dernière désire accroître les potentialités d’accueil et d’éclectisme de son réseau, établi sur le respect des valeurs intrinsèques d’un humanisme applicable au quotidien dans le monde du travail. La thématique initiale de ce rendez-vous alliant convivialité et réflexion, auquel participait une vingtaine de personnes, se focalisait précisément sur les moments propices à consacrer à l’entrepreneuriat…  

AUXERRE : Bénéficiant du partage d’expérience de trois entrepreneurs, soumis au jeu de l’interview par la responsable de ce réseau, les participants de cette première animation créée  par le club INSPIRATIONS dans la capitale de l’Yonne ont pu réagir à chaud sur leur propre parcours les ayant motivé à choisir le cap de l’entrepreneuriat dans leur existence professionnelle.

Des échanges nourris et passionnants sur les motivations des créateurs

Goût du risque et de l’aventure, envie d’émancipation dans ce monde complexe que l’on nomme le travail, respiration familiale, besoin de prise d’initiative et de responsabilité, refus de la hiérarchie en arguant ses velléités libertaires, sources d’enrichissement personnel et intellectuel, les motivations des uns et des autres ne manquaient pas de susciter de passionnants débats afin d’expliciter ce qui fait d’un autodidacte démuni de diplômes ou d’un ex-salarié un acteur à part entière dans la gestion d’une entreprise.

Deux heures durant, et après le tour de chauffe habituel se traduisant par une présentation succincte (une minute chrono au maximum) où chacun des représentants de cet aéropage issu du volontarisme résumait toute une vie professionnelle, les interlocuteurs de cet échange nourri et construit ont réalisé une véritable introspection sur eux-mêmes. Certes, les témoins d’un soir n’étaient pas confortablement installés sur un divan pour aborder cet exercice psychologique, mais le fait de pouvoir s’épancher en parfaite maîtrise de ses mots procurait le plus grand bien pour beaucoup !

Parmi ce public hétéroclite, tous n’étaient pas à proprement parlé des entrepreneurs aguerris. Certains allaient le devenir d’ici peu, mûrissant davantage leurs réflexions. D’autres venant de débuter leur expérience confiaient aussi leur enthousiasme. Nonobstant, les travers liés à une administration parfois délicate à appréhender apportèrent aussi leur kyrielle d’incertitudes et d’insatisfactions que les entrepreneurs se doivent de balayer d’un revers de la main dès que possible pour ne pas perdre la foi…

Deux nouvelles rencontres d’ici la fin de saison…

Vrai parcours du combattant, le cheminement de l’entrepreneur à ériger avec optimisme ses projets ne s’effectue pas sans aléas. Un chemin de croix parsemé d’embûches et de contraintes administratives qui assure en toute légitimité et une fois atteint les premiers objectifs un bonheur sans égal…

La fondatrice du réseau « Jeudi au Féminin Paris/Ile de France et Yonne » espère beaucoup de la délocalisation de sa nouvelle opportunité relationnelle à Auxerre. Claire DOUTREMEPUICH proposera d’ailleurs deux nouveaux rendez-vous thématiques avant le terme de cette saison : le jeudi 24 mai autour d’un sujet de circonstance sur l’intégration parmi un réseau de relations publiques et le jeudi 28 juin sur la connaissance approfondie du client idéal.

Deux séances gratuites et ouvertes à tous, sur simple inscription via Facebook et à vivre dans le cadre du « Latino’s del Mundo », à partir de 18h30…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Elu avec une confortable avance face aux quatre autres prétendants au poste suprême et ce, dès le premier tour de scrutin grâce aux votes des représentants du Conseil de caisse le 04 avril dernier, Bruno BLAUVAC endosse à 60 ans la vêture de président de la Caisse primaire de l’assurance maladie de l’Yonne, une institution de poids dans le paysage socio-économique de notre territoire. Issu du monde de la logistique et du transport, militant syndicaliste au sein de Force Ouvrière, le nouveau responsable de la structure succède à Paul GIRARD. Déjà membre du conseil lors de la précédente mandature, il s’installe pour une durée de quatre ans dans le fauteuil présidentiel.

AUXERRE : Faire de la représentativité auprès des instances et des organismes officiels intègre l’une des raisons d’être principales d’un président d’une Caisse primaire de l’assurance maladie. Mais, elle n’est pas la seule. L’animation du Conseil de la caisse où s’affairent lors de rencontres régulières vingt-trois personnes autour de la gouvernance de l’institution constitue un autre versant de cette mission intense et ô combien enrichissante au plan personnel.

Rodé à ces rouages techniques et protocolaires depuis quelques années, Bruno BLAUVAC possède déjà une solide expérience de ce mode opératoire, où l’écoute et la concertation prévalent afin de définir le cadre et la feuille de route idoine à la pérennité de la structure.

Procédant à sa toute première conférence de presse aux côtés de Patrick KAZANDJIAN, directeur de l’établissement et de Denis LIVET, chargé des relations avec les médias, le président fraîchement émoulu a pu ainsi s’expliquer sur sa stratégie qu’il allait adopter au cours de ces prochaines semaines. Se gardant le droit d’observer une nécessaire période d’apprentissage et d’analyse de la fonction, le temps d’un semestre, Bruno BLAUVAC a néanmoins rappelé en préambule, « qu’il était là pour que le social soit transparent par rapport aux objectifs et services fixés par la direction ».

Puis, renchérissant sur ses intentions, il devait ajouter : « On attend de moi que je fasse respecter la part sociale de la CPAM, elle le sera y compris dans l’accompagnement de tous les assurés sociaux… ».

Renforcer la volonté d’humanisation de l’établissement…

Martelant à plusieurs reprises sa totale liberté et son indépendance d’esprit dans les choix qu’il sera amené à assumer, Bruno BLAUVAC travaillera en parfaite symbiose avec la direction de l’entité et les autres composantes à la mise en place d’un plan d’actions. Parmi les priorités de cette future trame : la maîtrise des dépenses de santé, l’optimisation des services aux usagers, la dématérialisation de certaines prestations pouvant accroître la densité de services à exercer depuis le domicile. Sa mobilisation sera totale également pour promouvoir la nouvelle plateforme d’intervention départementale favorisant l’accès aux soins et à la santé (PFIDASS), opérationnelle d’ici peu dans l’Yonne.

Envisageant une refonte orientée à la baisse du rythme des rencontres du Conseil de Caisse, le nouvel homme fort de la CPAM de l’Yonne appliquera une vigilance absolue autour de la maîtrise, voire de la stabilité, de l’évolution des dépenses de fonctionnement. Pour mémoire, ces dernières s’élèvent à quatre milliards d’euros annuellement au niveau national, une somme dont la ventilation s’effectue différemment selon la typologie et les besoins des caisses départementales.

Deux autres lignes budgétaires seront également passées sous les fourches caudines du nouveau conseil au cours de la prochaine mandature : la hausse des médicaments (9,02 % d’évolution maximale autorisée pour les produits thérapeutiques prescrits par les généralistes, 2,25 % pour les ordonnances proposées par des spécialistes), mais aussi les frais occasionnés par les analyses, les appareillages, la radiologie, l’hospitalisation sans omettre le coût exponentiel des transports (3,17 % de hausse autorisée en règle générale en France mais 1,40 % pour les acheminements régionaux).

Seules ombres significatives dans le tableau de la bonne tenue des ratios au sein de la structure de l’Yonne : le nombre d’arrêts de travail et la récurrente problématique des transports. Des items singuliers dont ne manquera pas d’aborder de manière régulière Bruno BLAUVAC à chaque conseil trimestriel.

Initier davantage de communication auprès des praticiens et des assurés…

Homme de dialogue et de concertation, le nouveau président entend s’appuyer sur le plan de communication décliné à l’heure actuelle par le compte « ameli » pour sensibiliser l’ensemble des acteurs professionnels mais aussi les assurés sociaux à ces enjeux primordiaux. En outre, une campagne de flyers, ornementant les présentoirs des accès au public, complétera cette initiative.

« Beaucoup de personnes ne connaissent pas réellement les droits dont ils peuvent bénéficier en leur qualité d’assurés sociaux, explique Bruno BLAUVAC, il est indispensable de relayer le plus largement possible ces informations même vers les personnes pouvant prétendre à la CMU… ». Quant à la multiplicité des bornes digitalisées, elle se systématisera au cours de cette mandature.

Peu habitué aux exercices de prise de parole avec les médias régionaux, le natif de Valenciennes, parallèlement secrétaire général de l’Union départementale Force ouvrière de la filière transport en Bourgogne et toujours secrétaire de l’Union locale de ce même syndicat à Migennes, les développera à raison de deux à trois rendez-vous annuels selon l’importance de l’actualité. Logique, en somme pour cet homme discret et réservé : il a parfaitement réussi son premier entretien avec les journalistes…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil