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L’apaisement. Ce mot si simple à prononcer et vertueux dans sa signification est devenu un véritable leitmotiv dans sa bouche. Il s’insère très souvent dans l’entretien que le vieux sage de la politique nous a accordé. Robert BIDEAU se refuse à entretenir de quelconques polémiques qui seraient discordantes et néfastes aux intérêts de sa commune de prédilection. Coupant court derechef aux tensions actuelles qui auraient pu encore subsister…

MONETEAU : A 78 ans, l’édile de MONETEAU ne se succèdera pas à lui-même. C’est désormais une évidence. Un choix dûment mûri dont il avait déjà esquissé les contours approximatifs lors de la cérémonie des vœux de janvier 2019. Pour autant, cela ne signifiait le retrait sine die de cet exégète de la politique icaunaise.

Le Conseiller départemental a décidé de soutenir, en figurant à ses côtés, l’une de ses adjointes qui a concocté sa propre liste dans la course des prochaines échéances électorales : Arminda GUIBLAIN…Une décision qui n’a pas été prise à l’emporte-pièce. « Il était temps de passer la main… confie l’élu après quatre mandats de maire.

Plusieurs prétendants devaient par la suite s’engouffrer dans la brèche. Dont la quatrième adjointe aux affaires sociales qui a trouvé grâce par la qualité de son travail aux yeux du maire actuel. Dont également Patrick PICARD, le premier adjoint de la mandature, qui est depuis démissionnaire de sa fonction (voir notre précédent article à ce propos).

 

Pas de systématisation autour de la candidature d’un premier-adjoint…

 

C’est à partir de là que les choses se sont quelque peu gâtées dans la paisible bourgade de la périphérie auxerroise. Arguant de la théorie suivante, c’est-à-dire qu’il revenait à un premier adjoint de pouvoir légitimement se positionner un jour ou l’autre comme le candidat à la stature naturelle au poste de futur maire, Patrick PICARD, suivi par une dizaine d’élus du conseil municipal, acta sa candidature officielle. Faisant de facto dissidence avec la ligne stratégique voulue par Robert BIDEAU qui a placé tous ses espoirs en sa nouvelle égérie, Arminda GUIBLAIN.

Mais, tenir le rôle de premier adjoint avec plus ou moins de brio ne donne pas systématiquement tous les droits selon Robert BIDEAU. Ce dernier est catégorique à ce sujet : « Je ne peux pas soutenir quelqu’un, même s’il a occupé cette fonction, à la tête d’une liste municipale parce que justement il a été premier adjoint de la commune… ».

D’autant que pour corroborer ses dires, la majorité du conseil municipal a accordé son blanc-seing à l’élue en charge des affaires sociales pour que cette dernière endosse la vêture officielle de leader de la future liste des municipales, du côté de la majorité.

Un désaveu, certes, pour l’outsider Patrick PICARD, qui a parlé ouvertement de trahison malgré les années d’amitié qui le lient avec le vice-président du Département.

 

L’amitié n’est pas à remettre en cause…

 

Alors, quel est l’état des lieux précis des relations personnelles entre ces deux stratèges de la vie municipale quotidienne ?

Réponse sans ambages de Robert BIDEAU : « Nous nous sommes encore serrés la main ce matin dans les couloirs de la mairie, plaisante-t-il, il ne faut pas tout confondre et mélanger : l’amitié n’a rien à voir avec des orientations imputables à des choix déontologiques… ».

D’ailleurs, ajoute-t-il un brin goguenard, tout cela se résoudra via les électeurs dans les urnes !

Mais, reprenant son sérieux, Robert BIDEAU stipule que son choix de soutenir tel candidat au détriment d’un autre s’est fait sur la personne qui possédait, selon son intime conviction, « les meilleures capacités intellectuelles à pouvoir diriger la destinée de la commune ».

Puis, il confirme qu’il aurait aimé qu’il y ait une entente entre Arminda GUIBLAIN et Patrick PICARD afin de ne pas envenimer les choses.

Détestant les conflits, Robert BIDEAU souhaite enfin que les tensions s’atténuent et laissent la place à une campagne qui se fasse dans un bon état d’esprit.

Lui qui briguera sans aucun doute un nouveau mandat aux Départementales de 2021 aux côtés de son fidèle binôme, Malikha OUNES, laissera un bilan positif à la future équipe.

Les projets de développement sont multiples. Quant à l’endettement, il a été maîtrisé durant toutes ces années de mandature. Tout le monde ne peut pas en dire autant sur l’Auxerrois !

 

 

 


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On ne pouvait rêver de meilleur invité pour discuter de ce véritable sujet de société lundi soir à la Halle aux Grains à Toucy. Spécialiste des questions sanitaires à l’Assemblée nationale, le parlementaire Les Républicains Jean-Carles GRELIER, député de la Sarthe, effectuera le déplacement en Puisaye à l’invitation e son homologue de la première circonscription de l’Yonne, Guillaume LARRIVE. En saura-t-on davantage sur l’avenir de la santé dans nos territoires ?

TOUCY : L’ouvrage a fleuri il y a quelques jours parmi les meilleures librairies de l’Hexagone. Gageons que ce « Plaidoyer pour l’avenir de la santé », publié aux éditions du Rocher, captera l’intérêt de celles et ceux qui sont préoccupés de près ou de loin par l’évolution des soins dans notre pays.

Elu de la Sarthe, Jean-Carles GRELIER participera à une table ronde ce lundi 03 février en Puisaye dans le cadre des rencontres intellectuelles concoctées par les Ateliers de l’Yonne, laboratoire d’échanges ouvert aux élus du territoire à l’initiative de Guillaume LARRIVE, le parlementaire LR de la première circonscription.

Membre de la Commission des affaires sociales, l’intervenant du soir en provenance de Paris aura eu le temps d’analyser avant sa prise de parole l’état des lieux de la pratique des soins sur la contrée nord-bourguignonne.

Une table ronde territoriale précèdera en effet son intervention. Y participeront Pascal GOUIN, directeur du centre hospitalier d’Auxerre, Patrick BUTTNER, vice-président de la Communauté de communes de PUISAYE-FORTERRE en charge des questions de santé et le docteur Bernard CHARDON, conseiller pour la santé du président du Département, Patrick GENDRAUD.

Ce dernier, présent à cette conférence débat, donnera son ressenti personnel dans une phase introductive aux côtés de Guillaume LARRIVE, maître de cérémonie de ce concept trimestriel qui avait offert lors de la précédente session une conférence passionnante autour de la transition écologique avec Julien AUBERT.

 

 

 

 


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Ils se sont retrouvés. « Tout naturellement » explique lapidaire le communiqué de presse. Logique, après tout puisqu’ils sont issus de la même représentativité politique, celle d’un centre droit aux multiples ramifications. Pascal HENRIAT s’était arrogé le droit à la prise de recul, le temps de la réflexion. Une série de nuits blanches où il s’est longuement interrogé sur la conduite à tenir qui a porté ses fruits in fine. Et voilà l’emblématique figure du MoDem de l’Yonne propulsé à nouveau sous le feu des projecteurs médiatiques. Désormais en joker de luxe aux côtés du chef de file d’« Auxerre au Cœur », Crescent MARAULT. Avec qui il fait dorénavant alliance…

AUXERRE : C’est l’évidence même ! Pourquoi ces deux acteurs de la politique auxerroise dans sa variante centre droit n’y avaient pas pensé plus tôt ?! Que le représentant officiel du Mouvement des Démocrates dans l’Yonne vienne frapper à la porte de la tête de pont d’« Auxerre au Cœur », qui réunit en son sein des figures de la droite et du centre droit, ne représente pas en soi une réelle surprise.

Parce qu’ils auront pris le temps de la mûre réflexion, aurait répondu goguenard Monsieur de LAPALICE ! Cette convergence d’intérêts, exposée au grand jour grâce au prisme d’une conférence de presse ce vendredi 31 janvier aux alentours de midi tapante, aura donc servi de prétexte utile aux deux challengers officiels du tenant du titre (Guy FEREZ) d’expliciter dans le détail les raisons de ce rapprochement.

« Nous avons une ambition similaire, constatent-ils, seul un réveil de l’environnement économique nous permettra de proposer aux Auxerrois de meilleures conditions de vie… ».

Il est vrai que le monde de l’entreprise, Pascal HENRIAT et Crescent MARAULT, le pratiquent à bon escient au quotidien. Chacun dans sa propre sphère professionnelle. Alors, cet argument de base justifie-t-il leurs retrouvailles ?

« Ensemble, nous accompagnerons le monde de l’entreprise en encourageant les initiatives, pour faciliter la création d’emplois. D’autres villes l’ont fait, ajoute Crescent MARAULT, elles ont su démontrer que la paupérisation n’était pas une fatalité dans laquelle il fallait sombrer… ».

 

Le déclic ultime obtenu auprès des seniors !

 

Mais, cette présence de Pascal HENRIAT, est-elle si anachronique et décalée que cela ? Nullement, selon l’intéressé. Ce dernier confirme en avoir terminé avec sa cure d’austérité médiatique entamée depuis plusieurs semaines. Une disette qui lui a visiblement redonné grand appétit. Et c’est sa présence en qualité d’élu de la Ville d’Auxerre au repas de fin d’année servi aux seniors au Parc des expositions qui aura agi comme un véritable catalyseur.

Le déclic ultime pour mettre fin à ce régime pain sec et à l’eau qu’il ne souhaitait plus observer.

« Une forte demande à ma présence dans ces municipales s’est faite ce jour-là. Cela a été un excellent indicateur quant à la démarche à suivre… ».

L’adjoint aux finances qui voue une admiration sympathique à l’engagement pris par sa collègue écologique Maud NAVARRE elle-même en piste à la conquête du Graal n’ira tout de même pas jusqu’à la rejoindre de manière officielle.

Mais, qu’importe, s’il joue de nouveau un rôle d’élu dans l’appareil municipal auxerrois, Pascal HENRIAT se dit prêt à travailler avec différentes composantes dans l’intérêt de la Ville et de son agglomération.

Quelles opportunités pouvaient bien se présenter à lui en somme ? Qui lui conviennent et soient dans ses appétences politiques ? Celle de Crescent MARAULT, of course.

« Nous avons soutenu Alain JUPPE et voté en faveur d’Emmanuel MACRON lors de la présidentielle, confesse le Conseiller départemental, Crescent et moi sommes des centristes de droite. C’est ce qui nous rapproche dans nos analyses politiques… ».

Le programme (il n’a pas encore été dévoilé à l’heure actuelle) l’a pourtant séduit. Justifiant ainsi son ralliement.

 

Deux leaders en parfaite symbiose coopérative…

 

Mais, avant de se prononcer, le représentant du MoDem s’est également appuyé sur les avis de deux maîtres à penser : François BAYROU, et celui qui fut maire d’Auxerre durant quarante-quatre années, Jean-Pierre SOISSON. Leurs commentaires ont conforté Pascal HENRIAT dans ses choix.

Le centriste qui n’avait pu négocier quoi que ce soit avec Guy FEREZ il y a quelques semaines se satisfait aujourd’hui de figurer dans la future équipe qui devrait être dévoilée d’ici peu.

« Je désire apporter ma pierre à l’édifice dans la construction du projet porté par Crescent MARAULT, conclura Pascal HENRIAT, c’est une liste d’ouverture au service de l’intérêt général de la ville. Elle ne peut que l’emporter… ».

Une manière de couper court aux hypothétiques arguties qui nourriraient une guerre des chefs entre ces deux leaders, opposés à l’édile sortant.

 

 


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Il y a eu le temps d’échanges avec le président du Département, Patrick GENDRAUD. Les membres de la Commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapées (CDAPH) n’auront pas été omis des priorités en matière de discussions. Ni, et c’est une évidence, la direction de la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH) et ses partenaires où la Secrétaire d’Etat a fait étape. Quant à la rencontre avec les familles, elle garantira son lot d’émotions et de témoignages poignants : ils démontrèrent le désarroi de celles et ceux (les aidants) qui vivent le handicap au quotidien. Ne restait alors que le passage obligé auprès des médias afin de tirer les leçons de cette visite…

PERRIGNY : A l’écoute, attentive, prenant des notes, et redonnant de l’optimisme et de l’espoir à la vingtaine de personnes présentes lors de cette séquence directe en phase avec la problématique du handicap, Sophie CLUZEL aura pris le temps. Bousculant quelque peu le timing d’un après-midi de visite à la Maison départementale des personnes handicapées de l’Yonne, très serré.

En marge des diverses rencontres que la représentante du gouvernement s’était octroyée avec toutes les composantes institutionnelles, associatives et familiales ayant trait au sujet, elle s’accorda une brève pose. Histoire de répondre aux interrogations des journalistes. En voici un condensé…

 

Comment améliorer le quotidien des personnes handicapées en France ?

La certification aux droits à vie des personnes handicapées est indispensable. C’est pour cela que je réalise le tour de France des MDPH. Vous le savez, de nouveaux droits ont été octroyés depuis le 01er janvier. Ils représentent un levier supplémentaire pour alléger la charge des équipes pluridisciplinaires. Il nous faut faire confiance aux personnes, à la fois sur l’expression de leurs besoins et de leurs attentes, dans un esprit de partenariat. C’est pourquoi l’Etat a décidé de soutenir la politique du handicap qui est partagée avec les départements et les associations. Ces trois acteurs peuvent vraiment changer la donne à l’avenir s’ils opèrent dans la concertation…

Justement, alléger les charges imputables aux familles n’est-il pas le meilleur moyen pour que ces dernières soufflent un peu ?

Nous y concourons ! L’octroi à vie de l’allocation adulte handicapé à partir de l’âge de 20 ans, si le taux du handicap possède un impact important sur la vie quotidienne à hauteur de 80 %, est l’une de ses réponses favorables que nous mettons en place. Il est totalement irrespectueux de redemander un certificat médical tous les trois ans à ces familles alors que l’on sait que la situation ne peut évoluer de façon positive. Il y a aussi d’autres possibilités telles que la reconnaissance de qualité de travail adulte handicapé à vie, la carte mobilité inclusion, le premier complément d’allocation enfant pour l’éducation sur vingt ans…On va d’ailleurs allonger l’octroi des compensations à la scolarisation en s’appuyant sur des dispositifs efficaces comme ULIS ou la présence d’accompagnants sur le cycle scolaire.

 

 

Parmi les problèmes observés par les personnes handicapées, celui de la mobilité représente une réelle entrave à l’insertion professionnelle ou à la pratique d’activités de loisirs…

Effectivement. APF France Handicap a publié un sondage pour connaître le ressenti de ces personnes. C’est vrai que le problème de la mobilité reste entier. Il nous faut donc travailler sur le cheminement, le parcours, la qualité d’usage de ce parcours. Par exemple, un arrêt de bus peut être accessible mais le cheminement pour y parvenir ne l’est pas. Nous sommes dans une vision très cloisonnée dans cette possibilité de circuler en totale liberté

Quelles sont les possibilités offertes aux aidants lorsqu’ils ont envie de faire une pause, et de s’accorder un temps de répit…

Le gouvernement prend en compte dans sa stratégie sur laquelle il travaille en direction des aidants cet aspect de leur quotidien. En complémentarité avec l’action d’Agnès BUZYN, nous étudions diverses pistes de solutions de répit pour soulager les aidants. Un service d’accompagnement qui exerce son activité en totale confiance avec les personnes vient à domicile pour se substituer le temps d’un week-end à la famille. Cette méthode qui se nomme le relayage ou le balluchonnage nous vient du Canada.

Il nous faut également identifier les solutions de répit qui existent et qui ne sont pas encore connues de toutes les associations gestionnaires. C’est l’un des enjeux du numéro unique que nous avons créé, afin de recenser le nombre de place d’accueil disponibles.

Face à la sacro-sainte lenteur administrative qui perdure en France, comment accélérer les processus ?

Il est clair que les équipes de la MDPH doivent pouvoir travailler de manière plus rapide quand elles ont de nouveaux dossiers en instance. On est à la fois dans cette injonction contradictoire où l’on doit faire du sur-mesure et répondre aux demandes urgentes. L’Etat, service facilitateur, est là précisément aujourd’hui pour montrer sa mobilisation. Et apporter son aide aux associations gestionnaires et au département. C’est tous ensemble que nous améliorerons le processus en simplifiant les choses, en les rendant plus souples et opérationnelles, et surtout en faisant changer le regard que l’on peut porter sur les personnes handicapées, notamment sur le sujet de l’employabilité…

Ambassadrice de cette démarche qui doit se construire et se partager avec le concours des Conseils départementaux, Sophie CLUZEL rappela en guise de conclusion à cet entretien que vingt-cinq millions d’euros venaient d’être alloués à l’harmonisation du système informatique des MDPH au plan national. Comblant ainsi un retard vieux d’une douzaine d’années !

Déployé avec la Caisse nationale de solidarité et d’autonomie, et en appui des besoins des MDPH, l’outil numérique tel, utilisé dans l’Yonne, devrait améliorer les choses à l’avenir, représentant une bonne méthode gérée en coresponsabilité.

 


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Elle incarne le renouveau politique sur l’Auxerrois. N’étant inféodée à aucune coterie traditionnelle. Sans appartenance enracinée de longue date au sein d’un parti, ni affublée d’une quelconque étiquette à lui coller dans le dos. Bref : c’est éprise d’une liberté totale tant dans la parole donnée que dans les actes à accomplir que Florence LOURY, digne ambassadrice des valeurs véhiculées par la société civile, souhaite donner du grain à moudre à toutes celles et ceux qui se retrouvent en elle. Pour la prise de responsabilités à l’aide des suffrages qui soient favorables au mieux-être des citoyens…

AUXERRE : Déterminée. Mais, aussi consciente de l’enjeu des responsabilités qui l’attendent si le chemin l’amène à bon port. Florence LOURY ne fera en aucun cas machine arrière.

Sa décision est mûrie de longue date. Depuis le mois de juin, période où elle décide de s’engager davantage sur cette voie constructive après avoir collaboré avec Denis ROYCOURT à la réussite des RADD, les Rencontres Auxerroises du développement durable.

Sa connaissance avec la figure emblématique (et historique) de l’écologie locale remonte aux Marches pour le climat. Un évènement qui l’a profondément marqué.

Ensemble, ils ont impulsé la création de cette liste « Auxerre Ecologie » qui nourrit de réels espoirs quant au résultat final. Pourtant, de sensibilité écologiste et sociale, cette professeur d’éducation physique et sportive au collège Paul Bert ne sort pas d’un écrin purement politique.

« Je n’ai pas d’étiquette de parti, concède-t-elle, je ne revendique qu’une seule chose : ma liberté ! ».

Sa substance intellectuelle, elle s’en nourrit parmi les strates de la société civile dont elle se réclame. Même si l’attachement à la sauvegarde environnementale lui est chevillée au corps.

« J’ai conscience de la fracture sociale. Au quotidien, dans ma vie, autour de moi, dans mon travail. J’en suis témoin. Je constate également que la crise environnementale a atteint un degré de gravité inéluctable. Chaque jour, je pratique l’inclusion de tous qu’il s’agisse d’enfants issus de tous les milieux sociaux, mais aussi de jeunes en situation de handicap, en difficulté, exilés. Je dialogue avec les parents et je les entends… ».

 

 

Porteuse d’un programme qui suscite de l’espoir et du changement…

 

Son engagement dans cette bataille électorale, elle le doit à cette jeunesse en déshérence qui interpelle. Mère et citoyenne, avant toute autre chose. Révoltée par ce qui nous environne. Florence LOURY n’a eu d’autres choix que de prendre ses responsabilités en s’impliquant localement pour l’avenir de ces enfants. De nos enfants…

« Candidate à la fonction de maire de ma ville est une très lourde charge mais ma détermination est totale. Notre liste, « Auxerre Ecologie », doit mettre en place des solutions pour lutter contre la crise sociale et environnementale qui nous menace… ».

Son credo : proposer aux Auxerrois un programme synonyme d’espoir. En le partageant, avec ses colistiers, mais aussi avec Denis ROYCOURT qui s’est effacé de la conquête légitime du fauteuil de maire pour mieux se consacrer à la présidence de l’Agglomération en cas de victoire de la liste.

Une dualité qui fait mouche auprès des partisans de la liste écologique et qui la distingue des autres prétendants au sésame suprême.

Chez « Auxerre Ecologie », volontairement, on a pris soin de ne pas courir après deux lièvres à la fois !

Un argument qui pourrait renforcer le sérieux et la crédibilité de cette double candidature sur le même ticket. Et si c’était cela la « botte de Nevers » redoutable pour contrecarrer les pronostics actuels qui circulent dans le microcosme auxerrois ?

 

 


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