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Notre démocratie est en danger. Tout le monde en parle depuis longtemps et ce phénomène ne concerne pas uniquement la France. La défiance des électeurs vis-à-vis de la classe politique accélère l’abstention, c’est bien connu. Mais la méfiance des élus vis-à-vis de leur propre fonction se fait aussi ressentir. Nombreux sont les maires qui ne veulent plus se représenter. 10 % de la population ne sont pas inscrits sur les listes électorales ! Si on ajoute le poids des abstentionnistes dans ce paysage, même le président de la République ne serait plus représentatif de la majorité des français. Si tel était le cas, notre pays deviendrait alors de plus en plus ingouvernable…

TRIBUNE : L’abstention est la phase la plus aboutie de la contestation du pouvoir. Récemment, la Suisse, la Colombie-Britannique, l’Irlande ou l’Islande ont dû faire face à ce phénomène contagieux à travers la planète en pratiquant le tirage au sort. Un mode opératoire servant à désigner certains de leurs responsables.

Le tirage au sort, c’est la forme originelle de la démocratie. A partir du VIème siècle avant J.C., la Grèce opte pour ce principe afin de nommer ses hommes politiques et ceux qui rendent la justice (la première forme des jurys d’assises).

Périclès accentue cette réforme participative des citoyens en attribuant des indemnités aux participants (temps passé, coûts des distances à parcourir, salaires perdus…).

Montesquieu dans « L’Esprit des Lois » ouvre une réflexion sur le tirage au sort : « Le suffrage par le sort est de la nature de la démocratie, le suffrage par le choix est de celle de l’aristocratie… ».

Dès 1789, nos braves révolutionnaires crient « à bas la calotte », rejettent la fraternité, trop empreinte des valeurs chrétiennes, et excluent le peuple des fonctions électives. Il faut des compétences reconnues pour être élu !

Il nous reste donc la liberté. Oui, mais pour qui ? Il faut reconnaître que nous sommes passés à une monarchie constitutionnelle dès 1789. Nos révolutionnaires mettent alors en place les jurys populaires aux tribunaux d’Assises.

Hélas, notre République a gardé le régime de Vichy : c’est-à-dire qu’elle a imposé au peuple la présence de magistrats. L’Etat musèle donc le peuple ! Le référendum est certainement une belle expression de la volonté populaire. A contrario, du RIC (Référendum d’initiatives populaire depuis 2008) où les élus sont beaucoup trop présents pour le choix des thèmes soumis aux citoyens.

 

Le cas très particulier de la Belgique, fonctionnelle sans gouvernement !

 

Mais, il y a encore plus fort que le tirage au sort : c’est l’absence de gouvernement ! En 2011, la Belgique s’offre le luxe d’un pays sans équipe gouvernementale : cette situation va durer 541 jours !

Malgré quelques manifestions contestataires, dites des « moules-frites », nos amis belges sont devenus philosophes : « Avec ou sans gouvernement, quelle différence ? ».

Depuis 2018, c’est un bis repetita perpétuel : les Belges n’ont toujours pas de gouvernement ! Est-ce pour autant que cela va plutôt mal pour eux ? Non bien sûr, les plus provocateurs vont jusqu’à dire : « la situation se présente sous de meilleurs auspices qu’auparavant ! ».

Notons que le vote par tirage au sort mobilise peu à peu les énergies intellectuelles. Aujourd’hui, des politiques, des philosophes, des sociologues s’intéressent à ce sujet autour de son schéma applicatif, de ses avantages et contraintes…

Imaginez les économies : plus de frais de campagne électorale, de sondages et le calme revenu, enfin, sur les plateaux de télévision ! Ce serait le terme des « fake news » politiques. Et de la prégnance du chronomètre sur ce type de rendez-vous télévisé !

C’est-à-dire que les journalistes qui interviennent lors des débats organisés pour les présidentielles, serviraient à autre chose qu’à simplement mesurer le temps de parole de chaque participant !

Même si les journalistes vont avoir peur de la fin des élections, ils auraient toujours la possibilité de se rabattre sur les vrais problèmes sociétaux des Français : le travail, la précarité, la pauvreté, la misère, l’écologie…

Mais si tout citoyen peut être élu demain, ne serait-ce pas ouvrir la boîte à Pandore et conforter aux postes clés de purs amateurs ?

Ne soyons pas méprisants vis-à-vis de ces derniers qui seraient issus de la société civile ! Rappelons qu’en football, par exemple la Coupe de France, les amateurs font parfois beaucoup mieux que les professionnels.

Suivons pour une fois les consignes récentes exprimées par le président Emmanuel MACRON, haranguant à ses troupes : « N’ayez pas peur d’être des amateurs ! ».

Alors, debout les amateurs, et soyez prêts à vous en remettre au hasard du tirage au sort électoral pour le bien de la Nation !

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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La mesure a tout l’air de se muer en une indigestion sévère pour les candidats de la liste de rassemblement écologiste, sociale et citoyenne, lancée à la conquête de la capitale de l’Yonne. C’est au cours de leur assemblée générale, ce samedi, que les colistiers du ticket Florence LOURY/Denis ROYCOURT, ont appris la décision de ce passage en force constitutionnel qui émane du Premier ministre Edouard PHILIPPE. Provoquant la colère de ces derniers…

AUXERRE : Haro sur les décisions prises par le chef du gouvernement, Edouard PHILIPPE, à propos de la réforme des retraites ! Réunis en assemblée générale ce samedi  dans la capitale de l’Yonne, les candidats de la liste de rassemblement écologiste, sociale et citoyenne, « Auxerre Ecologie La Ville envie », n’ont pas tardé à prendre position face à l’usage prévisible du « 49.3 » voulu par l’exécutif étatique pour entériner le projet de loi de réforme du système de retraite.

La réaction contre cette initiative est sans appel. Dans un communiqué de presse, adressé le 01er mars à l’ensemble des rédactions, les colistiers du tandem Florence LOURY et Denis ROYCOURT expriment en effet leur profond désappointement contre l’usage de cet article, pourtant prévu par la Constitution.

La liste « Auxerre Ecologie » se dit très attachée à la défense d’un système de retraite par répartition et rejette sine die le mode opératoire envisagée par points.

« Aux côtés des forces politiques de gauche, les syndicats et les citoyens, les écologistes veulent empêcher le recul de la civilisation… ».

Et de rappeler que 67 % de nos compatriotes refusent de voir disparaître eux-aussi le système de retraite actuel, mis en place en 1947 en application du programme du Conseil national de la Résistance.

 

Des explications publiques, claires et précises, sont souhaitées…

 

Les candidats d’Auxerre Ecologie profitent de ce courroux pour demander des comptes à l’édile en place. En exigeant de Guy FEREZ, des explications claires et concises sur ce dossier, tout en assumant clairement sa position en faveur de la gouvernance.

« S’il ne s’est jamais prononcé publiquement pour ce projet de réforme des retraites, précise le communiqué, le maire d’Auxerre ne s’est jamais manifesté contre son application… ».

Une requête qui concerne aussi le candidat de la droite et du centre, Crescent MARAULT mais aussi l’ensemble des prétendants qui briguent le fauteuil de maire au soir du 22 mars.

 

 

 

 

 


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« Celui qui avance avec confiance dans la direction de ses rêves connaîtra un succès inattendu dans la vie ordinaire… ». Cette citation est extraite du fameux film « Le Cercle des poètes disparus ». La confiance en soi, ce « Graal » pourvoyeur de multiples créations de ses ambitions est légitime dans une intimité consciente de ses facultés. C'est être affilié tout bonnement à un positionnement de se fier à soi Mais, pas à n’importe quelles conditions...

TRIBUNE : D'un point de vue global, la confiance en soi se joue sur plusieurs pôles d'actions et différents paramètres mais elle est interne. Elle est de nature psychologique très terre-à-terre, ancrée le plus souvent dans des racines reliées à des schémas familiaux. Mais, elle est également sous-jacente à des connections plurielles émanant de différents partenaires dans un cadre privé et professionnel.

Selon un angle plus personnel, la confiance en soi est un état de conscience à l’envie profonde d'être en cohérence avec son être. La confiance est l'engouement des sens à la joie et au bien-être. Elle est le vecteur commun à la justesse de réalisation dans tous les domaines de la vie en termes d'affect ou professionnels.  Elle est le guerrier aguerri à engendrer et à profiler de bon choix.

Se familiariser à cet « archétype » n'est pas une option car la dynamique au succès découlera de ce sentiment pour élaborer, peaufiner et concrétiser dans la matière tout type de projet en toute sécurité et sérénité.

A l'aborder dans une approche quotidienne, la confiance en soi se saborde souvent  par des doutes. Elle est vallonnée de soubresauts à la satisfaction, et de bas par un moral en stand-by. Mon beau miroir en toute objectivité projette un côté pile à la réussite ou face à la peur de l'échec. C'est un reflet et une projection qui se transfèrent entre son mental et soi. Conserver cet état d'être tend vers une divergence d'une ascension certaine.

Cette dualité peut s'aborder et contrecarrer des projets. Elle s’immisce très souvent dans l’anxiété et la défiance face à un environnement qui sollicite de plus en plus de témérité et d'assurance face à des objectifs de plus en plus lourds.

Justement, à donner une image à ce pirate qui vient à l'abordage de notre épanouissement personnel, cet importun est le parasite qui vient infiltrer cette plénitude…

 

Transgresser ses propres restrictions et adopter des actions cohérentes…

 

Bien sûr, consulter des revues et des livres sur le développement personnel rayonnent de bonnes vibrations dans ce moment présent. Mais au final, le hic à la résistance sera insistant.

C'est pourquoi dans un premier temps, toute personne qui est régit par ce « mal-être » se doit d’identifier la cause de cette « infidélité » à cette sécurité. Le dénominateur commun envers ces maux à différentes origines.

Depuis le ventre de sa maman à sa petite enfance ou un choc inconscient. A chacun d'identifier l'élément perturbateur, car il y en a un. La source du manque de confiance est le facteur pertinent et déterminant pour défier et conquérir ce « nuisible » trop envahissant.

Dans une approche plus spirituelle, la confiance en soi c'est émerger de ses silences, se prendre en considération et se positionner clairement par rapport à ses propres désirs et ambitions. C’est autoriser à transgresser ses propres restrictions et à lancer des actions cohérentes en conformité à son intériorité.

Dans cette ascension à la vie, quelles magnifiques démarches de souscrire à tous ses potentiels et de croire au tout est possible. C'est un chemin initiatique à la Compostelle où la seule finalité est la foi en soi. Un cheminement où la force résonne à la seule pensée : la pugnacité !

La confiance en soi a cette vertu d'être audacieuse, ferme et intègre. Son propre héritage personnel à faire prospérer et à le challenger, est d’appuyer sur le curseur « je suis ce que je suis et je mérite... ». Complaisante à l'espoir et au croire, la confiance est l'alliance qui relie tous ses choix pour soi.

Oscar WILDE traduit cet engagement et cet engouement entre son cœur, son âme et son esprit, son « soi-même », toutes les autres personnalités sont déjà prises… 

Lyvia ROBERT

 


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Le développement durable dans la diversité. La phrase est loin d’être anodine à sa première lecture puisqu’elle est le credo du CIRADE, le Cercle Ivoirien de réflexion et d’action pour le développement. Accompagné d’une petite délégation de cadres, son président, Honorable Mamadou DIOMANDE, député de son état dans le pays du cacao, a fait une halte instructive ce mercredi 26 février dans la capitale de l’Yonne. La cause de ce déplacement n’était autre que sa rencontre officielle avec Jacques HOJLO, l’homme providentiel du logement social à Auxerre (OAH) mais aussi président international de l’association Habitat et Francophonie…

AUXERRE : Même si ce rendez-vous à consonance internationale s’est tenu dans l’une des salles de travail de l’Office Auxerrois de l’Habitat, c’est bel et bien d’amitié et de solidarité entre les peuples à travers le prisme des échanges courtois qui nourrissent les relations interétatiques dont il a été question en cette fin de matinée du 26 février entre les ressortissants ivoiriens et leurs hôtes français.

Une prise de connaissance informelle et utile, loin des falbalas officiels mais qui n’en aura été que plus constructive au moment de se séparer.

Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que des délégations africaines, en provenance de Côte d’Ivoire, font étape dans la ville symbolisée par son emblématique club de football. D’ailleurs, le patronyme du plus célèbre d’entre eux ayant revêtu la fameuse parure sportive blanche et bleue de l’AJA, Bonaventure KALOU, devait circuler durant les préambules de cette session de travail, fort prometteuse quant à ses perspectives.

Ne pas évoquer le club sportif cher à Guy ROUX lors d’un échange intercontinental serait faire offense à la tradition !

Nonobstant, la discussion qui anima ensuite les échanges entre Jacques HOJLO,  celui-ci endossa pour la circonstance sa vêture de responsable mondial de l’association Habitat et Francophonie, et le député de Côte d’Ivoire, Honorable Mamadou DIOMANDE, en sa qualité de président du CIRADE, s’orienta autour d’items relatifs à la solidarité, l’entraide et l’éducation. Sans omettre, mais cela résultait d’une évidence légitime, celui du logement « abordable ».

Organisation non gouvernementale et apolitique qui intervient dans le pays des éléphants, CIRADE a fait le pari de ne pas transcender les divergences dans une contrée où les stigmates d’un conflit inter-ethnique sanglant ont laissé des traces profondes parmi la population. Mais, aujourd’hui, l’heure est au rassemblement. Grâce à ce type d’initiative, menée localement avec les aides et les soutiens de partenaires issus de la francophonie.

 

 

Un leitmotiv avoué : la réconciliation inter-ethnique

 

Homme politique prônant la carte de l’intégrité (il finance de ses propres deniers l’édification d’établissements scolaires dans l’une des régions ivoiriennes où il assure sa députation), Honorable Mamadou DIOMANDE travaille à l’ancrage territorial de sa jeune structure, portée sur les fonts baptismaux il y a un an à peine.

A brève échéance, CIRADE bénéficiera d’une présence physique afin d’en faciliter la coordination nationale dans l’une des trente-et-une provinces que compte le pays, bordé par l’Atlantique.

 

 

« Notre objectif dans notre mode opératoire est d’être présent dans tous les cantons du pays et de faire montre de proximité afin d’épauler toutes les personnes dans le besoin qui échappent encore au cadre organique de l’Etat par méconnaissance ou ignorance… ».

Priorité sera ainsi faite à l’éducation, la formation, l’entrepreneuriat mais aussi à la santé. Le plan de bataille contre la paupérisation et la précarité mené par le Cercle Ivoirien de réflexion d’action pour le développement démarre sous d’excellents auspices. Ceux de la félicité, visiblement.

 

Vers une probable convention de partenariat à parapher à brève échéance…

 

Attentif aux explications fournies par le dirigeant africain, Jacques HOJLO, aidé de son aide-camp en charge du secrétariat général de la structure, Prudence ADJANOHOUN, précisa tout de go qu’il se situait sur la même longueur d’ondes que son éminent collègue politique, tant au plan humaniste que social.

Il se lança ensuite dans un long soliloque lui permettant de détailler exemples à l’appui les axes de travail de l’association « Habitat et Francophonie », présente aujourd’hui dans une quinzaine de pays.

L’élu auxerrois en charge du logement et de la politique de la ville aborda également le poids de l’importante diaspora ivoirienne, très représentative dans l’Yonne à travers le président de « Lune Afrique », Dieusmonde TADET.

Ayant beaucoup travaillé dans le domaine de l’alphabétisation des publics féminins, celui-ci pourrait initier et stimuler des réseaux de compétences prépondérants au développement de ce projet solidaire qui se profile dorénavant entre les deux pays.

Disposant d’un vivier de plus de mille contacts répertoriés dans le monde francophone et reconnu par une multitude de gouvernements, Habitat et Francophonie se dit favorable à l’intégration parmi son cercle opérationnel du CIRADE de Côte d’Ivoire.

Une porte grande ouverte qui provoqua le satisfecit immédiat du député DIOMANDE. Avec sans doute, à la clé et à brève échéance, les perspectives d’une convention de partenariat bipartite qui pourrait être envisagée et signée sans doute à Auxerre. Une idée qui aura également séduit les deux autres élus de la Ville, présents à cette réunion, Jean-Claude MAHPOUYAS, et Yves BIRON.

 

 


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L’opus trône en plusieurs exemplaires sur la grande table qui accueillera d’ici peu la réunion. Sur sa couverture, se présente le visage tout sourire du candidat quadragénaire à la ville d’Auxerre. En arrière-plan : une Tour de l’Horloge à la vision symbolique. Le contenu, élaboré en vingt-quatre pages, déroule une multitude d’informations illustrées selon un sens graphique moderne et aéré. La double page centrale ne manque pas de focaliser les esprits. Y sont répertoriés les trente-neuf membres de l’équipe avec leurs portraits. Une iconographie originale, qui casse les codes photographiques habituels, à l’instar de ce programme ?

AUXERRE : « Soyons fiers d’Auxerre ». Fruit d’un travail de près de vingt-quatre mois de réflexions, la feuille de route du candidat rassembleur de la droite et du centre Crescent MARAULT se dévoile sous la forme d’un document à l’esthétisme plutôt abouti.

Ce livret récapitulatif des orientations stratégiques du principal opposant à l’édile en place a pour vocation d’être copieusement diffusé. Cela sera chose effective dès vendredi.

Au-delà de sa calligraphie et de l’abondance de photographies qui le parsème, l’auxiliaire en papier glacé n’a d’autre vocation que d’étayer la ligne d’horizon à six ans du prétendant au poste suprême.  

L’éditorial signé de la plume du candidat pose les jalons de sa politique sans vergogne. Et caractérise ses principales ambitions : sortir la capitale de l’Yonne du long marasme qui l’habite depuis si longtemps, selon ses écrits. Soit le renfort de la paupérisation, la perte de plusieurs milliers de ses résidents et le déclin de sa force économique.

« Dix-neuf ans à la gouvernance, c’est beaucoup trop long, plaisante presque innocemment un Pascal HENRIAT en grande verve et qui affichera sa constance orale tout au long de cet exercice si particulier que représente une conférence de presse.    

Pas de doute, la cible ouverte de ces énumérations alarmistes se personnifie clairement en un Guy FEREZ, édile aux trois mandats, aux manettes depuis le 25 mars 2001.

Pour écrire une nouvelle page de l’histoire d’Auxerre, il n’existe qu’une seule opportunité, dixit le candidat chalenger : porter sur le piédestal électoraliste une équipe novatrice, faite de compétences et possédant une véritable vision d’avenir. D’ailleurs, au plan de la sémantique, il n’est pas opportun d’employer le mot « liste » dans le sérail. Mais plutôt le terme « ambassadeur », louable, puisqu’il désigne celles et ceux qui se sont investis au fil des mois pour collecter les informations et insuffler la dynamique requise à ce groupe.

 

 

Un programme d’actions articulé en six actes…

 

Le programme se séquence en différents actes. Comme une scénographie théâtrale qui serait déjà bien huilée : économie, environnement, mobilité, aménagement, sécurité, bien-vivre ensemble…

Six actes pour convaincre avant que ne tombe le rideau de la générale au soir du 15 mars.

Cœur de ville, contournement sud de la ville, mobilité intelligente, transports urbains répondant aux réelles aspirations des utilisateurs : le mot d’ordre dans la bouche de Crescent MARAULT se nomme la transversalité.

« Huit millions d’euros sont dépensés pour le coût de fonctionnement du transport urbain aujourd’hui alors que celui-ci n’apporte pas la diversité nécessaire à celles et à ceux qui travaillent au quotidien, lâche le candidat, il nous faut une vision globale aux projets à décliner, une capacité d’anticipation qui doit être propre à l’élu qui exerce la gouvernance de la ville… ».

Ce qui ne serait pas, visiblement, le cas aujourd’hui d’après lui.

« Comment peut-on croire que la construction d’un nouveau parking, situé dans l’hyper centre, peut à lui seul sauver du mauvais pas notre centre-ville, s’interroge le challenger à l’élection, revisiter la gouvernance de notre agglomération s’impose comme une évidence aujourd’hui : elle doit être plus collective et conçue avec davantage de concertation… ».

Autre volet de préoccupation : la sécurité. Devant la prolifération des actes d’incivilités, Crescent MARAULT veut répondre par une hausse des moyens. Y compris humains. Mais, recruter des policiers municipaux supplémentaires semble être une sinécure : faute de candidats intéressés manifestement par la fonction !

Pascal HENRIAT livrer ensuite son analyse pertinente de la situation financière d’une collectivité qui s’est néanmoins désendettée depuis 2014. Malgré la perte d’une coquette enveloppe de dotations, évaluée à 9,6 millions d’euros.

« C’est vrai, observe l’actuel adjoint en charge des finances de la mandature FEREZ, la barre a été redressée de manière significative en 2015. Mais, il aura fallu, et j’en suis navré, accroître les impôts de 8 % dès l’année suivante pour y parvenir : il n’y avait pas d’autres alternatives… ».

 

 

Défendre les intérêts d’Auxerre en haut lieu grâce à un VRP…

 

Avec une épargne brute estimée à 2,3 millions d’euros et sept millions de désendettement, la situation d’Auxerre s’est quelque peu assainie.

« Il ne faudrait pas que la chaudière nous lâche de manière subite en cours de route, lance à la cantonade la figure emblématique du MoDem de l’Yonne, nos dépenses annuelles ne devront pas excéder dix millions d’euros. Cela va nous permettre d’investir de manière raisonnée sans dépasser nos objectifs… ».

Alors quand l’élu du Département évoque la nature des promesses faites par Guy FEREZ, son sang ne fait qu’un tour : il prophétise que le bas de laine actuel ne le permettra pas.

« La plupart des projets annoncés par le maire sortant ne sont pas budgétés : on peut les évaluer à environ cent millions d’euros. Autant dire que si ce programme venait à être appliqué, nous irions droit dans le mur ! ».

Sans réel levier fiscal pour glaner des fonds, les élus d’Auxerre n’auraient alors qu’une seule carte à jouer pour doper leurs projets : frapper aux bonnes portes pour en trouver !

A commencer par celles des ministères et de la Région Bourgogne Franche-Comté, qui sont restées trop longtemps hermétiques, voire ignorées par l’équipe en place.

« Ce qu’il nous manque pour dynamiser la ville, ajoute Pascal HENRIAT, c’est un VRP pour défendre nos valeurs et intérêts au niveau national : je veux bien endosser ce rôle ! ».

Les parlementaires deviendraient alors, et dans l’hypothèse de cette future mandature, des points relais névralgiques sur lesquels il serait de bon aloi de s’appuyer.

 

 

« Dans le seul souci de préserver les intérêts de notre ville et de son agglomération, complète Crescent MARAULT, ce sont ces personnes qui possèdent les clés des ministères et des administrations… ».

Cap vers Paris et l’Ile-de-France, donc pour les acteurs d’Auxerre au Cœur, qui souhaitent que la 157ème ville de France sorte enfin de l’ornière de l’indifférence dans laquelle elle se trouve depuis des lustres.

Un challenge pas si simple à relever, en vérité. D’autant qu’Orléans, Troyes, Reims, voire Dijon, ne nous ont pas attendues et font déjà figure de sérieux concurrents (voire de précurseurs) sur cette voie.

Qu’à cela ne tienne, de gros efforts de communication, bien ciblés, verront le jour en cas de scrutin positif. A destination des actifs, des entreprises et du secteur touristique.

Et Crescent MARAULT d’ajouter en guise de conclusion : « Si vous êtes élu à la tête d’une telle collectivité, il est fondamental de se montrer déterminé à vouloir appliquer les solutions les plus favorables à votre commune. Or, je ne ressens pas cette force chez nos élus actuels… ».

Un ultime tacle adressé à ses adversaires avant qu’il ne laisse la parole à quelques-uns de ses colistiers (pardon, « équipiers » !) devant expliciter leurs motivations profondes, justifiant ainsi leur ralliement au chef de file de la droite et du centre.

 

 


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