Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Dans la vie, il est indispensable d’atteindre son objectif ! Un(e) entrepreneur(e), comme un(e) sportif(ve), se doit de posséder la vision de son entreprise et ses buts, à cinq ans (ou trois ans, voire dix ans). Chacun sait ce qu’il doit en attendre, pour sa vie personnelle, pour servir ses clients, pour apporter sa contribution à la société. Ainsi, clarifier son « intension profonde » permet d’affiner sa ligne stratégique, conjointement à ses valeurs…

 

TRIBUNE : Ce travail sur soi, seul(e) ou accompagné(e), crée des bases solides. Ce sont les fondements mêmes de la création et du développement de son entreprise. Quelle que soit la nature de son activité et sa dimension envisagée. Mais, la route est parfois semée d’embûches.

On se sent « débordé(e) » en permanence, avec l’impression de ne pas y arriver. On a une « to do list »… qui n’en finit pas de grandir. Dans notre tête, tout se bouscule : ce qui n’a pas été fait, ce qu’il faut initier, ce temps qui manque toujours, la mauvaise conscience, les doutes, l’absence de confiance…Il y a aussi la frustration permanente et la dispersion !

Finalement, on en arrive à manquer de recul, à réagir aux circonstances, au lieu de faire ses propres choix, en parfaite conscience.

Et s’il était temps de travailler en mode « Focus » ?

 

Les atouts de cette méthode à s’approprier…

 

Il va permettre de reprendre le contrôle de son esprit, et celui des choix indispensables à son entreprise. De pouvoir gérer son temps, en se consacrant à ce qui est essentiel, en éliminant les tâches qui n’ont pas d’impact direct sur son objectif. Il permettra aussi d’apprendre à travailler plus efficacement, en se concentrant sur des tranches horaires courtes. Savoir exactement ce que l’on va faire, comment le faire, et dans quel timing ! Mais aussi créer un « momentum » régulier, dans son business : à base de motivation et d’énergies régulières, génératrices de conditions favorables.

Voici quelques clés fondamentales pour adopter le mode « Focus ». Sur une période de trois mois, soit 90 jours, on va choisir « One Thing » (une chose), sur laquelle on va focaliser toute son énergie.

Souvent, au début, il est difficile, pour les entrepreneur(e)s, de choisir entre leurs différents projets. Par exemple, entre travailler sur son site web, développer sa communauté sur les réseaux sociaux ou se doter de sa propre chaîne « You Tube », et faire des « webinaires ».

Disperser son temps et son énergie, « un peu sur tout », ne permet pas de franchir une étape décisive, pour avancer vers son objectif initial.

Il est plus efficace de se concentrer sur un projet, comme la loupe permet de concentrer l’énergie du soleil pour allumer le feu, sur une période de trois mois.

Une fois cette étape franchie, place à un nouveau projet et a un autre « Focus », sur une période renouvelée de trois mois. Reste la question déterminante : comment bien choisir son « Focus » ?

Il suffit de répondre à la question déterminante : « aujourd’hui, quel est le projet qui aura le plus d’impact, qui me permettra de générer rapidement des revenus, pour m’approcher de mon objectif ? ».

Si vous avez envie d’aller plus loin dans ce raisonnement : je vous invite à vous procurer le livre de Gary KELLER : « The one thing »…

 

Claire DOUTREMEPUICH

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Ce n’est une surprise pour personne. L’actuel édile de cette commune nouvelle, née de la fusion de la Communauté de l’Orée de Puisaye et de quatorze villages historiques de ce secteur géographique situé à l’ouest de l’Yonne en 2016, souhaite poursuivre sa politique de développement en faveur de l’attractivité du territoire si les suffrages lui donnent raison au soir des 15 et 22 mars.

CHARNY-OREE-DE-PUISAYE : La liste est impressionnante. Normale, elle se compose de 54 colistiers. De la pure logique, en somme, puisque la commune nouvelle, implantée dans le secteur occidental de notre département, regroupe désormais et ce, depuis quatre ans, un ensemble de bourgades réparties sur un large périmètre sectoriel.

Maire sortant, et ancien élu principal de Perreux, Michel COURTOIS brigue donc un nouveau mandat.

Il conduira avec ses colistiers un projet très révélateur au plan de sa sémantique sur les ambitions futures du programme qui y sera décliné : « 14 villages pour une commune ».

Tout est dit ou presque à la seule évocation de ce nom de baptême qui s’articule autour de thématiques fortes : la proximité (elle y est farouchement revendiquée), l’attractivité et le développement de ce territoire de Puisaye-Forterre.

Les projets y sont déjà nombreux ; dans la continuité du travail qui y est déjà engagé…

 

 

 

Rajeunie et renouvelée aux deux-tiers, la liste est constituée de personnes qui représentent chaque village historique de la nouvelle entité institutionnelle.

Sa moyenne d’âge s’élève à 51 ans. Le bel âge, peut-être pour y développer un programme cohérent à même de convenir à l’ensemble des citoyens…

Nonobstant, à 71 ans, Michel COURTOIS confirme avec sa présence que sa préoccupation première reste la dynamique et l’essor de ce territoire à forte caractéristique rurale. Sans y omettre le facteur économique.

La liste conduite par l’actuel maire devrait retrouver face à elle celles du Rassemblement national et d’un candidat sans étiquette au premier tour. Un vecteur de représentativité qui ménage le suspense…

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La Saint-Valentin, une fête, une tradition, une légende…La célébration des amoureux est planétaire. On ne récolte pas moins à cette occasion 200 millions de roses (rouges si c’est la passion, blanches pour un amour pur et sans tâche). Et pourquoi ne pas annoncer un divorce en douceur : en lui offrant des roses jaunes ! Bref, un jour de petits cadeaux : ce sont des kyrielles de bijoux, fleurs, chocolats et le fameux dîner aux chandelles qui se profilent devant vous ! In fine, c’est douze 12 milliards de dépenses sur la planète !

 

TRIBUNE : Il existe une différence entre créer un besoin pour faire du business, comme avec Halloween (on a voulu relancer la fête mais ça ne mord pas), et répondre au désir de fêter la Saint-Valentin. C’est une tradition plusieurs fois séculaire ! Il y eu plusieurs saints appelés Valentins. Celui qui nous intéresse s’appelle Valentin de Terni, prêtre au Vème siècle (certains disent même IIIème siècle…). Ce cher curé brave l’interdit de célébrer des mariages. Il fut emprisonné puis tué un 14 février.

Dès qu’un bon chrétien meurt, Rome saute sur sa dépouille et lui colle une auréole ! Le gentil Saint-Valentin, tombé amoureux de la fille aveugle de son geôlier, lui décrit l’environnement, les couleurs du temps…

On raconte que grâce à Valentin la jeune fille retrouva la vue. Un pape décida de célébrer chaque 14 février la fête des amoureux, chastement bien sûr…

Cependant, on fêtait aussi le 14 février comme jour où les oiseaux commencent à s’accoupler ! Toujours en avance sur leur temps, les Anglais seraient les précurseurs de « mariés au premier regard » !

Au XIVème siècle (XVIème pour d’autres), ils décident de former des couples choisis complètement au hasard. Une tradition qui est née dans le milieu aristocratique.

Durant une journée entière, un « Valentin » et une « Valentine » doivent obligatoirement se faire de petits cadeaux, des galanteries, se dire des mots doux...

 

Condamner celles et ceux qui se détestent à s’adresser des mots doux…

 

Cette journée, appelée « Valentinage », se déroule tous les 14 février ! Dès le XVIIIème siècle, la coutume se généralise dans toute l’Angleterre. Fleurissent alors les fameuses cartes de la Saint-Valentin.

Les Britanniques partagent la tradition en Amérique du Nord qui célèbre dans la foulée le « Valentin Day » ! A partir de 1945, les G.I. répandirent, avec le chewing-gum, la fête de la Saint-Valentin.

Aujourd’hui, 64 % des Français font un geste chaque 14 février. On peut noter qu’une femme sur sept s’achète des fleurs ! Alors serait-ce la Saint-Valentin, du business dites-vous ?

Bien sûr qu’il s’agit de dépenses, comme pour n’importe quelle fête. Mais une journée pour dire « je t’aime » c’est plutôt salutaire pour renforcer le système immunitaire !

Une journée pour célébrer l’amour, c’est finalement peu de chose.

Je suggère la reprise du « Valentinage » de nos amis Anglais : choisir au hasard ceux qui sur terre se détestent cordialement et les « condamner à s’envoyer des mots doux.

Au hasard, on pourrait y trouver Palestiniens et Israéliens, Gilets Jaunes et l’Elysée, Turques et Kurdes, Russes et Ukrainiens, Hégésippe SIMON et Paul BIRAULT…

Vous voyez, en fait, que du pur hasard dans ce choix cornélien…

 

Jean-Paul ALLOU  

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La mobilisation générale de la classe politique bourguignonne aura finalement porté ses fruits. A l’instar de la manifestation pacifiste organisée devant les grilles de l’Institut national de l’origine et la qualité (INAO) à Montreuil-sous-Bois où se pressaient ce jeudi 06 février près de cinq cents viticulteurs opposés au projet de révision de la zone géographique pour l’AOC Bourgogne. Si plusieurs avancées ont été obtenues au terme d’une rencontre avec les responsables de l’organisme, la vigilance reste de mise. Plus que jamais, la défense du patrimoine viticole et de ses professionnels demeurent d’actualité dans les esprits…

MONTREUIL-SOUS-BOIS: Bourgogne : un. INAO : zéro. A l’issue de la rencontre d’une délégation d’élus régionaux durant près d’une heure ce jeudi 06 février au siège de l’INAO, les dirigeants de l’institution administrative, organe sous l’égide du ministère de l’agriculture, ont confirmé la suspension sine die du projet de nouvelle aire géographique pour l’AOC Bourgogne. Un état de fait qui avait été déjà acté la veille.

Conséquence immédiate : la présentation analytique du dossier a été retirée de l’ordre du jour du comité national de l’organisme présidé par Christian PALY. Si la décision a satisfaite les élus bourguignons dans un premier temps, ces derniers l’ont jugé encore trop insuffisante, compte tenu du désaccord grandissant qui s’est installé depuis le début de cette crise avec les vignerons de Bourgogne.

Accompagnés des représentants de la filière viticole, les élus bourguignons ont pu exposer en toute liberté leurs arguments face au président du Comité national des appellations d’origine relatives au vin, Christian PALY.

La délégation était composée de François PATRIAT, sénateur de Côte d’Or, Marie-Guite DUFAY, présidente de la région Bourgogne Franche-Comté, Didier PARIS, député de Côte d’Or, du sénateur Jérôme DURAIN, de la Saône-et-Loire, d’Alain JOYANDET, sénateur de Haute-Saône, Rémy REBEYROTTE, député de Saône-et-Loire ou encore de Yolaine de COURSON, députée de Côte d’Or.

Quant au département de l’Yonne, il avait pour porte-étendards la sénatrice Noëlle RAUSCENT, Michèle CROUZET, députée de la troisième circonscription et Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental, ancien maire de Chablis dont le vignoble est menacé par cette décision pour le moins insolite. On notait aussi la présence de Guillaume LARRIVE, député de la première circonscription de l'Yonne.

Précisons qu'avant d'avoir été reçus par la direction de l'INAO, la sénatrice de l’Yonne, Dominique VERIEN, le député André VILLIERS et le conseiller régional et président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, battaient le pavé aux côtés des manifestants devant les grilles de l’INAO. Dans une ambiance bon enfant sans qu’il y ait eu le moindre heurt.

 

 

 

Des premières garanties significatives mais…

 

Première certitude : aucune des soixante-quatre communes de Bourgogne ne perdra son appellation AOC.

C’est un véritable soulagement pour les viticulteurs des terroirs hétéroclites comme ceux de l’Auxerrois, du Tonnerrois, du Châtillonnais, du Mâconnais, de Dijon ou de Chablis.

Deuxièmement, aspect plus regrettable pour les élus de la délégation : une nouvelle commission d’enquête ne sera pas mise en place avec le renouvellement de ses membres. Un point d’achoppement qui pourrait être compensé grâce à l’implication personnelle de Christian PALY dans les futurs travaux de ladite commission.

 

 

Ce dernier a fait savoir par un communiqué de presse publié dès jeudi soir que « le Comité national n’aurait jamais entériné la sortie de secteurs aussi emblématiques que le Chablisien, le Châtillonnais et le Dijonnais de la zone Bourgogne ».

Toutefois, les élus bourguignons souhaitent désormais une meilleure concertation de la commission de l’INAO avec l’Organisme de défense et de gestion de Bourgogne (ODG), « jusqu’alors inexistante ».

« Tant que nous n’aurons pas obtenu des avancées claires de la part de l’INAO, explique le texte officiel de la délégation bourguignonne, adressé aux médias, la mobilisation professionnelle, territoriale et politique demeure totale dans notre région au nom de notre histoire, nos terroirs et l’identité de notre appellation d’origine contrôlée Bourgogne… ».

 

  

Une décision qui discrédite le principe même des appellations d’origine…

 

Reste que la remise à plat de cette décision de délimiter les aires géographiques de Bourgogne et du Beaujolais requiert un travail de fond et pas seulement approximatif, compte tenu des enjeux importants qu’elle engendre.

En effet, un quelconque rapprochement entre les deux vignobles pourrait induire les consommateurs en erreur quant aux caractéristiques, qualités et origine du produit. Historiquement distinctes, ces deux régions viticoles possèdent leurs propres savoir-faire ancestraux. Ce qui discrédite le dispositif même des appellations d’origine.

Enfin, sur un plan purement économique, le risque de surproduction est à craindre. Cela pourrait alors créer un déséquilibre entre l’offre et la demande des vins sous appellations bourguignonnes. Et permettre ainsi des productions massives en Beaujolais du fait de la délocalisation de la production vers cette contrée. Ce qui aurait un effet destructeur sur l’identité même des vins de Bourgogne.

On le voit, face à de tels arguments, la vigilance devient plus que jamais le mot d’ordre prioritaire dans la gestion de cet épineux dossier…

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L'intelligence artificielle ne remplacera pas les managers mais les managers qui l'utilisent remplaceront ceux qui ne l'utilisent pas. Résolument optimiste, cette jeune femme a été élevée à la culture de l'utopisme. Débutée dans le domaine de l'événementiel, sa brillante carrière se poursuit aujourd'hui dans celui de la communication. Lorsque le groupe BNP PARIBAS l'encourage à nourrir son potentiel d'innovation, Vanessa saisit l'opportunité de s'immerger au CES (Consumer Electronics Show) de Las Vegas. Avec l'idéalisme et la modestie qui la caractérise, elle revient vers notre contributeur, Philippe CARPENTIER (16h44) sur ce voyage décisif.

TRIBUNE : Ce voyage modifie-t-il votre vision du management. Comment ? 

En effet, certaines présomptions que j'avais sont devenues des certitudes pour moi. D'abord, j'ai vraiment compris à quel point les innovations vont vite, et que ce monde-là n'attend pas. La délégation chinoise présente à Las Vegas était la quatrième en termes de représentativité. Signe de la place prépondérante qu'elle a acquise. Airbnb est devenu le premier provider de chambres sans hôtel et Uber le premier transporteur sans voiture. La capitalisation des NATU (Netflix, Airbnb, Tesla, Uber), inexistants il y a quelques années, est aujourd'hui supérieure au PIB de la France. BlackBerry, premier sur le créneau des smartphones professionnels il y a quelques années, a quasiment disparu de la scène.

Tout le monde peut être disruptif. Innover est une nécessité pour survivre sur le marché. Nous n'avons pas conscience de la façon dont les choses évoluent, en termes de direction comme de rapidité. 

Je croyais savoir, je connaissais par exemple la loi de Moore selon laquelle la puissance des ordinateurs double chaque année, tandis que leur coût diminue. Mais comme dans la légende de « Sissa », on n'appréhende pas assez le caractère exponentiel des choses. Selon cette légende, Sissa aurait demandé au Roi des Indes, pour le récompenser d'avoir inventé le jeu d'échecs, d'être payé un grain de riz pour la première case, deux pour la deuxième, quatre pour la troisième, etc. Le roi aurait accepté sans mesurer l'importance de la récompense, ruinant ainsi son royaume, la 64ème case valant plus de 9 milliards de milliards de grains de riz !

Des perspectives d’innovation incroyables se sont-elles faites jour lors de ce salon international ?

Oui. IBM, par exemple, travaille sur Watson, un logiciel auto-apprenant impressionnant. Son premier ordinateur quantique réalise en une seconde ce que nos ordinateurs font en 10 000 ans ! Et que nous réserve la puce quantique d'Intel ? Face à Huawei, inexistant il y a quatre ans, l'Iphone va-t-il subir le même sort que BlackBerry ? S'installer dans une voiture électrique et autonome fait prendre conscience que des évolutions qui semblent hypothétiques font en fait déjà partie de notre monde.

Dans le domaine médical, l'évolution en termes de prédiction des pathologies pourrait constituer un progrès majeur. Une start-up vient d'inventer des chaussettes dont les capteurs préviennent le diabète !

Enfin, j'ai compris que l'intelligence artificielle est inéluctable.

 

 

Justement, qu’est-ce que cela va changer dans notre quotidien ?

Son  potentiel est  immense. L'ignorer, c'est prendre le risque de la subir, alors que bien contrôlée, elle favorise l'intelligence, libère du temps pour créer, pour  imaginer, pour écouter les autres... Elle sera positive. Elle peut être à notre service et ne pas servir qu'à nous remplacer. C'est notre responsabilité de nous y intéresser. Elle est inéluctable mais ne peut pas tout : l'Homme n'est-il pas le plus doué pour émouvoir ou donner des frissons ?

Quels sont les souvenirs marquants de ton passage au CES ?

Il y a eu la rencontre avec le patron de NISSAN, qui explique comment la data va modifier la communication. Il est persuadé que la capacité à faire ressentir et à projeter le client dans les usages à venir est une clé de réussite. Quand tu peux faire vivre et ressentir ce que sera la voiture dans deux ans, tu as pris une avance, décisive. Et celle avec un manager de Google qui a montré comment la data sera reliée aux émotions. Voir une start-up expliquer comment, à partir d'un simple fichier Excel de cinquante noms, elle peut créer en quelques minutes cinquante vidéos personnalisées. Est-ce effrayant ou génial ?

J'ai été étonnée de la place majeure de la France, malgré la taille modeste de son marché, et enfin, impressionnée par la qualité des présentations, par l'usage systématique de la vidéo et par le talent des orateurs lors des présentations. À importer chez nous !

 

L'Application

Programmer son benchmark personnel : inscrire dans son agenda deux heures par mois pour aller voir ce qui se passe ailleurs (association professionnelle, TedX, Internet...).

Mobiliser tout ce qui est à portée de clic :

  • Copier, adapter avec un œil critique.
  • Découvrir de nouveaux modes de management.

Philippe CARPENTIER

 

 

www.deciderjuste.com


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil