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Vingt années de présence au sein d’une collectivité territoriale forgent nécessairement de l’appétence pour la chose publique. De là à tenter l’aventure de l’autre côté du miroir, il n’y a qu’un seul pas facile à franchir. Voilà pourquoi l’ancien cadre du Conseil départemental de l’Yonne s’est décidé à se porter en qualité de chef de file sur l’une des deux listes de sa commune de prédilection…

APPOIGNY : L’homme porte beau. D’une élégance endimanchée qui pourrait sous-entendre son aptitude à pouvoir tenir de hautes responsabilités à la tête d’une commune. Il est vrai que Magloire SIOPATHIS dispose des compétences requises en gestion des administrations publiques. Deux décennies vécues dans le saint des saints du pouvoir territorial, le Département, lui ont permis d’affiner son discernement intellectuel et la pratique des arcanes publiques en la matière.

Le retrouver en pareille posture n’est guère une surprise. D’autant que la liste dont il défend les valeurs résulte de la rencontre de villageois de souche dont les familles sont installées ici même depuis des générations.   

Lorsque l’on discute avec le candidat à la succession de l’édile actuel qui ne se représente pas (Alain STAUB), des mots comme aménagement et développement du territoire, transports scolaires, éducation, culture, sport, jeunesse, économie, milieu associatif…possèdent une résonnance toute particulière à ses oreilles.

Magloire SIOPATHIS se présente en qualité d’exégète ; de spécialiste aguerri du fonctionnement des institutions. Sera-ce suffisant pour convaincre les électeurs de glisser leur bulletin de vote en sa faveur ?

Composée de « gens pluriels » comme ils se définissent, la liste brasse un large spectre de corporations : enseignants, entrepreneurs, professionnels de la petite enfance, gestionnaire de collectivité, agents postaux, mais aussi acteurs de la petite enfance ou des seniors…In fine, vingt-trois colistiers et deux remplaçants parés à se soumettre au verdict des suffrages.

 

Un projet multi forme à la conquête des votes…

 

Le programme se focalise sur le positionnement à sa juste place que devrait trouver la seizième commune de l’Yonne, forte de ses 3 200 habitants, dans le schéma opérationnel de la communauté auxerroise. La localité s’enorgueillit de posséder moult atouts et de forts potentiels de développement. Surtout à l’échelle économique. Un vecteur en croissance vers lequel il est nécessaire de s’engouffrer.

Maîtrise de la fiscalité, déploiement de la vidéosurveillance, dynamisation d’un cœur de village, installation de panneaux électroniques d’information (voilà une liste qui s’intéresse enfin à la communication !), création d’une cantine éco responsable, soutien aux aînés, aux associations sportives et culturelles : l’inventaire à la Prévert du programme porté par « Ensemble pour demain » peut-il séduire électrices et électeurs ?

Parmi les suggestions non dénuées de pertinence : la consultation des plus jeunes via la constitution d’un organe spécifique qui les réunirait avec régularité. Verdict rendu pour cette équipe au soir d’un premier tour qui sera déjà appréhendé comme un véritable révélateur face à une autre liste en compétition…

 


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« Ils voulaient nous détruire, ils nous ont galvanisés… ». Les mots, rédigés de la plume du président de la République Emmanuel MACRON retentissent dans un silence de plomb sur la petite esplanade du Passage Soufflot. Lus par le directeur de cabinet du préfet de l’Yonne, Tristan RIQUELME, ils prennent en de telles circonstances une étrange dimension solennelle. Se souvenir de celles et ceux qui ont été des victimes expiatoires de la barbarie et du fanatisme sur notre sol sera désormais commémoré chaque année le 11 mars…

AUXERRE : Disparue le temps d’une cérémonie émotionnelle forte la présence insidieuse du coronavirus qui pollue notre atmosphère. Mises de côté, les joutes électoralistes et leurs flèches assassines coutumières à quelques jours des échéances municipales. Le temps s’est suspendu comme par magie, en cette fin d’après-midi du mercredi 11 mars. Honneur au sacro-saint devoir de mémoire, du souvenir et du recueillement.

Celui nécessaire, qui est accordé aux malheureuses victimes de ce fléau impitoyable de notre siècle : le terrorisme. Aveugle et si vil dans la manière de massacrer des innocents...

Il en sera ainsi, désormais, chaque année à la date du 11 mars. Une journée nationale pour faire notre deuil. Statuée par les plus hautes instances de l’Etat. Un exercice qui a été relayé dans la capitale de l’Yonne, en présence de nombreuses personnalités de la sphère politique et institutionnelle de notre territoire.

Le choix de cette journée hommage ne doit rien au hasard, par ailleurs. Elle se réfère aux plus sanglants attentats commis à ce jour en Europe, celui de Madrid en 2004 (191 morts). Elle est également celle consacrée à la Journée européenne des victimes du terrorisme, déjà commémorée.

En septembre 2019, Emmanuel MACRON avait annoncé la création d’un musée unique au monde. Un lieu mémoriel dédié aux victimes de ces actes odieux sans que l’on sache encore à l’heure actuelle où cet édifice sera érigé.

 

 

 

Le dévoilement de la stèle, un monument sobre pour se souvenir…

 

Tristan RIQUELME devait en faire mention lors de la lecture du texte présidentiel. Autour des trois valeurs essentielles de la République que sont la liberté, l’égalité et la fraternité. Face à un auditoire à l’écoute attentive.

Auparavant, aidé du président de la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois et édile d’Auxerre Guy FEREZ, le sous-préfet prit soin de rendre visible au regard de tous le monument commémoratif. Une stèle à la sobriété parfaite.

Une suite de prénoms fut égrenée. Celle de ces chers disparus, trop tôt partis de notre univers existentiel. Une série d’évènements tragiques (Bataclan, Trèbes,  Strasbourg, Carcassonne, préfecture de police de Paris…) fut énoncée. Ravivant la douleur à vif de ce que la France et ses citoyens ont déjà enduré face à de tels actes de lâcheté.

 

 

Ponctuée de morceaux issus du répertoire classique (« Nabucco » de Guiseppe VERDI) ou empruntés au patrimoine de la chanson française (sublime et ô combien émouvante complainte interprétée par la regrettée BARBARA), la cérémonie protocolaire se termina par une vibrante « Marseillaise » après la sonnerie aux morts et ses roulements de tambour qui résonnèrent sans fin...

Se souvenir des autres qui ont vécu pour ne jamais céder aux peurs pernicieuses du lendemain : quelle belle leçon d’abnégation face à l’adversité !

 

 


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Fidèle à ses méthodes usuelles, c’est-à-dire casser les codes de l’orthodoxie routinière en matière de communication, le candidat de la droite et du centre à la mairie d’Auxerre a réuni ses aficionados lors d’un ultime tour de piste d’envergure, salle Vaulabelle, jeudi soir. Devant quelques quatre cents supporters, acquis à sa cause, l’entrepreneur-candidat s’est glissé dans les habits d’un « Monsieur Loyal », qui a assuré l’animation et la scénographie participatives de ce show ayant pour objectif de rassembler. Un meeting choral où plusieurs de ses équipiers purent également s’exprimer…

AUXERRE : Il ne manquait que les light-shows et la présence des « pom-pom girls » pour que la fête soit complète dans cet univers un tantinet vétuste qu’est la salle municipale.

Au centre de celle-ci, départageant deux allées de chaises très vite garnies de leurs occupants, un vaste tapis couleur bleu sombre. Avant même que les choses ne débutent, on subodorait déjà que ce meeting, seul et unique rendez-vous de cette importance avant le premier tour des municipales, engendrerait son lot de surprises. A défaut, toutefois, d’être un vrai spectacle politique comme savent si bien l’exécuter les Américains !

Quant au pupitre, positionné en contrebas de l’estrade, il ne fera office que de lieu de prise de parole introductive et conclusive. Bref, sans doute peu habitué à ce type de rendez-vous, plutôt original sur sa forme, le public dut tourner la tête à maintes reprises pour suivre sur le long ruban bleu du revêtement au sol la déambulation des orateurs successifs qui allaient dérouler le programme du challenger au maire sortant.

Pour autant, la soirée ne pouvait s’enclencher sans qu’il n’y ait eu la moindre allusion à celui dont la mémoire vivace raviva tous les esprits. L’ombre du regretté Jean-Pierre BOSQUET, source d’inspiration et de réflexion du candidat en lice, planait très nettement au-dessus de l’assistance. Un hommage légitime lui fut rendu. Le temps que passe un ange. Celui de la vie éternelle ?

 

 

Ne pas être le maire d’une ville musée !

 

Puis, les choses s’accélèrent. Après la phase d’introduction réservée à Elisabeth GERARD-BILLEBAULT, le quadragénaire fédérateur des forces de la droite républicaine et modérée développa dans une longue intervention, ponctuée de salves d’encouragement, ses propos.

Il ne fallut pas attendre très longtemps pour que ne tombe une première banderille de l’orateur destinée à l’adversaire clairement identifié à battre.

« L’équipe sortante a beau essayer de faire l’autruche, nous sommes parmi les plus mauvais élèves des villes moyennes ! Sur 203 villes étudiées par le Commissariat général à l’égalité des territoires, Auxerre est classée parmi les villes les plus vulnérables… ».

 

 

Dès lors, les arguments fusèrent, les bons mots faisant réagir le public s’intensifièrent : « Je veux être le maire d’une ville qui ne sera pas un musée ! ».

Petit à petit, Crescent MARAULT se décontracta à la tribune, gagnant en facilité avant d’aborder deux sujets majeurs et structurants de son programme : la déviation Sud et la liaison ferroviaire, un dossier qui ressemble à s’y méprendre à une véritable arlésienne dans le landerneau. Puisqu’il n’est toujours pas résolu.

Au sujet de la déviation Sud : Crescent MARAULT s’interroge. « Comment peut-on dire sérieusement qu’on veut faire cette déviation et dans le même temps ne pas l’anticiper dans un document budgétaire alors que son coût est de l’ordre de 120 millions d’euros ? ».

 

 

Pratiquer une politique différente de celle des autres candidats…

 

Deuxième item intéressant : la liaison ferroviaire avec l’accès au plus grand pôle économique européen (l’Ile-de-France) dont il fait l’une de ses priorités.

« Ne nous mentons pas, Auxerre a déjà raté plusieurs trains dont celui de l’électrification de la ligne TER ! Le projet était programmé mais il a été abandonné par le maire sortant. Mais, faisons plutôt le pari d’attirer de nouveaux talents et les potentiels venus des métropoles par chez nous… ».

Sa rencontre, récente, avec la présidente de la Région francilienne, Valérie PECRESSE, dont il fera écho, s’inscrit dans ce cheval de bataille participatif.

Evoquant ensuite le taux de vacance commerciale qui atteint localement 19 % (soit six points de plus que d’autres villes de même taille), le candidat à l’estampille des Républicains, de l’UDI et du MoDem, s’engage à réamorcer la pompe pour sauver le centre-ville dès qu’il détiendra les pleins pouvoirs.

 

 

« Encourageons les propriétaires à rénover leurs façades avec des mesures incitatives, clama-t-il, déployons une stratégie commerciale faisant du cœur de ville une locomotive, pour tous les quartiers et même de l’ensemble du bassin ! ».

Critiquant le projet de construction d’un nouvelle zone de stationnement en hyper-centre, le porte-voix de la liste « Auxerre au Cœur » s’est attelé à donner sa vision personnelle qu’il se fait de la multi-modalité.

« Les quartiers de la gare Saint-Gervais et du port méritent d’être amplifiés, et surtout transformés. Il y a aujourd’hui près de deux kilomètres de distance entre la gare ferroviaire et la prétendue gare multimodale des Migraines qui soit dit en passant a coûté trois millions d’euros ! ».

 

 

Le logement social apparut ensuite dans le viseur du candidat. « Arrêtons d’en construire, souligna Crescent MARAULT, Auxerre compte aujourd’hui 35 % de logements sociaux alors que l’obligation légale s’élève à 25 % ! Ayons plutôt le courage de rééquilibrer le marché du logement auxerrois ! ».

S’arguant de vouloir pratiquer une politique singulièrement différente de ses opposants, le candidat de la droite et du centre énuméra quatre premières actions qu’il pourrait réaliser à court terme en cas de succès au soir du 22 mars.

Dans ce panorama applicatif, citons pêle-mêle la première heure de gratuité pour le stationnement en centre-ville, le renfort des effectifs de la police municipale qui ne compte pour l’heure que cinq personnes, la tenue d’une assemblée citoyenne sur des sujets économiques et sociaux ; enfin, le recrutement d’un manager de centre-ville. Ce dernier devra combiner trois domaines de compétence : le savoir-faire en matière d’urbanisme, la gestion du budget et la communication, pour mieux vendre le cœur de ville.

Pour conclure, Crescent MARAULT brossa un succinct portrait de lui-même. Mettant en exergue ses valeurs de chef d’entreprise « qui ne craint pas les responsabilités ». Et désireux de placer l’écologie en évidence parmi toutes les strates de son programme.

 

 

« L’économie circulaire et l’économie verte peuvent apporter ce qui est indispensable à notre ville : des emplois pérennes qui ne seront jamais délocalisés… ».

Considérant son engagement politique comme une mission ponctuelle, l’orateur précisa qu’il s’engageait à ne pas effectuer plus de deux mandats.

L’heure et demie de discussions et d’échanges avec la salle se poursuivit par les interventions thématisées, et plus ou moins minutées (!), de plusieurs de ses co-équipiers (Emmanuelle MIREDIN, Isabelle JOAQUINA, Carole CRESSON, Céline BAHR, Nordine BOUCHROU et Pascal HENRIAT…).

Avant que ne se lève le voile sur ces nouveaux visages de la droite et du centre auxerrois qui composent la liste, réunie au pied de l’estrade. Et les conclusions sous forme de synthèse du député de la première circonscription, Guillaume LARRIVE, qui s’est dit « très enthousiaste devant pareilles retrouvailles… ».

L’heure de l’ultime round de ce combat des chefs a donc sonné. Entre doutes et certitudes, on y verra un peu plus clair au terme de la journée dominicale qui pointe à l’horizon…

 

 


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A l’heure où la campagne pour les élections municipales bat son plein, il nous semble important de rappeler le rôle de l’économie de proximité, et plus particulièrement de l’artisanat, dans la vie économique et sociale de nos territoires. Quelles soient urbaines ou rurales, nos communes ne sauraient se passer de leurs artisans…

TRIBUNE : L’artisanat est l’un des rares acteurs économiques à être présent sur chaque ville et chaque village de notre région. Quand nos concitoyens regrettent, à juste titre, la délocalisation des services publics et la déshumanisation des relations, les artisans demeurent dans de nombreux cas les derniers liens de proximité pour la population locale.

Il est vital que les candidats, et plus tard ceux qui seront aux responsabilités, se donnent les moyens de favoriser le développement de l’artisanat sur leur commune.

Qu’elle soit installée en zone rurale ou dans un quartier urbain, une entreprise artisanale trace autour d’elle un cercle vertueux. Elle propose des services et des produits à la population locale. Elle permet à des jeunes d’apprendre un métier grâce à l’apprentissage. Elle offre des perspectives d’emplois non délocalisables. Elle tisse du lien entre les habitants pour qui le commerce local demeure parfois l’unique lieu de rencontre sur la commune.

Encore faut-il que les communes soient en capacité de conserver leur tissu artisanal local et qu’elles mettent en œuvre des politiques pour favoriser l’implantation de nouvelles entreprises. Ces initiatives sont complexes et nécessitent à la fois une connaissance pointue de l’environnement économique local et une expertise dans l’accompagnement des entreprises.

 

 

Les promesses doivent être suivies d’actions…

 

Pour les aider dans la définition de leur politique économique, les Chambres de Métiers et de l’Artisanat mettent à la disposition des candidats et des futures équipes municipales un Livre Blanc qui recense des actions couronnées de succès à travers toute la France.

Ce recueil démontre que les partenariats entre les communes, plus largement avec les EPCI et le Conseil Régional, et les chambres consulaires conduisent à des résultats concrets et bénéfiques pour les territoires.

Les initiatives sont multiples : favoriser la transition écologique des entreprises, diagnostiquer les besoins d’un territoire, aider à l’installation de nouvelles activités, permettre la transmission des entreprises, redynamiser un centre-ville, inciter les habitants à consommer local, accompagner les entreprises locales dans l’accès à la commande publique… une soixantaine d’exemples sont présentés. De quoi nourrir de nombreux projets pour nos communes.

Nous en sommes convaincus, l’artisanat ne sera pas oublié dans les promesses des candidats. Mais, plus important encore, il faut que ces promesses soient suivies d’actions une fois que les équipes seront en place.

Les 56 000 entreprises artisanales de Bourgogne Franche-Comté, leurs 4 400 apprentis, leurs 87 000 salariés sont une chance pour notre région. A vous, à nous de leur donner les moyens d’exprimer la pleine mesure de leur talent !

 

Emmanuel POYEN et Jean-François LEMAITRE

 


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Un communiqué émanant du bureau de l’antenne icaunaise du MoDem explique la franche poussée de fièvre que vit depuis quarante-huit heures le parti centriste à Auxerre. A quelques jours du premier tour des municipales, il traduit l’opposition, farouche, qui existe entre le président du mouvement des démocrates, Pascal HENRIAT, et certains membres de l’appareil exécutif. Avec en toile de fond, un mot qui revient en force tel un dénominateur commun : celui de la démission !

AUXERRE : Le ton monte au sein du Mouvement des Démocrates de l’Yonne. A une encablure du premier round officiel offert par les élections municipales le 15 mars, il semblerait que le ring où doit s’affronter par bulletins de vote les oppositions se soit déplacé ailleurs. Précisément au sein de la formation politique incarnée dans l’Hexagone par François BAYROU.

Il est clair qu’à la simple lecture du communiqué de presse adressé par le bureau du MoDem de l’Yonne dimanche en fin de journée aux rédactions, le torchon brûle entre le président de l’organe associatif politique, Pascal HENRIAT, et une frange contestataire de son bureau.

 

Exiger une nouvelle élection et choisir un autre président…

 

La raison est, on ne peut plus claire : ledit organe décisionnel ne peut plus cautionner la dérive de son président en chair. Ainsi, peut-on lire :

« Retrouver le président du MoDem Pascal HENRIAT dans une liste soutenue par Les Républicains, dirigé dans le département par Guillaume LARRIVE, sans l’accord de son bureau et voir maintenant que cette même liste où il est en troisième position est soutenue par Debout La France, le parti de Nicolas DUPONT-AIGNAN, n’est pas en adéquation avec les valeurs du mouvement démocrate… ».

Un peu plus loin, l’un des signataires de ce texte à charge contre Pascal HENRIAT précise que « les membres du bureau départemental n’ont jamais été concerté par la démarche prise par leur président ».

Et d’ajouter : « son refus de s’expliquer nous pousse aujourd’hui à demander officiellement la démission de Pascal HENRIAT qui bafoue la vision humaniste d’une Europe unie… ».

La conclusion de ce document n’offre pas d’autre alternative pour le bureau du parti en proie à une déchirure interne que de procéder à de nouvelles élections afin d’élire un nouveau représentant à sa tête, plus en accord avec les valeurs du mouvement.

Interrogé à la suite de la diffusion de ce texte via les réseaux sociaux, la réaction du premier intéressé ne s’est pas fait attendre !

Pascal HENRIAT, jamais avare de bons mots, dénonce la « fourberie » de certaines personnes du bureau alors que beaucoup de ses membres n’avaient pas été contactés au préalable par les instigateurs de ce courrier.

Rappelant qu’il avait été nommé chef de file du MoDem pour Auxerre pour discuter et négocier avec les candidats en lice aux municipales, Pascal HENRIAT avait fait le choix en janvier dernier de rejoindre la liste d’ouverture portée par Crescent MARAULT. Avec l’absolution de son président national : François BAYROU.

 

 

 

Une situation complexe dans bon nombre de villes en France…

 

Puis, ciblant volontiers Laurent DEVELLE (ce dernier est l’un des colistiers de la liste conduite par Guy FEREZ « Un Nouvel équilibre »), le leader départemental du MoDem précise de son côté qu’il n’avait été informé de ce choix.

Il est vrai que les orientations stratégiques du MoDem, d’une ville à l’autre dans l’Hexagone, ne sont pas régies sous le sceau de l’uniformisation et l’harmonie.

Et Pascal HENRIAT d’énumérer le soutien du parti centriste au maire sortant de Bordeaux qui est LR, voire celui de la même obédience idéologique du Touquet qui se bat contre les candidats de La République en Marche. Dans le fief d’Emmanuel MACRON, paradoxe !

Bref, difficile de s’y retrouver dans ce kaléidoscope nébuleux sur les choix politiques et stratégiques !

« Parlons du député Guillaume LARRIVE, ajoute un Pascal HENRIAT détendu, ce dernier qui est membre du bureau politique des Républicains apporte son soutien aux maires de Nice et de Toulouse alors que ces derniers sont investis pat LREM ! Or, je n’ai pas entendu Laurent DEVELLE protester contre ces investitures aux candidats soutenus au plan national par l’élu de l’Yonne. Existerait-il deux poids, deux mesures ?! ».

Le mot démission revient sous le feu des projecteurs. Pascal HENRIAT a lui-même demandé, il y a un mois, le retrait de Laurent DEVELLE pour cause de double appartenance anormale.

« Ce monsieur cumule des responsabilités importantes au sein du MoDem et de La République en Marche dont il est coordonnateur pour Auxerre, alors que cela est formellement interdit… ».

Serein face à ce qu’il qualifie d’un « peu d’affolement » dans le camp de Laurent DEVELLE, le chef de file du Modem n’accorde que peu de crédits à ces « petites manœuvres politiques » visant à le déstabiliser.

« Vous savez, conclut-il, dimanche prochain, les électeurs voteront en leur âme et conscience pour une liste d’ouverture du centre droit ou une liste LREM/PS menée par Guy FEREZ et ses dix-neuf années de mandature en tant que maire… C’est cela le plus important à mes yeux, pas les gesticulations de Laurent DEVELLE à qui on fait jouer le rôle du petit toutou charger de mordiller les mollets ! ».

Quoi qu’il en soit, la cohésion au sein du MoDem départemental méritera que l’on s’y intéresse de plus près après ces élections…

 

 


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