Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
ordre-des-experts-comptables-de-bourgogne-franche-comte.jpg
Région Bourgogne France-Comté
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Lycée Saint-Joseph de la Salle
chambre des métiers et de l'artisanat
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
Criquet Magazine
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Ordre des experts comptables de Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Expérimenter le sticker « Oui Pub », autorisant la dépose de documents à vocation publicitaires, à la place du traditionnel «  Stop Pub » qui en interdit toute réception dans les boîtes aux lettres, est l’une des 150 préconisations issues de la Convention Climatique Citoyenne. Une idée qui ne fait pas que des heureux si cet alinéa de la loi Climat était adopté par les parlementaires. Chez MEDIAPOST, beaucoup d’opérateurs s’inquiètent de perdre leur emploi à l’avenir…Acte deux de notre enquête.

 

AUXERRE : Quatorze années de bons et loyaux services s’inscrivent déjà au  compteur. Malgré cela, Sandrine LE GOFF ne rechigne jamais pour assurer la distribution par tous les temps de ces prospectus et autres dépliants à vocation commerciale qui sont aujourd’hui au cœur d’une sérieuse polémique. Une parmi tant d’autres, pourrait-on dire qui affecte les rouages opérationnels de cette belle société qui est la nôtre !

La stigmatisation récurrente de l’imprimé publicitaire telle qu’est vécue à l’heure actuelle ne fait pas la une des grands médias nationaux. Dommage, à vrai dire. Il y a pourtant péril en la demeure pour environ dix mille salariés de ces filières évoluant sur ce secteur qui risquent bientôt de pointer à Pôle Emploi si rien n’est fait dans le sens de la préservation de leur métier. Celui qu’exercent les collaborateurs de MEDIAPOST, une des filiales du groupe La POSTE appartenant à la branche service, courrier et colis.

Car, proscrire la distribution de ces informations commerciales de nos boîtes aux lettres telle qu’elle est suggérée par la Convention Climatique Citoyenne conduira à licencier à terme ces personnes. Dont certaines remplissent la tâche depuis fort longtemps avec des contrats aux horaires adaptés.

 

 

Le respect des distributeurs face aux autocollants « Stop Pub »…

 

Pour l’heure, l’expérience de l’autocollant « Oui Pub » à apposer sur les boîtes aux lettres n’est pas encore adoubée par le parlement. Mais, nous n’en sommes pas très loin. Il suffit que les députés la valident. Prendront-ils alors réellement conscience des enjeux économiques et sociétaux qui résulteront de leurs votes ?

Sur l’Auxerrois, sur les 47 076 boîtes aux lettres répertoriées, seules un peu plus de quatre mille d’entre elles disposent d’un autocollant « Stop Pub » sur leur couvercle latéral. Une signalétique que respectent scrupuleusement les employés de MEDIAPOST lors de leurs pérégrinations sur le terrain. Enfreindre la volonté du possesseur de la boîte à l’estampille de ce sticker très explicite est passible d’amendes.

« Le montant peut s’élever jusqu’à 1 500 euros, concède Hubert PREVOT, responsable de la plateforme de distribution à Auxerre.

 

 

Depuis plusieurs mois, les autocollants interdisant l’accueil de la promotion commerciale par dépliants dans les boîtes aux lettres sont en augmentation sur ce secteur de l’Yonne. Les zones rurales sont nettement moins touchées par cette tendance. Sans doute parce que moins destinataires de la publicité. Toutefois, annuellement, ce sont près de 50 à 70 kg de ces documents imprimés qui arrivent dans nos boîtes. D’où l’ire de certains réfractaires à ce mode de communication qui rejettent l’idée de recevoir de manière hebdomadaire ce monceau de papier.

 

 

A Auxerre comme à Sens, les distributeurs de MEDIAPOST tremblent pour leur avenir…

 

En France, 30 % de nos concitoyens ont déjà posé le fameux sticker informatif sur leurs boîtes aux lettres. Douze points de mieux qu’en 2015…

Supprimer la distribution de ces imprimés publicitaires déstabiliserait à coup sûr toute une filière. Celle de la distribution, en particulier. Le métier que pratique avec tant de passion Sandrine.   

Travaillé au moins six fois, le papier utilisé à la conception de ces prospectus nourrit également tous les emplois du recyclage. Sans parler des transporteurs, des imprimeurs, des publicistes, des graphistes, des commerciaux de la presse et diffusion.

 

 

Mais, ce qui perturbe le plus Sandrine LE GOFF, c’est de priver d’un lien social toute une frange de la population, généralement des seniors, qui se procurent de l’information en parcourant ces flyers une fois installé dans un fauteuil. Une source de renseignements vitale pour celles et ceux qui ne comprennent que couic à la technologie du digital.

Aujourd’hui, les vingt-six personnes qui exercent leurs activités au sein de la plateforme MEDIAPOST d’Auxerre (elles sont 21 à Sens) tremblent pour leur avenir. Si la décision encouragée par les écologistes était acceptée par la voie parlementaire, ce serait 50 % des effectifs qui seraient ainsi rayés de l’organigramme.

Un étrange paradoxe alors que six Français sur dix disent consulter dès qu’ils les réceptionnent ces documents aujourd’hui voués au rebut.

25 millions de ces imprimés publicitaires transitent par le centre auxerrois à date. Combien en restera-t-il si cet alinéa de la loi Climat venait à être promulgué demain ?

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Ultime ligne droite pour EFC Prévention ! Une veillée d’armes vécue avec impatience par son dirigeant Ludovic BERTEAU. Celui-ci concrétisera ce mercredi 28 avril le lancement de sa chaîne d’information, accueillie sur « Youtube ». Objectif : distiller à l’aide d’une dizaine d’épisodes un contenu informatif approprié pour faire toute la lumière sur la prévention des risques professionnels. Novateur dans la cité de Nicéphore NIEPCE !

 

CHALON-SUR-SAONE (Saône-et-Loire) : Nom de baptême de ce média flambant neuf accueilli sur une plateforme numérique : « Pause Prévention ». Vocation : informer par le prisme d’une dizaine de rendez-vous la sphère entrepreneuriale sur les risques professionnels. La tasse de thé de la société EFC Prévention.

Les trois coups de cette nouvelle aventure digitale seront donnés ce mercredi 28 avril dès 10 heures.

Chaque épisode de ce feuilleton au scénario sans fausse note abordera l’un des nombreux items relatifs à ces risques professionnels dont la TPE de Bourgogne du Sud a fait son cœur de cible.

Parmi les thématiques traitées, citons la sécurité au travail, l’évaluation des risques professionnels, les démarches de prévention, la reconnaissance de son organisation en matière de santé, sécurité et transmission d’entreprise, etc.

Diffusée de manière hebdomadaire chaque mercredi à pareil horaire, la série va permettre à EFC Prévention de faire connaître le métier d’intervenant en prévention des risques professionnels (le fameux acronyme IPRP) autrement !

 

 

Opérationnelle depuis 2016, la structure pilotée par Ludovic BERTEAU, l’une des figures de la Jeune Chambre Economique de Bourgogne-Franche-Comté puisqu’il en est l’un des vice-présidents, aura reçu le soutien de la CPME de Saône-et-Loire pour mener à bien ce projet insolite.

Membre de l’organisation patronale, l’entreprise jouit de l’un des bureaux de la vénérable institution à Chalon pour y réaliser ses tournages réguliers.

Auteure et scénariste de talent, Axelle GASNE a apporté son précieux concours dans la conception du projet un brin novateur. Quant à Mélanie DELAUDE, jeune graphiste possédant une créativité débordante, elle fera germer toute son imagination. A consommer sans l’once d’une modération !

 

En savoir plus :

https://www.youtube.com/channel/UC7ICqretyDAH5Gq6vun5WeQ

 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le « faire savoir » est incontestablement l’un des axes de réflexion prioritaires qui titille à l’heure actuelle les esprits véloces des membres du mouvement citoyen de Bourgogne-Franche-Comté. D’autant qu’avec l’amorce de la probable reprise des activités, le calendrier 2021/2022 risque de connaître une recrudescence de manifestations dont il faudra assurer la promotion. A commencer par le Congrès régional, voire une Convention nationale pouvant être accueillie à Auxerre en 2022…

 

AUXERRE : Certes, il existe une kyrielle de réseaux sociaux pour véhiculer ses communications vers le plus large public possible. Mais, les adhérents de la Jeune Chambre Economique de Bourgogne-Franche-Comté le savent pertinemment en leur for intérieur : informer par ce canal numérique n’aura jamais le poids d’un vrai relais médiatique.

En conséquence, une douzaine de leurs représentants se sont penchés sur la question du nécessaire développement de leurs relations avec la presse lors d’un webinaire, proposé ce mardi 20 avril en début de soirée. Une idée qui avait été suggérée en amont par le vice-président de la structure associative régionale, le Chalonnais Ludovic BERTEAU.

En charge du développement et des partenariats de la vénérable institution, l’ancien président de la JCE de la sous-préfecture de Saône-et-Loire a donc bâti un projet favorisant le contact quasi direct mais derrière un écran interposé avec un représentant de la sphère médiatique (en l’occurrence votre serviteur) et une douzaine de membres, tous enclins à en découvrir davantage sur les us et coutumes de la corporation. Une caste professionnelle qui fait parfois montre d’hermétisme avec les représentants de la JCE, souvent assimilée à la famille des clubs services.

 

Des évènements d’envergure sur l’exercice 2021/2022 à promouvoir auprès des médias…

 

Naturellement, les interrogations fusèrent durant cet entretien de près d’une heure et demie, où il fut principalement question de l’opportunité de se doter d’un fichier presse actualisé, voire personnalisé, et de stratégies à décliner autour de l’envoi de l’inévitable communiqué de presse aux médias.

Quelles informations indiquées sur ledit document afin de capter l’intérêt des journalistes ? Comment les rendre attractifs sachant que pléthore de ces envois tombent au quotidien dans les boîtes mails des professionnels de la presse écrite, radiophonique, audio et numérique ? Comment entretenir des relations pérennes et sérieuses avec les observateurs de l’information en travaillant sur la confiance ?

Bref, ce fut autant de thématiques passionnantes qui s’égrenèrent au fil de la conversation. Des éléments de réponse furent annotés consciencieusement par le rapporteur de la soirée, Ludovic BERTEAU en personne qui se chargea ensuite de les résumer à l’instant  crucial de la conclusion.

Le panorama des futures échéances évènementielles incite forcément les membres de la JCE à accroître leurs liens avec la presse ; d’autant que l’organisation du congrès régional se confirme à Auxerre pour la fin de l’année. Le club local a même candidaté pour obtenir l’accueil d’une convention nationale courant 2022. Sachant que pour l’heure, seule la capitale de l’Yonne a déposé un dossier de candidature.

Les relations avec la presse vont devenir très vite une priorité pour les clubs que compte la Jeune Chambre à l’échelle régionale en vue de ce copieux planning.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le « Lundi au soleil » est une chose que l’on ne voit jamais dit la chanson ! La cheville ouvrière de la Fabrique à Entreprendre du Grand-Sénonais Magalie CONDUTEAU-TAVARES a eu tout le loisir de s’en apercevoir en ce début de la Semaine de l’entrepreneuriat et de l’emploi. Face aux caméras de la TV de l'YONNE (ex-COMCOM TV), elle a endossé la vêture d’une journaliste de choc. Le temps d’interviewer in extenso des spécialistes de l’info et de la communication…

 

ROSOY : Comme un poisson dans l’eau ! La responsable de La Fabrique à Entreprendre du Grand-Sénonais aurait-elle déjà exercé un job similaire dans une vie antérieure sur les plateaux de télévision ?

Animatrice de la première journée de la Semaine de l’Entrepreneuriat et de l’Emploi orchestrée jusqu’au 02 avril sous la forme de webinaires par le Grand-Sénonais, l’Office du Commerce et de l’Artisanat du Grand-Sénonais (OCAGS) et la CCI, la jeune femme a enchaîné les prestations informatives soutenues tout au long d’une journée au rythme intense.

Affûtant ses questions, elle a assuré le lien entre les internautes désireux d’intervenir par des chats adressés aux orateurs successifs. Magalie CONDUTEAU-TAVARES n’a in fine guère eu le temps de souffler entre deux interlocuteurs.

 

 

 

 

 

Cet exercice de prise de parole, grandeur nature et devant les caméras, n’était guère facile à appréhender ; d’autant que les interviewés, issus du sérail de la presse et de la communication, avaient moult choses à dire sur les bonnes pratiques à mettre en place afin de conseiller au mieux les entrepreneurs dans leurs échanges avec les journalistes.

Même le directeur de la communication de l’Agglo et de la Ville de Sens Philippe BLANCHOZ se prêtait au jeu, abordant l’un de ses thèmes familiers dont il use au quotidien : le développement des relations avec la presse ! Un exercice très utile…

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’exercice, second du genre en l’espace de dix-huit mois, se voulait fédérateur entre les organisations professionnelles réunies sous le même toit. Par les temps qui courent, concevoir une conférence de presse avec un panel aussi représentatif et éclectique que celui qui fut proposé ce 26 février à Dijon ne pouvait qu’interpeller la caste médiatique. Bingo pour les instigateurs de ce rendez-vous oratoire ! Nombreux furent les journalistes présents, alléchés par ces prises de parole successives qui auront permis de mieux appréhender les réalités économiques actuelles…

DIJON (Côte d’Or) : Un succès ? Non, un plébiscite ! Il est à mettre à l’actif des huit organisations professionnelles régionales, unies comme les cinq doigts de la main, autour de ce grand oral qui devait prendre la forme d’une rencontre ouverte avec la presse.

Le nombre de confrères ayant effectué le déplacement des quatre coins de la Bourgogne Franche-Comté pour ne pas en perdre une miette était plutôt conséquent pour ce genre d’exercice. Sans doute moins excitant que des joutes politiques en période électorale mais beaucoup plus intéressant de surcroît quant à sa finalité informative.

L’animation accueillie dans l’un des salons de l’Holiday Inn, situé dans le Parc de la Toison d’Or, n’avait d’autre objectif que de balayer de la manière la plus exhaustive les points essentiels d’une actualité riche et marquée par l’omniprésence néfaste de la crise sanitaire.

Exemples à l’appui, étayant leurs propos de chiffres et de pourcentages, les intervenants inféodés à l’esprit d’initiative et volontaires dans l’action prirent à tour de rôle la parole.

Ils brossèrent de manière plus ou moins succincte selon les interlocuteurs un tableau pertinent et révélateur de la situation réelle vécue sur le terrain par leur corporation.

Bref, une belle brochette de personnalités, issues de la sphère entrepreneuriale qui aura fait fi du pathos habituel pour aborder ce style de rendez-vous au bilan forcément très délicat compte tenu de l’âpreté d’une conjoncture atone.

Plutôt que de se lamenter sur leur sort, douze mois après le début de la pandémie, ces leaders institutionnels et du monde de l’entreprise ont su véhiculer des messages d’espérance et d’optimisme. De confiance, aussi, eu égard aux interventions salvatrices de l’Etat et de la Région, saluées de façon unanime.

 

Une crise sociale plus qu’une crise économique…

 

Le fil d’Ariane légitime de cette causerie de près de deux heures se nommait la relance économique de nos territoires. Une relance à laquelle souscrit l’ensemble de ces organisations, à savoir le MEDEF, la CPME, la FFB, la CAPEB, l’UNICEM, la FNTR (fédération des transports routiers) ou encore la CMAR BFC, c’est-à-dire la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de notre contrée.

Sans omettre, il va de soi, la Fédération régionale des Travaux Publics, initiatrice de cet échange interprofessionnel de bel aloi.

Introduisant les débats, Vincent MARTIN, président de la FRTP BFC, fit part à maintes reprises de sa satisfaction de se retrouver en présence d’un tel aréopage corporatiste pour évoquer la situation économique du moment.

Heureux de l’initiative, il insista lourdement sur un point fondamental à ses yeux. Un credo qui revint en boucle dans son discours : « La relance économique passe par son application sur les territoires… ».

 

Au-delà du contexte anxiogène et de son impact délétère sur les collaborateurs de ces milliers d’entreprises, représentées par ces organisations, le patron de la société Roger MARTIN craint plus que tout autre chose les effets de la foudre dévastatrice, celle de la crise sociale se faisant menaçante, au cours de ces prochains mois.

« Nous sommes davantage dans une crise sociale qu’économique, devait-il souligner, or, grâce à la solidarité qui existe entre nous, et en se créant des opportunités nouvelles en matière de travail, nous allons sortir de cette ornière… ».

 

 

Préserver l’emploi et les entreprises en instaurant la confiance sur l’avenir

 

Toutefois, le président de la FRTP régionale, même s’il s’accorde à dire que son secteur n’est pas le plus à plaindre en ces instants difficiles, s’est montré très inquiet devant cette incertitude totale qui se présente devant nous.

Entre ces périodes successives de stop and go qui sont préjudiciables à la hausse du moral de nos concitoyens et une morosité latente qui ne cesse de s’étendre sur le territoire, Vincent MARTIN a aussi démontré toutes les failles du télétravail lors de ses explications.

Ce système encouragé par la digitalisation possède, certes, ses vertus mais il ne doit pas se généraliser à outrance dans le milieu professionnel.

L’une des grandes préoccupations du patron des travaux publics régionaux est la progression des attitudes dépressives, inhérentes au manque de libertés, et sources d’une  hausse croissante de l’accidentologie sur les chantiers.

Rassurer les collaborateurs, instaurer une ambiance sereine autour d’eux, faire montre d’empathie sont autant de solutions déclinables sur les chantiers d’aujourd’hui. A l’instar des autres organisations qui devaient s’exprimer, tous ont à cœur de soutenir l’emploi et de préserver les entreprises en ces durs moments de la vie. C’est peut-être cela, la meilleure définition de la relance vu par le prisme de l’économie…et de ses acteurs.

 

En savoir plus :

Ont participé à cette conférence de presse

Vincent MARTIN, président de la FRTP BFC,

Jean-Philippe RICHARD, Président du MEDEF BFC,  

Georges GRENIER, Président de la FNTR,

Bernard LABOREY, Président de la FFB BFC,

Louis DEROIN, Président de la CPME BFC

Francis VOELIN, Président de la CAPEB BFC.

Christophe BAUDUIN, Président de l’UNICEM BFC

Et Manuela MORGADINHO, Vice-Présidente de la CMARBFC.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil