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Ravalant ses sanglots, le visage marqué par une intense émotion, le président du Conseil départemental de l’Yonne Patrick GENDRAUD a rendu un vibrant hommage à l’un de ses compagnons de route en politique, le regretté maire de Montholon, William LEMAIRE, élu DVD de la vénérable institution. Il est décédé ce mardi 20 novembre, à l’âge de 66 ans, après avoir lutté courageusement contre un mal implacable. Avant l’ouverture des travaux de cette session, l’assistance a procédé de manière solennelle au respect de la minute de silence en l’honneur de son collègue trop tôt disparu…

AUXERRE : « William, c’était un homme sérieux qui ne se prenait pas au sérieux… ». Emu jusqu’aux larmes, et la voix emplie d’une charge émotionnelle lourde à supporter, le président du Conseil départemental de l’Yonne, Patrick GENDRAUD a salué la mémoire de son vieil ami, William LEMAIRE, disparu en début de semaine. En évoquant son cousinage.

Agé de 66 ans, cette figure populaire du sérail politique de l’Yonne, qui avait obtenu l’Ordre national du mérite en 2011, siégeait de manière permanente au département depuis une décennie.

Elu DVD dans le canton de Charny, il assurait son mandat de conseiller départemental avec beaucoup d’abnégation et de volontarisme aux côtés d’Irène EULRIET-BROCARDI.

Ancien professionnel du monde de l’assurance, William LEMAIRE s’était pris d’une passion pour le devenir de son territoire et de la commune d’Aillant-sur-Tholon. Il en assumera le rôle de maire en 2001. Puis, il brigua un second mandat d’élu local dans la commune nouvelle de Montholon.

Vice-président de la Communauté de communes de l’Aillantais, William LEMAIRE laissera le souvenir d’une personnalité très généreuse, altruiste et toujours à l’écoute de ses concitoyens. Sa bonhomie et son sens de l’humilité manqueront cruellement au sein de l’hémicycle départemental…


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Déclinant un cycle de trois conférences dispensées à l’échelle du territoire régional, les exégètes du cabinet d’experts-comptables de Bourgogne Franche-Comté ont pris soin d’expliciter avec moult détails les multiples facettes de ce nouveau dispositif applicable au 01er janvier 2019. Face à eux, invités dans les salons du Mercure Auxerre Nord, étaient présents des dirigeants d’entreprises et des cadres administratifs soucieux d’en percevoir toutes les aspérités techniques avant que ne survienne la date fatidique…

APPOIGNY : Prévu par la dernière loi de finances, le prélèvement à la source des revenus sera mis en application en France dès le premier janvier prochain. Soit dans un delta temporel de quelques jours à peine, pour les irréductibles réfractaires au changement !

Et celui-ci sera de taille. Du côté des salariés qui disposeront d’une perception plus en phase avec la réalité économique sur le plan de leurs émoluments professionnels. Mais aussi, auprès des entreprises et de leurs services ad hoc qui assument la gestion des paies et des ressources humaines.

Bref, ce charivari administratif de poids inquiète déjà bon nombre de structures entrepreneuriales n’ayant pas fait preuve de beaucoup d’anticipation avant l’avènement du jour J !

L’initiative du cabinet d’expertise comptable s’avérait donc judicieuse à plus d’un titre. Structure certifiée Qualité Iso 9001 depuis plus de douze ans, CAPEC possède en ce sens une solide expérience de l’approche juridique et fiscale de l’entreprise.

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L’éclairage pertinent de trois professionnels maîtrisant leur sujet

Créé en 1957, le cabinet dijonnais (il externe son influence aujourd’hui sur les huit départements que compte la Bourgogne Franche-Comté) a su diversifier ses activités dans la réalisation d’audits et de préconisations de conseils.  

C’est dans ce cadre précis que trois de ses spécialistes animaient cette session conférence accueillie dans l’un des salons d’honneur de l’hôtel Mercure Auxerre Nord.  

Figurant parmi les tous premiers cabinets indépendants à l’être au niveau national, CAPEC se prépare depuis plusieurs mois à cette étape qualifiée de fondamentale dans la perception de l’impôt en France. Le désir de concocter des conférences départementales s’est vite imposé afin de rendre claire et limpide l’information, sous une forme participative, fluide et intelligente.

Aidant à mieux comprendre les arcanes techniques de ce nouveau dispositif, Karine BON, responsable de la filiale CAPEC RH, Yves PATHIAUX, conseiller auprès des entreprises CAPEC et Thomas CHARBONNIER, expert-comptable stagiaire CAPEC, ont fait preuve de pédagogie pour transmettre les informations capitales sur ce sujet qui l’est tout autant.

Apportant leur éclairage pertinent, à partir d’exemples concrets, les spécialistes de CAPEC ont évoqué le rôle de l’employeur, celui du salarié, de l’administration fiscale, au centre de ce nœud gordien, et surtout de la mise en œuvre pratico-pratique de ce fameux prélèvement à la source dont on parle tant. Sans omettre de réaliser un focus distinctif sur l’année blanche…qui ne l’est pas tant que cela in fine !

 

 


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Alors que l’antépénultième projet d’électrification de la ligne ferroviaire reliant Auxerre à Laroche-Migennes avait été validé de longue date par l’ensemble des acteurs de la classe politique régionale, la récente décision de la Région d’en abandonner son principe a abasourdi les représentants de l’Union de la Droite et du Centre de Bourgogne Franche-Comté, opposé unanimement à ce refus. Quant aux élus de l’Union pour l’Auxerrois (UPA), ils se disent profondément scandalisés par l’anéantissement de ce projet prioritaire aux conséquences importantes pour le développement économique du territoire…

AUXERRE : « C’est absolument inacceptable pour l’Auxerrois : la décision de ne pas donner suite à l’électrification de ce tronçon ferroviaire qui relie sur une vingtaine de kilomètres la capitale du département à la gare de Laroche-Migennes représente une véritable hérésie. Nous ne pouvons pas l’admettre… ».

Se sentant groggy, voire K.O. debout, trois des élus de l’Union pour l’Auxerrois (UPA), l’opposition à l’actuelle majorité de la municipalité, ne comprennent pas le rejet de ce projet, « pour le moins surprenant ».

Elisabeth BILLEBAULT, Michèle BOURHIS et Jean-Pierre BOSQUET essaient tant bien que mal d’assimiler cette décision irrévocable. Nonobstant, elle leur reste en travers de la gorge. Avec un désagréable goût d’amertume bien ancré au fond du palais.

« Ce projet structurant et indispensable pour apporter une dynamique supplémentaire au bassin économique de l’Auxerrois a été abandonné sans aucune compensation, explique Jean-Pierre BOSQUET, porte-voix de ce trio d’élus qui se sent lésé par cette décision arbitraire, alors qu’au même moment, la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois engage 35 millions d’euros d’investissement dans la zone d’activité d’Appoigny. Paradoxe : une enveloppe de 36,2 millions d’euros était affectée à la conceptualisation de ce projet ! Comment peut-on décemment remplir cette future zone d’activité sans mettre à la disposition des investisseurs et des dirigeants d’entreprises une ligne électrifiée fluide, rapide et sans interruption à Laroche ? ».

Les trains à hydrogène : une solution encore hypothétique…

S’insurgeant contre l’absence de concertation de la part des élus de la majorité auxerroise, Jean-Pierre BOSQUET enfonce le clou. Quid du nombre d’emplois perdus pour des territoires mieux desservis ?

« Nous ne souhaitons pas avaliser cette vision qui renforce l’isolement de notre territoire au détriment de son attractivité, renchérit l’élu UPA, ce qui prime avant toute chose, c’est le bien-être des habitants et leur sécurité. Car, pas ce biais, l’automatisation de la signalisation a été également rejetée… ».

Et l’élu de préciser lors de cette conférence de presse que « le futur ouvrage construit pour supprimer le passage à niveau de Jonches n’est pas prévu avec une hauteur suffisante pour implanter des caténaires… ».

Quant à la perspective de voir circuler un jour des TER à hydrogène (la solution de remplacement préconisée par la Région-voir notre article), elle ne semble pas emballer les élus de l’UPA, réfractaires à la pertinence immédiate de son fonctionnement.

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« Tout ceci est extrêmement hypothétique, ajoute Michèle BOURHIS, certes, ces trains sont déjà expérimentés en Allemagne. Mais, personne n’imagine qu’ils puissent être réellement opérationnels en France avant une douzaine d’années. Cela devant induire un coût d’installation très élevé… ».

Pourtant, la Région Bourgogne Franche-Comté a consenti de budgétiser une aide d’1,33 million d’euros à la création d’une station de stockage à hydrogène afin d’alimenter le réseau de bus de l’Auxerrois.

« On n’a rien contre l’hydrogène qui représente peut-être l’avenir des transports ferroviaires, concède Jean-Pierre BOSQUET, mais en l’état actuel des choses, nous ne disposons pas d’éléments suffisants pour en appréhender la parfaite maîtrise à tous les niveaux. Selon les estimations de spécialistes, plus de 50 millions d’euros devraient être nécessaires pour équiper en rames cette seule ligne entre Auxerre et Laroche-Migennes. Cela a horizon 2022/2025… ».

Et se faisant l’avocat du diable, l’élu de rajouter avec une pointe d’ironie dans la voix : « et en admettant que cela fonctionne correctement et après homologation de la part du réseau Sécurité SNCF ! ».

Quant à l’accueil de cette typologie de trains en gare de Paris Bercy, il coulera beaucoup d’eau sous les ponts avant que l’infrastructure de la capitale puisse être équipée convenablement.

Un projet désapprouvé par les sages du CESER…

Les élus de l’UPA ne sont d’ailleurs pas les seuls à émettre des réserves sur la pertinence de ce dossier. Le CESER de Bourgogne Franche-Comté a fait état de son avis au terme d’une séance de travail où la vénérable institution n’approuve pas l’expérimentation de l’hydrogène sur cette ligne (Auxerre/Laroche-Migennes) en raison des délais de mise en œuvre. Quant à la FNAUT, elle rappelle que le transport ferroviaire demeure essentiel à la mobilité des cadres et dirigeants d’entreprises depuis Paris pour optimiser l’essor de ce territoire.

« Ce qui est réellement inquiétant derrière cette décision, ajoute Elisabeth BILLEBAULT, c’est que les usagers se trouvent en position d’otages. Les déplacements depuis Auxerre par le ferroviaire sont complexes par manque de fluidité. Une ligne directe, bénéficiant de l’électrification afin d’être raccordée au réseau classique, éviterait toute interruption du voyage, davantage de sécurité et de confort, en occultant les problématiques de correspondance… ».

L’abandon de ce projet d’électrification apparaît comme un coup dur porté au développement économique.

« Il est inimaginable qu’en 2018 les Auxerrois ne soient pas encore reliés de manière directe à Paris, martèle Jean-Pierre BOSQUET, les Auxerrois attendaient la concrétisation de ce projet depuis plus de dix ans. C’est une véritable déception ».

Du point de vue écologique, le Diesel bi-mode semble s’installer pour longtemps sur cette ligne d’une autre époque qui comporte de nombreux arrêts subalternes. Poussant derechef les voyageurs à choisir leur automobile pour se rendre dans la capitale. Un comble !

 


 


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Réuni en séance plénière le 15 novembre dernier à Dijon, le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté a voté le retrait de l’étude/projet qui se rapportait à l’électrification du tronçon ferroviaire compris entre Auxerre et Laroche-Migennes. Soit l’aménagement d’un parcours d’une distance de 19 kilomètres. Dans un amendement oral, relatif à ce projet, l’exécutif régional a fait savoir que l’abandon de ce projet d’électrification se ferait au profit de l’expérimentation de trains à hydrogène, une alternative favorable à la réduction des énergies fossiles…

DIJON (Côte d’Or) : Partant de la formule suivante que « l’énergie de demain doit être abondante, durable et adossée à des ressources renouvelables afin d’envisager de manière pérenne une alternative aux énergies fossiles », l’Assemblée régionale, réunie en session plénière le 15 novembre dernier, a pris acte de ce postulat. L’organisme institutionnel s’est exprimé en rejetant l’antépénultième projet d’électrification de la ligne Auxerre/Laroche-Migennes.

Un concept qui avait été pourtant inscrit dans le cadre du Contrat de Plan Etat Région 2015/2020. Il bénéficiait d’une enveloppe budgétaire conséquente, évaluée à 36,2 millions d’euros.

Or, du fait de la nouvelle orientation validée par la Région, après un scrutin qui n’aura pas été, et de loin, unanime (l’Union de la Droite et du Centre de Bourgogne Franche-Comté ayant rejeté en bloc cette décision sujette à controverse depuis par les élus de l’opposition), la nouvelle enveloppe financière allouée pour ces travaux s’élève dorénavant à 7 millions d’euros.

Elle devrait être affectée à l’expérimentation de trains à hydrogène. Une alternative technologique qui se présente comme une énergie d’avenir afin d’envisager un développement économique sans carbone.

Suivant l’avis prudent du Conseil d’orientation des infrastructures qui trouvait le projet d’électrification initial quelque peu risqué dans sa conception, la Région s’est adossée à cette ligne. En s’appuyant en parallèle sur une préconisation qui mettait in fine en exergue l’expérimentation du train à hydrogène.

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Le rôle déterminant joué par ALSTOM…

Partenaire majeur de la transition et de la mobilité énergétiques, ALSTOM a testé en Allemagne, dans la région de Basse-Saxe, quatorze locomotives de dernier cri, équipées d’une pile à combustible.

Baptisé le « CORADIA iLint », ce train des temps nouveaux, distingué par notre confrère Europe 1 qui lui a décerné l’un de ses trophées de l’avenir 2018, se déploie aujourd’hui à grande vitesse dans d’autres pays du Vieux Continent, plus avancés sur la filière hydrogène. C’est le cas de la Grande-Bretagne, de la Belgique, des Pays-Bas ou encore de la Scandinavie.

L’équipementier ferroviaire franc-comtois qui produit cette nouvelle génération de trains en Allemagne explique que l’hydrogène offre un moyen de remplacer avec efficience le Diesel, tout en évitant de coûteux investissements des lignes.

Quant à l’hydrogène, il serait obtenu dans le cadre du projet « EOLBUS », qui pourrait être déployé au cours de ces prochains mois dans l’Yonne. En terme clair, il s’agirait de produire de l’énergie à partir des parcs d’éoliennes implantées sur le département icaunais. Celle-ci serait ensuite stockée sous forme d’hydrogène. Contenu dans une station de remplissage, le gaz alimenterait in fine aussi bien les bus que les rames de TER.

 


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Une vingtaine de jeunes scolaires, issus des classes de troisièmes des collèges Paul Bert et Saint-Germain à Auxerre, ont été immergés parmi les salles de cours et les ateliers de la Maison de l’Entreprise et du Pôle Formation des Industries technologiques Nièvre Yonne. Cet exercice de communication représente une excellente manière de promouvoir la filière et ses opportunités auprès des jeunes générations…

AUXERRE : Accompagnés de leurs enseignants, une vingtaine de collégiens ont eu la faculté de découvrir les formations et les métiers proposés par la filière de l’industrie technologique. Ils se sont retrouvés, en guise de préambule, dans l’amphithéâtre du Pôle Formation afin d’y découvrir les cycles pédagogiques dispensées par l’établissement.

Là, plusieurs surprises les attendaient. Dont la présence de « Pepper », le robot humanoïde avec lequel ils purent réaliser des « selfies » à satiété. Une autre vision de l’industrie technologique du futur fut assurée par la découverte de la réalité virtuelle.

Cette plongée dans un modernisme bien tangible fut l’occasion de pouvoir appréhender le mode de conception des objets grâce à un casque proposant la 3D. La visite des ateliers et lignes de production complétera ce parcours passionnant où les jeunes visiteurs prirent le soin de poser de nombreuses questions. La projection de court-métrages, conçus par des apprentis sur le lieu de formation, clôtura cette découverte d’un monde corporatiste passionnant.

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Des séquences pédagogiques pour favoriser le parcours Avenir…

Expérimentée depuis 2017 dans la Nièvre, mais également dans le département limitrophe de l’Yonne, l’action a pour finalité de convaincre le jeune public scolarisé de la bienséance de cette filière. Loin des préjugés habituels.

La formule plaît manifestement auprès des jeunes. Ainsi, le 06 décembre prochain, ce sont 44 élèves du collège des Loges qui sont attendus au Pôle Formation de Nevers. Quelques jours plus tard, le 16 du même mois, seize élèves du collège de Marzy vivront une aventure similaire. Il en est de même côté Icaunais.

Permettre aux collégiens et lycéens de ces deux départements de se faire une opinion réelle de la filière industrielle demeure la priorité absolue de cette animation. Elle représente un vecteur inéluctable en matière d’employabilité. Chaque année, les professionnels peinent pourtant à pourvoir des postes stratégiques au sein de leurs entreprises, faute de prétendants.

Pour parvenir à l’effet inverse, le parcours « Avenir » répond à ce besoin. Il s’adresse à tous les élèves de la sixième jusqu’à la terminale. Ce dispositif concerne chaque niveau y compris les sections d’enseignement général et professionnel adapté (SEGPA) au collège et les unités localisées pour l’inclusion scolaire (ULIS).

Le but est le suivant : faire comprendre aux élèves que le monde économique et professionnel offre des possibilités diverses d’emplois. Conséquence : bien connaître les métiers et leurs formations favorise en fait la projection que les jeunes gens peuvent s’en faire avant de procéder aux choix de l’orientation scolaire et professionnelle. Un choix qui sera déterminant dans le cadre d’une future carrière.

 


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