Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Encore auréolée de sa série de concerts qu’elle a donnés au Théâtre des Muses dans la principauté monégasque, la chanteuse icaunaise clôt l’année 2018 de la plus belle manière qu’il soit. Elle invite ses fidèles mélomanes à la suivre dans son cheminement artistique lors de deux ultimes prestations, proposées dans sa ville natale de Sens.  Les 15 décembre, sur la scène du coquet théâtre local, l’interprète des œuvres éternelles de Piaf et de Barbara offrira un florilège de morceaux, issus du répertoire éclectique de la chanson française. Cerise sur le gâteau : la « jolie fleur » de ce « Jardin de soi » hétéroclite dévoilera ses compositions personnelles. Immortalisés, les récitals seront captés en perspective d’un premier opus en live…

SENS : Samedi 15 décembre à 16 heures et à 20h30. Ce sera un ultime tour de piste à honorer pour l’artiste sénonaise, avant qu’elle ne tire le rideau sur une année particulièrement dense. Ces deux récitals qu’elle accorde à son public originel, celui de sa ville natale qui l’a toujours suivi depuis ses débuts, ne devraient pas être dépareillés des autres rendez-vous scéniques qui caractérisent ses remarquables prestations.

Chaleureux, enthousiastes, enivrants, magiques. En communion fusionnelle avec son public, l’ambassadrice de charme de cette terre de l’Yonne, dynamique et lyrique, exporte les facettes protéiformes de son talent au-delà des frontières de l’hexagone.

La tessiture de sa voix, cristalline, mêlant puissance et douceur, joue sur les octaves et la respiration. Elle se pose délicatement sur les textes écrits par des auteurs qui ont su servir avec panache les plus grands noms de la chanson et variété françaises.

« Jardin de soi » : un voyage intimiste parmi l’univers de l’artiste

Barbara, Piaf, Greco, mais aussi Dalida, Jeanne Moreau ou encore Françoise Hardy s’invitent avec délectation sous la lumière des projecteurs dès que la « Môme » Christelle entre dans la danse.

Le set se déroule ainsi pendant près de deux heures avec bonheur, grâce à l’interprétation sensible d’une artiste qui ne triche pas avec ses émotions. Ni avec celles et ceux qui l’apprécient.

Nous conviant à un voyage intimiste dans ce « Jardin de soi », la chanteuse, devenue mâture et ultra professionnelle jusqu’au bout des ongles depuis qu’elle promène sa silhouette sur des scènes internationales (Pologne, Russie, Etats-Unis…), grâce au travail dévoué de son époux, Pierre, manager, producteur et organisateur de concerts parfois improbables, baisse la garde.

milieu articles

Déjà à travers le sens déontologique de ce double récital, baptisé « Jardin de soi ». Une subtile référence littéraire qui se joue de l’étymologie autour du jardin secret (celui que l’artiste porte bien ancrée en elle), du jardin d’Eden (ce côté paradisiaque qu’elle souhaite procurer à ses aficionados lors de ces précieux instants partagés sur scène) et du simple jardin botanique, où éclosent de belles pépites, ces pétales de roses qui prennent l’apparence de chansons superbement distillées, formant d’incomparables bouquets de fleurs à l’envoûtante beauté.

Ensuite, parce que pour la première fois, la chanteuse se met à nue. Par le truchement de ses textes et compositions. Christelle LOURY, femme rebelle mais aussi femme conquérante dans ce milieu artistique parfois machiste revendique les atours de la féminité. Les conditions de celles-ci au cœur d’une société où elles sont de plus en plus malmenées…

Fraîches, incisives, narratives : ces chansons qu’elle a su élaborer patiemment en prenant le  temps de la réflexion et du phrasé juste évoque l’amour, le quotidien de l’existence, la vie, tout simplement. L’auteure flirte aussi avec des thèmes plus actuels comme l’environnement.

Le calibrage hors pair d’instrumentalistes de métier

L’inaltérable compagnon de route musicale, pianiste et arrangeur de son état, François MAGNIER officiera de manière prépondérante derrière le piano. Lui, le musicien qui a collaboré avec Michel LEGRAND, Robert HOSSEIN et Luciano PAVAROTTI. Excusez du peu, mais l’artiste de l’Yonne sait s’entourer de réelles pointures pour porter haut son niveau de prestation scénique. Christelle a choisi de confier les notes de basse à un ancien partenaire du regretté Didier LOCKWOOD, Flavio PERRELLA.

Leader du groupe « BUZZTOWN », le guitariste Hugues RENAULT régalera le public de sa virtuosité, en égrenant les notes avec dextérité technique. Quant au batteur et percussionniste, qui complète ce quatuor, Jean-Baptiste PINET, il est issu de la grande famille des musiciens de jazz. Autant le dire : c’est  un surdoué des fûts et des toms.

Et le public, dans tout cela ? Outre le principe naturel de venir applaudir l’artiste pour la qualité de sa prestation, il aura lui aussi un rôle essentiel à interpréter. En parfaite osmose avec la philosophie et le concept participatif de ce spectacle.

Une petite carte lui sera remise avant le show. Ce document servira à cocher les préférences musicales de chacun. Les morceaux les plus plébiscités par l’auditoire devant constitués ensuite la liste de chansons qui figurera sur l’enregistrement public. L’album, soit sous la forme d’un CD, soit disponible en téléchargement sur le numérique, permettra de prolonger ces instants de magnificence culturelle dont on ne se lasse jamais.

Christelle LOURY en concert au théâtre de Sens le 15 décembre 2018 à 16 h et à 20h30.

Réservation : 03.86.83.81.00.

Site : www.theatre-sens.fr

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Un rapprochement sous la forme d’un partenariat officiel se peaufine à l’heure actuelle entre les instances dirigeantes de l’association régionale, spécialisée dans la formation et l’accompagnement des porteurs de projets, et l’antenne icaunaise de l’Université Dijon Bourgogne à Auxerre. Objectif : créer le champ des possibles pour que les étudiants qui fréquentent les différentes sections de l’enseignement supérieur dispensé localement puissent se glisser dans la peau d’un futur entrepreneur…

AUXERRE : La validation de ce nouveau concept fusionnel prendra toute son efficience au cours du premier semestre 2019. Mais d’ores et déjà, BGE Nièvre Yonne et le pôle universitaire IUT d’Auxerre, filiale de l’Université Dijon Bourgogne qui rayonne dans la partie septentrionale de la région, prépare les fondements pratico-pratiques d’une future convergence d’intérêt.

L’information a été rendue publique par le président de BGE Nièvre Yonne, Arnauld MERIC, en guise de préambule à la conférence organisée dans le cadre de la sensibilisation à la transition écologique faite aux entreprises ce lundi 26 novembre dans l’enceinte de l’IUT Auxerre.

Ce partenariat serait bénéfique aux 850 étudiants accueillis sur le site de la Plaine de l’Yonne à Auxerre. Ces derniers se répartissent parmi trois grands pôles d’enseignement : technique de commercialisation, génie civil et construction durable, et télécommunication.

milieu articles

Connaître davantage la génération « Z » dans son approche fonctionnelle…

Directeur de l’IUT Auxerre, Jean-François FONTAINE a réagi aux propos du président de BGE Nièvre Yonne en insistant sur la pertinence de ce rapprochement opérationnel qui affirmera l’étroite collaboration entre la structure associative et le pôle universitaire.

Cet accompagnement des milieux estudiantins pourrait se traduire de manière didactique à travers des études de cas et des exercices préparant les jeunes gens aux responsabilités dirigeantes et au statut d’entrepreneur.

Pour BGE, c’est aussi un moyen tangible de pouvoir s’immerger au plus près de la génération « Z » et de mieux en cerner les besoins.


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

A la croisée des mémoires individuelles et collectives, l’artiste franco-suisse décline un énigmatique travail visuel conçu autour du culte du souvenir. Invitant le public de l’Espace culturel de l’hôpital de Tonnerre vers un étrange voyage, entre la vie et la mort. La jeune femme propose un mix insolite de vidéo, photogrammes, peinture, collages et feuille d’or qui nous incitent à côtoyer de singuliers personnages de la vie ordinaire. Un rameur qui s’exerce à la pratique de l’aviron sur un plan d’eau. Un homme et une femme qui flânent à pas lent sur une plage. Cet espace d’éternité est à admirer jusqu’au 31 janvier 2019. S’il sublime l’existence par le rendu qualitatif de ces témoignages sur clichés, il pousse aussi à l’introspection au plus profond de soi et vers la transcendance…

TONNERRE : L’au-delà inspirerait-il l’approche artistique de la brillante Emmanuelle MICHAUX ? Petite déjà, la future professionnelle du monde des arts puisait dans un imaginaire exacerbé pour en tirer la quintessence subliminale offerte par l’image. A l’âge de 12 ans, la  jeune fille, digne héritière de son père qui épousait les causes passionnelles du cinéma amateur, se projette dans sa première réalisation cinématographique. Traitant, au passage, un sujet complexe et abscons mais ô combien symbolique.

Qu’on en juge : son personnage central, une femme venue de l’au-delà, entraîne un jeune adolescent avec elle. Le mot « fin » apparaît dans les mains du garçon. Ce plan définitif clôt ce premier opus de manière abrupte.

Préserver la vie et la mémoire des êtres s’inscrit donc comme une priorité absolue dans ce travail intense, concocté par une artiste multicanale. Vidéo, photogramme, œuvres picturales, mais aussi travaux de collages et de feuille d’or représentent autant de vecteurs d’expression qui offrent la liberté et une magnificence à l’artiste, originaire de la région parisienne.

milieu articles

Faire ressurgir la mémoire des êtres…

Ce travail mémoriel, Emmanuelle, le dévoile aux aficionados de l’Espace culturel du séculaire hôpital de Tonnerre. Après l’exposition « Prendre Soin » (2017), celle exotique mais empruntée d’une force mystique et religieuse consacrée à l’Ethiopie de Paola VIESI, et plus récemment, « Résonance de la Couleur », à l’estampille de Caroline COPPEY (2018), voici le temps de « Réparer le Monde », une exposition troublante arborant la signature d’Emmanuelle MICHAUX.

Conçue à partir de la collection personnelle de son père, dont le regret dû à l’absence pèse de tout son poids autour de chaque pièce de l’exposition, l’œuvre d’Emmanuelle MICHAUX se distille comme des morceaux de films en super 8 par petites touches. Ce sont ces fragments de vie qui ressurgissent ainsi de façon inopinée dans ce curieux espace visuel. Sur les murs de l’ancienne pharmacie hospitalière. Mais aussi, à même le sol. Voire dans les écrans cathodiques, placés çà et là, qui diffusent en boucle vidéo et photographies.

Développant un méticuleux travail de sauvegarde, la cinéaste/scénariste insuffle de la vie à ses multiples personnages, anonymes et dont elle ne connaît pas elle-même les cheminements de l’existence, les rendant plus accessibles et plus proches encore.

Un subtil espace de résilience pour les visiteurs…

Cet assemblage de tranches de vie, mis bout à bout, créé un fascinant puzzle. Chaque brique s’intègre à la perfection parmi ce maelström de visages furtifs, joyeux, tristes, distants et secrets.

Le travail de la jeune femme n’est pas sans rappeler la méthode japonaise du « Kintsugi ». Il s’agit dans ce cas précis de réparer les porcelaines ou les céramiques brisées au moyen de laque saupoudrée d’or. Ici, les aspérités de la pellicule ne sont pas gommées. Bien au contraire, Emmanuelle MICHAUX en souligne les blessures et la fragilité. Préservant ainsi le fondement authentique de sa création.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Des échanges particulièrement vifs et virulents ont ponctué les débats de la dernière séance de l’Assemblée départementale ce vendredi 23 novembre à Auxerre dès que fut évoquée la fermeture définitive de l’antenne icaunaise de l’Ecole nationale vétérinaire à Champignelles. L’hémicycle a retenu son souffle lorsque le député de l’Yonne André VILLIERS a pointé du doigt l’inertie, selon lui inexplicable, du secrétaire d’Etat en charge des relations européennes et des Affaires étrangères, Jean-Baptiste LEMOYNE, sur la défense de ce dossier qui met à mal l’enseignement supérieur dans le territoire. Pris à parti par l’ancien président du Conseil, le représentant du gouvernement a balayé d’un revers de la main ces considérations verbales en optimisant sur les réelles potentialités offertes par le site. Invitant les élus à regarder l’avenir avec confiance et courage…

AUXERRE : Etrange passe d’armes que celle dont ont été témoins les élus de l’Assemblée départementale vendredi dernier. Alors que l’ordre du jour abordait le revirement inattendu de la contribution de l’Etat dans le cadre du développement du plan numérique scolaire (voir notre prochain article), un autre sujet, beaucoup plus brûlant, devait faire une entrée fracassante dans l’hémicycle. Engendrant de sérieux remous entre deux ténors politiques de l’assistance : le député André VILLIERS et le secrétaire d’Etat Jean-Baptiste LEMOYNE.

Qualifiant « d’insulte faite à l’encontre du territoire de l’Yonne la décision de fermer l’antenne icaunaise de l’Ecole vétérinaire de Champignelles », le député UDI de la seconde circonscription a fustigé l’immobilisme incompréhensible et latent du représentant gouvernemental à propos de ce dossier.

« Une nouvelle fois, ce sont les filières d’enseignement supérieur de nos territoires ruraux qui pâtissent des décisions arbitraires prises par les ministères, s’insurgea André VILLIERS, les conséquences économiques à l’issue de cette fermeture seront très importantes pour l’Yonne. Mais qui s’en soucie réellement ? C’est un enterrement de première classe dont nous sommes tous les victimes… ».

Un dossier suffisamment défendu par les élus de la majorité présidentielle ?

Attristé par l’irrévocable décision, le député de l’Yonne rappela en aparté que les précédents gouvernements avaient toujours apporté leur soutien au maintien de l’ENVA à Champignelles. Et de renchérir de par sa qualité de tribun, sur une interrogation que beaucoup se posaient intérieurement : « est-ce que ce dossier a été suffisamment défendu par celles et ceux des élus de la majorité présidentielle qui nous représentent ? ».

Rejetant l’inutilité de la câlinothérapie faite par le Président de la République lors de sa visite au Congrès des maires, André VILLIERS fustigea l’absence de concertation du pouvoir étatique auprès des élus de proximité.

Profitant de la colère profonde du parlementaire du sud de l’Yonne, Nicolas SORET (Parti socialiste) proposa qu’un vœu officiel soit prononcé de manière officielle afin de clarifier la position de l’hémicycle.

« C’est bien qu’il y ait des déclarations de principe, devait-il marteler, mais il est temps de concrétiser ces paroles par des actes ».

Autre élue à s’être exprimée en faisant montre de son inquiétude, Isabelle FROMENT-MEURICE. Cette dernière expliqua que le centre de formation pour l’apprentissage de Champignelles (CFA) était lui aussi menacé de fermeture. La Région ayant perdu toute compétence en matière de gestion de ces établissements. Sept cents d’entre eux pourraient être concernés à l’avenir au plan national.

Présent dans l’hémicycle, Jean-Baptiste LEMOYNE ne tardait pas à réagir aux banderilles cinglantes que lui adressa le député VILLIERS.

« Ce site de Champignelles a pour vocation de poursuivre des activités pédagogiques, expliqua-t-il, le comité de pilotage qui réunit élus et parlementaires a déjà travaillé sur différentes pistes permettant la préservation de ce lieu. Grâce à ces activités complémentaires, le site pourrait être utilisé entre 40 et 50 semaines par an au lieu des 28 semaines actuelles pour la seule occupation vétérinaire… ».

milieu articles

Le combat des chefs entre deux ténors de la politique

En guise de conclusion, le secrétaire d’Etat décocha une flèche implicitement envoyée vers André VILLIERS. Caractérisant la tournure hypocrite de ce débat.

Il fit un clin d’œil appuyé à l’ancien dossier de fermeture du laboratoire vétérinaire départemental IDEA à Auxerre. Une fermeture assurée par l’ancien président du Département (« celui qui est en face de moi »). Le secrétaire d’Etat conclut sur une note plus positive en précisant que différentes pistes dont certaines émanant de structures départementales se présentaient dans le dossier de Champignelles.

Mais, ce combat des chefs entre les deux orateurs devait se poursuivre dans le même état d’esprit.  Survolté, et souhaitant répondre à « celui qui était en face de lui ! », le député André VILLIERS rappela qu’il avait pleinement assumé la fermeture de l’IDEA à l’époque.

« Je n’accorde pas de crédits à ces arguments de bas étage, affirma-t-il, le travail exercé dans ce laboratoire vétérinaire avait fondu progressivement comme neige au soleil. Son activité coûtait un point de fiscalité au budget du Département. En outre, nous avons assuré le reclassement des quarante personnes qui y étaient employées. Enfin, dois-je rappeler à « celui qui est face à moi » qu’il avait lui aussi voté cette décision… ».

Et André VILLIERS de continuer avec la même véhémence orale, « je ne voudrais pas qu’il y ait un nouvel avenir à cette formation vétérinaire sur le dos des seules collectivités ! N’oublions pas que l’on ferme l’antenne à cause d’un déficit comptable… ».

Et de conclure, « je vous rappelle que cette décision illogique est une injure faite à notre département ! ». Une manière catégorique de clouer aux piloris toute velléité de réponse…

 

 

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Malgré le net ralentissement de la commande publique, le cabinet auxerrois ne cesse de faire proliférer de nouveaux projets vers le secteur privé. Aujourd’hui, les dossiers de construction, de rénovation et d’extension qui touchent les entreprises mais aussi la clientèle de particuliers, représentent 90 % de ses activités. D’excellentes perspectives sont d’ores et déjà envisageables à l’aune de 2019 avec la signature de plusieurs chantiers conséquents.

AUXERRE : Le cabinet d’architectes MC2 devrait aborder la future année 2019 avec le sourire. De l’avis de Mahieu CHEVILLOTTE, l’un de deux dirigeants de la structure, les carnets de commande, bien pourvus, offrent une belle visibilité à l’entreprise. Plusieurs projets, qualifiés d’importants par l’entrepreneur, se profilent à l’horizon.

Pêle-mêle, Mathieu CHEVILLOTTE cite les rénovations de différentes structures professionnelles en Puisaye. Mais aussi, l’agencement d’un gîte ouvert à la restauration sur le secteur d’Ancy le Franc, la rénovation d’un cabinet comptable et l’aménagement de locaux administratifs à Auxerre.

L’un des clous de ce prévisionnel mirifique sera le projet d’extension du site industriel des Remorques LOUAULT à Saint-Fargeau. Un dossier qui devrait être traité dans le courant du premier semestre.

Du côté des particuliers, plusieurs rénovations d’appartements sur l’Auxerrois s’inscrivent également parmi les priorités.

Hors de sa zone de chalandise habituelle, le cabinet d’architectes de l’Yonne assurera l’extension d’un chalet de grand standing à Méribel, avec la construction d’une piscine intérieure. Des chantiers sont aussi prévus dans le canton de Clamecy (Nièvre).

milieu articles

Une antériorité vieille de 16 ans et beaucoup de communication…

Réalisant un chiffre d’affaires annuel de 650 000 euros, MC2 Architectes ne lésine pas sur les moyens en termes de communication ni de développement relationnel. Véhicule sérigraphié, présence publicitaire dans les salles obscures du complexe cinématographique local, loge au sein de l’univers sportif de l’AJ Auxerre, la société de Marie-Claire GILET-CHEVILLOTTE et de son époux privilégient tous les supports pour asseoir sa notoriété dans la durée.

« Notre présence autour de l’environnement footballistique s’explique, commente Mathieu CHEVILLOTTE, grâce au système relationnel imputable à la loge du club, nous favorisons les contacts avec les influenceurs de la région. Même si ce type d’opération représente un budget conséquent à l’année, le retour sur investissement se traduit par de belles potentialités… ».

Le cabinet aux quatre collaborateurs développe depuis peu une nouvelle ligne de produit. Celle-ci est basée sur le conseil et la faisabilité d’un projet. Grâce à la mise en place de contacts directs avec un prospect, une prestation facturée à partir de 150 euros, les professionnels de la construction et réhabilitation de concepts immobiliers prodiguent leurs conseils.

La présence, récente de l’entreprise, sur le Chablisien s’est déjà concrétisée par la réalisation de jolis chantiers auprès des viticulteurs.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil