Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

C’est un projet novateur et éco responsable que nous propose Jef GUILLON et Estelle BEAUVAIS, fondateurs de la société de production, « Le Cœur de l’Homme ». A travers leur concept qui n’a rien d’utopique, baptisé « CONSTELLATION Studios », le duo souhaite répondre à une urgence en France. Ils ont décidé de créer un complexe de plateaux de tournage cinématographique. Celui-ci offrira des solutions logistiques, techniques et financières aux productions qui prennent en compte les contraintes écologiques, sociales et économiques de demain...

JOIGNY : Actuellement, le gros du chantier se porte sur les maquettes conçues par Jef GUILLON. Le projet est estimé à 30 millions d’euros. Il pourrait être financé par un fonds public mais également avec de l’argent privé.

Le plus urgent, aujourd’hui, est pouvoir répondre à l’appel à projets du « CNC plan studio ». L’idéal sera de créer un annuaire pour recenser les acteurs du territoire de la région Bourgogne Franche-Comté œuvrant dans le domaine du cinéma, de l’audiovisuel ou du spectacle (actifs ou en formation). Qu’ils soient basés sur notre contrée ou désireux de la rejoindre.

D’ailleurs, les personnes ayant ce profil sont invitées à participer à la soirée de présentation le 19 mars de 17h à 18h au cinéma Agnès Varda à Joigny. Elles peuvent s’inscrire sur le lien suivant : www.constellation-studios.com.

Comme l’explique Estelle BEAUVAIS, « aujourd’hui, beaucoup de tournages se font en extérieur, avec toutes les contraintes que cela implique : météo, scènes de nuit plus compliquées à réaliser par rapport à la loi du travail, effets spéciaux…Les plateaux permettent de se replier en cas de mauvais temps, pour y tourner des scènes de nuit en journée, etc. ».

Beaucoup de films d’initiative française sont ainsi réalisés à l’étranger. Faute de structures opérationnelles en France qui ne peuvent accueillir des équipes, particulièrement pour le tournage en décor d’où l’intérêt de la création de ces « Backlots ».

 

 

 

Le Jovinien, endroit logique pour la création de cette plateforme…

 

Tout est prévu dans le projet. De grands plateaux existent. Dont un espace spécifique de trois mille mètres carrés. Ce serait le seul et unique en France qui comprendrait une salle de projection, une zone de stockage des décors, avec un « Backlot » de 36 000 mètres carrés.
Cela permettrait de fabriquer et de stocker de très grands décors. Des ateliers offriraient la possibilité de construire des décors et des costumes où prennent place des bureaux de production, des studios de post-production, du son… Le concept prévoit aussi un restaurant qui privilégiera les produits locaux et la culture du potager mis en place.
On devrait également y trouver un magasin de première nécessité, une micro-crèche, un hôtel, un vrai lieu de vie, qui fonctionne comme un petit village à dimension humaine.
Tout a été réfléchi pour accueillir aux mieux les équipes de tournage qui pourront s’installer sur des périodes pouvant couvrir jusqu’à plusieurs mois. Mais aussi la vingtaine de personnes qui travailleront en permanence sur place à la maintenance des studios, des espaces verts et la gestion du lieu.

 

 

 

La proximité de la gare, à 1h15 de Paris, et de l’aérodrome de Charbuy offrent d’incomparables atouts au montage de ce dossier.

D’où l’intérêt de le situer dans le Jovinien où se sont récemment installés les fondateurs de ce projet avec leur société de production. Ils ont pu en mesurer l’avantage, étant tous les deux de Paris et y travaillant régulièrement.

Il faut dire qu’à eux deux, ils possèdent un panel technique très éclectique leur permettant de bien connaître le milieu du cinéma et des tournages : designer graphique, directeur artistique, compositeur de musique de films, réalisateur, entre autres de films documentaires, pour les institutions, et publicitaires.

Une large palette professionnelle qui devient un atout supplémentaire. Un pôle formation serait également envisagé : il accueillerait une nouvelle génération de techniciens spécialisés dans le travail des grands plateaux. Ce qui sera alors une première en France.

 

Maryline GANDON

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Dans le centre de Joigny, non loin du Conservatoire de musique, se trouve une boutique avec une gamme variée de produits. Quand on pousse la porte de la maison, on est accueillie par Prunelle, souriante et enjouée, la maîtresse des lieux. Rencontre…

JOIGNY: Esthéticienne depuis 45 ans, Prunelle a ouvert sa première boutique en 2003. Installée depuis février 2015 dans sa nouvelle maison, située Rue neuve, elle propose ses services d’esthéticienne les lundis et mardis, une semaine sur deux. Elle se consacre le reste de la semaine, à sa deuxième passion : le papier japonais.

Riche en couleur et motifs, elle en fait des bijoux, lampes, guirlandes lumineuses ou encore des photophores, vendus aux quatre coins de sa coquette boutique.

On y trouve également de quoi se vêtir, des sacs en cuir mais aussi des produits cosmétiques aux origines « bio ». Du café ou du thé, mais aussi des parfums pour la maison constituent ce patchwork de diversités insolites.

Ses produits proviennent de fournisseurs européens, particulièrement les vêtements et les sacs en cuir. Voire de l’Inde où elle va se réapprovisionner régulièrement en bijoux, argent et vêtements auprès de partenaires fidèles.  Elle travaille aussi avec des créateurs entre autres pour la joaillerie

Excellente cuisinière, en ouvrant ce lieu typique, Prunelle régale les papilles en proposant une table d’hôte et un salon de thé à base de produits faits maison, à déguster au pied de la grande cheminée, ou dans le jardin selon la saison.

 

 

Se relooker en dégustant un thé avec un dessert maison !

 

Le site le permettant, elle a fini d’aménager deux pièces pour accueillir ses « bonnes fées », au total dix-sept professionnelles du bien-être qui proposent des cours et ateliers les soirs et les week-ends. Certains plus occasionnellement : yoga, sophrologie, réflexologie, aromathérapie, fleurs de Bach, bulle à couple, rigologie, méditation…

Elle rêvait d’une maison, qui apporte du bonheur au quotidien, aussi bien par les produits qu’elle propose que par les personnes compétentes qu’elle fait intervenir.

Depuis quatre ans Prunelle œuvre pour que tout soit en place. L’objectif étant atteint, elle se laisse porter par de nouvelles propositions qui arrivent, profite de temps pour elle et le consacre aux voyages aux quatre coins de la planète.

De nouveaux projets devraient prochainement voir le jour…

 

 

Pour en savoir plus :  

 https://www.facebook.com/lamaisondeprunelle/

https://www.lamaisondeprunelle.fr 

 

Maryline GANDON

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’effet de surprise est de taille. Il ébranle l’institution jusqu’à ses soubassements. Le premier vice-président du Département tire sa révérence et abandonne sa fonction. Un choix dûment réfléchi, construit, qu’il n’a pas arrêté à l’emporte-pièce. Cela faisait un moment que l’idée, loin d’être saugrenue à ses yeux, couvait dans sa tête. Lui, l’homme si tranquille, posé et toujours affable. Spécialiste du cénacle et de son arrière-ban. Fidèle d’entre les fidèles de l’actuel président qui, humainement, doit se sentir bien seul après le départ de l’un de ses bras droits. Une tour de contrôle qui intervenait pugnace et efficiente dans bon nombre de dossiers. Des orientations personnelles expliquent ce geste. Mais, quelles sont-elles véritablement ?  

AUXERRE : Personne n’a rien vu venir. Ni par le biais de son attitude. Ni dans ses propos. Ceux que l’élu d’Yrouerre tenait encore vendredi 07 février lors de la session plénière de l’assemblée départementale où furent évoquées dans l’hémicycle les orientations budgétaires 2020.

Pourtant, quarante-huit heures plus tard, les faits sont là. Maurice PIANON sort du jeu. Une décision mûrement réfléchie, qui lui est propre et surtout pas imposée par quiconque.

Désormais, il siègera parmi les rangs de la majorité au beau milieu de l’hémicycle, abandonnant sa fonction ô combien stratégique de premier vice-président. Dont acte.

Oui mais pourquoi un tel revirement de situation ? Le représentant du Tonnerrois connaît les rouages de l’outil institutionnel comme le fond de sa poche. Elu depuis 2001, il en a petit à petit gravi les échelons dans de successives vice-présidences abouties.

Sous l’égide d’André VILLIERS, l’ancien président de l’entité départementale, aujourd’hui député UDI de la seconde circonscription. Aujourd’hui, aux côtés de son successeur, le Républicain Patrick GENDRAUD.

Certes, Maurice PIANON ne briguera pas un nouveau mandat aux cantonales de 2021. C’est l’une des premières raisons qui justifie son choix.

« Il est préférable que le président d’une institution aussi importante que peut l’être le Département et qui souhaite poursuivre son travail s’appuie un an avant l’échéance sur des vice-présidents qui serviront de socle à sa politique… ».

Logique, on appelle cela l’art de l’anticipation. Mais, est-ce que pour autant cela suppose que l’on doit avancer son départ ?

 

Ne plus être pollué par le climat délétère ambiant…

 

Les véritables raisons de ce retrait pour le moins caractéristique de l’élu de l’Yonne sont à rechercher ailleurs. Au sein de l’environnement délétère qui secoue depuis plusieurs mois l’hémicycle.

Maurice PIANON, et il le précise sans rechigner, ne supporte plus d’être « pollué » à chaque séance par les atermoiements et les chicayas de certains de ses collègues.

« Je n’ai pas choisi de vivre un mandat politique au service de mes concitoyens et dans l’intérêt de l’attractivité de mon territoire pour assister à ce genre de choses qui ne m’intéresse absolument pas. J’en ai marre de ces allégations, dénonciations, invectives, attitudes négatives qui peuvent être fondées ou pas, lorsque je me consacre à ma fonction. Je me considère comme un homme libre en politique, ce qui a toujours été et le restera jusqu’au terme de ce mandat au printemps 2021 ma marque de fabrique personnelle. C’est mon ADN vital, en quelque sorte… ».

Toutefois, l’ex-premier vice-président n’incrimine personne en particulier. La lassitude a gagné du terrain et désormais, il est profondément désabusé devant de tels faits qui ne lui correspondent pas.

 

 

Préserver la qualité de vie et sa sérénité…

 

Les enjeux bassement politiciens et l’actualité inhérente aux municipales, avant que ne s’enclenchent dès l’année prochaine les autres échéances électorales lui font craindre le pire côté climat et ambiance !

« Je souhaite demeurer serein et en retrait face à tout ceci, ajoute Maurice PIANON, et garder ma confiance envers celles et ceux qui font de l’excellent travail et qui ne se plaignent jamais ! J’ai pris cette décision sans animosité aucune envers qui que ce soit. Mais, moi, je n’ai plus envie d’écouter les férus de ces manœuvres de déstabilisation ! Je préfère préserver ma qualité de vie loin de toute cette dérive humaine et non de l’institution en laquelle je crois et que je respecte profondément… ».

Prévenu, Patrick GENDRAUD a pris soin de valider la décision de son plus fidèle frère d’armes. En la regrettant dans son for intérieur, on s’en doute.

« Il faut se garder de tout clivage, ajoute le vice-président démissionnaire, et travailler ensemble en faisant face aux enjeux qui se présentent à nous. Il faut aussi s’abstenir de toutes convoitises et n’exercer son mandat que dans l’unique intérêt de celles et ceux que nous servons : c’est-à-dire nos concitoyens qui nous ont élus… ».

Des paroles emplies de sagesse, prononcées par celui qui aimerait une réelle prise de conscience profonde de la classe politique départementale après son acte fort et irrévocable.

Afin, l’espère-t-il, d’enrayer le phénomène de désagrégation constante qui pointe le bout de son nez à l’horizon…

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Il s’agissait de retrouvailles. Celles qui se manifestent après la supposée trêve salvatrice des confiseurs. Le Conseil départemental organisait sa première séance plénière de la nouvelle année ce vendredi 07 février. Avec pour objectif d’examiner les orientations budgétaires à la veille d’un rendez-vous pré-électoral qualifié d’important. Les échéances, attendues par certaines et certains, surviendront en effet au cours de 2021. Nonobstant, l’occasion fut donnée au président de l’hémicycle, Patrick GENDRAUD, de prononcer son discours d’intérêt général. Histoire de rappeler que l’institution se devait de rester un lieu d’expression légitime et respectable…

AUXERRE: Orateur qui s’affirme de sessions en séances depuis son accession au perchoir, l’ancien édile de Chablis aime remettre les points sur les i quand il le juge nécessaire. Et avant l’examen des orientations budgétaires de l’exercice en cours, l’élu de l’Yonne ne s’en est pas réellement privé. Dès l’amorce de ce long discours faisant office de préambule à la séance publique.

« Vous le savez, commença-t-il, je suis de ceux qui considèrent l’humain, le dialogue et le débat comme essentiels… ». Une pause. Avant de renchérir : « Car nous avons une responsabilité en servant l’Yonne et ses habitants de respecter l’institution en étant détaché de postures personnelles ou électoralistes… ».

Invitant l’assistance à adopter ce fil conducteur qu’il souhaite tisser tout au long de l’année 2020, Patrick GENDRAUD s’est ensuite plongé dans le bilan financier de l’exercice écoulé. Une année 2019 où la situation des comptes de la vénérable institution s’est améliorée.

« Notre épargne brute atteint aujourd’hui les 42 millions d’euros ; elle a ainsi pratiquement doublé depuis deux ans puisqu’elle s’établissait à l’époque à 24 millions d’euros… ».

La recette miracle déployée pour y parvenir se résume en une seule phrase : une gestion saine, responsable et rigoureuse que le président de l’exécutif a respectée.

« L’encours de notre dette s’établit à 216 millions d’euros au 31 décembre soit près de 30 millions de moins en trois ans… ».

 

L’attractivité nécessaire à l’Yonne : la priorité !

 

Quant à la durée de remboursement, elle est passée de dix ans en 2017 à cinq ans aujourd’hui. D’où le satisfecit mesuré de Patrick GENDRAUD qui en partage les bénéfices avec l’ensemble de ses coreligionnaires, ceux –cela semble naturel – de sa majorité, mais aussi, dans un souci de main tendue, à celles et à ceux des élus qui appartiennent à des groupes d’opposition.

« Vous êtes restés dans une démarche objective et sans arrière-pensée en contribuant aux travaux engagés par les commissions et en votant, en majeure partie, les rapports présentés devant cette assemblée… ».

Le consensus, toujours et encore, dans les propos du président.

Ce travail collégial qu’il affectionne, Patrick GENDRAUD ne souhaite pas en déroger les règles durant les onze mois à venir. Au contraire.

« Je sais que l’Yonne a besoin de toutes les énergies pour se développer et gagner en attractivité… ».

Un mot qu’il emploie pour donner de l’envie et du dynamisme à l’institution.  

 

 

Un budget établi sans hausse de la fiscalité

 

Présenté au vote au mois d’avril, ce budget 2020 repose sur deux priorités. Le contrôle continu des dépenses de fonctionnement, d’une part, et la relance immédiate des investissements structurants.

D’un montant de 346 millions d’euros, les dépenses resteront maîtrisées. Celles se rapportant au personnel qui travaillent au sein de l’organisme (59 millions d’euros) viseront la stabilité.

Patrick GENDRAUD persiste et signe lorsqu’il évoque le « bon social ». Ce socle indispensable qui permet de préserver la cohésion d’une équipe.

« Nous pouvons être fiers de l’action conduite et nous n’avons pas à rougir d’assumer, pleinement et totalement, les missions qui nous sont dévolues, précise-t-il.

Le patron du département fait alors allusions aux domaines de compétences régaliennes de l’organisme : l’insertion, l’enfance, le handicap, l’aide aux personnes âgées. D’ailleurs, 228 millions d’euros devraient encore consacrées à l’ensemble des dépenses sociales en 2020.

Pour autant, les territoires et l’animation des zones urbaines et rurales ne seront pas dispensées de ressources. Il en va de même pour les acteurs du monde sportif, culturel et touristique. L’enveloppe affectée à ces postes équivaut à 5,5 millions d’euros.

 

  

Des efforts en termes d’organisation et de rationalisation…

 

Des efforts, le Conseil départemental a en fait. La vente de l’ancienne Maison du tourisme, sise sur les quais de l’Yonne, l’atteste. La cession des ex-locaux du Département le prouve. Le parc automobile a réduit la voilure. Le mot d’ordre est aux économies : elles vont permettre  à l’institution de se repositionner sur d’autres registres prioritaires.

En particulier, grâce au déploiement de la fibre optique, à la suite de la délégation de service public conclue avec le groupe ALTITUDE Infrastructure, récemment. Un projet qui s’élève à 260 millions d’euros d’investissements in fine mais qui ne coûte rien à la collectivité.

Pour ce qui est du socle d’intervention plus traditionnel, le président GENDRAUD entend bien réinjecter des fonds à l’amélioration de l’entretien et du renouvellement des chaussées.

« Nous allons pouvoir multiplier pratiquement par trois ces investissements en 2020, devait-il préciser.

C’est ainsi que près de dix millions d’euros vont être consacrés aux travaux de voirie. Plus de onze millions de crédits de paiement iront au financement de la déviation de Sens et la réhabilitation du pont, à Pont-sur-Yonne. Signalons, enfin, que plus de 20 millions d’euros serviront à rénover les ouvrages d’art et les infrastructures routières. Contre sept millions d’euros l’an passé.

Reste le volet des collèges et des EHPAD. Ceux-ci ne sont pas oubliés par ces directives budgétaires. Près de 13 millions d’euros de crédits de paiement se destinent aux investissements dans les établissements scolaires du second degré. L’objectif est simple : y déployer la qualité pédagogique, la sécurité, mais aussi l’amélioration thermique des bâtiments.

Quatre millions d’euros seront proposés au renforcement de la performance énergétique des collèges.

« Il est impératif que notre action environnementale ne se cantonne pas à la seule alimentation ou à la gestion des déchets dans nos établissements, souligna Patrick GENDRAUD, notre action doit être plus volontariste, peut-être à travers des expérimentations plus originales… ».

Du côté des EPHAD, son de cloches similaire : une aide à l’investissement qui pourrait s’élever à 15 % des dépenses éligibles engagées dans un plafond de 75 000 euros par place est prévue dans les tuyaux.

Patrick GENDRAUD donna ensuite une définition précise du rôle de ce que doit être le Département au quotidien : « C’est un animateur du changement, toujours sérieux et responsable ; un fédérateur capable d’engager ses partenaires dans des dispositifs vertueux, favorables et utiles pour nos concitoyens… ».

Laissant le pessimisme et l’opportunisme à d’autres, comme il se plût à le signaler au moment de conclure…

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Dorénavant, et dans le cadre de l’accord de partenariat entériné avec l’association qui favorise le développement d’une mutuelle intercommunale sur ce secteur géographique, le spécialiste assurantiel propose des permanences régulières afin d’informer les personnes susceptibles d’être interpellées par ce concept novateur…

JOIGNY: Il y a le temps des rencontres individuelles facilitées par l’accueil de permanences. Il y a aussi, en parallèle, l’essor d’animations collectives, orchestrées sous la forme de réunions publiques.

Les deux vecteurs de communication ont ainsi été validés par les signataires de cette convention de partenariat.

D’un côté, l’un des dirigeants de la plate-forme nationale assurantielle QAPE, Julien MOUCHET. En vis-à-vis, les représentants de l’AMIJ, l’Association d’assurés pour une mutuelle intercommunale, sur ce secteur géographique. Le tout a été réalisé sous l’œil avisé du président de la Communauté de communes, le conseiller départemental de l’Yonne, Nicolas SORET.

Ainsi, dans le concret, la présidente de l’AMIJ, Régine PASQUIER, souhaite favoriser l’accès à l’assurance santé et aux soins des résidents du territoire en conventionnant QAPE qui propose ses offres de service via KOVERS Mutuelle Santé de l’Yonne.

Deux réunions sont ainsi prévues à Saint-Julien-du-Sault le 05 mars à la salle annexe de la mairie (18 heures) et à Joigny, le 27 mars à 18 heures, salle des Champs Blancs. Elles permettront de connaître dans le moindre détail tous les aspects pratiques de ce partenariat.

Côté permanences, l’AMIJ recevra dans les locaux du Pôle Formation de Joigny le 21 février, entre 9h30 et 16 heures, celles et ceux qui veulent en savoir davantage sur ce dispositif. De façon plus directe…

Rappelons que QAPE, porté sur les fonts baptismaux en 2016 par deux professionnels de l’assurance dans le circuit depuis deux décennies, a créé la mutuelle « Santé Cœur de Puisaye » à la demande des élus locaux en Puisaye-Forterre. Un outil qui s’est ensuite mué peu de temps après en « KOVERS Santé de l’Yonne, au niveau de l’Hexagone.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil