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Importante cérémonie protocolaire ce mercredi 13 janvier où industriels et pouvoirs publics, partenaires du dispositif « Territoires d’Industrie - Yonne Industrielle », ont signé un protocole d’accord couvrant la période 2019-2022 dans les locaux de la Communauté d’agglomération du Grand Sénonais (CAGS). Le signe du renouveau pour l’employabilité dans ce secteur économique ?

SENS : Territoire regroupant cinq EPCI (Grand-Sénonais, Serein Armance, Jovinien, Migennois et Auxerrois), cent douze communes et plus de mille établissements manufacturiers, « Yonne Industrielle » est né le 22 novembre 2018 dans le cadre du programme « Territoires d’Industrie » parmi 148 territoires bénéficiaires du dispositif dont dix en Bourgogne Franche-Comté.

Ce label avait pour vocation de regrouper les pouvoirs publics et les industriels autour de projets collaboratifs. La priorité était de répondre à des enjeux majeurs territoriaux tels que la structuration des filières industrielles comme l’hydrogène, le développement durable ou encore la promotion de l’attractivité afin d’en favoriser l’emploi, « problématique principale des entreprises du territoire Yonne Industrielle » comme indiqué dans le protocole.

 

Une industrie française en friche depuis quarante ans…

 

Dès les années 70, on entrevoit les prémices d’une forte désindustrialisation de la France. Un phénomène qui touche tous les pays développés mais particulièrement accéléré dans l’Hexagone à partir des années 80. Notamment en raison d’un important déficit extérieur, soit un nombre d’importations bien supérieur à celui des exportations selon les économistes Thomas GRJEBINE et François GEEROLF.

Cette crise de l’industrie se traduit par une perte d’emplois salariés conséquente. Entre 1989 et 2017, le secteur a essuyé une baisse de 30 % du nombre de travailleurs. Alors qu’à la fin des années 70, le nombre de salariés dans l’industrie représentait plus d’un quart de la population active avec 5,5 millions d’individus. En 1989, la part de ces emplois n’était plus que de 23 %, de 12 % en 2007 et de 10,3 % en 2020 (dans les 3,12 millions d’emplois salariés dont 165 000 en Bourgogne Franche-Comté).

La désindustrialisation de la France s’explique aussi par le transfert des emplois de l’industrie vers le secteur des services (entre 1/5 et 1/4), la délocalisation des unités de production à l’étranger, l’un des aspects de la désindustrialisation du pays le plus controversé, l’automatisation et la robotique mais également par le désengagement flagrant de l’Etat français longtemps tourné vers le passé contrairement à d’autres pays comme le Japon.

 

 

Un accord dans la lignée d’une longue évolution des politiques industrielles successives…

 

Le début des années 2000 marque une prise de conscience du gouvernement du rôle essentiel de l’industrie dans le développement économique. En 2004, Jacques CHIRAC demanda à Jean-Louis BEFFA, alors PDG de la compagnie de Saint-Gobain, « d’examiner dans quels secteurs et selon quelle méthode pourrait être engagée une relance ambitieuse des grands programmes scientifiques et technologiques » dans le cadre d’un renouveau de la politique industrielle.

L’homme d’affaires a rendu un rapport intitulé « Pour une nouvelle politique industrielle » dans lequel il met en exergue le net décrochage de la France en matière de recherche et d’innovation.

Ainsi, il recommande la création de programmes de financement de certains secteurs prioritaires : l'énergie, le transport, l'environnement, la santé, la sécurité et la communication.

Néanmoins, les stratégies adoptées orientées vers le progrès technique ont eu pour effet d’importants gains de productivité donc la poursuite de la chute de l’emploi industriel. Dans l’Yonne, en 1990, on comptait 27 920 emplois salariés dans le secteur de l’industrie, soit 20 % de la population active. En 2019, ils n’étaient plus que 17 000 environ, soit 12 % du total d’emplois salariés.

 

 

La promesse de « Yonne Industrielle » en termes d’emploi…

 

« Trouver de la main d’œuvre qualifiée, former les salariés à occuper les postes vacants ou encore fidéliser les employés pour limiter le renouvellement des équipes » sont autant d’objectifs à atteindre d’ici 2022.

Le défi consiste à favoriser l’emploi en misant sur diverses solutions comme la promotion de l’attractivité du territoire et la mise en place d’une GPEC (Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences) afin d’optimiser les actions des ressources humaines.

Les acteurs de « Yonne Industrielle » prennent en compte les difficultés de recrutement des entreprises, en partie responsables de cette chute des effectifs.

A noter que l’Yonne fait déjà partie des territoires les plus industrialisés de France, au même titre que d’autres départements limitrophes d’Ile-de-France. De plus, selon l’INSEE, « le Sénonais reste attractif » et la zone emploi de Sens « est la seule du département dont la population croît sous le double effet d’un solde naturel et migratoire positif… ».

 

Floriane BOIVIN

 


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L’Yonne n’est pas toujours ce département qualifié de réfractaire qui ne sait pas prendre le train en marche en matière d’innovations. La preuve ? La visite, accordée ce jeudi 14 janvier par la ministre déléguée auprès de la ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion Brigitte KLINKERT, à Joigny l’a démontrée. L’élue du Haut-Rhin est venue étudier un dispositif d’expérimentation au service des bénéficiaires du RSA. Un procédé novateur qui est opérationnel depuis seulement quelques mois sur notre territoire…      

JOIGNY : Déployée depuis peu dans le Jovinien, à l’instar de la contrée voisine du Migennois, la mesure porte ses fruits de façon incontestable. Elle a pour objectif d’ôter l’ensemble des contraintes qui peuvent bloquer d’ordinaire le retour à l’emploi des personnes bénéficiaires du RSA.

Des freins qui sont clairement identifiés. Ils se nomment la mobilité, le logement, la formation, les soins. Autant d’items qui peuvent se révéler pernicieux et funestes pour celles et deux des allocataires du Revenu de Solidarité Active (RSA) en quête de réinsertion professionnelle.

Effectuant le court déplacement entre la capitale et l’Yonne ce jeudi 14 janvier en matinée, Brigitte KLINKERT n’aura donc pas manqué de saluer le bien-fondé de cette initiative au sortir de sa visite à l’hôtel de ville de Joigny.

Attentive aux explications fournies par les différents acteurs de l’emploi qu’elle a pu rencontrer lors d’échanges nourris, la ministre déléguée auprès de la ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion s’est félicitée de cette « œuvre collective adaptée aux besoins du territoire ».

 

Des explications autour de cette méthode d’intervention intensive et efficiente…

 

La présidente du Département du Haut-Rhin s’est dite satisfaite de cette complémentarité entre Pôle Emploi et les travailleurs sociaux qui accompagnent les bénéficiaires du RSA dans leurs démarches.

Le dispositif répond à la mission du service public dans le domaine de l’insertion et de l’emploi. Il a reçu aussi la bénédiction du Département, associé à son application sur le terrain.

Favoriser le retour de ces personnes vers une activité professionnelle de manière quasi immédiate en levant tous les paramètres qui en freinent le processus d’accès suppose une méthodologie d’intervention intensive qui aura été largement explicitée par les interlocuteurs de la ministre.   

 

 

 

Dans les salons de l’hôtel de ville, où participaient entre autres à cette discussion à bâton rompu la vice-présidente du Conseil régional Frédérique COLAS et le président du Conseil départemental de l’Yonne Patrick GENDRAUD, l’édile de Joigny et président de la Communauté de communes du Jovinien, Nicolas SORET aura fait connaître ses observations personnelles.

« Grâce à ce dispositif, devait-il préciser, on sort de la logique où chacun court dans son couloir pour mobiliser les ressources de tous les acteurs : mairie, Communauté de communes, Conseil départemental, Etat… ».    

Et le conseiller départemental de l’Yonne de qualifier les premiers résultats déjà obtenus comme étant très positifs.

 

Un rôle d’ambassadeur national pour Nicolas SORET et Patrick GENDRAUD…

 

Des éléments informatifs qui auront été confortés un peu plus tard par les commentaires de la directrice de l’antenne de Pôle Emploi à Joigny, Isabelle ROUBY, lors de la visite du site.

Avant de clore cette rencontre ministérielle, Brigitte KLINKERT s’est adressée à Nicolas SORET et à Patrick GENDRAUD en leur demandant de devenir des ambassadeurs de ce dispositif au niveau hexagonal.

Gageons que les deux personnalités du Conseil départemental de l’Yonne s’appliqueront à endosser ce rôle avec enthousiasme !

 

Thierry BRET

 


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La chose semblait pourtant entendue. Et ce, de manière définitive au terme de la dernière assemblée plénière du Conseil régional. Soit le 11 décembre dernier. Date à laquelle l’important domaine de 9,5 hectares de l’abbaye cistercienne devait être cédé pour un montant d’1,8 million à la Fondation du mécène et homme d’affaires François SCHNEIDER. Depuis, le RN ne désarme pas. Ses élus appellent à la mobilisation générale pour éviter la privatisation du site…

DIJON (Côte d’Or) : La trêve des confiseurs n’étant déjà plus qu’un lointain souvenir, on pensait que le feuilleton relatif à la cession du domaine de la fameuse abbaye cistercienne de l’Yonne avait connu son épilogue définitif après la vente de ce dernier à la Fondation SCHNEIDER.

Une transaction qui avait nourri de ses débats enflammés l’hémicycle du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté lors de l’ultime séance plénière organisée le 11 décembre 2020.

Souvenons-nous : le mécène et homme d’affaires François SCHNEIDER accédait enfin à son désir d’entreprendre dans l’Yonne : celui d’acquérir ce site patrimonial pour la coquette somme d’1,8 million d’euros. Il coiffait au passage l’autre prétendant à ce rachat pour le moins singulier, la Fraternité Saint-Pierre qui avait poussé la surenchère à 2,1 millions d’euros.

A l’époque, seuls les élus du groupe Rassemblement National avaient de manière très véhémente fait entendre leur discordance avec la teneur de ce projet. Lui reprochant par ailleurs son orientation trop mercantile, articulé autour de la construction d’un hôtel haut de gamme, d’un restaurant gastronomique et d’un centre d’art contemporain. Sachant que le prestataire de ce futur complexe hôtelier restait encore à trouver pour finaliser ce concept.

Si les Républicains s’étaient abstenus dans leur grande majorité au moment du scrutin, les représentants de Marine LE PEN avaient signifié leur désapprobation absolue en votant contre cette cession.

 

Les dangers d’une vente à un groupe privé…

 

Or, rejetant toujours le principe que l’une des plus grandes abbayes cisterciennes de France ne bascule vers la privatisation, les élus du RN remontent en ce mois de janvier au créneau pour empêcher que cette transaction ne se fasse réellement.

Dans un communiqué de presse, daté du 12 janvier, le parti « bleu marine » dénonce le choix voulu par la présidente de l’exécutif régional Marie-Guite DUFAY, de sa majorité mais aussi de la gauche et de la droite qui, selon lui, ont succombé aux chants des sirènes de l’industriel François SCHNEIDER en lui cédant ce bien séculaire.

 

 

 

 

« Les intentions de l’homme d’affaires sont apparues au grand jour le 17 décembre lors d’une conférence de presse (cf : elle fut organisée dans les locaux de la Maison de l’Entreprise à Auxerre en présence de Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental de l’Yonne et de la sénatrice Marie EVRARD) où le nouveau propriétaire a clarifié sans nuance ni détour que ce serait une forme de privatisation où il serait indispensable d’intégrer l’abbatiale pour réussir le projet… ».

Dès le 26 novembre, en amont de la décision finale, les conseillers régionaux Julien ODOUL et Jacques RICCIARDETTI avaient mis en garde sur les dangers de cette vente du domaine régional en interpellant la ministre de la Culture Roselyne BACHELOT. En vain, visiblement.

 

Sauver Pontigny, le nouveau leitmotiv contestataire du RN…

 

Dès lors, les élus du Rassemblement National n’ont eu de cesse de dresser  le flambeau contestataire contre cette opération en multipliant les appels à la mobilisation de l’ensemble des acteurs nationaux et locaux.

L’objectif étant d’éviter que ce joyau du patrimoine culturel, religieux et historique de l’Yonne ne tombe dans l’escarcelle de la fondation.

Arguant que ce lieu historique demeure la propriété de la commune et qu’il est encore à l’heure actuelle affecté au culte, les conseillers régionaux du Rassemblement National veulent par leur initiative sauver Pontigny. S’insurgeant que ce soit un propriétaire privé qui décidera à l’avenir des conditions d’accès, tant en termes de prix que de temporalité, des visiteurs sur ce site emblématique. Un combat qui ne fait que commencer selon eux…

 

Thierry BRET

 


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Que ne pourrait-on faire sans la présence de précieux mécènes à ses côtés ? Surtout quand ces partenaires altruistes interviennent avec générosité pour vous aider à acquérir de nouvelles machines, synonymes de croissance d’activités. C’est ce que vient de vivre le spécialiste de l’insertion AMIDON 89, qui grâce à l’appui de l’ADPS de Bourgogne Franche-Comté, a hérité d’une nouvelle table à repasser à la configuration ergonomique le 28 décembre dernier. Un achat annonciateur de l’arrivée d’autres équipements en 2021…

AUXERRE : Guy PARIS croit-il encore au Père Noël ? Si oui, le président de la structure associative AMIDON 89 aurait tort de le cacher. Le joli cadeau, sous la forme d’une obole bienveillante que vient de lui accorder l’Association départementale de Prévoyance Santé (ADPS), arrive à point nommé pour le confirmer !

Surtout quand il s’agit du renouvellement du parc de machines, des tables à repasser qui se révèlent être indispensables à l’employabilité des personnes en phase de réinsertion.         

La somme est plutôt rondelette : trois mille euros. Un budget que le porte-étendard de l’ADPS régionale Andrée DEBERT n’a pas hésité à investir en sa qualité de partenaire très attentif dans ce premier achat servant au repassage. L’ustensile, un modèle pro de très belle facture et de fabrication européenne, suppléera ainsi avec d’autres investissements prévus en 2021 les vétustes appareils sortis des usines transalpines dans les années 90 !

Les pannes récurrentes de ce matériel exaspéraient de plus en plus les dirigeants de l’association. Las, de ne pas pouvoir optimiser leur productivité de façon convenable. D’autant qu’un tiers de ces machines (une vingtaine au total) commençait à dépasser la limite d’âge sans connaître l’obsolescence programmée !

 

Une dizaine de machines déployées sur les trois sites de l’Yonne…

 

Qu’à cela ne tienne : il aura suffi d’être patient et de solliciter les mécènes historiques de l’entité (FAP EDF, AG2R La Mondiale et ADPS) pour se convaincre de renouveler l’ensemble. Ce sera chose faite d’ici quelques semaines. En outre, dans le cadre du plan de relance économique, la Région devrait elle aussi apporter ses subsides qui seront votés au mois de mars.

En tout, 62 000 euros seront investis par AMIDON 89 pour se doter d’un équipement flambant neuf et de qualité qui sera réparti de la manière suivante : six machines seront affectées à Auxerre au siège social place Corot, quatre seront envoyées dans l’unité de Saint-Florentin, les deux dernières étant installées à Chablis.

La trentaine de personnes bénéficiaires de contrats d’insertion allant de quatre à vingt-quatre mois sont ravies de l’aubaine.

 

 

 

 

Certaines ont déjà pu tester la table new-look, agréable à utiliser avec aisance. Il est vrai que cet objet de tant de convoitises constitue le nec plus ultra du matériel professionnel usité sur le marché. Son coût s’élève à 5 500 euros à l’unité.

Deux cent cinquante clients, des personnes physiques, profitent aujourd’hui des services de l’association dans l’Yonne. Ce qui représente en termes de volume autant de panières à linges à repasser.

 

Couture, service de livraison et circuits courts dopent les activités

 

Mais, déjà des pistes de développement pointent à l’horizon. Notamment en direction des comités d’entreprise. Ils devraient permettre à AMIDON 89 d’étoffer davantage son panel de clientèle dans un proche avenir.

Epaulé de la nouvelle directrice  en poste depuis la mi-août Sophie GOIRAND, Guy PARIS envisage cette diversification de cibles courant 2021. A défaut, dès l’année suivante.

Le service de livraison répond, lui, aux attentes des adhérents et devrait accroître son potentiel de développement au cours de la saison.

Quant à l’atelier couture, il n’aura jamais aussi bien fonctionné, à plein régime, depuis la crise sanitaire avec la fabrication de masques protecteurs très utiles pour ses usagers. La distribution de sa gamme éclectique s’appuie sur les circuits courts (LOCAVORE).

Mention spéciale,  enfin, aux singuliers tissus servant d’opercules, conçus à l’aide de cire de miel, qui rendent hermétiques les récipients de produits alimentaires (les « bees wrap ») : leur originalité est en passe de séduire des consommateurs intrigués par tant de prouesses créatives et pratiques.

Thierry BRET

 


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Alors que la quatrième édition de ce rendez-vous solidaire envers les professionnels de la restauration se déclinera vendredi 15 janvier avec l’ensemble des commerçants du marché de l’Arquebuse à Auxerre, la Ville de Joigny apporte son soutien à la formule l’accueillant en ses murs. Le dispositif fonctionnel depuis le 09 janvier devrait se prolonger jusqu’à la réouverture des restaurants.

JOIGNY: « Place aux Restos » fait désormais des émules dans l’Yonne. Après Auxerre d’où est partie la pertinente initiative en décembre dernier sur notre département, c’est au tour de l’agglomération du Centre Yonne de soutenir les restaurateurs en les accueillant sur le marché sous halle.

La première de ces opérations qui vont se réitérer jusqu’à la réouverture des établissements culinaires a eu lieu ce samedi 09 janvier. Les professionnels se sont vus remettre par les services de la ville des stands afin de pouvoir présenter des recettes à emporter. Selon les principes édictés par cette manifestation qui se déploie petit à petit dans l’Hexagone depuis quelques semaines.

Menée par le Groupement national des Indépendants de l’Hôtellerie et de la Restauration (GNI-HCR), METRO France (grossiste alimentaire pour les professionnels), l’UMIH (Union des Métiers et des Industries de l’Hôtellerie) et de la CGAD (Confédération générale de l’Alimentation en détail), l’action s’inscrit dorénavant avec une certaine constance parmi les calendriers consuméristes de notre territoire.

Elle favorise la reprise des activités des restaurateurs dont les établissements demeurent condamnés à la fermeture depuis des mois du fait de la présence du coronavirus.

 

 

Tendre la main à une profession qui paye un lourd tribut économique…

 

Président de la Communauté de communes du JOVINIEN et édile de Joigny, Nicolas SORET a donc décidé de soutenir cette initiative dans le prolongement de sa politique en faveur du commerce de proximité.

Il a accueilli samedi le premier des restaurants qui prenait part à ce nouveau rendez-vous le « Rive Gauche » où exerce le chef Jérôme JOUBERT. D’autres professionnels ont déjà fait part de leur intérêt afin de participer à l’opération lors des prochains marchés du mercredi et du samedi.

Instigateur de l’opération dans l’Yonne, Philippe BULANT, directeur de METRO Auxerre, a également initié des contacts avec les élus de Sens. Il attend désormais leurs réponses avant de pouvoir positionner « Place aux Restos » dans la ville la plus septentrionale du territoire.

Tendant la main aux restaurateurs, Nicolas SORET rappelle que « la ville doit apporter son aide à une profession qui paye très cher les conséquences de la pandémie… ».

Thierry BRET

 


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