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Ne pouvant maintenir la traditionnelle manifestation sous son format habituel, FETE (Femmes Egalité Emploi) a donc revu sa copie de manière intégrale pour réinventer le concept. En lui donnant un sérieux coup de booster grâce à la digitalisation et à ses vertus d’immédiateté. C’est en s’appuyant sur le principe de web-rencontres que l’association propose ce nouveau rendez-vous au service de l’emploi au féminin…

AUXERRE : Pas la peine de se rendre à l’espace culturel d’Appoigny pour y vivre les nouvelles aventures de l’une des manifestations vedette attendue sur notre territoire par une myriade de jeunes filles en quête d’une orientation professionnelle ! Le Carrefour des Carrières et sa vingt-troisième édition ne s’y tiendront pas !

Conséquence : la foule ne se bousculera pas dans le hall d’entrée de l’infrastructure municipale aux premières heures d’un petit matin blême de préférence un samedi pour mieux se précipiter vers les stands où l’avenir aurait pu leur tendre les bras.

Dommage, trois fois dommage, pour celles de ces jeunes femmes qui aiment les contacts en vis-à-vis et osent poser de vraies questions pertinentes sur les méandres d’une filière professionnelle pour atteindre leur objectif.

D’ordinaire, elles sont plus d’une soixantaine de cheffes d’entreprise, cadres, libérales ou fonctionnaires à répondre à satiété aux interrogations inattendues de leurs interlocutrices les plus curieuses. Un crève-cœur évident de ne pas se trouver là pour ces entrepreneuses, jamais avares en communication.

Surtout lorsque l’on sait que 40 % de ces jeunes filles qui fréquentent la manifestation annuelle se disent influencées par celle-ci pour choisir leur future orientation.

 

 

Une parade numérique pour se substituer à l’absence du présentiel…

 

 

Il est vrai que le rendez-vous est depuis très longtemps inscrit dans le marbre. Initié par FETE (Femmes Egalité Emploi), structure constituée d’une association de type loi 1901 et d’une société coopérative d’intérêt collectif (SCIC), son impact ne cesse de croître dans le landerneau. Chaque année, le public oscille entre 500 et 800 visiteuses dont un tiers est accompagné de leurs parents. Mais, cette année, ce sera nada !

Du moins, en apparence sur le seul mode présentiel. Opiniâtres, les organisatrices de cette animation soutenue par pléthore d’acteurs institutionnels et économiques de notre territoire ont imaginé une judicieuse parade pour contrer le contexte sanitaire du moment. L’évènementiel se déroulera de manière virtuelle grâce à la magie du numérique !

Ce sont des web-rencontres qui faciliteront les contacts entre ces jeunes filles désireuses d’en connaître davantage sur le bon cursus à suivre dans un avenir proche et les professionnelles qui leur prodigueront conseils et astuces.

 

Des métiers peu féminisés à découvrir….

 

Lors de ces instants, il sera proposé aux internautes de découvrir les facettes de cinq à six métiers de secteurs différents via le témoignage de ces entrepreneuses toujours motivées à transmettre leur savoir. Des questions pourront être posées de manière libre.

Parmi les univers professionnels abordés lors de ces échanges, citons l’agriculture/viticulture, le bâtiment et les travaux publics, la sécurité-défense, le transport et la logistique, les nouvelles technologies, le numérique et l’industrie.

La cohorte de métiers issus de ces catégories corporatistes ne manquera pas d’aiguiser les appétits des plus véloces côté curiosité, celles de ces jeunes femmes qui désirent en connaître davantage sur une filière.

Certains métiers encore peu féminisés mais ouverts aux femmes pourraient susciter également un intérêt tout particulier : surveillante pénitentiaire,  scientifique en recherche clinique, commandante des sapeurs-pompiers, géomètre experte ou manager d’équipe sur les autoroutes.

Ce sont au total six web-rencontres qui seront programmées du lundi 18 au samedi 23 janvier. Le mode opératoire est le suivant pour suivre la manifestation sur smartphone : il suffira de télécharger l’application Zoom et de cliquer sur le lien de la rencontre. Celle-ci étant diffusée en temps réel sur la page Instagram de FETE (@fete_egalite), accessible en suivant le lien : https://www.instagram.com/fete_egalite/

On pourra également se rendre sur le site de FETE (www.fete-egalite.org), choisir l’onglet « Nos actions », soit Carrefour des carrières au féminin où se trouve l’ensemble du programme avec un lien par web rencontre pour se connecter.

En savoir plus :

Carrefour des Carrières au féminin de FETE

 

Lundi 18 et mardi 19 janvier 2021 de 14h30 à 15h30,

Jeudi 21 et vendredi 22 janvier 2021 de 10h à 11 h,

Samedi 23 janvier de 9h30 à 10h30 et de 11h à 12 h.

 

Thierry BRET

 

 


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Le document adressé à la presse ce lundi 11 janvier a reçu l’approbation d’une dizaine de personnalités très représentatives du sérail économique de l’Yonne. D’autres devraient les rejoindre très certainement ces prochains jours dans cette démarche volontariste faisant office de quête qui doit enfoncer le clou en faveur de la campagne de vaccination contre le coronavirus. Le seul et unique moyen de faire bouger les lignes positivement et de mettre un terme à cette cacophonie innommable…

AUXERRE : Existe-t-il un autre moyen pour sortir de l’ornière inextricable dans laquelle se situent la plupart des pays du globe en ce début d’année nouvelle ? Alors que plusieurs médecins craignent une probable aggravation de la crise sanitaire mi-janvier du fait des mauvais résultats obtenus au moment des fêtes, ce qui aurait pour conséquence de reproduire un nouveau confinement total (déjà évoqué par le Premier ministre Jean CASTEX) dans l’Hexagone, les milieux économiques de l’Yonne tentent de prendre le taureau par les cornes en invitant la population locale à se faire vacciner massivement contre le coronavirus.

La seule option envisageable pour mettre un terme à une situation dont la complexité semble insoluble. Une dizaine de ces acteurs, clés de voûte de la vie économique de notre territoire se sont ralliés à l’initiative prise par Didier MICHEL, le président de la Fédération du Bâtiment dans l’Yonne et lui-même à la tête de la SAS éponyme de rédiger un texte commun.

D’autres devraient se manifester dans les jours qui suivent pour encourager ce désir de faire fi de toutes ses peurs envers les antidotes pharmaceutiques concoctés par les laboratoires de la planète.

L’objectif n’étant plus de se poser des questions avec ses réticences habituelles autour du bien-fondé de cette campagne vaccinale qui a vu le jour en France depuis le début de l’année mais et bien de passer à l’acte. Dans l’intérêt de la vie de ces entreprises qui, pour certaines demeurent fermées depuis des mois et pourraient mourir à petit feu.

 

 

 

Pourquoi nous allons nous faire vacciner ?

 

Voici dans son intégralité ce texte fédérateur et sans équivoque sur la nécessité de recevoir les deux doses de vaccin dans les prochains jours :

« Comme beaucoup de nos compatriotes, nous avons une certaine appréhension, voire disons le mot, une certaine réticence devant ce nouveau vaccin contre la COVID.

Toutefois, une réflexion rationnelle sur le retour d’expériences pratiquées depuis plusieurs semaines à l’étranger démontre qu’il est bien moins dangereux de se faire vacciner que de faire les quelques centaines de kilomètres que la plupart d’entre nous est amenée à effectuer chaque mois dans le cadre de leur activité professionnelle.

Aujourd’hui, nous ne pouvons laisser nos entreprises en grandes difficultés dans l’exécution de leurs tâches quotidiennes, voire pour certains d’entres elles contraintes de rester fermées et mourir à petit feu.

Aujourd’hui, nous ne pouvons laisser nos salariés dans la souffrance de l’absence du lien social qu’apporte normalement l’entreprise. Force est de constater que le télétravail généralisé, l’absence du pot d’entreprise ou la sortie au bistrot avec les collègues le vendredi soir engendre un mal-être social allant jusqu’à conduire certains à la dépression.

 

 

Aujourd’hui, nous ne pouvons laisser les étudiants dans le niveau de déshérence qu’impose le virus. La transmission du savoir doit forcément s’effectuer au moins pour partie en présentiel.

Nous prenons chaque jour du retard dans l’instruction de celles et ceux qui seront nos futures forces vives.

Aujourd’hui, nous ne pouvons laisser s’accroître la dette de la Nation qui, par effet de ciseaux, voit ses dépenses d’aides augmenter alors que ses recettes baissent. C’est un héritage toxique que nous sommes en train de laisser à nos futures générations.

Le seul moyen à ce jour, à notre sens, de nous sortir de cette situation est de rompre les chaines de contamination par la vaccination massive.

C’est pourquoi nous, dirigeantes et dirigeants d’entreprise, estimons qu’il est du devoir du plus grand nombre de citoyens, de recourir à cette vaccination, à l’instar de nous-même, et ce dès que possible… ».

Cet appel qui vient du cœur et de la raison sera-t-il entendu auprès des plus réfractaires de nos concitoyens qui rejettent l’idée de se faire vacciner afin de juguler la circulation du virus ?

C’est tout le bien que l’on peut souhaiter à cette initiative groupée, mobilisatrice de bon nombre de responsables d’organisations syndicales et professionnelles…Il ne faut pas oublier de sauver aussi les entreprises…

 

 

La liste des premiers signataires :

 

Didier MICHEL, président de la Fédération française du Bâtiment de l’Yonne,

Jean-Dominique DAGREGORIO, président de l’Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie de l’Yonne (UIMM),

Olivier TRICON, président de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de l’Yonne (CPME),

Patrick TUPHE, président de PRISME EMPLOIS Bourgogne Franche-Comté,

Christophe DESMEDT, président de la Confédération nationale des métiers des services et de la fabrication de l’Yonne

David MARTIN, président de l’Union nationale des Entreprises de Proximité (U2P) de l’Yonne

Jean-Pierre RICHARD, président de la Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment de l’Yonne (CAPEB),

Jean-François LEMAITRE, président de la Confédération générale de l’Alimentation en détail de l’Yonne (CGAD) et président de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne.

Éric MOUTARD, président de l’Union des Métiers de l’Industrie Hôtelière de l’Yonne (UMIH),

Emmanuèle BONNEAU, présidente du Mouvement des Entreprises de France de l’Yonne (MEDEF).

 

Thierry BRET

 

 

 


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Le préfet de l’Yonne Henri PREVOST a décidé de ne pas abaisser l’horaire du couvre-feu de 20 heures à 18 heures. L’annonce a été faite lors d’une conférence de presse tenue ce samedi après-midi. La mesure aurait dû être applicable dès ce dimanche 10 janvier. L’Yonne devient l’unique département de Bourgogne Franche-Comté à ne pas subir ces contraintes supplémentaires...

AUXERRE: Communiquée aux alentours de 15h30 ce samedi, la décision du représentant de l’Etat de ne pas modifier l’horaire du couvre-feu en le ramenant à 18 heures plutôt qu’à 20 heures peut être vécu comme un « ouf » de soulagement pour celles et ceux de nos concitoyens qui ont à souffrir d’ordinaire de ces restrictions limitant leurs libertés.

Henri PREVOST n’a donc pas voulu pratiquer de surenchère en modifiant les règles de cette mesure, déjà très limitative dans nos déplacements. Son choix de maintenir le couvre-feu à 20 heures repose sur la connaissance des ultimes indicateurs fournis par l’Agence Régionale de Santé (ARS) et de ses appréciations.

Ainsi, le taux d’incidence global de référence s’établit à 195 cas pour cent mille habitants sur le territoire septentrional de la région ; a contrario celui de la Bourgogne Franche-Comté s’élève à 245 cas pour cent mille habitants.

Une donnée chiffrée légèrement en deçà du seuil fatidique de 200 qui, en cas de dépassement, aurait déclenché la mise en exergue quasi immédiate de ce changement d’horaire inhérent au nouveau couvre-feu.

Toutefois, force est de constater que l’indice se rapportant aux personnes âgées de plus de 65 ans se situe plutôt au-dessus de cette barre référentielle.

 

Un virus toujours très actif dans sa circulation…

  

Moyennant quoi, le représentant de l’Etat avait pris soin de consulter l’avis de plusieurs élus locaux avant de faire connaître sa décision. Globalement, une majorité d’entre eux n’était guère favorable à cette réduction d’horaire au nom de l’intérêt économique et général.

Après avoir tutoyé les sommets au niveau du nombre de contaminations il y a encore quelques semaines, l’Yonne est désormais le seul département de la région à adopter un profil plutôt favorable. Et ce, depuis bientôt huit jours.

Pour autant, la vigilance reste de mise. La situation peut en effet évoluer à tout moment selon le représentant des pouvoirs publics.

 

 

 

 

Un nouveau point d’étape sera d’ailleurs effectué au cours de la semaine prochaine pour analyser la pertinence évolutive de ces chiffres. Une chose est sûre : la circulation du coronavirus reste très active.

Quant à la stabilité constatée depuis le début de janvier, elle est observée, certes, mais à un niveau élevé. Les statistiques se rapportant aux patients victimes de la pathologie ne sont pas flamboyantes. Deux cent-six personnes fréquentent toujours les  hôpitaux du département. Une vingtaine d’entre elles occupe les lits des services de réanimation. Quant aux décès, ils s’élèvent à 288 depuis la recrudescence de la seconde vague.

 

 

 

La situation évoluerait dans le mauvais sens en cas d’indicateurs en hausse…

 

Quant aux effets préventifs d’entre les fêtes, ils ne seront réellement connus et appréciés qu’aux alentours de la mi-janvier. D’ici là, le préfet demande à la population de ne pas baisser le degré de vigilance. Rappelant au passage que les cercles familiaux et amicaux favorisent la prolifération du virus de manière la plus exacerbée.

« Il est nécessaire de limiter toutes les occasions de se regrouper, devait-il ajouter, c’est le meilleur moyen de juguler les effets dévastateurs de cette pandémie... ».

Hypothèse où au beau milieu de la semaine prochaine les indicateurs vireraient au rouge, le préfet de l’Yonne ne tarderait pas alors à réagir en avançant l’horaire du couvre-feu.

Dernier point : le haut-fonctionnaire n’a pas eu vent de la présence de la contagieuse variante britannique de la COVID ni dans l’Yonne, ni en Bourgogne Franche-Comté.

Lors de son intervention audiovisuelle de jeudi, Jean CASTEX avait annoncé la présence d’une vingtaine de cas dans l’Hexagone.

La Bretagne, l’Ile-de-France ainsi que les Hauts-de-France ont été signalés comme secteurs à risque. Maigre consolation pour la Bourgogne Franche-Comté, d’autres territoires sont encore plus mal lotis que nous !

 

Thierry BRET

 


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Bluffé à l’issue de la découverte de ce site industriel Henri PREVOST ? Assurément ! L’intéressé le confirme d’ailleurs de vive voix ! Le préfet de l’Yonne rendait une visite plus que de courtoisie à l’une des entités du groupe transalpin ALI, un géant aux 2,2 milliards d’euros de chiffre d’affaires qui emploie à travers le monde plus de dix mille collaborateurs. Chez FRIGINOX, c’est certain, le représentant de l’Etat n’est pas ressorti de son immersion auprès de cette pépite de la réfrigération ni chaud ni froid !

VILLEVALLIER : Depuis sa prise de fonction – son premier poste de préfet – en janvier 2020, Henri PREVOST multiplie les initiatives relationnelles placées sous le sceau de la découverte et du soutien auprès des acteurs de l’économie. Et plus spécifiquement, celles et ceux qui agissent dans leurs unités de production industrielles.

Ce fut encore le cas en ce premier mardi de l’an neuf avec la visite de la société FRIGINOX, un spécialiste qui exerce son savoir-faire dans le domaine du froid professionnel.

Sur un espace dédié de plus de dix mille mètres carrés, l’unique entité hexagonale du groupe italien « ALI » positionnée sur ce segment d’activité imagine et conçoit une gamme très impressionnante de produits réfrigérés. De volumes et de fonctionnalités différents.

Les cibles bénéficiaires sont multiples : les secteurs de la restauration commerciale et collective, mais également le milieu de la boulangerie et de la pâtisserie qui a valu à l’entreprise de l’Yonne de se distinguer à maintes reprises au SIRHA, le fameux Salon international de la restauration, de l’hôtellerie et de l’alimentation initié par le regretté Paul BOCUSE.

Côté export, FRIGINOX sait commercialiser son expérience, vieille de cinquante ans, vers pléthore de destinations. Y compris les antipodes puisque l’enseigne de l’Yonne équipe bon nombre d’établissements professionnels en Australie et en Nouvelle-Zélande !

 

 

Une délégation admirative par la qualité des prouesses technologiques…

 

Plus près de nous, le CIFA de Châteauroux vient d’honorer auprès de l’industriel une commande de produits ergonomiques et performants grâce à un contrat évalué à un million d’euros.

Pour l’anecdote, le navire amiral de la Marine française, le porte-avions « Charles-de-Gaulle » accueille à son bord des armoires réfrigérantes à l’estampille de cette jolie pépite made in Yonne !

Autant d’éléments informatifs que le représentant de l’Etat a pris soin d’emmagasiner et d’analyser lors de ce cheminement contemplatif de plus d’une heure dans le saint des saints de la technologie du refroidissement à la française. L’une des rares entités à concevoir une typologie aussi éclectique de produits en France.

Le préfet n’était pas le seul représentant de la sphère institutionnelle à s’émouvoir de la pertinence stratégique mise en exergue localement pour accroître les parts de marché.

 

 

 

 

Accompagné de Didier ROUSSEL, directeur de la Direction départementale des Territoires, Henri PREVOST a pu tout à loisir partager ses réflexions avec Nicolas SORET, président de la Communauté de communes du Jovinien et maire de Joigny, Guy BOURRAS, édile de Saint-Julien-du-Sault et l’élu de Villevallier, Jean-Marc GRILLER-AUBER.   

Ces personnalités furent accueillies par le président-directeur-général Paolo PESCATORI et le directeur industriel, Nicolas NOEL. Ce dernier endossa le rôle de « poisson-pilote » en expliquant avec moult détails les aspects technologiques qui permettent de créer ces armoires de conservation et cellules de refroidissement aux multiples brevets.

Tour à tour, la petite délégation découvrit les sections tôlerie, injection, montage, froid, laboratoire test et qualité, le magasin et la zone d’expédition. Avant de clore ce rendez-vous très instructif pour le préfet dans une salle de réunion. Ultimes instants pour remercier ses hôtes de l’avoir convié dans un univers rafraîchissant et porteur d’espérance pour l’économie icaunaise…

Thierry BRET

 

 


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L’urgence. Car nul ne peut plus ignorer les actes odieux dont sont victimes au quotidien les femmes au tréfonds de leur contexte familial. Les chiffres transmis par la délégation ad hoc du ministère de l’Intérieur sont accablants de véracité en ce qui concerne les violences conjugales. Des chiffres qui ont sans doute ému les responsables de l’assureur mutualiste régional déjà positionné sur bon nombre d’opérations citoyennes par le passé…

AUXERRE : Rien que sur l’exercice 2019, ce sont plus de 170 personnes (173 précisément) qui ont payé de leur vie les relations délétères et conflictuelles existantes au sein de leur couple.

Soit une hausse de 16 % par rapport à l’année précédente. Et ce n’est malheureusement pas les périodes successives de confinement, imputables au coronavirus, qui auront modifié les tendances de cette situation insoutenable pour la gent féminine.

Quand les dix présidents des caisses locales de l’assureur mutualiste icaunais ont eu à réfléchir sur le bien-fondé d’une aide salvatrice à apporter à celles qui subissaient les violences physiques et morales de leurs partenaires, ils se sont montrés unanimes dans leur choix.

Primo, l’idée de construire ensemble, avec le concours des services de l’Etat et des associations spécialisées dans la protection des droits aux femmes, une action solidaire et responsable est devenue très vite une évidence.

Dès janvier, ces clés de voûte de l’organigramme représentatif de GROUPAMA sur notre territoire seront réunies, en présentiel ou à distance selon l’état des lieux sanitaire du moment, afin de définir les grandes lignes de cette future collaboration citoyenne.

Parmi les priorités à débattre : la définition d’un budget sur l’année 2021 allouée à cette opération et ses différentes affectations. Un séminaire leur sera aussi proposé pour mieux appréhender les problématiques d’aides au relogement dont ces femmes expriment le besoin en cas de rupture avec leur turbulent conjoint.

 

Un acte de générosité sous la forme d’un chèque…

 

Secundo, il y a peu, l’exécutif de l’assureur mutualiste sur notre département (Pascal MAUPOIS, président de la Fédération des caisses locales de l’Yonne et Jacques BLANCHOT, directeur d’établissement) ont anticipé le futur de ces projets.

Faisant suite à des échanges constructifs avec le directeur de cabinet de la préfecture Tristan RIQUELME, ils ont procédé à un acte de générosité, sous la forme d’un don au profit des femmes victimes de ces violences conjugales.

Celles-ci, au nombre de vingt-trois, avaient été recommandées par deux organismes qui luttent contre ce fléau : l’ADAVIRS (Association d’aides aux victimes d’infractions et à la réinsertion sociale) et le CIDFF (Centre d’information sur les droits des femmes et des familles de l’Yonne).

D’un montant de 1 500 euros, ce geste salvateur a été officialisé en présence de Juliette ROME, déléguée départementale aux droits des femmes et à l’égalité. Il a pour vocation d’améliorer le quotidien de ces personnes précaires.

Dans un registre similaire, GROUPAMA Paris Val-de-Loire qui n’en est pas à son coup d’essai dans ses actions en faveur de la citoyenneté et de l’altruisme (marche annuelle sensibilisant au dépistage du cancer du sein, opérations menées dans le cadre de l’Egalité des chances entre les femmes et les hommes dont Jacques BLA NCHOT est précisément le représentant départemental pour l’Yonne) devrait intervenir également en milieu scolaire (primaire et lycée) dès janvier autour de la prévention égalitaire entre les deux sexes.   

    

Thierry BRET

 


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