C’est le nouveau visage de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de l’Yonne. Investi depuis fort longtemps au sein de la CPME départementale – et de manière générale au sein de diverses sphères qui régentent la vie économique de notre territoire-, Baptiste CLERIN aura la lourde tâche de succéder à l’indéboulonnable Olivier TRICON qui après treize ans de mandat (ça porte bonheur dirait-on !) a décidé de se mettre en retrait, non pas du syndicat patronal des TPE/PME, mais de la présidence. Un Baptiste CLERIN aux ambitions certaines pour dynamiser le mouvement entrepreneurial…
AUXERRE : Le résultat du vote – celui du Conseil d’administration réuni à huis clos pour procéder à un scrutin électoral qui tournera en la faveur du seul et unique candidat à s’être déclaré – a été longuement applaudi. Une assistance à la fois émue de devoir refermer définitivement le livre de l’ère Olivier TRICON – treize longues années en autant de chapitres à la tête du syndicat patronal des TPE/PME de notre territoire, un sacré bail ! – et satisfaite d’accorder sa pleine confiance à son successeur, Baptiste CLERIN, un chef d’entreprise tout comme elle, qui connaît bien les rouages de la vénérable institution et les arcanes du monde économique.
Un Baptiste CLERIN un peu sur la réserve émotionnelle à l’annonce des résultats qui lui étaient pourtant très profitables, lui qui est pourtant loin d’être timide en règle générale et qui est resté tout en retenue, savourant son succès de manière très intérieure à la façon d’un vieux sage. Même si l’on percevait des sentiments très forts à fleur de peau…
Cette fois-ci, c’est la bonne pour le nouveau président !
Il est vrai que prendre le relais de celui qui aura tenu les rênes de l’organisme patronal durant treize ans avec sa faconde habituelle mais aussi son déterminisme à tout crin n’est pas chose aisée aux premiers abords. Surtout que le sieur TRICON aura gravité durant son mandat parmi les instances régionales – il occupera le poste de président de la Bourgogne Franche-Comté durant deux saisons en sus du mandat départemental – avant de lâcher l’obligation régionale et se concentrer uniquement sur son territoire de prédilection où il y avait déjà assez de choses à effectuer.
Mais, cette fois-ci, c’est la bonne pour Baptiste CLERIN. Une élection nette et sans bavure qui lui permet d’être propulsé en pleine lumière à la tête de ce mouvement syndical qui brille désormais par la tenue des différents mandats auprès d’instances à forte valeur ajoutée : le Tribunal de Commerce, le conseil des Prud’hommes – méritante Ghislaine MOREAU qui en est aujourd’hui l’incarnation de cette réussite pour la CPME ! -, etc. On n’arrête plus la CPME et ce n’est pas terminé, dixit Olivier TRICON, un brin goguenard !
Bien structuré l’organigramme décisionnaire avec des vice-présidents par sections…
D’ailleurs, Baptiste CLERIN affiche la couleur. Lui aussi à des ambitions. « C’est même pour cela qu’il s’est présenté à la présidence, plaisante Olivier TRICON qui a confirmé son désir de rester au sein de la structure au sein du conseil d’administration.
Membre de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de l’Yonne depuis quatorze ans, Baptiste CLERIN connaît la maison jusqu’au bout des ongles. Un quasi par cœur où il aura fait ses gammes auprès de Gérard VACHETTE, alors responsable à l’époque, puis sous l’ère d’Olivier TRICON.
« C’est grâce à Olivier qui m’a fait prendre conscience de la nécessité d’occuper des mandats que je me suis investi davantage, souligne-t-il, je sais ce qu’est l’entraide auprès de collègues chefs d’entreprises dans la tourmente, et je félicite Olivier TRICON pour le travail réalisé dans l’intérêt de l’économie locale… ».
Ce départ novateur pour l’entité patronale de l’Yonne coïncide avec la création d’un nouveau bureau, nécessitant un scrutin de la part de tous les adhérents, devant s’étoffer in fine avec la présence de vice-présidents désignés par sections. Ces futurs présidents de section (commerce, industrie, service, artisanat) seront obligatoirement issus du Conseil d’administration. Une volonté très claire et affirmée, pour le nouveau président Baptiste CLERIN, de mieux articuler l’organigramme décisionnaire de la structure patronale.
Thierry BRET
Il a écouté attentivement la prise de parole du patron de « TPMS », le volubile et toujours enthousiaste Fernando DIAS GONCALVES. Un chef d’entreprise s’illustrant depuis plusieurs années sur le registre de la tôlerie et qui fut même l’un des industriels les plus prompts à réagir positivement lors de la COVID. Du petit lait dont s’est délecté le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, Thierry CADEVILLE, qui avait quelques messages forts à faire passer lors du brunch des Positives Entreprises…
MONTHOLON: Profitant de son déplacement dans l’Aillantais, à la découverte de l’unité de production de « TPMS » - la CCI de l’Yonne y organisait la trente-quatrième édition du brunch mensuel des Positives Entreprises dans les locaux du site industriel spécialisé dans la tôlerie -, Thierry CADEVILLE, président de la vénérable institution, a salué la capacité d’adaptation et de réactivité du chef d’entreprise, Fernando DIAS GONCALVES, un personnage atypique et volontariste dans la manière de gérer ses affaires.
Il est vrai qu’à l’époque cruciale de la crise sanitaire – celle de 2020 qui allait, et pour un moment paralyser l’activité économique de l’Hexagone – « TPMS » aura su se distinguer en imaginant la conception de bornes de gel hydro-alcoolique permettant ainsi de répondre dans l’urgence et de manière sanitaire aux inconvénients majeurs engendrés par cette pandémie se transmettant par simple poignée de mains.
Une initiative, jugée à l’époque comme une première pour l’entrepreneur de Montholon qui devait également s’illustrer au cours de ces dernières semaines au sujet de la crise occasionnée par la hausse mirifique du coût de l’électricité. Fernando DIAS GONCALVES a en effet été l’un des tout premiers industriels de l’Yonne à tirer la sonnette d’alarme au sujet de l’envolée prohibitive des tarifs de la fée électricité, transformant le monde féérique et illuminé habituel en un véritable cauchemar s’étant révélé depuis pour bon nombre d’entrepreneurs et artisans du sérail.
Une date que tout le monde attend, celle du 14 mars et la réunion de la commission européenne…
Evoquant ce thème pertinent, Thierry CADEVILLE devait livrer à voix haute le fond de ses pensées et le sens de son analyse à ce propos : « la résolution de la crise énergétique est politique. Nous disposons dans l’Hexagone de 56 réacteurs nucléaires ; soit de quoi produire l’énergie nécessaire à notre pays. D’ailleurs, le 14 mars, la commission européenne doit proposer un certain nombre de solutions, notamment sur le découplage des prix du gaz et de l’électricité. Nous attendons cela avec impatience car cela pourrait peut-être représenter une solution à laquelle les entreprises doivent faire face… ».
Il y a urgence en la matière, effectivement. Car, malgré les aides de l’Etat, des entreprises ont vu leurs factures énergétiques s’envoler pour tutoyer le firmament avec des hausses tarifaires multipliées par cinq, mais aussi dix-sept (!) comme le confirmera le porte-étendard de la chambre consulaire départementale, citant des exemples très précis.
Une étude diligentée par la CCI, s’appuyant sur les témoignages de cent-cinquante entrepreneurs, a révélé que 70 % des contacts initiés par la chambre consulaire étaient sensibles à la question de cette augmentation de l’énergie et pensaient faire appel aux aides existantes. Soit sept entreprises sur dix dans le département.
Toutefois, près de 25 % de ces entreprises sondées ne sont pas sensibles aux effets induits de cette crise pour diverses raisons.
Pas de ralentissement sur le marché de l’emploi dans l’Yonne…
Au niveau du recrutement et des difficultés rencontrées par les entreprises (60% du tissu départemental), Thierry CADEVILLE a délivré quelques informations complémentaires intéressantes avant de clore sa prise de parole, « les augmentations d’offres d’emploi dans l’industrie s’élèvent à plus 25 % à l’heure actuelle selon des sources fournies par Pôle Emploi, par rapport à l’année dernière…
Autre bonne nouvelle, le ralentissement de l’activité économique ne s’observe pas dans les faits au niveau du marché de l’emploi… ».
Un déplacement du président de la CCI qui aura sans doute remis un peu de baume au cœur à des chefs d’entreprise confrontés à une succession de crises depuis bientôt trois ans.
Thierry BRET
De l’avis de l’un de ses présidents, Mahfoud AOMAR – il gère la destinée de l’association « Yonne Développement » depuis deux ans -, sa structure et son corollaire naturel, spécialisé dans la construction de bâtiments et la logistique industrielle, la SEM (Société anonyme d’Economie Mixte) « Yonne Equipement », sont indissociables l’une de l’autre. Une force spéciale en petite unité au service de l’Yonne qui, malgré sa grande discrétion, est opérationnelle avec succès depuis près de trois décennies sur le terrain…
MONTHOLON : Ce jour-là, il aura été touché par la grâce divine, le président du Conseil général de l’époque, l’ancien secrétaire d’Etat en charge de la Coopération internationale, Henri de RAINCOURT ! De son passage remarqué aux manettes décisionnelles du département, grâce à de multiples mandats, on lui doit, entre autres, la constitution d’un outil d’aide à l’essor économique, toujours d’actualité et efficace dans le landerneau, « Yonne Développement ».
Une structure associative qui est devenue experte incontournable en la matière pour détecter les velléités d’implantation de nouveaux acteurs entrepreneuriaux désireux de s’installer en Bourgogne septentrionale. A ses côtés, la Société anonyme d’Economie Mixte (SEM), « Yonne Equipement », une entité qui est spécialiste de l’accompagnement de projets immobiliers économiques sur mesure ! Les deux font la paire, ou presque !
Mais, une chose est sûre, ces deux organes au service de l’attractivité territoriale de l’Yonne se complètent à merveille et ne font qu’une, au niveau de leurs objectifs finaux. Entre études de faisabilité, prospective, matière grise et…concrétisation de projets avec à la clé de l’emploi et des affaires professionnelles évolutives !
L’essence même de l’entrepreneuriat retrouvé avec ces deux entités…
Le président de l’antenne icaunaise de l’Association des Maires de France (AMF), président de la Communauté de communes de l’Aillantais, Mahfoud AOMAR pourrait en parler durant des heures. En effet, ces deux instruments institutionnels qui offrent un système gagnant/gagnant pour les collectivités et les entrepreneurs voulant poser leurs jalons dans ce secteur géographique bien précis ne lui sont pas étrangers. Et pour cause, Mahfoud AOMAR possède une autre casquette qu’il a rivée sur sa tête au nom de l’éclectisme et de la curiosité : celle de président de l’association, « Yonne Développement ».
« Avec ces deux structures, souligne-t-il avec son expertise d’ancien entrepreneur, j’ai retrouvé l’essence même de l’entreprise. Elles facilitent le bon fonctionnement de l’économie territoriale, ce qui est de loin très profitable à l’Yonne… ».
En filigrane, et dans la pensée de l’ancien conseiller départemental, il y a aussi les retombées économiques par capillarité, imputables à la venue de nouvelles entreprises parfois en provenance de l’Ile-de-France voisine avec leurs contributions fiscales et taxes foncières. Un sacré plus !
Etre fier de ces outils qui confèrent une réelle plus-value à notre territoire…
Plongeant dans ses lointains souvenirs, le président de l’EPCI salue l’idée ayant germé dans les neurones stimulés d’Henri de RAINCOURT pour imposer un modèle économique novateur, original, générant de nouvelles richesses au bénéfice du territoire. Sans compter les emplois induits qui se sont ajoutés depuis dans la case des profits !
« Ce qui est formidable avec ces outils, renchérit Mahfoud AOMAR, c’est qu’ils exercent leurs activités en parfaite symbiose ! ».
Un enthousiasme qui fait plaisir à voir pour celui qui précise qu’au cours de la seule année 2022, ce sont 95 dossiers qui ont ainsi été traités par les équipes des deux organismes, dirigées par Clarisse MARTIN.
Yonne Développement n’hésite pas, par ailleurs, à sortir des frontières départementales et à s’éloigner de sa zone de confort (Auxerre) où sont accueillis ses bureaux administratifs pour assurer la promotion de ce territoire, idéalement bien placé au sud de Paris. Dans cet axe, autrefois inéluctable de la voie du progrès : le PLM, Paris Lyon Marseille !
Entre les notions de l’outil idéal et le volet nécessaire servant à optimiser les relations entre les différents acteurs de la chose économique et celle des collectivités, ce tandem structurel, très complémentaire, obtient de sérieux résultats. En toute discrétion médiatique et en prenant le pouls au plus près de la réalité du terrain.
« Nous entraînons dans notre sillage toutes les grandes banques qui agissent sur le territoire de l’Yonne dans l’intérêt de son essor économique, précise Mahfoud AOMAR, celles qui sont devenues de facto nos partenaires inconditionnels… ».
Yonne Développement et son binôme, Yonne Equipement, travaillent main dans la main à l’aménagement de nouveaux bâtiments sur des zones constructibles mais également à partir d’édifices déjà existants pouvant accueillir des entreprises dans les meilleurs délais.
« Je pense que les Icaunais devraient être fiers de ces outils qui confèrent une réelle dynamique à notre territoire, ajoute le président communautaire, mon rôle est d’être le gardien du temple de l’un de ses deux outils, avec le concours des cinq salariés qui y exercent leur savoir-faire. On devrait avancer avec l’aide de tous les élus à l’avenir car ces instruments sont très pertinents… ».
Toujours est-il que les responsables des deux organismes – François BOUCHER, maire de Migennes et président de la communauté de communes locale, est le président de la SEM Yonne Equipement – envisagent avec la direction des deux organismes davantage de communication en 2023. Une péréquation intelligente qui doit être comprise de tous, et par tous, en somme…
Thierry BRET
Le cabinet intercommunal du Jovinien élargit ses potentialités de soins avec l’accueil d’une seconde praticienne en la personne du docteur Natali GUERRERO, chirurgienne-dentiste et spécialiste en implantologie. Opérationnelle dès le 03 avril, cette diplômée de l’université de Madrid aux origines ibériques qui travaillait à Paris rejoindra le docteur Adiba DEBBARH déjà en place…
JOIGNY : Actionnez vos claviers et assurez déjà vos futurs rendez-vous sur la plateforme « Doctolib », et ce, dès cette semaine ! Une chose est sûre : à la vue des demandes croissantes de la patientèle qui recherche désespérément un rendez-vous dans l’Yonne pour soigner une douleur gingivale persistante ou une carie naissante, l’agenda de la nouvelle praticienne spécialisée en soins dentaires, s’installant dans ce bassin géographique du Centre Yonne, ne devrait pas souffrir de cases vides !
Attendue comme le « Messie » ou presque, la doctoresse Natali GUERRERO, chirurgienne-dentiste de son état, devrait crouler sous le nombre de visites dès le début d’avril, synonyme de son arrivée dans sa commune d’accueil.
La jeune femme officiera dans le cabinet dentaire, aménagé et équipé par la communauté de communes du Jovinien (une enveloppe de plus de 200 000 euros pour en assurer les travaux et l’acquisition des équipements nécessaires à la profession). Un cabinet où exerce déjà le docteur Adiba DEBBARH, cette dernière s’étant installée en novembre 2022. Une autre professionnelle est aussi établie dans la cité.
Lors d’une conférence de presse, organisée samedi à l’hôtel de ville de Joigny, les élus Frédérique COLAS et Nicolas SORET ont salué la nouvelle praticienne qui n’a pas hésité à laisser derrière elle le centre dentaire parisien, près de la gare de Lyon où elle pratiquait depuis deux saisons.
Le pari risqué mais réussi de l’intercommunalité !
Visiblement, la professionnelle de santé âgée de 36 ans recevait bon nombre de patients originaires de l’Yonne et plus particulièrement de Joigny et de ses environs à Paris. Convaincue par la pertinence du projet intercommunal, le médecin a donc opté pour un changement radical de sa carrière, emmenant avec elle dans ses bagages, son assistante dentaire, Adriana, qui poursuivra ses activités à ses côtés.
Avec cette nouvelle installation, le cabinet intercommunal, doté de deux fauteuils dentaires, est idéalement pourvu. Un pari réussi, aussi, pour le président de la CC du Jovinien, Nicolas SORET, et son équipe qui ont su attirer de nouveaux praticiens in situ.
« C’est évidemment une excellente nouvelle pour notre intercommunalité, a déclaré le vice-président de la Région Bourgogne Franche-Comté, monter un cabinet dentaire, c’était un pari risqué mais on l’a relevé. Je remercie également les agents qui ont œuvré à nos côtés... ».
Une installation qui est aussi un pied de nez à tous les promoteurs immobiliers qui ne croyaient pas à la pertinence et la faisabilité du projet !
En savoir plus :
Le docteur Natali GUERRERO recevra les patients (âgés de plus de 16 ans) du lundi au vendredi. Prise de rendez-vous sur www.doctolib.fr
Thierry BRET
Faire connaître les représentantes de la gent féminine de notre territoire, celles qui entreprennent des actions extraordinaires, est le judicieux principe de cette cérémonie des « Engagées de l’Yonne », apparue en 2022. Saint-Sauveur-en-Puisaye, fief de l’une de plus ardentes défenseuses du concept en la personne de la sénatrice Dominique VERIEN, accueillera cet évènement au beau milieu de l’après-midi…
SAINT-SAUVEUR-EN-PUISAYE : En règle générale, lorsque l’on évoque le droit des femmes en France, c’est toujours sous l’angle du mal avec sa cohorte de chiffres calamiteux et désolants qui traduisent les pires fléaux s’abattant sur leurs têtes. Des chiffres qui noircissent les pages des faits divers de bon nombre de médias et perturbent les consciences.
Cependant, de nombreuses femmes démontrent dans leur quotidien qu’elles peuvent être fortes et agir en conséquence, en faveur de l’égalité et à travers une multitude d’actions citoyennes, entrepreneuriales ou sociétales.
Pour récompenser ces initiatives dignes et les encourager à se développer davantage aux quatre coins de notre département, plusieurs acteurs de l’Yonne se sont portés volontaires à l’organisation d’une cérémonie bien particulière, « Les Engagées de l’Yonne », devant précisément mettre sous le feu des projecteurs celles de ces femmes méritantes et courageuses qui agissent dans leur quotidien.
Une manifestation faisant presque référence, pour son nom de baptême, à l’ouvrage rédigé par Jean-Eric FRAY, en 2020 (« Les Enjouées ») sur la question : l’auteur icaunais y réalisait alors une trentaine de portraits de plusieurs de ces femmes qui auront su faire rayonner notre département mais aussi la contrée régionale dans leurs actes et engagements.
Un jury très institutionnel pour départager les différents dossiers de candidature…
Au cours de ce rendez-vous, accueilli à l’Orangerie, dans le parc du château local, il sera question de remise de prix. Deux seront ainsi décernés. L’un récompensera la « structure engagée » dans le droit des femmes par ses actions ou son discours. L’autre auréolera « l’icône icaunaise » 2023, c’est-à-dire la femme ayant été placée sous le feu des projecteurs grâce à son investissement en faveur de l’égalité et de la défense des droits au féminin.
Un jury spécial a été constitué à cet effet pour sélectionner et départager les différents candidats. Il est composé de sénateurs (Jean-Baptiste LEMOYNE, Dominique VERIEN), de représentants d’associations d'élus (Mahfoud AOMAR, Dominique CHAPPUIT), du président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD, de Yohann CORDE, maire de Saint-Sauveur-en-Puisaye, de Juliette ROME, déléguée aux droits des femmes auprès du préfet de l'Yonne, de représentants de L'Yonne Républicaine et de France Bleu Auxerre ainsi que de Frédéric MAGET, président de la Société des Amis de Colette, la structure avait reçu l’année dernière la première « icône icaunaise ».
Le verdict pour découvrir les heureux gagnants est attendu en fin d’après-midi ce samedi…
En savoir plus
Les « Engagées de l’Yonne »,
Une animation organisée samedi 04 mars à 15 heures à la salle de l'Orangerie de Saint-Sauveur-en-Puisaye en faveur de l’égalité et des droits aux femmes.
Thierry BRET