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Ils sont les plus chaleureux possibles, les vœux adressés par le représentant de l’Etat aux nombreuses personnalités du territoire, conviées à la traditionnelle cérémonie, accueillie dans les salons de la préfecture. Un exercice oratoire de facture classique sur la forme – le premier du genre pour le préfet qui a pris ses nouvelles fonctions au printemps 2022 – mais plutôt enthousiaste sur le fond, avec l’accent qui aura été apporté à quelques chantiers prévus en 2023 dont la transition écologique et le Fonds « Vert »…  

 

AUXERRE : « Depuis que j’ai l’honneur de représenter l’Etat dans ce département, j’ai rencontré des élus dynamiques, des entrepreneurs innovants, des bénévoles associatifs engagés, des forces de secours et de sécurité toujours mobilisées, sans oublier une équipe préfectorale qui est totalement impliquée et investie… ».

Il aura fallu une petite phrase, loin d’être anodine, servant de préambule à la cérémonie annuelle des vœux pour comprendre que le préfet en exercice dans l’Yonne Pascal JAN semblait plutôt satisfait de se trouver là !

En pareille circonstance, il est vrai, et en excellente compagnie, aux côtés des personnalités les plus représentatives de ce territoire, reconnues pour leurs actions et contributions à son développement. Quand il ne s’agit pas de son rayonnement au-delà de nos frontières !

 

L’Yonne a su montrer ses capacités d’adaptation face aux évènements…

 

Qu’elles soient au service des institutions, des structures associatives, de la culture, du sport, du tourisme, de la vie économique, voire de la politique…, ces figures territoriales icaunaises, destinataires de ces vœux préfectoraux, ne pouvaient manquer un tel rendez-vous malgré la concomitance de plusieurs évènementiels biffés sur des agendas bien garnis. On pensera notamment à l’audience de rentrée du Tribunal de commerce d’Auxerre dont la cérémonie se déroulait quasiment en même temps à quelques encablures de là sous la baguette de son président, Pascal BAILLY !

Certains n’hésitèrent pas à jouer au funambule avec la programmation en toute dextérité, passant de l’une à l’autre de ces animations afin de ne pas en louper une miette. Il aurait été regrettable, en effet, de ne pas participer à cette cérémonie des vœux – la première du préfet Pascal JAN depuis sa nomination – et d’en humer tous les subtils contours au plan de la dialectique et des messages délivrés.

Un Pascal JAN qui aura donné sa vision analytique personnelle de l’année écoulée, «  2022 aura été marquée par des faits imprévus, c’est moins que l’on puisse dire ! », au pupitre, s’adressant à une assistance compacte face à lui. Pour autant, précisera-t-il très vite, « l’Yonne a su démontrer ses capacités d’adaptation face aux évènements ».

Remerciant tout de go ces Icaunaises et Icaunais qui auront été salvateurs et mobilisés dans leur capacité d’accueil (et d’altruisme) envers les 428 Ukrainiens accueillis sur notre territoire, le haut fonctionnaire de l’Etat rappela que le département septentrional de Bourgogne était une terre de solidarité. « Il est de notre devoir de les accueillir, soulignera-t-il, le temps du règlement de ce conflit ».

Avec plus de légèreté par la suite, Pascal JAN, grand passionné de football, ne manqua pas d’évoquer le retour parmi l’élite de l’AJ Auxerre. « J’espère que ce retour au premier plan sera pérenne pour longtemps. On peut formuler le vœu que le club auxerrois renoue avec un passé glorieux ! ».

Mais, de l’avis du préfet, le cœur du sport sur notre territoire est porté en réalité par les clubs amateurs et leurs valeurs qui se traduisent par l’axe sport/santé.

« Si l’accession de l’AJA en Ligue 1 est un vecteur d’inquiétude, voire d’angoisse au niveau des problématiques sécuritaires, dit-il avec un petit sourire sur les lèvres en se tournant vers la directrice de cabinet, Marion AOUSTIN-ROTH, elle n’en est pas moins une source de développement économique capitale pour le tourisme – « une véritable locomotive pour de nombreux secteurs également » - mais aussi l’hôtellerie et la restauration…. ».

 

 

 

France 2030, un concept qui porte une ambition très claire…

 

Pascal JAN eut aussi des phrases bienveillantes envers les soignants et les professionnels de santé, mobilisés depuis de nombreux mois pour juguler du mieux possible les effets de la pandémie imputable à la COVID-19. « Nous leur devons beaucoup, rappellera-t-il, et chacun s’associera à ces remerciements… ».

Changeant radicalement de sujet, parmi la multitude d’évènements inattendus ayant marqué les douze derniers mois de l’année, le préfet aborda le réchauffement climatique et ses conséquences. Des épisodes météo qui l’ont marqué au niveau mémoriel puisque dès sa prise de fonction, il sera confronté à une chute drastique des températures et au gel, entraînant de sérieux dégâts chez les arboriculteurs. Puis, il y eut des orages de forte intensité au cours du printemps, avant les vagues successives de chaleurs caniculaires qui plombèrent l’été.

« Ces évènements impactent nos écosystèmes et nos espaces naturels, poursuivra Pascal JAN, avec la recrudescence des incendies, des difficultés à s’approvisionner en eau, à l’assèchement des rivières. Heureusement, la mobilisation des élus et des équipes de secours auront permis d’éviter le pire… ».

Puis, l’orateur insistera sur l’engagement de l’Etat et des collectivités territoriales dans la transition énergétique et écologique. 2023 permettra d’accélérer, voire d’amplifier cette transition. Au même titre que les autres chantiers qui lui sont chers, comme la souveraineté, l’égalité des chances ou encore le plein emploi. « Je serai particulièrement vigilant cette année sur ces thèmes de travail, martèlera-t-il.

Une concrétisation de la politique des services publics qui s’appuie sur les services de l’Etat. Catégorique, Pascal JAN a réaffirmé au passage que « lesdits services seront aux côtés des élus dans le département ».

Quant à la politique des services publics déclinable sur l’Hexagone, elle nécessite une enveloppe budgétaire de 54 milliards d’euros avec le dispositif France 2030 – « un concept qui porte une ambition claire et il faut avoir de l’ambition » - en repositionnant la France dans le concert des nations à sa place de leader.

Succédant au plan France Relance, France 2030 – le préfet devait s’appesantir sur les raisons d’être de ce dispositif – permet à l’Etat d’investir et d’innover en assurant en parallèle la préservation de la biodiversité et en garantissant les souverainetés alimentaires et énergétiques du pays. Dans l’Yonne, la stratégie concernant les énergies renouvelables se veut ambitieuse en faveur de l’environnement mais aussi de l’emploi – l’un ne va pas sans l’autre dixit Pascal JAN – et de l’attractivité du département.

« Aujourd’hui, affirmera Pascal JAN, je suis convaincu que l’Yonne dispose des atouts nécessaires pour passer un cap pour aller vers cette politique ambitieuse pour les générations qui nous suivent ».

 

 

Etre unis et solidaires pour relever les défis de 2023…

 

 

Les services de l’Etat continueront à agir au quotidien. Tant dans les domaines de la sécurité, de l’insertion et de l’accompagnement, ou la protection contre les violences intrafamiliales. Cette aide sera également effective sur le volet de l’environnement avec les « fonds verts » qui financeront un certain nombre de projets visant à l’adaptation des transformations climatiques. En 2022, près de trois cents projets ont été soutenus par des subventions de l’Etat pour un montant total de 22 millions d’euros.

Rapprocher les services publics des citoyens, grâce à la mise en place des trente-et-une maisons France Service qui maillent le territoire icaunais, est aussi un autre moyen de s’investir au bénéfice du territoire. Toutefois, Pascal JAN s’est dit très surpris de constater qu’une large frange de la population ne connaît pas l’existence desdits établissements, situés le plus souvent à quelques kilomètres de leur lieu de résidence.

« Il y a un effort particulier à faire en termes de publicité et de communication, observa-t-il, c’est un engagement fort et massif du Président de la République et on doit l’honorer… ».

Le préfet n’en oublia pas de citer l’emploi et le travail coopératif entretenu entre les différents acteurs de la discipline, Pôle Emploi, l’Education nationale, les Missions locales, ainsi que les dispositifs de formation professionnelle et d’apprentissage existants.

Enfin, le préfet précisa un autre élément de la feuille de route traduisant le rapprochement pérenne entre l’Etat et les collectivités territoriales, via les services ad hoc et les élus/secrétaires de mairie. Celui des réunions annuelles entre ces diverses composantes qui facilitent ces échanges constructifs et devraient s’intensifier.    

« On doit travailler ensemble au nom de la proximité, c’est un élément essentiel… ».

Reste la culture et le sport. Le 150ème anniversaire de la naissance de Colette devrait être célébrer dignement dans l’Yonne la fin janvier. Quant au passage de la flamme olympique dans l’Yonne (Jeux de Paris 2024), cela résulte de l’investissement et de l’engagement de Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental, pour cette manifestation aux contours internationaux évident.

« Il nous faut nous munir de confiance et de fierté pour aborder l’année qui vient, devait conclure Pascal JAN au terme de sa longue prise de parole, être uni et être solidaire, mais je sais que vous savez le faire pour relever les défis et les enjeux de cette année 2023… ».

Un vœu qui est loin d’être pieu à l’applaudimètre, tant la volonté d’y parvenir ensemble sur ce territoire est grande, assurément…

 

Thierry BRET

 

 

La jolie Saône-et-Loire a toujours été un vivier natal d'excellents cuisiniers (MM. DUMAINE, DUCLOUX et BILLOUX antan, CARETTE, CHAPUIS, DOUCET, BROCHOT de façon plus actuelle). Nicolas BRELAUD n'échappe donc pas à la règle   puisqu'il est né à Montceau-les-Mines. Après, un parcours éclectique,  provincial puis en étoilé parisien, mais aussi dans des ministères, c'est un peu par hasard,  en cherchant une affaire, qu'il aura un coup de cœur pour la cité du rail icaunais, reine des constructions BERARD, dont les rotondes du temps passé accueillirent jusqu'à deux cents locos vapeur !

 

MIGENNES : L'électrification de l'impériale artère du PLM au lendemain de la Seconde Guerre mondiale vit disparaître les imposants panaches de fumée des majestueuses « Pacific 231 », remplacées par les puissantes « 2D2 », puis « CC 7100 ».

Migennes n'est pas forcément la plus gourmande des cités icaunaises, même si, à la fin du siècle passé,  on mangeait bien à l'hôtel-restaurant « Paris », un établissement distingué fort légitimement d'un « bib gourmand » Michelin,  d'ailleurs !

Au restaurant du Canal, épaulé par son épouse Caroline, notre entreprenant chef se fit rapidement repérer. Trois entrées, plats (poisson, viande et toujours une pâte) et desserts, le tout fabriqué maison, avec un imparable rapport qualité-prix. Il n'en fallut pas plus pour remplir la salle du  restaurant et sa terrasse des beaux jours ! Une pensée émue pour les magnifiques tripes qui firent longtemps la joie des amateurs d'abats, et pas seulement en novembre, leur mois dédié ! Oui mais ça, c'était avant…

 

 

La tête de veau s’est embourgeoisée en cromesquis !

 

Depuis l'automne 2021, Nicolas a déménagé ses fourneaux. Oh ! Pas bien loin cependant. Répondant aux sollicitations municipales, il s'occupe des cuisines du tout nouvel hôtel-restaurant de Migennes, le MITIGANA. Là-aussi, le succès fut immédiat. Pas de hasard, pourra-t-on penser ! Nicolas et sa brigade culinaire ont raffiné la gamme, tout en demeurant fidèles à leurs fondamentaux. Adieu aux tripes. Quant à la tête de veau, elle s'est désormais embourgeoisée...en cromesquis !

Au service, exerce un binôme formidable : Gaëlle et Manu. Ils travaillaient chacun à « Paname ». Le post-confinement leur fit débuter un nouveau chapitre de leur vie. Adieu feux rouges incessants et embouteillages ! Vive la vie provinciale ! La dernière brasserie à avoir employé la dynamique Gaëlle s'appelle « Le Verre de Vin ». L'Yonne apparaît ici, telle une belle évidence ! 

 

 

 

Des croûtons aillés qui croustillent...


Le cadre est lumineux. L’assise est confortable et de fort jolis couverts sur table précédent un goûteux « Américano » ! En entrée, l'œuf et le vin constituent une fort belle surprise : point de faute de goût dans cet œuf bio poché au Chablis (peut-être celui du truculent Daniel SEGUINOT !). Tout y est fort bon, notamment les croûtons aillés qui croustillent (aspect souvent négligé...). Quant à la terrine de pintadeau traité comme un persillé, c'est inattendu et fort bon !
Ensuite, elle fut annoncée la tête de veau en cromesquis, une façon originale de déguster ce mets si légitimement apprécié dans l'Yonne. La bourride de poissons nous amène, l'espace d'un instant, du côté de Sète ! Un plat là aussi aux saveurs étagées et précises, notamment le délicat aïoli.

 

 

 

Un des établissements les plus prometteurs de l’Yonne…

 

Même le fromage blanc aux herbes est servi élégamment. Cette élégance est comme une image de cette jeune maison, avant de conclure par un dessert léger à l'ananas.

Meilleurs vœux gourmands pour cette année nouvelle qui débute dans un établissement des plus prometteurs. Quai numéro 2, attention au départ !

 

 

En savoir plus :

 

Les - : une gougère par personne pour l'apéritif. Peut-être pourrait-on pousser à deux ! Et avec le café, un « p'tit » chocolat ou autre serait le bienvenu.

Les + : le service est dynamique et souriant.

 

 

Contact :

 

Hôtel-Restaurant Le MITIGANA

16, Avenue Roger Salengro 89400 MIGENNES

Tel : 03.58.44.90.11.

Formule à partir de 30 euros.

Sauf lundi et mardi.

  

Gauthier PAJONA

 

 

 

 

 

Il ne pouvait en être autrement. Logique, au vu du contexte actuel et de la course folle de l’inflation en matière énergétique que l’on nous promet depuis si longtemps ! Dans un souci d’équilibre financier à long terme, et afin de pérenniser un service public sur notre territoire rural non prioritaire pour les autres opérateurs, le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY) a décidé de passer désormais à un modèle payant pour les bornes de recharge des véhicules électriques. Une application effective depuis le 02 janvier…

 

AUXERRE : Il fallait s’y attendre. Tant les tensions sont palpables et déconcertantes sur tout ce qui touche le volet énergétique dans l’Hexagone depuis plusieurs mois. Mais, il faut bien se rendre à l’évidence. Les choses évoluent selon les soubresauts de la conjoncture et des crises successives qui s’abattent sur le ciel européen. Voire mondial.

Le SDEY, syndicat départemental d’énergies de l’Yonne, n’a eu d’autres choix en effet que de s’aligner sur les évènements qui induisent une forte augmentation du coût de l’électricité dans l’Hexagone. Et encore, nous ne sommes pas à plaindre puisque le bouclier tarifaire voulu par l’Etat a quelque peu réduit la facture énergétique. Qu’elle soit électrique ou gazière en ce début d’année.

Oui mais voilà. A l’instar de bon nombre d’entreprises, de collectivités ou de structures associatives qui désirent exister durablement et apporter de précieux services auprès de nos concitoyens, des ajustements financiers sont indispensables. Ne serait-ce, dans le cadre du SDEY, que pour asseoir dans la durée la notion de service public apporté dans notre département – le développement de la centaine de bornes de recharge pour véhicules électriques – et de préserver pour l’organisme son légitime équilibre budgétaire.

 

Un point de recharge pour quatre véhicules dans l’Yonne grâce au SDEY…

 

Ainsi, depuis lundi, le syndicat départemental icaunais a donc décidé d’opter pour une formule payante, à partir d’une grille de tarification dûment étudiée, dans cette offre de service public que représente ce réseau de bornes, nécessaires à l’alimentation des modèles automobiles électriques ; ces derniers connaissant une nette progression au niveau des ventes sur notre territoire.

On le sait, le SDEY s’est investi sans relâche depuis 2015 pour aménager du mieux possible le département de l’Yonne avec ces fameuses bornes désignées sous le sigle technique « IRVE » (Infrastructures de Recharge des Véhicules Electriques).

A date, l’organisme piloté par Jean-Noël LOURY, président et Eric GENTIS, directeur, exploite près de 40 % des infrastructures ouvertes au public aux quatre coins de l’Yonne. Aujourd’hui, la photographie instantanée prise sur ces appareils est plutôt flatteuse puisqu’il existe un point de recharge pour quatre automobiles dans le périmètre icaunais.

 

Maintenir sa place d’aménageur public principal sur le territoire icaunais…

 

Sachant que différentes variétés de bornes y ont été installées, même dans les communes les plus reculées du département : on dénombre ainsi 109 bornes inférieures à 25 KW, une vingtaine de bornes offrant une capacité de recharge comprise entre 25 KW et 100 KW ; enfin, deux bornes – de vraies « Rolls-Royce » de la recharge rapide ! – ont été posées par le SDEY sur le territoire.

Un service favorisant la transition énergétique des automobilistes de l’Yonne qui était jusque-là entièrement gratuit et très sollicité en raison de l’adoption de ce mode de déplacement réduisant les rejets de carbone.

Une sollicitation telle de la part des automobilistes qui induit naturellement une usure prématurée du matériel, augmentant au passage les coûts de maintenance et le risque de devoir remplacer lesdites bornes.

Quant à la proposition tarifaire mise en application au 02 janvier 2023, elle est relativement basse en année 1 pour avoir la possibilité de réviser le prix à la hausse ultérieurement.

La mise en place d’une formule abonnement est concrète pour se rapprocher des modèles économiques d’autres acteurs et opérateurs de ce segment d’activité.

Précisons que le SDEY doit être en mesure d’assumer des coûts importants sans rentabilité à court terme afin d’occuper l’espace et de maintenir sa place d’aménageur public principal de l’Yonne.

 

 

En savoir plus :

925 MWh ont été distribués en 2021 sur les bornes du SDEY.

1 333 MWh ont été distribués sur les bornes du syndicat de l’Yonne entre le 01er janvier et le 30 septembre 2022.

Les tarifs pratiqués :

Puissance inférieure à 25 KW, 0,50 euros du kWh

Plus 0,30 centimes la minute dès la quinzième minute après le temps de charge.

Tarif abonné : 0,40 euros du kWh

Puissance comprise entre 50 et 100 kW, 0,70 euros du kWh

Plus de 0,40 euros du kWh la minute dès 15 minutes après la fin de charge.

Tarif abonné : 0,60 euros du kWh.

Puissance de plus de 100 kW, 0,90 euros du kWh.

Plus 0,50 euros la minute dès 15 minutes après la fin de charge

Tarif abonné : 0,80 euros du kWh.

Quant aux prix et avantages de l’abonnement, ils sont les suivants, 14,99 euros par mois, avec une exonération de la composante « temps », entre 21h et 06 h du matin.

 

Thierry BRET

 

L’amplitude kilométrique, du nord au sud de la deuxième circonscription de l’Yonne, représente tout de même plus d’une centaine de kilomètres. Difficile, d’assurer une présence physique régulière pour le parlementaire de l’Yonne qui est confronté à autant de distance pour rencontrer élus et citoyens ! L’ouverture d’une deuxième permanence, après celle d’Avallon, trouve ainsi sa pleine légitimité au cœur de Migennes.  

 

MIGENNES : Un peu délaissée de la circonscription, la partie septentrionale ? « Affirmatif », de l’avis même de son parlementaire, le député André VILLIERS. L’ancien chef de file de l’UDI, rallié à la cause d’Edouard PHILIPPE et de son nouvel appareil politique, « Horizons » - l’un des socles de la majorité présidentielle - depuis plusieurs mois, a donc décidé de conjurer le sort qui maintenait ce secteur géographique un peu trop éloigné de l’épicentre politique d’Avallon à son goût.

Déjà en 2017, l’idée d’ouvrir une seconde permanence au nord de ce territoire – point névralgique pour rayonner au plus près des élus, citoyens et autres acteurs de la vie institutionnelle et économique – lui avait effleuré l’esprit. Mais, cette fois-ci, en 2022, sera donc la bonne.

« J’ai décidé de lever ce handicap qui pénalisait ce secteur de la circonscription, précise l’élu de l’Yonne, en y installant un lieu de rencontre avec du personnel permanent… ».

 

 

Une équipe à l’écoute des citoyens du territoire…

 

Les familiers du toujours très vaillant agriculteur/éleveur prolixe lors de ses interventions y retrouveront Marie-Françoise MALCUY, une fidèle d’entre les fidèles qui avait accompagnée dès 2017 l’ancien président du Conseil départemental de l’Yonne lorsque ce dernier avait en responsabilité les rênes de l’organe institutionnel depuis l’hémicycle auxerrois.

Une autre recrue complète l’équipe : le jeune et très prometteur Yassin KOUACH, promu es qualité d’attaché parlementaire.  

Le garçon sera particulièrement sollicité par le pensionnaire du Palais Bourbon, puisqu’il naviguera entre les deux permanences distantes d’une centaine de kilomètres, l’une de l’autre. Quoi de plus naturel, en somme, puisque les voyages, chacun le sait, forment la jeunesse !

Disposant de ce local, bien aménagé et plutôt fonctionnel pour y accueillir du public, André VILLIERS prendra attache avec les administrés de sa circonscription – une population sur la partie nord estimée à près de 60 000 habitants – uniquement sur rendez-vous. Sachant que Marie-Françoise MALCUY et Yassin KOUACH bénéficieront d’un trois quart de temps à se partager sur chacun des deux lieux choisis par l’élu.

 

 

Multiplier les échanges en prenant le pouls du terrain...

 

Etre au plus près du terrain représente la marque de l’engagement politique du nouveau porte-étendard du parti porté par l’ancien Premier ministre Edouard PHILIPPE.

« C’est indispensable de pouvoir rencontrer les personnes qui vivent sur la circonscription, reconnaît André VILLIERS, adepte du tutoiement facile, de la poignée de main chaleureuse et de la proximité.

Optimiste de nature, sans être plongé dans la béatitude, le député de l’Yonne a pleinement conscience des difficultés vécues à l’heure actuelle par la nation hexagonale. Tout en relativisant les choses lorsqu’il évoque en aparté le contexte international si complexe.

Un André VILLIERS, fier d’être Français, qui en bon « morvandiau » aura su décorer sa nouvelle permanence d’un sapin illuminé de boules et de guirlandes dans le pur esprit de Noël.

Comme une offrande apportée aux habitants du nord de la deuxième circonscription qui trouveront désormais portes ouvertes pour faire part de leurs sollicitations et de leurs doléances en prenant rendez-vous avec leur parlementaire…

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 

Il le dit lui-même avec bonhommie : « les chiffres que nous avons réalisés en 2022 me donnent la banane ! ». Pourtant, le garçon ne possède pas une once de prétention. Encore moins la grosse tête ! Toujours très précautionneux envers autrui, tant dans la relation exercée avec la clientèle qu’auprès des dix-sept collaborateurs qui exercent le savoir-faire de l’enseigne dans l’Yonne. A 37 ans, Baptiste CHAPUIS est un chef d’entreprise heureux, croyant en l’avenir. D’ailleurs, pour célébrer le dixième anniversaire de sa structure, 123 Immobilier, il ajoute dès ce 02 janvier une cinquième agence dans sa besace.

 

MONTHOLON : « Je ne m’aventure pas en terre inconnue ! ». C’est sûr ! Le dirigeant du groupe 123 Immobilier Baptiste CHAPUIS commence à être habitué aux ouvertures de nouvelles vitrines commerciales sur son territoire de prédilection que représente l’Yonne.

Cinquième agence à intégrer le panel représentatif des opportunités offertes par ce spécialiste de la location/vente de biens immobiliers, le site de cette agence newlook, réhabilitée par des artisans du cru en mode ergonomique et environnemental, ne se situe pas là par pur hasard, sur l’échiquier de la conquête des parts de marché qui anime l’entrepreneur.

Il suffit d’observer la topologie des lieux – l’acquisition d’une ancienne officine pharmaceutique vacante depuis un moment et idéalement positionnée sur un axe circulatoire pénétrant dans la nouvelle commune née au 01er janvier 2017 – pour mieux comprendre le choix subtil du décideur économique. La nouvelle agence, ouverte au public dès le lendemain du Jour de l’An, peut se comparer à une cerise sur le gâteau plutôt goûteuse car visible et accessible de tous, grâce à la proximité de deux parkings.

 

Une nouvelle agence à raison d’un cycle biennal ou presque…

 

L’antenne promotionnelle du groupe 123 Immobilier va pouvoir rayonner sur un large périmètre, telle une tête d’épingle clairement identifiée placée à l’épicentre d’une zone géographique comprise entre Toucy, Charny-Orée-de-Puisaye, Migennes et Joigny. Autant dire du pain bénit pour un Baptiste CHAPUIS lucide et ô combien réaliste qui a pris soin d’accroître son potentiel d’infrastructures commerciales à raison d’un nouvel établissement créé au rythme calendaire d’une unité ouverte presque tous les deux ans !

Pour s’y retrouver, c’est simple au niveau de l’arithmétique ! En l’espace d’une décennie – la société célèbrera son dixième anniversaire en 2023 -, le groupe 123 Immobilier aura étalé le rythme de ses ouvertures d’agences de la manière suivante, Auxerre Rue de Paris en 2013, avant Appoigny en 2015, Auxerre Gambetta en 2017, puis celle de Migennes presque deux années plus tard avant d’inaugurer celle de Montholon en janvier.

 

 

Des taux de visibilité très élevés auprès des internautes franciliens…

 

Bref, le choix de se placer en tête de gondole dans l’Aillantais correspond à un désir d’optimiser sa stratégie de conquête sur l’un des marchés prégnants de ce secteur, la résidence secondaire. Et pourquoi pas, par ricochet, celui de l’occupation principale par les propriétaires.

Disposant d’une offre soutenue de plus de deux cents biens immobiliers en permanence, le groupe 123 Immobilier surfe parmi les meilleurs taux de visibilité sur la toile auprès des prospects et clientèles franciliens (40 %). Le Bon Coin a d’ailleurs référencé le site de l’entreprise icaunaise parmi ses meilleures consultations de l’année.

Bénéficiant de 180 mètres carrés, l’entité a refait à neuf le rez-de-chaussée de l’ancienne pharmacie, l’agrémentant de salles de réunion, d’un espace accueil et de bureaux individualisés où les leds et l’isolation thermique assurent une qualité BBC optimale à l’édifice.

L’étage accueillera, outre des salles de réunion, trois espaces bureaux pouvant recevoir des entrepreneurs et porteurs de projets du cru. Un petit business center bien dans l’esprit de Baptiste CHAPUIS, lui-même adhérent de plusieurs associations telles la Jeune Chambre Economique ou DYNABUY Chablis qui encouragent les initiatives entrepreneuriales.

 

Thierry BRET

 

 

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