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Trouver des sources de revenus complémentaires pour les agriculteurs en cette période complexe vécue par la filière suppose la pratique de la diversité. Les opportunités offertes par la transition énergétique incitent à explorer davantage ces préconisations qui peuvent s’avérer judicieuses. A l’instar de celles adoptées par le GAEC FRANET Frères à Hauteville-les-Dijon (Côte d’Or) qui a mis à profit la construction de nouveaux hangars en 2010 pour installer un générateur photovoltaïque de 43,56 kWc raccordé au réseau, soit environ 300 mètres carrés de panneaux monocristallins. Gains financiers pour la structure : 15 000 euros de revenus en bonus annuel. Cet encouragement à l’efficacité énergétique via le développement des énergies renouvelables dans le secteur agricole a fait l’objet ce vendredi 23 févier d’une signature, celle de la convention de partenariat unissant EDF et la coopérative DIJON CEREALES en vue d’une collaboration optimale…

HAUTEVILLE LES DIJON (21) : Promouvoir l’utilisation et le développement des énergies renouvelables auprès des acteurs des milieux agricoles représente l’ossature prioritaire de ce nouveau partenariat, entériné de manière officielle ce vendredi 23 février par les responsables d’EDF et de DIJON CEREALES. Profitant de la visite et du retour d’expérience de l’exploitation de Bertrand FRANET, équipée de panneaux photovoltaïques depuis huit ans, les dirigeants des deux structures ont formalisé leur accord en présence d’élus de la circonscription, notamment le député de Côte d’Or, Didier MARTIN.

Une articulation de cette convergence d’intérêts en quatre chapitres…

En statuant ainsi les contours pragmatiques de leur nouvelle association, le fournisseur d’énergie régional et le groupe coopératif agricole et agroalimentaire, leader en Bourgogne Franche-Comté, proposent un accompagnement concret sur la maîtrise de la demande d’énergie destinée aux professionnels de l’agriculture.

Le schéma applicatif de cette convention se décline en quatre volets : la communication à travers les informations expertes fournies par EDF sur les solutions énergétiques innovantes, la production d’électricité à partir des panneaux photovoltaïques qui ouvre des perspectives intéressantes vers l’autoconsommation grâce à un contexte règlementaire plus favorable, le développement vers la méthanisation et le biogaz dans un esprit d’agriculture durable (des projets qui nécessitent une taille critique au niveau usuel) et l’emploi du digital avec un large éventail de possibilités qui induit la recrudescence effective des produits connectés (robots, capteurs, drones…).

Sur ce dernier point, EDF épaulera le groupe coopératif sur l’exploitation des données numériques et l’analyse de celles-ci ainsi que pour la mise en place de portails de données, contribuant in fine à l’excellence de la filière. Bien au-delà de simples études analytiques de ces statistiques et renseignements, il s’agira pour les deux partenaires, acteurs clés de l’économie territoriale, d’explorer un projet portant sur l’agriculture péri-urbaine.

Le concept répondrait à la fois aux aspirations sociétales de mieux manger pour les consommateurs et à la professionnalisation optimale des jeunes exploitants très orientés vers l’emploi à bon escient du numérique.

Vers la vitalité et le dynamisme retrouvés des milieux agricoles…

Comme devait le préciser Marc PATRIAT, président de DIJON CEREALES, « l’agriculteur représente toujours le vecteur fondamental de la ruralité au plan économique. Ils sont des acteurs engagés au service de leur environnement. C’est donc en toute logique que les 3 800 adhérents que nous représentons soutiennent cette initiative favorable à l’agro-écologie, à l’agriculture durable et à des perspectives judicieuses en matière de transition énergétique ».

Un propos que le président du groupe coopératif confirma par la décision de son conseil d’administration de parapher un accord de partenariat jugé très satisfaisant.

Quant à Christine HEURAUX, déléguée régionale EDF Bourgogne Franche-Comté, elle rappela lors de son allocution que les missions d’EDF ne se limitaient pas uniquement à l’exploitation du nucléaire. En effet, le premier fournisseur d’électricité en France est aussi un acteur engagé dans la production d’une électricité bas carbone, avec l’adoption du Plan Solaire ayant un objectif de production de 30 GW de solaire photovoltaïque entre 2020 et 2035.

« Notre devoir, devait-elle ajouter, c’est d’être à l’écoute grâce à cette convention de celles et ceux des professionnels du monde agricole qui veulent être indépendants et autonomes en matière d’énergie… Nous voulons optimiser cette relation en pratiquant une attitude de gagnant/gagnant au service de la planète ».

L’accessibilité des énergies renouvelables au monde agricole apporte indéniablement une image de la vitalité et de dynamisme de l’agriculture dans notre région.


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La journée du centenaire de la Ligue nationale contre le cancer sera commémorée dans l’Yonne le samedi 17 mars à la Maison de quartier de Sainte-Geneviève à Auxerre. Ce sera une excellente opportunité pour les organisateurs de cet événement festif de démontrer par le prisme de la pédagogie, de la solidarité, de la culture et de la convivialité que de nombreux progrès thérapeutiques ont été réalisés pour éradiquer de notre existence ce fléau pathologique et pour aider les patients à vivre leur quotidien dans une meilleure tranquillité d’esprit grâce aux composantes du pertinent programme « Equilibre »…

AUXERRE : Pessimistes et anxieux de nature s’abstenir ! La célébration du centenaire de la Ligue nationale contre le cancer prévue sur le territoire de l’Yonne sera avant tout un rassemblement festif le 17 mars prochain à Auxerre.

Profitant de la date anniversaire nationale de la célèbre structure associative (le Centre des Congrès de la Villette à Paris accueillera pléthore de représentants culturels quelques jours auparavant le 14 mars…), le Comité icaunais a opté, quant à lui, pour la création d’un grand mouvement solidaire et convivial qui délivrera moult messages positifs sur les propositions d’accompagnements faites envers les patients et leurs proches.

Un vertueux programme de bien-être et de rapprochement : Equilibre…

L’animation bénéficiera d’une articulation amplement étudiée autour de la présentation de ce nouveau programme « Equilibre », ambitieuse démonstration de ce qu’il est fondamental de mettre en pratique pour soutenir avec efficience les personnes affectées par la maladie mais aussi leur entourage.

En quête permanente du mieux-être corporel mais aussi psychologique, ce concept novateur se compose d’un certain nombre d’items se traduisant sous la forme d’ateliers, aujourd’hui suivies par une cinquantaine de personnes sur notre territoire.

« Prendre soin de son corps et de son esprit, c’est mettre toutes les chances de son côté pour mieux vivre la phase de traitement et pour renforcer sa vitalité afin de se façonner un nouvel avenir, précise le docteur Christian RIGAUD, bénévole de la Ligue 89 et animateur de l’atelier de sophrologie. Cette conviction profonde fondée sur de nombreuses études au plan international nous a convaincu de mener à bien ces expérimentations en les faisant partager aux patients… ».

Soutien psychologique, sophrologie, escrime, chants et chorale, socio-esthétique, marche nordique, gymnastique volontaire, groupe de convivialité représentent autant de  possibilités d’expression et de relaxation permettant de créer des ondes positives autour de la personne concernée. Qui plus est, grâce à ces ateliers, elle s’extrait aussi de toutes formes d’isolement vers lequel s’enferment en règle générale les patients.

Sollicitant des partenaires bénévoles pour les animer, la Ligue de l’Yonne désire accroître le champ d’application de ces ateliers sur l’ensemble du territoire. Avec un objectif quantitatif : augmenter le nombre de patients et de proches, bénéficiaires de ces soutiens salvateurs.

Une manifestation copieuse ouverte à toutes et à tous…

Bien sûr, en parallèle de ces présentations traduites par la présence de stands, il sera aussi question de recherche médicale pour contrecarrer les nuisances de cette lourde pathologie, de la prévention et de l’accompagnement des malades.

Les plus véloces des visiteurs auront la faculté de pouvoir prendre part à une randonnée matinale, concoctée par la Maison des Randonneurs en empruntant un itinéraire tracé autour de la maison de quartier auxerroise. Des activités sportives (tennis de table, sabre laser, babyfoot, marche nordique,…) mais aussi des structures de jeux gonflables et du maquillage destiné aux enfants confèreront à cet évènement un petit air de kermesse enjoué et sympathique afin de mobiliser l’ensemble du tissu familial.

La pièce théâtrale « Positif », interprétée au cours de l’après-midi par des personnes en rémission et sous la houlette d’un professionnel de la scénographie, constituera l’une des pierres angulaires de cette journée décidément pas ordinaire pour la Ligue de l’Yonne.

Cet instant empli d’émotions se poursuivra avec le récital donné par la chorale de Vallan, VALLKYRIE, et l’orchestre de Chevannes, signataires d’une convention de partenariat avec la Ligue pour développer un atelier de chant chorale destinée à l’accueil de personnes malades. Un lâcher de ballons biodégradable conclura la manifestation qui sera parrainée par l’incontournable ancien entraîneur de l’AJ Auxerre, Guy ROUX, et Anoushka BALAJ, élue Miss Yonne 2017.

Précisons que le monde estudiantin (IUT Auxerre) ne sera pas oublié dans cette belle aventure collective où se sont greffés aussi l’ensemble des partenaires naturels de la structure départementale (institutionnels, élus, associations, clubs services et entreprises).


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Alors qu’elle est génératrice de 1 800 emplois sur le seul département de l’Yonne dans les secteurs de l’industrie du papier et du carton (un tiers de ses effectifs), la filière bois souffre d’une réelle inertie en matière de prospective économique. A l’instar des bois français, les grumes ont le plus souvent des destinations européennes car elles sont de moins en moins travaillées sur notre territoire. Un paradoxe complexe et étrange lorsque l’on sait que la forêt en France occupe 50 % des terres disponibles et 30 % de sa superficie. Chaque année, le déficit de ce segment d’activité atteint des abysses, plus de cinq milliards d’euros en 2017 ! De l’avis des spécialistes, il aurait fallu investir davantage dans la forêt. Et, ce ne sont pas les 70 millions de plants annuels qui permettront à la filière de rebondir alors que dans le même temps, l’Allemagne et la Pologne excellent dans leur politique de réintroduction des essences avec respectivement 300 millions et un milliard de plants ajoutés chaque année…

AUXERRE : Par manque d’innovation et d’investissements, et surtout d’une bonne dose de volonté, la filière bois, autrefois porteuse de réelles ambitions, ne cesse depuis de broyer du noir. Alors que l’activité sciage concernait 4,4 millions de mètre cube en 1973, son volume a vertigineusement chuté en 2015, s’établissant à 1,3 million de mètre cube.

« Logique, confie Vincent NAUDET, ancien président de la filière bois en France (FNB), on ne cesse d’importer du bois de sciage de pays florissants sur ce marché, à l’exemple de l’Allemagne et de la Pologne… ».

Produits en France, dans des régions comme le Morvan à l’échelle de la Bourgogne Franche-Comté, les bois sont transformés à l’étranger et nous reviennent ensuite sous diverses variantes. Le comble de l’aberration quand on sait que l’économie circulaire a pris le dessus sur bon nombre de modes opératoires aujourd’hui dans notre société de consommation.

Dans ce domaine comme pour tant d’autres, les effets de la mondialisation se font ressentir de manière impitoyable. Et impactent avec les conséquences que l’on imagine les entrepreneurs du cru.

Rassembler les collectivités forestières au sein d’une structure dédiée…

Jouant les orateurs convaincants face aux élus de l’Yonne, lors de l’assemblée générale des maires de notre département, l’édile d’Avallon, Jean-Yves CAULLET, président de l’Office national des Forêts (ONF), a rappelé les enjeux économiques liés à cette ressource naturelle que représente le bois.

« Le travail de l’Association départementale des communes forestières de l’Yonne est précisément de fédérer toutes les collectivités qui possèdent sur leur périmètre des forêts. C’est-à-dire 193 communes du département. Or, seules 44 d’entre elles nous ont rejoints pour défendre les intérêts de ce levier économique territorial. C’est trop peu quand on sait que l’on doit défendre et protéger les emplois de ces personnes qui officient au sein des 320 structures évoluant sur ce segment… ».

Il est vrai qu’en la matière, le département de l’Yonne dispose de certains atouts non négligeables. Avec 30 % de son territoire couvert de forêts (soit 227 000 ha et privés à 78 %), la partie la plus septentrionale de la Bourgogne dispose de 43 millions de m3 de bois sur pieds dont 88 % de feuillus avec les chênes qui représentent plus de la moitié de ce patrimoine forestier. Un quart de la récolte se destine d’ailleurs au bois énergie. Quant à la forêt naturelle, elle n’a pas de commune valeur avec celle qui a été plantée. Et son traitement rapporte nettement moins…

« Personnellement, renchérit Vincent NAUDET, je considère que l’Etat fait bien son travail au même titre que la société forestière de la Caisse de dépôts qui gère un patrimoine forestier important. Mais, les propriétaires privés ne l’effectuent pas aussi bien dans cette approche de la valorisation des domaines… ».

Anticiper les bouleversements liés aux impacts climatiques…

Côté emploi, même si certains secteurs industriels représentent encore 350 postes à plein temps sur le territoire icaunais (le sciage, la fabrication de meubles et la construction bois), l’ancien responsable de la Fédération nationale du bois n’est néanmoins guère optimiste à long terme : « je me fais du souci pour toutes ces industries qui créent et nourrissent des emplois dans les territoires ruraux. Il est grand temps de traiter le problème de l’investissement et de l’innovation sur ce secteur s’ils souhaitent perdurer…».

D’autant qu’une autre problématique, encore plus cruciale et irréversible, pointe le bout de son nez à la fenêtre de la météo : le changement du climat et ses effets induits sur des territoires comme les nôtres.

« La vitesse de ces bouleversement sur la végétation se constate par des niveaux kilométriques de dix kilomètres en dix kilomètres chaque année. Cela suppose en matière de plantation qu’il va falloir s’adapter très vite à cet état de fait en raisonnant sur une fourchette oscillatoire comprise entre 50 et 100 ans… ».

Dans le cas contraire, si rien n’est pris en compte dans la politique de reboisement, les forêts françaises ne seraient plus aussi productives et plus du tout adaptées aux besoins réels des industriels de l’époque qui utiliseront des essences compatibles avec l’influence climatique du moment.

A titre indicatif, ce sont les résineux qui aujourd’hui sont les variantes arboricoles les plus demandées sur le marché de la Bourgogne Franche-Comté, en particulier le douglas qui nécessite entre 40 et 50 ans de maturité avant la coupe.

Exonérée des droits de mutation et de l’ISF, concédant un avantage sur le revenu, avec le revenu forestier, la forêt demeure toutefois un attrait incitatif en matière de fiscalité.

« En France, beaucoup de personnes sont devenues propriétaires de domaines forestiers afin de transférer leur patrimoine en évitant les droits de mutation. Mais, aujourd’hui, face à ces changements de paradigme, le propriétaire forestier doit être davantage à l’écoute. Car le choix de la forêt et de ses futures plantations ne doit rien aux fruits du hasard : ce sont les futures générations qui bénéficieront des avantages liés à leurs exploitations… ».

Développer la plantation à outrance dans un souci de reboisement et d’exploitation industrielle afin de fixer dans les zones rurales l’emploi représente une nécessité absolue. Pour mieux assurer la transition énergétique de demain, sauvegarder le travail et ne plus être dépendant de l’importation.

Par exemple, le bois plaquette favorise une revalorisation des résineux ou de parties de l’arbre peu valorisées. Mais, autre bémol, les difficultés de structuration de la filière liées à la variation de coût des énergies fossiles et l’absence d’opérateur structurant telle qu’une scierie de belle capacité à connotation industrielle dans l’Yonne freinent la maturation de la filière. Reste que des projets de valorisation de biomasse issue des haies sont à l’étude sur notre département à l’heure actuelle. Représentent-ils encore une piste de réflexion positive pour la réhabilitation de la valeur du bois et de la forêt dans notre environnement économique ? L’avenir nous le dira…

 


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Opérationnelle depuis le 01er février, l’offre de services déclinée par la marque « TOQ TOQUE » traduit la nouvelle orientation stratégique pour le chantre des arts de vivre et du bien recevoir régional. Proposer un système de livraison hyper réactif et original à domicile, autour de produits et de mets concoctés par la référence des traiteurs et de ses partenaires apparaît comme une indéniable valeur ajoutée que le responsable de l’essor commercial de l’entreprise, Matthieu CHAPUIS, développe de façon dynamique avec le concours de quatre collaborateurs.

CHEMILLY SUR YONNE : De succulentes salades composées et des entrées à tarifs abordables, y compris le foie gras maison, augurent à la première lecture des informations sur le site multimédia des possibilités préconçues par la nouvelle offre marketing répondant au joli nom de « TOQ TOQUE ». Auxquelles s’ajoutent d’excellents potages.

Côté plats de résistance, le consommateur ne possède que l’embarras du choix parmi une dizaine de recettes préparées par les chefs de la célèbre enseigne locale. Filet de bœuf Rossini, fricassées de volailles aux morilles, saumon à l’oseille et même de superbes noix de Saint-Jacques ne peuvent que séduire les adorateurs d’une cuisine raffinée à la saveur préservée.

Afin de respecter les nouvelles habitudes alimentaires, le végétarien trouve déjà une place alléchante dans la carte ; à l’instar de recettes exotiques qui répondent aux appellations de poulet préparé façon thaïe, du chili con carne, du couscous ou encore de la paella. Les férus de la gastronomie du terroir made in France y trouveront aussi leur compte car des plats aussi typiques que fondamentaux dans l’art culinaire tels que le coq au vin, le cassoulet, la blanquette de veau ou le bœuf bourguignon sont représentés.

Associer différents producteurs dans l’offre de service

Evolutive de semaine en semaine, l’offre de livraison à domicile se structure selon les goûts et les appétits des premiers clients, c’est-à-dire des familles et des particuliers désireux de découvrir une autre forme de gastronomie à emporter qui ne soit pas à l’apanage exclusif des traditionnels fast-food, kebabs et autres pizzérias déclinant du prêt à être livré selon des codes plus rudimentaires.

« Nous voulions proposer à cette typologie de consommateurs cocooning une alimentation fraîche, variée et saine à base de produits qualitatifs, concède Matthieu CHAPUIS, l’ensemble de la gamme des plats cuisinés émane des FESTINS tandis que nos partenaires traditionnels nous permettent de vanter en parallèle le mérite de leurs productions… ».

C’est le cas des producteurs de cornichons locaux (Etablissements MARC), de la bière artisanale de Chablis (MADDAM), des surprenantes variétés de pop-corn résultant de l’imaginaire débridé de GRAMM’S ou des confiseries concoctées par Sophie BILLON (BILLE DE SUCRE). Le viticulteur de Chablis, Daniel-Etienne DEFAIX, ayant lui aussi été mis à contribution dans le cadre de ce partenariat constructif.

C’est en 2017 que le développeur du concept, Matthieu CHAPUIS, s’interroge sur la pertinence de se doter de cet outil de travail intelligent. S’appuyant sur les compétences d’un jeune étudiant de l’école supérieure de commerce de Lille (SCEMA), Marc PELLAFINET, il se rapproche ensuite de Rachid EL IDRISSI, un entrepreneur auxerrois passionné de développement multimédia qui lui apportera les éléments essentiels au niveau du positionnement et de l’image du concept. Deux autres personnes, Mathilde et Arthur, rejoignent l’ossature fonctionnelle de cette petite filiale, intégrée au sein de l’univers des FESTINS.

Un investissement de 50 000 euros pour lancer le mode opératoire…

Précurseurs dans moult domaines, Evelyne et Didier CHAPUIS, dirigeants des FESTINS, suivent avec grand intérêt l’évolution de ce projet novateur et digitalisé. Matthieu ne connaîtra pas de difficultés pour les convaincre du bien-fondé de ce concept en phase avec la réactivité du moment, orienté vers un public de CSP+ soucieux de traçabilité et de fraîcheur.

La start-up intégrée des FESTINS se finalise petit à petit et espère très vite un chiffre d'affaires de 150 000 euros dès le terme de la première année.

« Pourtant, explique Matthieu CHAPUIS, il existe déjà un système de livraison propre aux FESTINS. Mais là, notre concept est différent et non concurrentiel car nous ne ciblons pas le même mode de consommation de notre clientèle… ».

Les adeptes des circuits courts ne devraient pas bouder leur plaisir en essayant le principe de ces livraisons à domicile. Les commandes s’effectuent sur applications (Apple Store et Play Store) et sur le site avec une amplitude horaire appréciable, c’est-à-dire une heure avant le terme de la livraison prévue jusqu’à 22 heures. Tous les systèmes sécuritaires en matière de paiement en ligne ont été initiés afin de garantir les achats en toute quiétude d’esprit.

« Les premières analyses depuis que nous sommes opérationnels démontrent que 100 % de nos livraisons ont pu être honorées dans un délai optimal sur Auxerre et les communes périphériques où nous intervenons, se satisfait le développeur commercial de la start-up, il y a quelques jours, nous avons bonifié notre offre en proposant un système de commande à la demande à l’aide d’une boutique itinérante, un camion réfrigéré qui respecte les fondements de la chaîne du froid. Pour l’heure, hormis Auxerre, TOQ TOQUE dessert les communes de Perrigny, Monéteau, La Borde et Saint-Georges sur Baulche. Demain, nous élargirons les possibilités de distribution sur le Grand Auxerrois… ».

La création de points relais avec le concours de partenaires professionnels n’est pas exclue pour assurer de véritables synergies opérationnelles sept jours sur sept sur le terrain.

Avec la fermeture de bon nombre de restaurants le dimanche et le lundi soir sur la zone de chalandise couverte, la livraison de ces plats cuisinés et ces produits alimentaires connexes à la sauce TOQ TOQUE, et sous la tutelle des FESTINS, représente une sérieuse opportunité commerciale.

D’autant que l’avenir semble radieux pour le quintette qui fait fructifier ce valeureux projet : une extension de ce service pourrait se concrétiser favorablement vers Dijon et permettre aux FESTINS d’étendre sa suprématie sur la Côte d’Or, en plus de sa vitrine commerciale déjà implantée à Marsannay la Côte. Peut-être avant le terme de 2018…

 


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Ce réseau national d’aide à la gestion d’entreprise accompagne les dirigeants des TPE dans le pilotage de leur outil de production depuis 1994. En mettant en exergue une formule unique qui a su faire ses preuves auprès des 15 700 structures professionnelles déjà bénéficiaires de ces précieux conseils. S’appuyant sur un progiciel à forte valeur ajoutée, les experts de ce leader français sur son segment d’activité, fort de ses 395 conseillers, entendent bien décliner ce potentiel performant en Bourgogne Franche-Comté. Une stratégie, qui au-delà de l’optimisation de la gestion des TPE, offrira à RIVALIS l’opportunité de s’insérer davantage parmi le tissu économique local…

PARIS : Pour les entrepreneurs ayant recours aux offres de service de RIVALIS, la méthodologie ne peut in fine que s’avérer payante à bien des égards. Selon les apports statistiques communiqués par ce réseau national d’accompagnement des entreprises, c’est en moyenne 50 241 euros de bénéfices, 1,7 embauche supplémentaire, 9 124 euros de revenus annuels obtenus et près de 30 000 euros d’investissement.

Optimisation des coûts et des marges, soutien au recrutement, progression des revenus : RIVALIS et sa palette de spécialistes interviennent comme de véritables copilotes de la société qu’ils vont accompagner avec une seule et unique priorité : booster l’activité du partenaire.

Un challenge dans l’air du temps qui devrait trouver des échos favorables auprès des responsables des très petites entreprises (TPE) de Bourgogne Franche-Comté qui sont désormais dans le viseur des stratèges de ce groupe.

Avec l’aide de son progiciel spécifique, RIVALIS dépêche un conseiller au sein de la structure aidée dans le seul but que le dirigeant puisse prendre les décisions profitables à la pérennité de son outil de travail, sans omettre la hausse de sa rentabilité. Une équation qui se convertit visiblement en réel succès puisque 95 % des utilisateurs de cette méthode particulière ne cachent pas leur degré de satisfaction.

Répondre aux interrogations que se pose l’entrepreneur…

Après un rendez-vous initial, le conseiller de RIVALIS établit un diagnostic de l’état de santé de l’entreprise visitée. Un audit obligatoire qui lui donnera de nombreuses pistes de réflexion en matière d’amélioration des besoins. Utilisant le fameux progiciel, le technicien pourra mettre en lumière l’ensemble des zones d’ombre de l’entreprise comme le matériel vendu trop peu cher, la mauvaise évaluation du temps de travail, les coûts de revient sous-estimés, etc. Bref, au terme de ces échanges constructifs, l’entrepreneur gagne en maturité dans sa phase organisationnelle et renforce surtout son autonomie en matière de gestion.

En cette année 2018, le territoire de la Bourgogne Franche-Comté intègre la politique de développement de ce réseau. La région comporte une présence importante de petites structures professionnelles ayant des attentes fondamentales dans les choix décisionnels. Quel est en effet l’entrepreneur qui ne se pose pas au quotidien un certain nombre d’interrogations sur ses facultés à investir, à recruter, à fixer un cap à courte et moyenne échéance ? Structure alsacienne fondée par Henri VALDAN, RIVALIS veut s’inscrire dans cette légitimité de pouvoir apporter des réponses concrètes et surtout les mettre en application avec ses équipes de spécialistes. Un pari maîtrisable pour cette société qui pèse aujourd’hui 7,5 millions d’euros de chiffre d’affaires…


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