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Le Salon de l’Agriculture se profile à très court terme à Paris porte de Versailles. Il occupera l’intérêt des forces politiques et médiatiques comme le veut la tradition au cours de ces prochains jours. Pour autant, l’évènement ne permettra pas de faire oublier les douze mois de transition que fut 2017 après la catastrophique année 2016. Une période qui aura laissé de sérieuses traces auprès des filières agricoles et viticoles de l’Yonne, confrontées aux intempéries multiples : gel, inondations, grêle, excès d’eau. Soit une perte de 50 % de chiffre d’affaires pour les exploitations qui espéraient beaucoup mieux de cette année antérieure. Mais, cela n’aura pas été le cas avec au contraire des difficultés qui sont demeurées les mêmes, voire qui ont empiré. Fragilisant un peu plus l’agriculture départementale qui n’avait pas besoin de cette conjonction infernale d’aléas climatiques, tarifaires et sanitaires pour se refaire une santé durable...

AUXERRE : Se poser les bonnes interrogations est devenu nécessaire à l’heure actuelle dès que l’on évoque la pérennité du secteur agricole en France. Malheureusement pour les professionnels, confrontés à la multiplicité des aléas de toute sorte depuis plusieurs saisons, la problématique reste entière. Et l’attente des premières préconisations issues des Etats généraux de l’Alimentation voulus par le gouvernement d’Edouard PHILIPPE dernièrement n’en est que plus importante. Car, les orientations agricoles définies par la gouvernance de l’Etat français doivent aboutir à quelque chose de radicalement concret en s’intéressant à l’évolution indispensable des exploitations. Le verdict devrait être connu d’ici le terme du premier trimestre.

En attendant, les spécialistes et les professionnels de la filière, à l’instar du président de la chambre d’agriculture de l’Yonne, Etienne HENRIOT, ronge leurs freins. « Comment cela va-t-il réellement se traduire dans les faits ? Nous n’en savons rien, déclare-t-il sans ambages, mais la protection des revenus des agriculteurs est aujourd’hui notre grande priorité… ».

L’évolution de la compétitivité du modèle agricole européen se trouve dans le viseur des professionnels qui espèrent des actes aux bonnes intentions. « Un président de la République qui construit des discours où tout le monde est content et satisfait ne solutionne pas forcément les problématiques ! Le loup est une espèce de plus en plus présente dans notre écosystème à la grande joie des protecteurs de l’environnement et des écologistes. Certes ! Mais, dans le même temps, il faut bien que les bergers vivent de leur métier en préservant leurs troupeaux… ».

Bref, la cohérence est de rigueur pour le président de la Chambre départementale qui souhaite que la revalorisation des prix de vente soit enfin au rendez-vous afin de permettre une nette amélioration de la situation financière des exploitations.

RéAgir 89 : un dispositif d’écoute et d’entraide très fonctionnel…

Quant aux agriculteurs vivant en plein marasme économique, ils peuvent bénéficier de la cellule de suivi, « RéAgir 89 », où de nombreux partenaires des filières agricoles et du monde institutionnel se donnent rendez-vous de manière constante pour accompagner les dossiers. Quatre-vingt-dix contacts alarmants auront ainsi été initiés sur la seule année 2017. In fine, sept professionnels seront dans l’obligation de suspendre leurs activités. « On s’attendait néanmoins à un chiffre beaucoup plus important, relativise Etienne HENRIOT, malgré les aides de la PAC (Politique agricole commune), bon nombre d’agriculteurs sont dans le rouge au niveau de l’endettement. C’est quasi invivable en terme de trésorerie pour certains. Cependant, il existe un phénomène de résilience qui s’installe petit à petit. Sachant que nous souhaitons tous que l’année agricole/viticole 2018 soit meilleure. Par exemple, des agriculteurs du Tonnerrois ont réalisé moins de chiffre d’affaires en 2017 que l’année précédente. Forcément, cela nous interpelle… ».

D’autres dispositifs d’accompagnements ont été mis en œuvre face aux difficultés des exploitations : les allègements fiscaux et sociaux avec les concours de l’Etat et de la Mutualité Sociale Agricole (MSA), accompagnement du paiement d’intrants par les organismes économiques, gratuité d’interventions stratégiques proposées par des structures de conseils comme CERFRANCE.

S’il est martelé dans les propos que les solutions miracles n’existent pas, des initiatives judicieuses sont tout de même tentées. A commencer par la promotion de la diversité des cultures et l’allongement de la rotation de celles-ci au plan environnemental.

« Le chanvre, avec le développement de structures comme EURO CHANVRE et CHANVRIERE qui installent de nouvelles usines plus proches de nous, représente une belle opportunité à ne pas négliger, poursuit le président de la chambre consulaire, a contrario, nous achoppons sur des marchés qui ne sont pas extensibles comme le pois ou l’avoine nue. Quant à la betterave, elle a enregistré une hausse de la surface de production (une cinquantaine de producteurs sur le département de l’Yonne) et a réalisé de très bons rendements. Mais, la volatilité des prix demeure une réelle problématique comme pour les céréales… ».

Bilan mitigé pour les diverses productions de l’Yonne

Pour les grandes cultures, certains secteurs à l’instar du Tonnerrois et des Plateaux de Bourgogne ont à nouveau subi un triste sort du fait d’éléments météorologiques complexes. Les cultures d’automne (maïs, tournesol, chanvre…) ont confirmé leurs bons rendements. Mais, la baisse historique des cours mondiaux pratiqués sur les céréales aura donné un coup d’arrêt spectaculaire à toute espérance de voir le rattrapage des conséquences néfastes de l’exercice 2016.

Si les prix ont certes flambé du côté de la viticulture, les difficultés de trésorerie sont demeurées identiques. Les volumes n’étant plus là, les marchés à l’export ont reculé et récupéré par une concurrence exacerbée faute de pouvoir répondre aux attentes du marché.

L’élevage n’a pas été épargné par les vicissitudes conjoncturelles. La sempiternelle problématique de la faiblesse des cours sur le lait et la viande est revenue à la une de l’actualité sans que de réelles avancées soient faites avec les distributeurs.

Un point détaillé sur la régionalisation des chambres d’agriculture…

Intervenu le 01er juillet 2017, le rapprochement des chambres consulaires de Bourgogne et de Franche-Comté a généré le transfert des chambres départementales vers des entités régionales des personnels affectés aux missions dites de support : la comptabilité, les finances, les ressources humaines, l’informatique, les études économiques…).

La future organisation d’un séminaire permettant de tirer les premiers enseignements de cette fusion devrait s’inscrire à l’ordre du jour de ce prochain semestre. Il y sera aussi question de l’application du texte de la loi « ESSOC », loi pour un état au service d’une société de confiance, qui prévoit dans son article 19 la possibilité pour le réseau des Chambres d’agriculture d’expérimenter de nouveaux modes organisationnels par regroupement en employeur unique, voire en structuration budgétaire unique.

Sur le volet de la méthanisation, Etienne HENRIOT rappela qu’il existait quelques grands projets qui se poursuivent avec des coopératives d’élevage sur le MIGENNOIS ou en Puisaye. Même si le problème d’alimentation des structures de méthanisation limite le nombre de projets car cela apparaît comme un véritable frein à leur développement, l’Yonne demeure le département de Bourgogne Franche-Comté où leur nombre est le plus élevé avec une dizaine de structures fonctionnelles.

Enfin, la région est aussi l’une des rares à avoir adopté le principe d’une règlementation des produits phytosanitaires à proximité des lieux d’habitation et des établissements publics à partir d’un arrêté préfectoral.


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Deux développeurs sur le web et un commercial viennent de rejoindre les effectifs de ce spécialiste de la communication digitale qui compte parmi ses clients le Muséum d’histoire naturelle de Paris, l’Institut du Monde Arabe ou de grandes écoles de commerce à travers la France à l’image de la Montpellier Business School. Pourvue d’un tel background, l’entreprise de Sens, codirigée par le tandem Brice BOREL et Thomas DA ROVARE, conforte ainsi sa présence indéfectible sur son marché à l’aune de son vingtième anniversaire, célébré cet automne, tout en légitimant de réelles ambitions…

SENS : De douze personnes opérationnelles au début de l’année 2017, l’effectif de la société NET.COM s’est valorisé au cours de ces dernières semaines en bénéficiant des renforts de trois nouveaux salariés agrégés au développement commercial et technologique de l’entreprise.

Ce choix stratégique a été entériné par les deux garçons talentueux qui officient à la tête de cette belle structure depuis bientôt deux décades, Brice BOREL et Thomas DA ROVARE. Car, pour eux, 2018 restera une période de référence dans l’histoire évolutive de leur concept, basé sur la déclinaison d’une forte valeur ajoutée technique et éditoriale en direction des milieux entrepreneuriaux, des collectivités et des institutions.

La commande publique : une source profitable de contrats…

80 % des activités professionnelles de la structure se réalisent par le truchement de la commande publique avec des orientations qui oscillent vers le secteur de la recherche (Laboratoire français de l’aérospatiale), le monde de l’éducation et de la culture mais aussi les chambres consulaires (la conception réussie du site national de l’artisanat), des centres hospitaliers ainsi que des offices publics de l’habitat.

Ayant consolidé son chiffre d’affaires l’an passé au-delà du million d’euros, NET.COM n’avait néanmoins pas d’autres alternatives que de recruter au second semestre 2017 afin de poursuivre sa marge de progression. L’agence de communication digitale propose un melting-pot de solutions web et mobile en concevant une stratégie qui intègre un planning d’animations des réseaux sociaux, l’achat d’espaces publicitaires, l’accompagnement et l’alimentation du site sur du long terme.

Concurrencer les plus grandes agences françaises…

Aujourd’hui, l’objectif des deux leaders est d’être en concurrence frontale avec les plus grosses agences de communication digitale de France. En particulier celles de Paris et de Lyon. Un projet évolutif qui passe par de la méthode, le profit apporté par le poids de la cellule recherche et développement mais aussi l’apport de nouvelles technologies glanées sur les salons internationaux de Shanghai et de Las Vegas, nécessaires de visiter à chaque édition annuelle.

Certifiée Iso 9001 depuis six ans, NET.COM n’en a pas pour autant omis le développement durable (RSE), en proposant des conditions de travail optimales et épanouissantes à l’ensemble de ses collaborateurs. Les plus anciens comme les petits nouveaux !


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La Caisse d’assurance retraite et de la santé au travail (Carsat) fait front commun aux côtés du fournisseur d’énergie, EDF, dans sa lutte contre toutes les formes de précarités qui affectent les foyers en indélicatesse sociétale. Alors que la fragilisation énergétique englobe plus de 5,5 millions de nos concitoyens selon les ultimes statistiques de l’Observatoire national de la précarité énergétique (ONPE), la maîtrise et la réduction de la facture d’énergie sur ces ménages en proie aux difficultés s’annoncent prioritaires. Mieux informer et accompagner les personnes les plus démunies devient une ligne de conduite que veulent s’approprier pleinement les deux signataires de la convention de partenariat en faveur de milliers de bénéficiaires…

DIJON (21) : Novateur. Altruiste. Respectueux. L’engagement mis en place depuis le 01er janvier 2018 qui unit la Carsat de Bourgogne Franche-Comté  à EDF Région Est s’inscrit dans une pure action d’éco-citoyenneté favorable aux utilisateurs les moins argentés de la consommation d’énergie. Cette mutualisation de bons sentiments et de dispositifs appropriés concerne les personnes ayant de faibles ressources, ce qui les place de facto en situation de fragilité sociale.

Partant d’une réciprocité bien ordonnée, la Carsat et EDF ne font que se rapprocher en matière de stratégie vers cette population parfois en déshérence financière et sociale. L’année dernière, les services ad hoc de la caisse d’assurance retraite et de la santé au travail s’employaient à soutenir avec efficience près de 29 000 personnes fragilisées socialement. De son côté, EDF Région Est ne restait pas en retrait sur cette thématique solidaire en faisant bénéficier auprès de 5 635 foyers d’une aide au paiement des factures par le Fonds de solidarité logement (FSL), un dispositif national auquel contribue financièrement le fournisseur d’énergie au même titre que d’autres donateurs. Peuvent participer à ce financement les collectivités territoriales et leurs groupements, les bailleurs sociaux du département, les associations qui interviennent dans le cadre du logement et l’insertion sociale ainsi que les opérateurs de services téléphoniques, les distributeurs  d’eau et d’énergie à l’instar d’EDF par convention avec leurs représentants…

Ne plus cumuler précarité énergétique et précarité sociale

Aider les ménages précaires à contenir leurs dépenses énergétiques suppose de l’écoute, de la prévention et de l’information. C’est le rôle que veulent jouer ensemble les deux partenaires qui se sont retrouvés ce lundi 12 février au siège de la Carsat à Dijon lors de la signature officielle de ces documents. Directeur du développement territorial EDF Bourgogne, Rémy COMBERNOUX évoquait les contours objectifs de cette aide précieuse prodiguée à l’attention d’une cible soumise aux aléas de la précarité sociale. Cette mise en commun du savoir-faire, partagé avec les responsables de la Carsat, conforte ce choix stratégique devant rapidement porté ses fruits. Une explication de texte qui fut largement commentée par le correspondant du pôle Solidarité EDF en Bourgogne Franche-Comté, Thierry FOUSSET.

Entérinée pour douze mois, mais probablement reconduite sur une période de trois ans, cette convention régionale, à l’instar de celles qui ont été déjà paraphées dans d’autres contrées de l’Est de l’Hexagone, a pris effet dès le début de l’année.

Ce ralliement opérationnel entre les travailleurs sociaux de la Carsat et les professionnels du fournisseur d’énergie se traduira par des échanges tous azimuts en matière de formations et d’informations. Fonds de solidarité logement (une enveloppe de 707 700 euros a été versée l’année dernière sur le territoire), dispositifs de facturation et de relance pour impayé, vulgarisation autour du portail Internet solidarité EDF, connaissance de la pratique des gestes qui permettent de garantir des économies…représentent autant d’auxiliaires positifs déclinés par EDF et adressés aux populations qui en ont le plus besoin.

Réciproquement, les travailleurs sociaux de la Carsat feront de la pédagogie auprès des publics en difficultés sur la compréhension et la lecture d’une facture, le développement des éco-gestes, l’accompagnement des clients d’EDF ayant recours à leur service, etc.

Le chèque énergie, un précieux sésame pouvant répondre aux besoins

Attribué par l’Etat et adressé par courrier aux bénéficiaires selon le revenu fiscal et la composition du foyer, le chèque énergie permet de payer l'ensemble des factures liées aux moyens de chauffage. Il offre à ses utilisateurs les possibilités de pouvoir honorer tout ou partie de leurs factures d’énergie de type électricité, gaz, bois, GPL, fioul domestique, biomasse et de tous combustibles destinés au chauffage ou à la production d’eau chaude. Il ne peut être utilisé pour payer son plein d'essence.
Ce moyen de paiement offre certaines protections : l’ouverture gratuite de contrat si emménagement dans un nouveau logement, la réduction de 80 % des frais d’intervention pour impayé, le maintien de la puissance souscrite en cas de difficultés pendant la période hivernale ou encore des relances beaucoup plus espacées pour régler les factures impayées. Les critères d’éligibilité sont simples : s’acquitter de la taxe d’habitation et déclarer un revenu fiscal de référence inférieur à 7 700 euros pour l’ensemble du ménage. Pour savoir si l’on peut être bénéficiaire de ce dispositif : consulter chequeenergie.gouv.fr…

Enfin, et pour être tout à fait complet sur ce dossier, des conseils en rénovation de biens immobiliers peuvent être récupérés en consultant le site spécifique mis en ligne par EDF (https://travaux.edf.fr/construction-et-renovation) : la présence de différents simulateurs permettent de mieux cerner les aides et les subventions pour les travaux dont on peut être bénéficiaire sous certaines conditions.


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Réunis en assemblée générale à Auxerre, les édiles du territoire le plus septentrional de Bourgogne (maires, présidents de communautés de communes), ainsi que les partenaires majeurs des collectivités ont dévoilé leurs axes stratégiques à l’amorce de cette nouvelle année. Un exercice traditionnel pour la structure associative de 344 membres pilotée par Mahfoud AOMAR qui aura joué les tribuns avec sa verve habituelle lors de cette soirée qui devait se clôturer par la remise des trophées des « Marianne » récompensant les collectivités les plus dynamiques…

AUXERRE : Constatant avec satisfaction la bonne tenue des comptes de l’exercice 2017 (l’équilibre du budget a été respecté sans avoir eu recours à de quelconques augmentations), le président de l’AMF 89 annonça tout de go que le budget prévisionnel 2018 serait à l’identique du précédent. Il salua la saine gestion de la structure avec ses 12 000 euros d’excédents, un chiffre qui devait attester l’aspect florissant de la trésorerie. Ce qui est loin d’être le cas par ailleurs pour de nombreuses associations du territoire.

La relance du CDAD aura été l’une des priorités

Le cap sera maintenu cette année en matière de formation. Le programme décliné auprès des élus mais aussi des secrétaires de mairie se poursuivra : le contenu de ces sessions étant très apprécié de leurs bénéficiaires qui en ont testé les fruits à maintes reprises. Puis, déroulant de manière conventionnelle le rapport moral de sa présidence, Mahfoud AOMAR insista sur les points cruciaux de l’exercice écoulé. La relance du Conseil départemental d’accès au droit (CDAD) intègrera l’une de ses priorités vécues l’année dernière sur laquelle il marquera un long temps d’arrêt.

« Cet outil qui permet de favoriser l’accès au droit à toutes les personnes de notre département a repris de la vigueur en 2017. Des permanences sont désormais proposées à Avallon, à Auxerre et à Sens offrant ainsi la possibilité de faire circuler des informations juridiques à la population… ».

En novembre, les représentants de l’AMF 89 ont effectué un voyage d’étude au parlement de Bruxelles (une immersion au cœur de l’Europe) jugé très pertinent selon l’orateur. Dans le même registre, il y a eu aussi en fin d’année un déplacement instructif au ministère des affaires étrangères. Quant au voyage à Strasbourg, berceau de l’Europe, il est en cours de finalisation.

Autre temps fort évoqué par Mahfoud AOMAR : plusieurs formations qui ont été proposées sur l’évaluation des charges, le marché public, les responsabilités assurantielles avec le procureur du Tribunal de grande instance d’Auxerre (une première où participèrent cent-vingt élus). Au vu de ce succès, une seconde séance informative s’organisera à Sens ces prochaines semaines. Le cadre formatif étant inéluctable aux yeux du président de l’AMF 89, la structure associative déclinera en 2018 des cycles pédagogiques à destination de l’ensemble des représentants des conseils municipaux.

« Nous porterons aussi un programme de formation qui se réalisera de manière intensive sur un domaine parfois fort complexe, la commande publique… ».

Quant à la conception de l’annuaire des élus de l’Yonne, le dossier est actuellement au point mort au grand dam de Mahfoud AOMAR qui souhaiterait que la totalité des maires de l’Yonne s’investissent en apportant une réponse positive afin d’entériner définitivement ce concept. Trois cent-vingt élus ont pour l’heure renvoyé les renseignements obligatoires et nécessaires à l’élaboration du document. Il reste à convaincre les réfractaires à cet outil de communication pourtant utile.

Une structure en voie de progression riche de 344 adhérents

Aujourd’hui, la structure englobe 344 adhérents sur 428 communes identifiées sur l’Yonne et treize intercommunalités. Soit une zone géographique qui accueille 309 000 habitants. Radieux, Mahfoud AOMAR devait annoncer un taux de progression de 111 % depuis 2015.

Favorable à l’éclosion des neuf nouvelles communes qui ont vu le jour après le rapprochement de certaines d’entre elles, le président de l’Association des maires de l’Yonne considère que ce choix de créer de nouvelles entités relève de la bonne volonté de chacun. Il n’y est donc pas opposé.

Commentant des statistiques nationales faisant montre de la confiance des Français envers leurs édiles (sept de nos concitoyens sur dix apprécient le travail réalisé par leur élu municipal), Mahfoud AOMAR rappela que ces derniers jouissaient d’une très belle cote de popularité. Le rôle et le positionnement de l’AMF dans l’Yonne n’y étaient peut-être pas étrangers avec le pluralisme politique affiché librement au sein de la structure et cette volonté commune de faire bouger les lignes dans la même direction.

L’étroite osmose entre l’Etat et les collectivités locales…

S’adressant à la tribune, le préfet Patrice LATRON évoqua le partenariat étroit et efficace entre l’Etat et les collectivités.

« Sur le dossier de la sécurité civile qui a été mobilisé suite aux inondations, nos services ont tout mis en œuvre pour assurer à ce jour les indemnisations d’une trentaine de communes sur les 76 localités ayant déjà envoyé leurs dossiers, transmis au ministère de l’Intérieur. L’Etat a aussi sensibilisé les professionnels de l’assurance à agir très vite sur ces modalités pratiques... ».

Puis, tour à tour, le représentant de l’Etat s’attardera durant son propos sur les résultats obtenus en matière de sécurité publique (+ 23 % de cambriolages constatés lors du dernier semestre 2017 alors que l’année amorce une baisse des infractions de l’ordre de 8,8 %) et l’essor de la participation citoyenne impulsé en parallèle grâce à la signature de conventions avec les polices municipales.

« Je souhaite aussi une modernisation de nos institutions avec la dématérialisation, renchérissait-il, le pourcentage d’actes télétransmis par les services municipaux est de l’ordre de 65 %. Nous devons aboutir à une complète dématérialisation des actes budgétaires afin que les mairies puissent se doter d’une administration moderne et simplifiée ».

Parlant chiffres, le préfet ne pouvait clore son discours sans aborder le montant de la DETR (à l’identique de 2017 soit une enveloppe de plus de 14 millions d’euros) et la dotation de soutien à l’investissement qui s’élève à 4,2 millions d’euros.

« L’Etat est à vos côtés, devait marteler Patrice LATRON, avec cette réelle volonté de travailler différemment. L’Yonne doit saisir les opportunités économiques qui correspondent aux besoins des entreprises, tout en assurant la promotion de l’apprentissage et en encourageant la mobilité. Nous restons à l’écoute pour que l’ensemble des procédures soient appliquées et coordonnées dans le territoire ».

Quant à Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental, il rappela le rôle prégnant  de son organe institutionnel auprès des collectivités et le soutien apporté aux initiatives promotionnelles, à l’instar des trophées des Marianne, un véritable encouragement à la dynamique territoriale.


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Acteur clé de la Silver économie, la jeune start-up de Joaquim TAVARES propose un accompagnement personnalisé aux seniors en quête d’un habitat ergonomique et fonctionnel qui répond à leurs attentes. Une offre de service spécifique s’ajoutera aux quatre formules standards déjà commercialisées par cette plateforme multimédia et interactive. Offre dont bénéficieront désormais en exclusivité les sociétaires de l’assureur mutualiste régional après la mise en exergue de ce partenariat novateur. Dès le second trimestre, la formule validée par Vincent COUSIN, directeur financier de GROUPAMA Paris Val de Loire et Jacques BLANCHOT, directeur d’établissement de l’Yonne, gagnera du terrain et s’étendra sur les treize autres départements que compte la Caisse régionale de ce professionnel de l’assurance et de la prévoyance…

JOIGNY : Soutenue par l’antenne régionale de BPI France en Bourgogne Franche-Comté, la jeune start-up native du 05 juillet 2016 jouit déjà d’un gage de sérieux et de qualité auprès des établissements visités.

A l’aide de sa plateforme collaborative et surtout comparative du logement senior, PAPYHAPPY (la bien-nommée) ne cesse de progresser, employant une équipe de huit collaborateurs. Plébiscitée en 2017 (Silver Show et AG2R La Mondiale), l’entreprise dirigée par Joaquim TAVARES, un entrepreneur visionnaire, a étendu depuis ses services à l’accompagnement personnalisé.

Outre son territoire de prédilection, la structure de Joigny accompagne les familles et les seniors en quête d’un logement propre à leurs besoins en Bretagne et en région Provence Alpes Côte d’Azur.

Or, cette nécessité de décliner une prise en charge qualitative des seniors en France, notamment au niveau de l’habitat, a fait tilt dans les esprits du futur partenaire mutualiste. Une idée a germé. Créer une offre exclusive destinée aux sociétaires de GROUPAMA Paris Val de Loire, soit un vivier de 300 000 personnes.

Un partenariat qui s’élargira aux 14 départements sous influence de GROUPAMA Paris Val de Loire…

Il n’en fallait pas davantage pour que les deux enseignes unissent leurs atouts et leurs compétences dans ce concept les associant. Partageant les mêmes valeurs de proximité et d’engagement, Vincent COUSIN, Jacques BLANCHOT et Joaquim TAVARES prenaient la judicieuse initiative de parapher la convention de partenariat officialisant leur accord.

« Nous nous engageons à apporter notre soutien aux familles et aux seniors, explique Jacques BLANCHOT, et de les guider dans leur choix afin de leur permettre de trouver la résidence idéale… ».

La première des neuf entités régionales de l’assureur mutualiste dont l’ancrage est au cœur des territoires, a donc entériné ce processus collaboratif le 05 février dernier.

Mais, ce partenariat insolite devrait très vite se déployer à l’ensemble des autres départements de la caisse régionale qui comprend des territoires à forte densité comme ceux de l’Ile de France dont Paris mais aussi le Loiret, le Loir et Cher, l’Oise ou la Somme.


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