Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
ordre-des-experts-comptables-de-bourgogne-franche-comte.jpg
Région Bourgogne France-Comté
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Lycée Saint-Joseph de la Salle
chambre des métiers et de l'artisanat
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
Criquet Magazine
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Ordre des experts comptables de Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Alors que le budget de l’Etat progresse de 13 % cette année pour tenter de résorber les inégalités patentes entre les représentantes de la gent féminine et les hommes dans notre société dite moderne ; les disparités salariales dans le domaine de l’emploi se creusent avec un différentiel de 26 % en défaveur des femmes quel que ce soit l’univers professionnel où elles exercent leur savoir-faire. Pourtant, le message de la préfète de la région Bourgogne Franche-Comté, Christiane BARRET, en visite dans l’Yonne à l’occasion de la journée spécifique du 08 mars (celle du droit des femmes) s’est voulu résolument optimiste dans ce haut lieu de l’émancipation de la condition féminine que symbolise la Maison Colette…

SAINT-SAUVEUR EN PUISAYE : Choisir l’ancien lieu de résidence de l’une des plus grandes figures de l’émancipation de la féminité en France pour y commémorer la célébration de la Journée internationale du Droit des femmes ne manque pas de symboles. Ni de poids. L’âme de l’écrivain qui a bravé une kyrielle d’interdits durant sa longue existence devait planer au-dessus de cette assistance, composée pour l’essentiel de femmes aux origines sociales diverses.

Avant d’en connaître davantage sur l’emblématique personnage de la littérature française, aux multiples facettes et à l’immense talent, le public écouta de manière attentive les propos de la représentante de l’Etat en Bourgogne Franche-Comté, la préfète Christiane BARRET.

Cette dernière a été accueillie par le préfet de l’Yonne Patrice LATRON et le président du Conseil départemental, Patrick GENDRAUD. Le patron de l’exécutif départemental devait évoquer le rôle de pionnière que ces femmes de progrès et idéalistes ont su jouer à travers l’Histoire citant entre autres Olympe de GOUGES et naturellement COLETTE. Clin d’œil espiègle de l’homme politique au moment de clore son discours : la part des femmes dans l’hémicycle du Département est la plus représentée par rapport aux hommes avec 22 conseillères féminines élues contre 21 messieurs seulement. Une situation rarissime parmi l’échiquier politique en France…

Il faut du temps avant que les femmes ne soient mises en avant…

Oser exprimer leurs talents ! C’est par ce biais introductif que la préfète de région a introduit son intervention en insistant sur les rapports distendus qui existent entre les deux sexes dans les milieux professionnels. Constatant avec amertume que les différences dans la vie active sont récurrentes, et le plus souvent importantes au détriment de ce public. « D’ailleurs, précisa-t-elle, les femmes subissent des activités professionnelles sous la forme de temps partiel plutôt qu’elles ne les choisissent… ».

Réclamant l’égalité une bonne fois pour toute dans notre société, Christiane BARRET expliqua les démarches prises en sens par la secrétaire d’Etat à la condition féminine qui multiplie les déplacements à travers l’Hexagone, porteuse de messages limpides pouvant à terme faire bouger les lignes. L’un des vecteurs pouvant accélérer ce changement de paradigme sociétal sera sans aucun doute l’apport du numérique. Un virage vers lequel les femmes doivent s’engouffrer y compris au plan professionnel.

« Curieusement, alors que le secteur du numérique et de la digitalisation doit nous permettre de relancer l’économie, peu de femmes sont réellement attirées par cette filière. Il ne faudrait pas vivre une fracture supplémentaire avec cet élément indissociable de la communication et des échanges envers l’autre… ».

En France, de nombreuses initiatives ont pourtant vu le jour au cours de ces dernières semaines sous la forme de constitution d’ateliers. Une vingtaine sont apparus sur notre territoire afin d’interpeller les femmes à propos de ce sujet sérieux.

Lutter contre le harcèlement physique et moral…

Quant à la culture, elle apparaît aussi comme une clé de voûte nécessaire à l’émancipation féminine. Même si, regrette Christiane BARRET, le chemin pour y parvenir de manière équitable est encore bien loin et parfois pavé de retards incompréhensibles. Suivra une énumération de données statistiques édifiantes autour de la proportion des femmes à exercer telle ou telle typologie de métiers : 27 % sont auteurs, 20 % présentent enfin les journaux télévisés mais seulement 4 % d’entre elles mènent à la baguette l’orchestre qu’elles dirigent.

La préfète de Région ne pouvait clore son allocution sans s’insurger contre la situation régulière des violences physiques et morales faites aux femmes. Visant en particulier le harcèlement passif qui est à proscrire, à la fois sur son lieu de travail mais aussi parmi les établissements scolaires.

Elle illustra ses arguments en faisant référence à la visite le 05 mars dernier à Dijon de Brigitte MACRON, première dame de France, et du ministre de l’Education nationale, Jean-Michel BLANQUER, venus à la rencontre des enseignants et élèves bourguignons. Prévenir le sexisme était le thème majeur de cette immersion pédagogique qui fut orchestrée autour de discussions et de scénettes théâtrales…

Un débat autour de la personnalité de COLETTE et de ses engagements permit de poursuivre les échanges avec le public dans ce site où s’imprégnèrent durablement la passion et la liberté…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Depuis le 01er mars, l’antenne départementale de la Fédération française du Bâtiment dispose d’un nouvel accès à la communication digitale afin de relayer pléthore d’informations pratiques et juridiques auprès de ses adhérents. Consultables grâce à une application destinée aux possesseurs de smartphones et autres appareils de la téléphonie mobile, ces données fournies par le national mais aussi par la structure icaunaise traduisent le nouveau tournant pris par le puissant organisme corporatiste. En choisissant ce cap, celui-ci souhaite aller plus en avant pour pallier une carence d’image en agrégeant modernisme et transparence dans sa quête communicative…

AUXERRE : Les choses évoluent au sein de la Fédération française du Bâtiment de l’Yonne. Notamment en matière de communication. Celle-ci a d’ailleurs été renforcée depuis quelques jours grâce à un dispositif usuel pratique et moderne : une application destinée aux nombreux utilisateurs d’objets connectés et d’appareils androïdes.

Soucieux de résoudre la récurrente problématique de son défaut de visibilité, mais aussi désireux de fournir dans des délais optimums une kyrielle de renseignements utiles à l’ensemble des artisans fédérés en son sein, la FFB de l’Yonne a pris soin de se doter de ce nouvel instrument qui manquait encore à sa panoplie fonctionnelle.

Une application qui vient se greffer à la naissance d’une commission communication…

Apparue depuis le début du mois de mars, l’application a pour objectif de soutenir les entreprises de la filière d’en leur vision stratégique à moyen terme. En leur octroyant de précieuses informations jugées pragmatiques par les responsables de l’antenne de l’Yonne. Le contenu informatif de ce nouveau référent ne se cantonne pas à de simples flashes sur la filière du bâtiment. Il englobe un périmètre élargi de données précises sur l’ensemble de ce secteur d’activité.

La FFB de l’Yonne a fait appel aux services d’une structure professionnelle basée à Toucy pour la réalisation de ce média. Les dirigeants de BAT IMPULSE ont su gérer le besoin de leur client avec sérieux et efficacité. Donnant le résultat que chacun peut découvrir désormais en téléchargeant la nouvelle application.

Un bonheur ne venant jamais seul, et sous l’impulsion volontariste de son président Xavier PAPIN, la structure fédéraliste a décidé de s’octroyer les services d’une cellule de communication interne, composée de cinq membres, qui se réunira dès la semaine prochaine afin de fixer les lignes prioritaires de son projet de développement. Cet organe travaillera en parfaite symbiose avec le président PAPIN et le secrétaire général de la FFB 89, Christian DUCHET, en poste depuis maintenant deux exercices au sein de cette vénérable institution.

Un programme chargé d’ici la fin de l’exercice…

Plusieurs événementiels serviront de trames de référence pour le démarrage effectif de cette commission. A commencer par la tenue de la traditionnelle assemblée générale qui se déroulera le 15 juin dans les locaux de la fédération. Un moment fort pour le président Xavier PAPIN qui dévoilera alors les perspectives de son nouveau mandat à horizon 2018/2019 après avoir brossé le bilan de l’année écoulée. Il sera question également de la fameuse opération ouverte aux collégiens et futurs apprentis de la filière, les Coulisses du Bâtiment. Cette dernière devant avoir lieu durant la seconde semaine d’octobre à Auxerre. La date n’est pas encore arrêtée de manière définitive. Ni  le lieu d’accueil de cette animation qui draine en règle générale plusieurs centaines de collégiens en quête de pistes favorables à leur orientation.

Enfin, la tâche ne sera totalement accomplie cette année pour la FFB 89, une fois les Rubans du Patrimoine organisés. La structure aura le privilège de porter cette animation, née de l’initiative de la Fondation du Patrimoine de France, aux côtés de plusieurs partenaires (Association des maires de l’Yonne, Caisse d’Epargne…) et autour de deux projets Icaunais qui obtiendront des récompenses : la ville de Tonnerre pour l’édification d’un kiosque à musique et la commune de CLAIRIMOIS, ayant procédé aux travaux de rénovation de son église.

Bref, on le constate : 2018 sera une année avec du pain sur la planche assuré pour la jeune commission de la communication de la fédération ; et des informations garanties qui seront destinées à alimenter la nouvelle application digitale.


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’alléchant défi culinaire concocté par le CIFA de l’Yonne livrera enfin son verdict irrévocable au soir du 21 mars, mettant un terme à ce long processus sélectif qui a engendré une insupportable attente pour les valeureux candidats. Après quelques suées froides et d’intenses émotions vécues aux côtés de leurs commis, les quatre finalistes de cette épreuve, unique en France sous sa formulation actuelle, s’en remettront alors aux critiques et appréciations d’un jury de chefs exceptionnels placé sous la présidence de Virginie BASSELOT, rare toque féminine à être auréolée du glorieux titre de Meilleur Ouvrier de France. Ce Jugement dernier ne condamnera pas pour autant les trois malheureux vaincus. Ils auront su se sublimer en donnant le meilleur d’eux-mêmes pour éblouir du fond de l’assiette les 36 invités VIP qui auront pris soin de goûter leurs plats avant de les noter. Quant au lauréat 2018, il aura la lourde tâche de succéder au premier vainqueur, l’inénarrable Vincent TOURNAYRE, aujourd’hui chef exécutive dans les cuisines du Palais Brogniart, cadre d’accueil de la Bourse de Paris…

AUXERRE : A quatorze jours du défi hors normes qui mobilise déjà tous les regards scrutateurs des journalistes, le moral des organisateurs est de très loin orienté vers le beau fixe. L’ultime rencontre ce jeudi 08 mars avec les médias aura servi de baromètre infaillible pour tâter le pouls de celles et ceux qui se préparent à vivre l’évènement de l’intérieur. Les nouvelles en provenance des quatre candidats sont excellentes : ils ont à cœur d’en découdre au plus vite derrière les pianos mis à leur disposition par le Centre interprofessionnel de la formation par l’apprentissage de l’Yonne.

Un défi d’envergure nationale et qui le prouve à l’origine de ses participants

Soutenu par la branche professionnelle de l’Union des métiers de l’industrie hôtelière (UMIH) et la prestigieuse Amicale des Cuisiniers de l’Yonne, le second opus de ce défi à l’incomparable prononciation angliciste, chère à Marcel FONTBONNE, directeur du CIFA, gagne véritablement ses lettres de noblesse avec cette future édition. Exit l’aspect terroir typique et régionaliste qui aura prévalu au cours des deux années précédentes, judicieux prétexte pour roder la formule et se faire les dents, place désormais à la pure dimension hexagonale de l’événement grâce à la qualité des dossiers de candidature présentés et retenus !

Ile de France, Isère, Haute-Garonne, et même Allemagne constituent les zones géographiques d’origine de ces quatre chefs talentueux qui oseront relever le challenge et briguer le sésame suprême au terme d’un combat des chefs mémorable, à coup de saveurs insolites et de textures des mets originales.

Ce défi culinaire d’un autre genre, fort éloigné des codes habituels observés par les concours gastronomiques de tout poil, se bonifie comme un grand cru. Gagnant en maturité avec la présence de futurs lauréats qui n’hésitent à se remettre en cause avec passion et humilité.

Des qualités humaines et de l’implication passionnelle…

Non seulement le cursus de ces quatre challengers est édifiant de solidité et d’expériences professionnelles ; mais en outre, il permet à des concurrents, même cinquantenaires, de bénéficier d’une jouvence salvatrice qui leur donne des ailes. Celles de la célérité et d’un bonheur retrouvés autour de la pratique de cet art culinaire dont ils maîtrisent la quintessence en toute générosité et parfaite harmonie.

Comment, alors, avec de telles pointures, de si belles qualités humanistes, ne pas valoriser de la manière la plus optimale les métiers de l’hôtellerie et de la restauration !

Cet IRON COOK 2018 possède avant même qu’il ne se soit déroulé cette succulence au palais et ce stimuli intellectuel, faisant de cette seconde édition, un rendez-vous auquel les puristes des arts de vivre et épicuriens ne sauraient se soustraire. Plaçant les candidats dans une posture à peine croyable de concevoir à destination d’un jury, et selon un thème imposé, une entrée, un plat et un dessert, comme s’ils servaient la clientèle de leur établissement.  

Il ne restera à l’avenir d’autres objectifs pour le CIFA de l’Yonne et à ses partenaires institutionnels que de franchir l’ultime degré de cette ascension, propulsant ce défi vers l’internationalisation. Et d’accueillir, pourquoi pas, la fine fleur des valeurs montantes de la gastronomie européenne et asiatique. Afin d’être en parfaite corrélation avec le nom de baptême de cette vénérable expérience…

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Premier du genre ouvert sur le territoire de l’Yonne depuis le 31 janvier, le révolutionnaire concept « e-nov’agence » dépoussière la traditionnelle relation instituée au sein des agences commerciales bancaires. Opérationnelle sur la commune de Saint-Georges sur Baulche, la structure à l’ergonomie totalement repensée n’est que l’un des maillons de ces vingt-deux établissements futuristes et digitalisés accueillant le public sur sa zone de chalandise régionale. Petite immersion au cœur de la vitrine marketing du futur…

SAINT-GEORGES SUR BAULCHE : Précurseur, la caisse régionale de la Banque Populaire l’est dans bon nombre de domaines. Y compris dans l’idée que se fait cet établissement à bonifier l’accueil de ses prospects et clients attitrés. Les consommateurs ayant connu et fréquenté l’ancienne agence commerciale de Saint-Georges auront sans doute constaté le changement opéré à la simple découverte de ces nouveaux locaux flambants neufs, ouverts fin janvier. Non pas à l’examen de la gangue extérieure qui, elle, épouse encore les mêmes murs. Mais, à l’observation de ce petit joyau du modernisme que représente le nouvel écrin…

L’agence sous le prisme de la Banque Populaire : le socle de toute relation…

Fruit de plusieurs mois de travaux, le nouvel édifice professionnel de l’un des principaux employeurs de la région, élu première banque des PME en 2017, aura vécu une longue gestation avant d’accoucher de ce concept novateur. Le jeu en valait la chandelle, assurément. Supposant une enveloppe financière de bel aloi pour transcrire aux normes architecturales et conceptuelles ce projet clairement défini par les stratèges de l’entreprise.

Car, si cette agence du XXIème siècle fera date dans les annales de l’Yonne en étant référencée comme la toute première de ce calibre organisationnel, elle n’est en revanche pas issue du germe initiateur. Etant positionnée comme la 23ème structure de ce style sur le territoire régional et du Pays de l’Ain.

Grâce à ce concept, la Banque Populaire BFC confirme que l’agence commerciale demeure le pivot inaliénable de la relation élaborée avec le client. Le parcours de celui-ci à travers cet espace ne s’encombre pas de fioritures : il a été conçu dans la lisibilité, à partir d’univers correspondants à chaque type de besoin, de manière clairement identifiable.

Accueillant, chaleureux, résolument orienté vers le public en le projetant parmi une volumétrie adaptée à sa déambulation, le concept « e-nov’agence » jouit d’un design limpide aux lignes épurées. Pourvu des technologies adaptées et efficientes.

La présence humaine n’est jamais très loin. A tout moment, en progressant sur ce parcours mêlant le physique au virtuel, le bénéficiaire des offres de service de l’établissement bancaire peut recevoir les conseils avisés des spécialistes de l’agence. Dans le cas qui nous intéresse, cinq professionnelles prodiguent leurs préconisations, qui sur les offres de crédit, qui sur les placements, qui sur l’approche non exhaustive de la gestion patrimoniale.

Une ossature conceptuelle 100 % locale…

Elément palpable du vaste programme d’investissement qui concernera à terme la totalité des agences du territoire Bourgogne Franche-Comté, ce premier chantier de rénovation à la sauce numérique et technologique nécessitera une enveloppe budgétaire de près de 100 millions d’euros. Sa mise en exergue applicative étant imputée aux acteurs de l’économie locale exclusivement. La refonte des agences du groupe bancaire ayant été confiée à la créativité et au savoir-faire artisanal de PME du cru.

Directrice de cette structure refaite à neuf, Sandrine FRANEY témoigne : les premières réactions de la clientèle s’inscrivent sous le sceau de l’enthousiasme.

« Nos premiers visiteurs ont été subjugués par l’espace de vie offrant un cadre convivial facilitant les entretiens rapides ou en attente. L’espace accueil propose le contact initial avec le lieu et les collaborateurs de l’équipe. Il fluidifie les entrées et les sorties dans l’établissement d’où sa surface importante et aérée. Quant aux espaces conseils, au nombre de trois, ils ont été conçus par nos designers pour offrir dans des conditions optimales le supplément d’âme nécessaire à un accueil qualitatif, à partir de services connectés efficaces, tout cela se faisant dans la plus grande discrétion… ».

Naturellement, le nouveau site bancaire dispose d’un espace libre-service servant dans le traitement des opérations courantes, de la manière la plus autonome pour ses utilisateurs à tout instant.

De nombreuses innovations technologiques au service de la relation client

Dans sa quête du modernisme à tout crin, la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté n’a pas lésiné sur les moyens technologiques pour répondre aux attentes de sa clientèle. Dès qu’elle pénètre dans l’espace d’accueil, une borne tactile permet au visiteur de signaler sa présence à son conseiller. Une interactivité appréciable et pour le moins surprenante.

Les vieilles affiches promotionnelles d’antan ont été troquées par des systèmes d’affichage électroniques hyper réalistes et à la définition de l’image de haute qualité. Mais, le summum de ces échanges connectiques privilégiées se traduit par la présence de petites tablettes numériques posées dans un espace réservé à l’attente. Là, librement et de manière très simple, le client pourra consulter la presse afin de bénéficier de l’accès à l’information, voire se divertir selon le contenu de la programmation.

Quant à la signature électronique des documents officiels, elle se pratique avec aisance par les conseillers de l’établissement qui ont ainsi résolu la problématique de l’archivage. Tous les produits bancarisés par la Banque Populaire profitent de cette prouesse technique, visant à la dématérialisation des offres commerciales.

Rappelons, de surcroît, que les contrats signés électroniquement ont valeur d’originaux et sont juridiquement comparables aux documents classiques. Enfin, il existe deux autres possibilités numériques qui prennent corps à travers l’entretien conseil sur tablette et la vente à distance des produits.


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le long feuilleton à multiples épisodes devant conduire à la fermeture définitive de l’établissement scolaire auxerrois et à l’éparpillement de ses 400 élèves sous d’autres cieux pédagogiques trouve enfin un épilogue, contre toute attente, positif. Le verdict a été annoncé lors d’une conférence de presse tenue par le préfet de l’Yonne, Patrice LATRON, aux côtés d’Annie PARTOUCHE, inspectrice d’Académie. S’imprégnant de cet épineux dossier dès son arrivée, le représentant de l’Etat a pris soin de consulter l’ensemble des acteurs concernés avant de rendre sa décision irréversible. Mais, si le collège Bienvenu Martin ne fermera pas ses portes, il reste à transformer la double problématique du coût des travaux de réhabilitation et de la baisse des effectifs en future réussite. D’ores et déjà, plusieurs pistes ont été esquissées pour que ce collège, condamné il y a peu à une disparition inévitable, retrouve de sa superbe et toute sa légitimité en présentant une feuille de route pédagogique réellement attractive…

AUXERRE : Parents d’élèves et enseignants respirent désormais après la sage décision que vient de prononcer le préfet de l’Yonne, Patrice LATRON. La mort d’un établissement scolaire n’est en effet jamais un acte réjouissant à entériner pour un représentant de l’Etat qui exerce ses hautes responsabilités sur un territoire. Même si celui-ci, au demeurant, connaît une baisse très significative de ses effectifs scolaires, notamment dans sa partie méridionale. Des faits attestés de la manière la plus officielle qu’il soit par les statistiques détaillées de l’INSEE Bourgogne et du Conseil départemental.

Un vote légitime qui a amené à la fermeture de l’établissement

L’existence et le devenir du collège Bienvenu Martin passeront donc sous les fourches caudines de l’exécutif du Département de manière tout à fait appropriée courant 2017. Une logique implacable puisque l’organe institutionnel possède parmi ses lourdes charges la gestion des collèges en termes de nouvelle construction et d’entretien du bâti existant. Il s’avère très vite, après examen analytique du dossier que l’établissement scolaire auxerrois développe de sérieuses carences dans sa configuration thermique et développement durable. Et nécessite d’incompressibles et onéreux travaux d’isolation, de rénovation de façades extérieures et de toiture. Le devis faisant référence à ce chantier conséquent fait état de 5,2 millions d’euros. Le second axiome pouvant alors précipiter le collège vers un insondable abîme concerne sa sous-occupation en matière de scolarisation. L’établissement induit un coût par élève supérieur à la moyenne du département de l’Yonne, engendrant des charges très élevées.

Autant d’arguments compréhensibles qui conduisent à l’automne 2017 les élus du Conseil départemental à se prononcer à une large majorité en faveur de la fermeture définitive du site. Quelques abstentions et votes contraires à ce choix stratégique ne remettront pas en cause le caractère définitif du suffrage.

C’est ensuite que le préfet de l’Yonne intègre le jeu en constituant un groupe de travail, composé de représentants de l’Education nationale, du Département, et de la préfecture afin d’examiner les problématiques réelles, et dans leur globalité, du mode opératoire des collèges sur le territoire. La première rencontre eut lieu le 26 octobre. Une douzaine de ces rendez-vous constructifs s’en suivront. In fine, une synthèse sera finalisée et présentée le 02 mars aux représentants du Conseil départemental. Parallèlement, Patrice LATRON multipliera les contacts avec les partenaires politiques du territoire, abordant à maintes occasions les contours délicats de ce projet de fermeture auprès du secrétaire d’Etat Jean-Baptiste LEMOYNE à Paris, du député de la circonscription Guillaume LARRIVE, du président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD et de l’édile d’Auxerre, le maire Guy FEREZ, président de la Communauté de l’Auxerrois. Et avec l'inspectrice d'Académie, Annie PARTOUCHE...

Des arguments qui plaident en la faveur du maintien du collège…

Toutefois, et à l’avancée de cette quête justificative qui devait le conduire à prendre sa décision irrévocable, le préfet découvre au fil de ses entretiens que certains facteurs plaident en faveur du maintien de ce collège.

D’une part, depuis ces deux dernières années, le nombre d’élèves entrant en classes de sixième augmente. Ce qui porte à ce jour le chiffre d’inscrits à 406 enfants. D’autre part, l’établissement Bienvenu Martin est le seul à Auxerre à pouvoir bénéficier du statut de collège REP (réseau éducation prioritaire), structure essentielle à la politique de la ville et éligible dans le cadre des programmes de l’ANRU. Enfin, le collège Denfert Rochereau, implanté à cinq cents mètres de là, peut effectivement accueillir un surplus d’élèves mais cela aurait le désintérêt de créer une énorme structure que ne souhaitait pas à terme le représentant de l’Etat.

Au plan humain, le bilan s’avère positif sur l’état d’esprit qui règne à Bienvenu Martin. Le taux de rotation des enseignants, faible, démontre l’attachement de ces derniers à leur lieu de travail. Pour certains, ils sont présents depuis une décennie. Quant aux projets pédagogiques, ils se révèlent être nombreux et reconnus par le Rectorat sous la forme de partenariats culturels ou sportifs. Dernier point : le rapport privilégié mis en place avec les parents d’élèves par la direction de l’établissement. Il existe une relation étroite et ténue entre la communauté éducative et des parents qui se seront mobilisés à la sauvegarde de leur collège, pétitions et manifestations à l’appui.

« Fort de ces arguments, nous ne pouvions décemment disloquer une communauté éducative qui s’est engagée dans les valeurs républicaines et laïques, précisa Patrice LATRON, si le législateur a voulu laisser le champ de la décision au représentant de l’Etat, c’est pour éviter que les prises de décisions se fassent sur le volet politique ou budgétaire. La logique comptable ne peut pas être le principal vecteur de ce choix quand on évoque l’éducation de nos enfants. Une telle décision ne peut se réduire à quelques millions d’euros… ».

Soucieux de l’application harmonieuse d’une politique qui soit équitable aussi bien en zone rurale que pour les zones urbaines, le préfet devait ajouter : « je refuse d’opposer le rural et l’urbain : il ne doit pas y avoir de conflit entre les deux. Tout le monde doit être traité de la même manière car ces deux zones sont habitées par les mêmes citoyens… ».

Au-delà de ces considérations sociétales, Patrice LATRON désire que « la décision de maintenir l’ouverture du collège Bienvenu Martin soit actée de manière définitive et qu’elle ne soit remise en aucun cas en jeu par son futur successeur… ».

Et maintenant : quid de l’avenir du collège Bienvenu Martin…

Se pose désormais la sempiternelle question de l’avenir de cet établissement qui a été contesté. Muer les problématiques initiales en réussite pouvant faire converger davantage d’élèves de la région deviendrait la clé de voûte de cette équation à multiples inconnues.

Citant le cas spécifique du collège de MARCIAC (Gers), le préfet de l’Yonne a rappelé que ce lieu pédagogique ne comptabilisait plus que quatre-vingts élèves, avant sa probable fermeture. Mais, le principal, peu enclin à la démotivation, a su relever le défi en mobilisant toutes ses équipes autour d’un thème culturel et musical : le jazz. Grâce à l’enseignement de la musique, cet établissement recense désormais plus de deux cents élèves et a pu être à l’initiative du fameux festival populaire dans le monde entier !

« Aujourd’hui, poursuivit le préfet, les équipes de la Ville d’Auxerre se sont mises au diapason depuis plusieurs semaines afin de peaufiner en accointance avec les services de l’Education nationale sur un projet d’éducation artistique et culturel qui viendrait renforcer le rayonnement et l’attractivité de ce collège. Diverses pistes de réflexion s’étudient : l’ouverture d’un internat de l’excellence dans le cadre d’un partenariat avec une grande école, le développement de liens étroits avec un établissement de la même typologie à l’international, voire le tissage de liens avec un musée national reconnu… ».

Quant aux travaux qui restent néanmoins indispensables, l’Etat apportera son précieux concours, non pas en se substituant au Conseil départemental qui reste dans son domaine de compétences sur la réhabilitation du site, mais dans l’aide financière pouvant être apportée en faisant actionner quelques ficelles relationnelles intéressantes.

A titre d’exemple, Patrice LATRON expliquera la finalité du grand plan d’investissements 2018/2022 annoncé il y a peu par le gouvernement avec un volet sur la transition écologique. Soit une enveloppe salvatrice de 3 milliards d’euros au plan national pouvant être affectés à de tels travaux. Des éléments qui pourraient s’agréger au plan bâtiment durable que le Conseil départemental développe avec un axe d’ingénierie financière sous la tutelle de l’ADEME. Reste la troisième hypothèse où interviendrait l’ANRU avec le financement des travaux de rénovation du groupe scolaire sous couvert de lien de cohésion sociale avec le quartier. Ce qui supposerait de fait un appui de la Ville et de la Direction départementale des territoires. La municipalité d’Auxerre étant prête à collaborer.

Un groupe de travail piloté par la secrétaire générale de la préfecture et sous-préfète d’Auxerre Françoise FUGIER s’attèlera prochainement à examiner avec pertinence les pistes financières proposées en concertation avec les représentants du Conseil départemental, de la Ville et de l’Education nationale ; le projet éducatif à concevoir restera, quant à lui, l’apanage de la communauté éducative…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil