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C’est un cérémonial qui nous revient chaque année à pareille époque comme les feuilles mortes se décrochant des arbres, annonciatrices de l’automne. Sauf que dans le cas présent, la chaleur déjà lourde en ce milieu de matinée était au rendez-vous ! L’édile d’Auxerre et président de la Communauté de l’Auxerrois a effectué sa traditionnelle tournée des établissements scolaires. Histoire de réaffirmer que ce sont bel et bien 45 millions d’euros qui auront été investis au terme du mandat pour la rénovation de ces infrastructures…

 

AUXERRE : « Mieux apprendre, mieux se restaurer, mieux se divertir ». Dans la bouche du maire d’Auxerre, Crescent MARAULT, grand amateur de l’Ovalie, la formule résonnerait presque comme un credo olympique ! C’est pourtant celle qui se rapporte le mieux, selon lui, aux travaux de rénovation mis en exergue depuis le début de son mandat visant à donner une nécessaire cure de jouvence à des bâtiments parfois vétustes et décrépis de l’agglomération. Des écoles, des crèches, des édifices accueillant les activités du périscolaire.

« Dans le plan de mandat initial, explique-t-il pédagogue, il était prévu d’investir 42 millions d’euros à ces travaux… »

 Aujourd’hui, du fait de l’inflation – entre-temps la crise de la COVID et les impacts de la guerre en Ukraine sur les économies mondiales tant énergétiques qu’au niveau des matières premières -, il aura fallu changer le braquet à la vitesse supérieure en injectant trois millions d’euros supplémentaires afin de pouvoir répondre au cahier des charges liminaire. 45 millions d’euros étalés ainsi sur une décennie pour rendre acceptable, en l’améliorant, le parc éducatif local.

 

 

L’attractivité de la ville se décline aussi par la rénovation de ses écoles

 

Interrogé, Crescent MARAULT est optimiste : « en fin de mandat, toutes les écoles que compte Auxerre, les crèches et les équipements du périscolaire auront été refaits. Cela intègre notre stratégie d’attractivité de la ville… ».

Pour lui, cela ne se résume pas aux seules réfections des routes et voiries, des zones d’activités, des complexes sportifs – à ce titre la piste d’athlétisme auxerroise se refait une jeunesse ! – ou aux logements. Les écoles, crèches et lieux où sont accueillies les activités du périscolaire prennent une dimension tout aussi favorable dans cette amélioration devant séduire de nouveaux investisseurs et habitants.

 

 

Au cours de cette tournée des écoles, courant sur la matinée de ce lundi de rentrée scolaire, Crescent MARAULT, accompagné de Jean-Baptiste LEPETZ, directeur académique, Stéphane DUGUET, inspecteur de l’Education nationale, Isabel ROUMIEUX et Nicolas BRIOLLAND, tous deux inspecteurs académiques, prit soin de visiter cinq établissements, aux côtés de son directeur de cabinet, Yves LASMARTRES, de plusieurs responsables de services – le maire en profitera pour saluer la coordination de leur travail alors que les travaux se poursuivent sans que cela ne viennent perturber la reprise des cours – ou de quelques élus, dont Bruno MARMAGNE ou Dominique AVRILLAULT.

 

 

De la végétalisation des cours au changement de menuiserie

 

Si au groupe scolaire de la rue de Paris et de l’école maternelle Jean Zay, la végétalisation des cours aura été au centre des débats, ce sont les changements des huisseries et ceux apportés à l’aire de jeu de la maternelle qui auront accaparé les échanges au groupe scolaire des Piédalloues.

Le nouveau cloisonnement de la salle de motricité ainsi que le changement de direction de l’école Henri Matisse ont été évoqués par les visiteurs. Avant que ces derniers ne terminent cette succession de rencontres par l’ultime étape du jour, soit l’école Marie et Pierre Curie où le nouveau restaurant scolaire ainsi que la présentation de la nouvelle directrice des lieux furent à l’ordre du jour des échanges et perspectives…

   

Thierry BRET

 

 


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C’est l’heure du bilan pour la manifestation musicale accueillie, au début de l’été, au pied du château moyenâgeux. Un festival de belle facture, pas uniquement réservé aux esthètes des instruments à vent qui ont su se distinguer avec maestria au cours de longs solos à la nuit tombante devant le porche de l’édifice historique. Un rendez-vous qui, selon ses organisateurs, devrait se poursuivre en 2024 !

 

DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES : Du 07 au 09 juillet dernier, le festival « Jazz à Druyes » s’est déroulé dans la petite bourgade si pittoresque, très prisée des touristes et visiteurs de la région – la commune n’est-elle pas devenue le quatrième village préféré des Français à la suite de sa participation à la fameuse émission éponyme de Stéphane BERN ! -, au pied du château ayant abrité jadis la comtesse Mahaut de Courtenay.

Un rendez-vous musical plutôt bien accueilli des mélomanes dont les organisateurs, Michèle et Didier GILBERTAS et Thomas GUERET en tête, ont tiré les enseignements au terme de cette troisième édition. Celle-ci se délocalisant dans la partie haute du village, sur l’imposant parvis qui fait face à la fameuse construction érigée au Moyen-Age. Un nouveau rendez-vous qui au terme de la représentation de quatre concerts répartis en trois jours s’est soldé par un beau succès. Les spectateurs ayant apprécié la qualité de jeu des artistes n’auront pas lésiné sur leurs applaudissements pour clore leurs prestations.

Mention très bien à l’harmoniciste Laurent MAUR, accompagné de sa formation. De l’avis des experts, la prestation aurait mérité une captation sonore de ce récital nocturne qui malheureusement n’a pu se réaliser car les organisateurs ne l’avaient pas forcément prévu dans leur budget initial. Une réflexion qui sans doute va être creusée par le trio se démenant à la logistique et la scénographie de cet évènementiel, reconduit à l’été 2024.

 

Plus de 500 spectateurs pour quatre concerts

 

Lucides sur cette question budgétaire, les organisateurs veulent satisfaire un public averti mais aussi de néophytes de plus en plus nombreux par rapport aux éditions de 2021 et 2022.

« Est-ce les effets de la programmation ? De la gratuité du festival ? De la communication élargie à l'Ecole de Musique de Danse et de Théâtre de Toucy ? En tout cas, la combinaison de l'ensemble a fait venir près de 500 spectateurs sur l'ensemble des spectacles (malgré une météo pas toujours clémente). Mais surtout des spectateurs ravis, qui entendent bien revenir l'an prochain... ».

Un argument optimal, poussant les organisateurs à poursuivre l’aventure la saison prochaine. D’autant que le succès du festival est également partagé par les musiciens. Ils apprécient particulièrement la qualité de l'organisation (une douzaine de bénévoles qui auront permis le bon déroulement de ce rendez-vous) et le cadre qui leur est offert pour exprimer leur talent.

 

 

Accueillir plus de spectateurs et de partenaires financiers en 2024

 

Reste l’aspect financier, toujours aussi délicat pour ce genre d’évènement qui part dans l’inconnu. Dans le cas présent, le succès financier, avec un équilibre dépenses / recettes s’est confirmé cette année. Explications des organisateurs : « Toutefois, cela ne permet pas de compenser le déficit 2022. Comme nous inscrivons ce festival dans la durée, il est important pour nous de construire un financement équilibré entre subvention / sponsor / public et légèrement positif pour permettre des investissements ultérieurs à nous rejoindre… ».

Puis de préciser, « l'analyse de notre bilan montre que nous avons besoin d'augmenter la part des spectateurs… ».

Et par ricochet les recettes induites par la consommation de boissons au bar, voire de mieux faire circuler le « chapeau » parmi le public permettant à chacun de distribuer à hauteur de ses disponibilités une obole généreuse afin de récompenser les prestations artistiques.

En sus, les organisateurs viennent de demander un complément de subventions pour l’exercice 2023. Soit un subside de 500 euros auprès du Conseil départemental de l’Yonne qui promeut un certain nombre d’évènements culturels sur le territoire. Une manière positive pour que l’organisation rentre bien dans ses frais et puisse ainsi faire perdurer un festival aux accents jazzy de plus en plus apprécié des touristes et riverains du château de Druyes. Une façon, aussi, d’encourager les bonnes initiatives et leurs auteurs…

 

Thierry BRET

 

 


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Enfin ! L’apport d’une nouvelle plateforme, numérisée à l’évidence, mettant en exergue les offres de stages proposées par les entreprises de Bourgogne Franche-Comté à l’adresse des élèves et étudiants de la région n’est plus un vœu pieu. On doit cette heureuse initiative heureuse, après plus de trois ans de maturation aux services de la structure régionale. Premier objectif : la diffusion à minimum de 1 500 offres dans des secteurs variés sur l’ensemble du territoire. On en redemande !

 

DIJON (Côte d’Or) : Parmi les nouveautés marquantes de cette rentrée 2023, dévoilées par la présidente de l’exécutif régional, Marie-Guite DUFAY, lors de sa traditionnelle conférence de presse, relative aux affaires scolaires et estudiantines, la création d’un nouvel outil numérique. Une plateforme des stages proposés en Bourgogne Franche-Comté, à destination de différents publics : collégiens, lycéens, étudiants, mais aussi demandeurs d’emploi ou salariés en reconversion.

Enfin, pourrait-on dire ! Car, bon nombre de familles s’arrachaient les cheveux et se faisaient jusque-là un sang d’encre à l’annonce de ces fameux stages en entreprise où il était nécessaire de faire jouer les réseaux, si tant est que cela marche !

Dorénavant, les choses seront plus faciles. Comme l’a précisé durant sa prise de parole la patronne de l’institution régionale : « Cette plateforme permettra à chaque jeune d’avoir un accès facilité à ces offres de stages… ». Une vraie mesure d’équité sociale, en vérité.

Puis, de renchérir : « Si certains jeunes trouvent facilement des stages parce que leur famille leur donne accès à un réseau, cela peut être beaucoup plus compliqué pour d’autres, en particulier les jeunes gens issus de milieux modestes… ».

 

Faciliter l’égalité des chances en matière de scolarité

 

C’est donc au nom de l’égalité des chances et la solidarité – un double credo cher à la présidente socialiste de la  région – que s’est patiemment créé ce nouvel outil, aidant à la réussite scolaire, opérationnel depuis peu.

Dans l’absolu, ce dispositif consultable par tous et de manière gracieuse regroupera des offres de stages disponibles sur différentes plateformes afin de simplifier les recherches. Si, au démarrage, il est question à minima de 1 500 références collectées – elles émanent de tous les secteurs entrepreneuriaux de notre territoire -, il s’avère très probable que le volume de stages à proposer aux populations ciblées monte en puissance à court terme. C’est en tout cas le souhait de la vice-présidente en charge des lycées, de l’offre de formation, de l’apprentissage et de l’orientation, Océane GODARD. Un effet boule de neige étant espéré : plus il y a d’offres dans l’escarcelle, plus cela en ramène !

 

Thierry BRET

 

 


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Ce sera incontestablement un sacré dilemme à vivre pour l’ex-directrice de cabinet du préfet de l’Yonne cette saison. Nouvellement nommée au Journal Officiel en qualité de sous-préfète d’Oloron-Sainte-Marie (Pyrénées-Atlantiques), la haute fonctionnaire, bras droit efficace et apprécié du préfet Pascal JAN, devra donc choisir, quant à son soutien sportif, entre le FC Pau (un club pensionnaire de Ligue 2 pointant à date à la huitième place) et…l’AJ Auxerre (9ème) où elle s’est exercée durant deux ans à la découverte de la sémantique technique très particulière de la discipline !    

 

AUXERRE : A peine quittée les bords de l’Yonne ce jeudi 31 août après une très conviviale cérémonie de départ, accueillie dans les jardins de la préfecture, nimbés d’un joli soleil estival, qu’elle pourrait peut-être déjà effectuer son retour en terre icaunaise, le 16 septembre prochain ? Sinon, ce serait pour la confrontation retour le 16 février en terre paloise ! En tout cas, le message adressé aux férus de football et en particulier du club local, l’AJA, par Marion AOUSTIN-ROTH lors de cette réception était on ne peut plus clair ! En présence physique – peut-être pas au vue de la distance ! - ou de cœur, façon nostalgie, après les deux années et de demie vécues en terre icaunaise en y exerçant d’importantes responsabilités au service de l’Etat, l’ancienne directrice de cabinet du préfet de l’Yonne suivra avec grand intérêt la première des deux confrontations que se livreront dans le cadre du championnat de France de Ligue 2 les clubs  sportifs de ses deux plus récentes villes d’adoption : Auxerre où elle y laissera bon nombre de souvenirs auprès de toutes les strates institutionnelles et économiques de notre territoire et désormais Pau, ou du moins l’une des villes de ce joli département des Pyrénées-Atlantiques, fleurant bon l’accent du Béarn, Oloron-Sainte-Marie. Après un court week-end d’adaptation, fruit de son rapide déménagement, Marion AOUSTIN-ROTH prendra officiellement ses fonctions lundi en début de matinée.

 

Une nomination en qualité de sous-préfète d’une localité du Béarn

 

Promue pour une durée de  trois ans au lieu de deux – visiblement, les choses évoluent sensiblement dans le corps préfectoral puisque les nominations s’allongent d’une année supplémentaire pour les nouveaux impétrants et c’est tant mieux pour approfondir les dossiers et leurs mises en application-, l’ex-directrice de cabinet succédera à Anna NGUYEN, sous-préfète, qui a fait ses adieux le 21 août dernier aux instances territoriales occitanes avant de s’envoler vers la Polynésie française. En effet, la jeune femme a été nommée cheffe des subdivisions administratives des îles du Vent et des îles Sous-le-Vent pour là aussi une durée de trois exercices.

Jumelée à la commune espagnole aragonaise de Jaca – une pure logique puisque le pays ibérique est situé à une poignée de kilomètres de là -, Oloron-Sainte-Marie, agglomération de plus de dix mille âmes, est connue et réputée pour ses activités de confiserie avec la présence de l’usine de fabrication de chocolat, LINDT – parfois, avec le vent soufflant fort des montagnes voisines, les odeurs chocolatées peuvent titiller un peu trop les narines sensibles jusqu’à l’écœurement – et la présence de son site industriel, SAFRAN, producteur de trains d’atterrissage pour les avions. Toulouse ne situe pas loin et on connaît la propension des activités aéronautiques sur ce secteur géographique, berceau national de cette filière.

 

 

 

Une pensée émue à la l’organisation d’un futur déplacement présidentiel !

 

Citant Colette (« La Vagabonde ») et l’une de ses célèbres phrases, « l’heure de la fin des découvertes ne s’arrête jamais », Marion AOUSTIN-ROTH aura pris la parole durant dix-sept minutes au pupitre aux côtés de Pascal JAN lors de son témoignage, fait de reconnaissance et de gratitude. Arrivée dans l’Yonne en avril 2021 – la pleine période de la COVID-19, en passant ! – en provenance du Doubs, c’était le premier grand poste de responsabilité sous couvert de l’appareil étatique tenu par la jeune femme.

Expliquant ensuite le rôle d’un directeur de cabinet – « les douze travaux d’Hercule au quotidien », plaisantera l’oratrice -, Marion AOUSTIN-ROTH mettra en exergue le poids des collaborateurs et personnels de la préfecture. « Des fonctionnaires exemplaires, acharnés, épris de la notion du service public que je quitte avec regrets et émotion… ».

La gestion de la crise sanitaire sera largement commentée par la haute fonctionnaire avec ses épisodes successifs de confinement. Mais, elle parlera aussi de ses nombreux évènements et visites officielles (celle de Jean CASTEX alors Premier ministre qui reviendra par deux fois à Saint-Florentin et à Sens), soit in fine une trentaine de déplacements ministériels sensibles à gérer durant le mandat d’un peu plus de deux ans avec les services de la préfecture.

Puis, se tournant vers Pascal JAN à l’écoute très attentive, Marion AOUSTIN-ROTH s’amusera de la probable organisation générée par le futur déplacement en terre de l’Yonne du Président de la République – l’Yonne reste l’un des six derniers départements hexagonaux où le chef de l’Etat ne s’est pas encore rendu depuis 2017 – qui devrait être inscrit à l’agenda élyséen, tôt ou tard. « A force de le dire,  monsieur le préfet, je commence à croire que cela arrivera et j’aurai alors une pensée émue pour l’équipe organisatrice d’un tel évènement ! ».

 

 

Une bonne continuation au territoire de l’Yonne

 

Puis, reprenant son sérieux, Marion AOUSTIN-ROTH s’attardera sur les récentes émeutes urbaines l’ayant accaparées dans son quotidien en matière de respect de l’ordre et  de la sécurité. « Ces émeutes de juin ont abîmé notre vivre ensemble et nous ont marqué profondément… ».

Ses remerciements iront également aux représentants des forces de l’ordre – nombreux à assister à cette cérémonie -, aux sapeurs-pompiers ou à la Croix-Rouge. A ce titre, elle se remémorera la fameuse rave-party de Saint-Florentin en janvier 2021 où la localité gérée par Yves DELOT fit la une des médias nationaux. Où de la rencontre « musclée » opposant l’AJ Auxerre face à Saint-Etienne à l’enjeu si crucial pour l’accession en Ligue 1.

En substance, la jeune femme salua aussi la mémoire de la malheureuse Angélique CLERE, décédée à la suite d’un féminicide sur la commune de Monéteau le 11 juin 2021. Une tragédie qui restera dans la mémoire collective.

« Beaucoup reste à faire en matière de violences conjugales dans notre pays, ajoutera-t-elle, je sais que les élus et les forces de l’ordre sont mobilisés sur cette question… ».

Dans la foulée, elle rappellera la mémoire du capitaine du GIGN Jérôme FAVIER qui à l’âge de 33 ans, aura perdu la vie pour neutraliser l’auteur des troubles survenus à Saint-Valérien. « J’ai une pensée émue pour ce militaire d’exception pour sa famille d’armes qu’il représentait… ».

Quant aux anciens combattants, ils ne furent pas oubliés de ce long discours : « je vous ai souvent salué lors des cérémonies, vous êtes notre fierté en portant les valeurs de la France… ». Les élus (« symbole du dévouement absolu ») furent également plébiscités par l’oratrice sur le départ.

Quant à la nécessité de conduire une réflexion de nature à refonder notre modèle de la prévention de la délinquance, tout en adaptant l’offre de sécurité, lui semble évidente. « Ma devise est la suivante : reconnaissance et gratitude, passion du service public et foi en l’être humain… ».

Puis, reprenant une formule chère au regretté Raymond BARRE – l’ancien édile de Lyon et Premier ministre des Français sous GISCARD -, Marion AOUSTIN-ROTH rappela qu’avec « du courage et de la détermination, l’avenir se façonne et se veut… ». Avant une ultime pirouette orale, en basque, pour souhaiter à l’assistance prête à applaudir une « bonne continuation » au territoire de l’Yonne ! Une pensée réciproque, évidemment...

 

Thierry BRET

 

 

 


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Retour vers le passé, ce week-end, à Joigny comme au temps où jadis la circulation estivale sur la Nationale 6 provoquait de très sérieux ralentissements dans la ville de l’Yonne, traversée par son flot incessant de touristes qui se rendaient plein sud, vers la « Grande Bleue ». Plus de cinq cents véhicules d’époque (les années 1950 et 1960) et 150 bénévoles reconstitueront de sympathiques tableaux, durant ces deux jours emplis de nostalgie…

 

JOIGNY : Plus de 25 000 spectateurs sont attendus durant ces deux jours festifs par les organisateurs de cet agréable évènement à la fois automobile – le mode rétro et les voitures de collection ont toujours la cote – et touristique, où il fera bon flâner dans les rues de la cité du Centre Yonne. Antiques DS Citroën, rutilantes 404 Peugeot, vielles Simca 1000 ou esthétiques Aronde seront donc de la partie dans cette reconstitution de ce que furent les heures glorieuses de Joigny entre juillet et août, chaque année, des deux décennies 50 et 60 !

Les grands chassés croisés de l’été donnèrent bien des boutons d’urticaire à l’époque aux représentants de la maréchaussée mais faisaient le terreau nourricier des commerces, hôtels et restaurants de l’agglomération.

 

 

En sus, pour faire plus vrai que nature, les bénévoles se prêtant au jeu seront grimés en costumes d’époque, le tout servi par un fond musical fleurant bon les Sixties et la période bénie des Yé-Yés que les moins de cinquante ans ne peuvent pas connaître – sic !

On doit cette formidable initiative à l’association des Vieilles Coquilles Icaunaises – la belle appellation des automobiles d’autrefois sans doute !, l’Office de tourisme du Jovinien et de Joigny avec une Béatrice KERFA toujours aussi dynamique et la Ville de Joigny, naturellement. Précisons que toutes les animations sont gratuites. Une très belle manière de clore le chapitre de cet été 2023 en se replongeant dans celui de l’été 1963 !

 

Thierry BRET

 

 


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