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Puisaye Forterre

Son credo est simple. « Cessons de nous apitoyer sur notre sort et allons de l’avant ! ». Une maxime basique, certes, un peu à la méthode Coué mais tellement évidente pour susciter le positif des choses et créer ainsi de l’attractivité sur le territoire. A la tête de la Communauté de communes de l’Aillantais, le président départemental de l’AMF 89 (Association des Maires de France) est déterminé à conserver ce cap. Malgré les aléas des crises successives que nous traversons. D’ailleurs, la liste des chantiers et projets à venir en 2025 le conforte dans cette direction…

 

MONTHOLON : Dans les années 70, ce slogan fleurissait partout dans les spots publicitaires. Un peu comme une rhétorique dont il fallait épouser les principes vertueux. « En France, on n’a pas de pétrole, mais on a des idées ! ». Déjà, à l’époque, en 1973, la crise de l’énergie s’abattait de plein fouet sur notre économie. Sans doute que cela a dû le marquer ! Il avait seulement 13 ans, à ce moment-là, le futur président de la Communauté de communes de l’Aillantais, Mahfoud AOMAR…

Des idées, fort heureusement, le plus kabyle des élus Icaunais, il en a plein la tête ! Des préconisations au service de ses administrés, afin de leur rendre l’existence plus facile et meilleure.

Et à ce petit jeu de l’inventaire à la Prévert de ses projets, nous ne sommes pas déçus. Le maire de Valravillon déroule le programme de sa mandature. Eclectique, répondant aux attentes des habitants de cette terre occidentale de l’Yonne, soucieux de pérenniser son empreinte sur ce territoire.

 

Un centre de santé pour sécuriser les dix mille habitants de l’EPCI

 

Premier projet, l’agrandissement de la maison de santé locale qui au passage changera de définition pour devenir un centre de santé. L’édifice sera désormais agrémenté d’un centre de kinésithérapie, comprenant un bassin aquatique – une rareté dans l’Yonne. Un concept résolument attractif de l’avis de notre interlocuteur. Un double cabinet de dentiste y sera greffé. Répondant ainsi à une attente, depuis longtemps.

« Le centre de santé représentera l’opportunité pour la Communauté de communes de pouvoir salarier les médecins, explique l’élu de l’Yonne, on a commencé le travail de réflexion avec l’Agence Régionale de Santé (ARS) et la CPAM, la Caisse Primaire d’Assurance Maladie. C’est la solution pour contrer la désertification médicale en zone rurale… ».

Il y a six mois, l’institution a embauché une secrétaire médicale qui sera à la disposition des futurs médecins salariés pour la gestion des rendez-vous, c’est une innovation. Ce centre de santé dans cette configuration devrait être opérationnel au second semestre 2025. Son coût est évalué à 1,6 million d’euros.

« La santé, c’est la préoccupation principale de nos compatriotes aujourd’hui, estime Mahfoud AOMAR, on sait que nous sommes partis sur des dépenses plus importantes pour réaliser ce projet au niveau du fonctionnement mais c’est un choix politique que j’assume. C’est une obligation pour les collectivités car l’Etat n’a pas pris les choses en main comme il le fallait…. ».

Un projet devant alourdir le déficit de l’EPCI de 80 000 euros par an. Toutefois, l’orateur se veut rassurant pour les contribuables : « on n’augmentera pas les impôts mais cela nous obliger à serrer les boulons ! ».

Toutefois, tous les administrés consultés sont favorables à ce besoin de présence sanitaire.

« Les Français ne sont pas systématiquement contre de payer, ils veulent simplement savoir à quoi cela sert ! ».

  

Et un, et deux, et trois, et quatre projets !

 

Le second projet se rapporte à la construction de la piscine. Non couverte, l’infrastructure est qualifiée par Mahfoud AOMAR de « piscine de campagne ». Un projet qui coûtera néanmoins 2,2 millions d’euros hors taxe. Après la prise de compétence de la part de l’EPCI en 2024, l’édifice dont les travaux ont débuté il y a peu sera livré avant la fin de l’année. Son ouverture est prévue en 2026. Chauffée, la piscine sera agrémentée juste à côté d’une salle de sport de 140 mètres carrés, ouverte toute l’année et prise en charge par une association dédiée. Deux projets qui permettront au cœur d’Aillant de bénéficier de ce complexe sportif. Une structure administrée par une association créée spécifiquement…

Parallèlement, une recyclerie et un tiers-lieu verront le jour. Depuis deux saisons, des associations réfléchissent à ce concept en effectuant des « donneries ».

« Ce projet sera avant-gardiste, explique le président, on veut essayer de donner une nouvelle chance à des produits tout en créant du lien social. On devrait y consacrer deux millions d’euros en investissement… ».

L’agrandissement des locaux de la CCA se poursuit pendant ce temps.

« On fait les choses à une dimension qui nous convient mais on anticipe sur l’avenir, souligne l’orateur, on vient de prendre la compétence assainissement depuis le 01er janvier 2025 parce que l’on veut rester autonome sur ce sujet. On souhaite que les coûts soient le moins élevé possible… ».

Une manière de mieux gérer l’aspect exigu qui existait jusque-là avec les autres compétences détenues par la collectivité. Un étage vient de se rajouter sur le bâtiment pour une enveloppe de 600 000 euros.

 

 

Ne plus se lamenter et avancer !

 

Au total, l’EPCI va investir un montant global d’une dizaine de millions d’euros pour une petite collectivité de plus de dix mille habitants. Pas mal !

Quant à la caserne des pompiers, la collectivité a injecté 200 000 euros dans ce projet de modernisation de l’infrastructure. Une cinquantaine de soldats du feu profiteront de ce nouveau centre en cours de réalisation, l’actuel étant de plus en plus vétuste.

Cette politique a été définie il y a cinq ans. « On a accompli la mission fixée durant le mandat, insiste l’élu, il faut savoir que l’on prend en charge les cotisations SDIS des communes. Ce qui permet de laisser des liquidités à ces dernières pour faire leurs projets. On participe aussi à un fonds de concours sur les projets communaux tous les ans. Par exemple, l’EPCI prend à sa charge tout le volet de la petite enfance... ».

Le président tient à l’existence d’une communauté de communes où la parole circule librement. Dans le domaine de l’assainissement, il a été constitué un conseil syndical avec des conseillers communautaires, il a été ajouté des conseillers municipaux de chaque localité et un représentant des usagers afin de faciliter les prises de décision.

Une autre forme de politique participative, ouverte mais bien maîtrisée autour d’un axe de réflexion… De l’efficacité, en fait.

« En France, on souffre beaucoup trop du nombre de réunions avant de décider, commente un brin irrité Mahfoud AOMAR, il serait utile de calculer ce que coûte lesdites réunions et le temps perdu ! Je souhaite que chaque réunion vécue aboutisse à une vraie prise de décision ! ».

Dire que la plupart des réunions ne servent à rien ? Il n’y a qu’un pas dans l’esprit de l’élu qui ne pratique pas la langue de bois ! Quant aux lamentations coutumières, le président de l’AMF 89 n’en peut plus.

« Arrêtons de pleurer et de nous lamenter ! Arrêtons de dire que l’Yonne n’est pas attractive ! On ne va pas vers les gens qui pleurent. Certes, on peut écouter les gens qui pleurent, on peut les plaindre mais on n’avance pas de cette façon-là… ».

Une méthode idyllique pour faire bouger les choses ? Pourquoi pas ! En tout cas, comme le stipule son président, la Communauté de communes de l’Aillantais et ses seize collaborateurs poussent l’ensemble des localités à aller de l’avant. Sans se plaindre et en gardant la tête froide ! Un modèle à dupliquer ailleurs, pour parer en premier lieu à toutes les dérives administratives qui existent et freinent les bonnes volontés…

 

Thierry BRET

 


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La mobilité, un véritable frein pour la jeunesse en quête de travail et d’orientation de nos jours ? Oui, à plus d’un titre, lorsque l’on se penche sur la question. Sensibiliser les jeunes aux moyens de transport pour favoriser l’autonomie et l’insertion professionnelle était précisément la thématique abordée il y a peu par différents spécialistes de l’emploi dans l’Auxerrois. Une initiative baptisée tout bonnement : « En route vers l’emploi ». Une route pavée de très bonnes intentions de la part des organisateurs…

 

AUXERRE : L’affiche est sympa ! On y voit dessiner les différentes formes de la mobilité, pouvant aider les jeunes gens à intégrer la vie active. Bus, cycle, voiture, train. Il y a naturellement sur ce calicot la marche à pied. Manque à l’appel, la trottinette. Comme nous sommes dans l’Yonne, les acteurs de l’emploi soutenant l’initiative portée par la Mission Locale de l’Auxerrois (AFPA, ARMATIS, SYNERGIE, le réseau local AuxR_M le bus…) ont fait volontiers abstraction des dessins du bateau, de l’avion et du…sous-marin ! Sinon, tout le reste figure sur le tract qui vante la nouvelle manifestation organisée pour sensibiliser les jeunes aux diverses opportunités de la mobilité dans le département.

On doit l’action à un jeune homme, Yanis TREUILLET. Stagiaire en master en science de l’Education au sein de la Mission Locale de l’Auxerrois, le garçon a eu la géniale idée de proposer ce concept, dans lequel il a embarqué plusieurs soutiens professionnels de l’organisme. Il a été supervisé par Charlène LABE, coordinatrice du CEJ, le Contrat Engagement Jeunes.

« Ce projet « Mobilité et Insertion » a permis à six jeunes gens inscrits dans le cadre du Contrat Engagement Jeune (CEJ) de découvrir durant une semaine tous les moyens de transport existants dans le département pour favoriser leur insertion professionnelle… ».

Devant un « paper-board », le jeune homme est à l’aise dans ses explications. Les six personnes du groupe ont pu profiter de ses conseils lors de ce programme intense et surtout immersif. Ne pas prendre la voiture pour se déplacer dans l’Yonne à la recherche d’un stage, d’un job ou d’un centre de formation est du domaine du possible.

 

 

Evacuer les craintes à voyager en transport collectif

 

Durant cet accompagnement, le petit groupe a pu découvrir les solutions de mobilité existantes en empruntant le train pour se rendre à Joigny, le bus, le vélo ou tout simplement en marchant. Plusieurs axes de réflexion étaient proposés lors de ce travail collectif : le repère dans l’espace et la gestion du budget transport, le développement de l’autonomie et la capacité à utiliser les modes de locomotion en toute sécurité, l’exploration de toutes les opportunités professionnelles et les métiers en tension répertoriés sur le territoire.

En parallèle, le jeune animateur a créé deux jeux de société afin que les candidats puissent se repérer dans l’espace et gérer l’imprévu, le quotidien de la vie active. Evacuer les craintes autour des transports figurait aussi au programme de cette semaine très bien vécue par les jeunes gens.

Premier constat, si les déplacements sont faciles dans la capitale de l’Yonne en intra-muros, il est plus compliqué de se mouvoir pour ce type de populations en secteurs périphériques, peu habitué à prendre le train ou le bus. Second constat, dans les secteurs les plus reculés du département, les problématiques existent bel et bien et ne facilitent pas la recherche d’emploi des jeunes âgés de 18 à 26 ans qui seraient désireux de ne pas utiliser une automobile dans le cadre de leurs déplacements professionnels.

« J’ai un mémoire à préparer, ajoute Yanis TREUILLET, ce sera le sujet de ma réflexion et je vais essayer d’apporter des solutions ! ».

L’accès aux moyens de transport peut s’avérer très contraignant pour la jeune génération, confrontée aux difficultés financières, géographiques et culturelles. Ne serait-ce que le coût du permis de conduire estimé en moyenne à 1 500 euros…

 

Thierry BRET

 


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Univers rempli de technologies permettant la projection d’images sur ses surfaces murales, la salle du « Clic Store », pleine comme un œuf, accueillait au centre de formation de l’Yonne (CIFA) les concurrents des sélections départementales du concours d’Un des Meilleurs Apprentis de France (MAF), soucieux de connaître le verdict définitif du jury. Du trois en un, en fait, puisque ces épreuves réunissant les apprentis de l’Yonne portaient sur la boulangerie, la coiffure mixte et l’esthétique/cosmétique et parfumerie.

 

AUXERRE : Après le récent départ à la retraite du formateur en cuisine et en pâtisserie, Jean-Marie LAMOUREUX, il y a quelques jours, le CIFA de l’Yonne remettait le couvert des festivités, en début de semaine, en accueillant les épreuves départementales du traditionnel concours d’un des Meilleurs Apprentis de France (MAF), décliné en une triple vision fédératrice, puisque concernant les métiers de la boulangerie, de la coiffure, mais aussi de l’esthétique, de la cosmétique et de la parfumerie.

Des métiers qui sont bien naturellement enseignés dans l’établissement icaunais qui célèbrera cette année son cinquantième anniversaire.

C’est au sein du « Clic Store », emblématique espace de cours ultra moderniste dans sa conception visuelle, que devait se dérouler la proclamation des résultats et la remise des prix de ce premier challenge de l’année. Certes, la salle possède une caractéristique insolite qui en fait l’une des originalités de l’établissement, reconnue par les autres CIFA de France et de Navarre, du fait de ses potentialités techniques visuelles. Toutefois, devant l’aspect exigu de l’endroit, Lilian GARCIA, le directeur du centre de formation auxerrois, dût prévenir dans son intervention introductive que le calme était indispensable au bon déroulement de la cérémonie, compte tenu de l’affluence record du nombre de participants, de formateurs et peut-être aussi de parents !

 

Participer à des concours, c’est aussi se mettre en danger

 

Moyennant quoi, il était difficile de se frayer un chemin jusqu’au pupitre où les orateurs devaient se succéder lors de la remise des prix, un pupitre par ailleurs dépourvu de toute sonorisation, ce qui n’arrangeait rien à l’écoute de ces discours !

Bon, fort heureusement, les vœux de Lilian GARCIA furent exaucés : le calme devait régner dans la petite pièce jusqu’au terme de la cérémonie, à laquelle participaient également le président du CIFA de l’Yonne, Didier CHAPUIS, et l’incontournable monsieur « MAF » de notre territoire, un Marc LABARDE, lui-même MOF, fidèle d’entre les fidèles, arborant à la manière d’un Christophe BARBIER dont c’est la marque de fabrique, une écharpe rouge repérable de loin !

Si la prise de parole introductive fut courte de la part du directeur du CIFA, elle le fut tout autant pour le président, Didier CHAPUIS, qui rappela aux parents et aux jeunes présents que ce concours était très important. « Il y a forcément des gens très heureux, d’autres seront moins chanceux à l’issue… ».

Puis, philosophe, le dirigeant des FESTINS, insista sur le côté attrayant de prendre part à ces concours, une expérience fort enrichissante dont on sort toujours avec les honneurs.

Un temps d’applaudissements, avant que ne reprenne la main le prolixe Marc LABARDE, « lorsque l’on produit de l’excellence, il faut toujours se dépasser pour s’améliorer… ».

Toutefois, participer à cette épreuve d’un des Meilleurs Apprentis de France, c’est aussi se mettre en danger. Marc LABARDE appuya sur cet aspect dans un silence de plomb. « Tout le monde ne gagnera pas ! »…

Aurait-il dû ajouter à la façon d’un Pierre de COUBERTIN, l’essentiel n’est-il pas de participer ?! Peut-être !

 

 

Une seule médaille d’or en catégorie boulangerie

 

Puis, se lançant dans le vif du sujet, histoire de faire monter la pression des jeunes candidats stressés de connaître enfin le dénouement de la journée, l’orateur attaqua l’énonciation du palmarès par la catégorie boulangère. Partant des moins bien classés aux lauréats. Ainsi, Kylian NAUDIN, détenteur de la médaille d’or de ce concours départemental 2025, obtenait son ticket pour concourir à la finale régionale, elle-même qualificative pour l’échelon au-dessus, le national en cas de succès.

Les candidates de la catégorie coiffure furent appelées par Maxime LAUZET, responsable de la communication du CIFA qui n’hésita pas à hausser de la voix pour se faire entendre de tous ! Une petite déambulation se fit alors que les jurés rejoignaient les candidates.

Marc LABARDE remettait les diplômes tout en félicitant les récipiendaires. Puis, se désolant quelque peu, il constata qu’il n’y avait pas de candidates qualifiées pour l’épreuve régionale.

« L’année prochaine sera une meilleure année pour celles qui reviendront dans le concours… ».

Une longue pause se fit, imputable aux prises de vues de notre confrère de l’Yonne Républicaine, Jean-Luc TABOUREAU, qui fidèle à ses habitudes plaça minutieusement les lauréates face à son objectif afin de réaliser sa série de photos !

Les organisateurs appelèrent ensuite les membres du jury de l’esthétique, de la cosmétique et de la parfumerie à se rendre sur le devant de la scène afin que les lauréates reçoivent à leur tour leurs distinctions. A chaque appel d’un nom, les applaudissements retentissaient.

 

 

Des notes réévaluées à la hausse pour durcir la sélection

 

Marc LABARDE apporta un élément capital à la bonne compréhension de ce concours en termes de notation. Les règles ont en effet été modifiées cette année.

« Les notes ont été relevées d’un niveau pour éviter de mettre les jeunes en danger lors des épreuves régionales et nationales, devait-il souligner, la sélection est donc plus drastique, désormais… ».

Ce qui justifia in fine l’absence de qualifiés un pallier au-dessus pour les épreuves de coiffure et d’esthétisme. Cela n’empêcha nullement notre confrère Jean-Luc TABOUREAU de terminer en beauté sa prestation photographique, organisant la photo de famille avec les responsables du CIFA de l’Yonne. En grand spécialiste de la prise de vue qu’il était lorsqu’il occupait autrefois le poste de Maxime LAUZET dans cet établissement…Mais, ça, c’était avant !

 

 

En savoir plus :

Les résultats

Concours MAF Boulangerie :

Kilian NAUDIN : Médaille d’or

Clément ETERNOT : Médaille d’argent

Mathis LENOIR : Médaille d’argent

Fleuriane JAGET : Médaille de bronze

Concours MAF Coiffure Mixte :

Lana DIAS : Médaille d’argent

Emma CALAS : Médaille d’argent

Océane BIROUD-SINKA : Médaille de bronze

Naomy ROY : Médaille de bronze

Lilou DUFOUR (apprentie maison de la coiffure) : pas de médaille

Concours MAF Esthétique :

Lola CAILLON : Médaille d’argent  

Anaëlle LANGLOIS : Médaille de bronze

Augustine BELLIER : Médaille de bronze

Chloé CHARLES : pas de médaille

Celia GIBASSIER : pas de médaille

Elina LAVAUX : pas de médaille

Charlotte DESBRUYERES : pas de médaille

Equivalence des notes et des médailles :

➢ Médaille d’OR : 16 points et plus,

➢ Médaille d’ARGENT : 14 et inférieur à 16 points,

➢ Médaille de BRONZE : 12 et inférieur à 14 points.

Sachant que cette année, la société des MOF (organisatrice du concours Meilleurs Apprentis de France) a durci la notation et que désormais, seules les médailles d'or participent au concours régional.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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L’opération, financée par SNCF Réseau, représente un investissement de 2,5 millions d’euros. Elle contribue à l’amélioration de la performance du réseau en garantissant des conditions optimales de régularité et de sécurité de circulations ferroviaires. Trois axes sont ainsi concernés, lors de ces travaux qui vont courir du 17 février au 10 octobre 2025 : ceux réalisés entre Paris et Lyon, Dijon et Vallorbe, ville de Suisse, et Dijon et Saint-Amour, dans le Jura. Il n’y aura pas d’impact sur la disponibilité des trains pendant ce laps de temps…

 

DIJON (Côte d’Or) : Le fameux train dérouleur de la SNCF Réseau est de nouveau en mode opérationnel, à partir de ce lundi 17 février. Et ce, jusqu’au 10 octobre 2025 en Bourgogne Franche-Comté !

Véritable usine ambulante, ce moyen de locomotion ferroviaire va permettre ainsi de dérouler un nouveau câble porteur et le nouveau fil de contact caténaire en simultané. Soit vingt-huit kilomètres de fils à changer lors de cette opération de remplacement. Un vaste chantier qui mobilisera les équipes de SNCF Réseau durant plusieurs mois et sans que les usagers des trois axes concernés par ces travaux ne soient impactés dans leur déplacement.

Rappelons que l’alimentation des trains électriques (circulation, chauffage, climatisation…) est assurée par la présence de ces fils de contact caténaires. Leur remplacement s’avère donc essentiel pour la qualité de la prestation proposée aux voyageurs. Comme pour la ponctualité des trains !

 

 

Ces travaux vont se dérouler sur trois axes de la région. Du 17 février au 26 mars, de nuit, puis du 14 avril au 10 octobre, de jour, sera concernée la ligne Paris/Lyon. La ligne entre Dijon et la Suisse (Vallorbe) sera en chantier entre le 28 avril et le 16 mai de nuit. Quant à la troisième ligne, celle reliant la commune de Saint-Amour dans le Jura à la capitale régionale, Dijon, les dates ont été arrêtées du 31 mars au 11 avril de jour.

Vingt personnes, des agents de la SNCF Réseau, seront affectés à ces travaux qui concernent 28 kilomètres de fils électriques à renouveler, pour un coût de 2,5 millions d’euros.

 

Thierry BRET

 


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Le court métrage se veut résolument dynamique. Une excellente entrée en matière, juste avant la prise de parole de la responsable du groupe EDF en Bourgogne Franche-Comté pour mieux appréhender ce que pèse aujourd’hui l’entreprise sur notre territoire régional, images et chiffres en surimpression à l’appui. « Pour le plaisir, on va même le visionner une seconde fois ! ». L’enthousiasme de Carmen MUNOZ-DORMOY est contagieux parmi l’assistance ! C’est sûr en 2025, EDF sera de tous les rendez-vous en faveur de la décarbonation et du soutien sans faille à l’attractivité économique du territoire !

 

DIJON (Côte d’Or) : Faudra-t-il compter sur le groupe EDF et l’ensemble de ses filiales pour dynamiser l’attractivité territoriale, tant au niveau économique qu’au niveau de la préservation de l’environnement et la création de l’emploi en cette année 2025 ? La réponse est oui ! L’inventaire à la Prévert, présenté par une Carmen MUNOZ-DORMOY très volontariste et engagée dans ses propos, il y a quelques jours encore lors d’une rencontre réunissant partenaires et milieux institutionnels/économiques en Côte d’Or, l’a totalement démontré. Oui : EDF et ses filiales joueront un rôle essentiel cette année encore dans la prospérité et la croissance de la vie économique de la Bourgogne Franche-Comté. Une implication de l’entreprise énergétique qui se place sur le long terme, il va de soi, comme l’a réaffirmé la directrice de l’Action régionale de la structure.

Alors, ce petit film, une courte vidéo de quelques minutes à peine, aura suffi pour poser les jalons de ce que représente à date EDF dans notre contrée. Une vision panoramique des chantiers et des projets de 2024. Ceux qui se prolongeront tout au long du nouvel exercice. Le long terme est aussi le marqueur idéal de l’ancrage territorial que souhaite mettre en exergue la dirigeante aux origines hispaniques du groupe. Son sympathique petit accent venant mettre du baume au cœur et un peu de ce soleil salvateur parmi l’assistance !

 

Les énergies fossiles doivent rester dans le sol !

 

Alors au moment où la planète célèbrera (ou pas pour les non-signataires et les pays qui ont choisi d’en sortir à l’instar des Etats-Unis) le dixième anniversaire des accords de Paris, visant à accélérer la décarbonation du monde, EDF entend poursuivre le combat. A sa façon ! Les récents évènements de Los Angeles (les incendies) et de Valence à l’automne dernier (les inondations) montrent bien le caractère d’urgence à agir. Sus aux énergies fossiles dont il est impératif de se débarrasser ? Carmen MUNOZ -DORMOY est catégorique sur le sujet : « il faut arrêter de les exploiter ! ».

Baisser la consommation de ces énergies fossiles est devenue une priorité. « Pour décarboner un système, il faut produire en décarbonant mais il est nécessaire aussi de consommer en mode décarbonation, a répété pédagogue la dirigeante de la structure, sinon, on s’éloigne de tous les objectifs… ».

Les énergies fossiles ont-elles encore un réel avenir dans l’esprit de la patronne régionale d’EDF ? « Oui, renchérit-elle, en restant dans le sol ! ».

Face à ce sombre tableau qui a pris depuis l’arrivée au pouvoir de Donald TRUMP une autre tournure du fait que les impératifs économiques des Américains sont désormais de forer davantage de pétrole et de gaz de schiste un peu partout sur la planète, il existe une bonne nouvelle néanmoins venant de l’Hexagone. Carmen MUNOZ-DORMOY l’a clamé haut et fort : la France possède de l’énergie décarbonée en abondante quantité. En 2024, l’électricité décarbonée a été exportée massivement par notre pays, un équivalent de 89 TWh, de quoi réjouir quelques voisins de la France ayant profité de la manne.

« Il est indispensable d’augmenter la part de l’électrification dans les usages et la consommation finale tous secteurs confondus en France au détriment des énergies fossiles, martela l’intervenante.

 

 

 

EDF déclare sa flamme à l’olympisme !

 

 

Quant aux Jeux Olympiques de Paris, Carmen MUNOZ-DORMOY y fera naturellement allusion. « J’ai été très impressionnée par leur réalisation, y compris les Jeux paralympiques auxquels j’ai pu assister. Une occasion pour EDF de décarboner le maximum de choses durant ces Jeux, dont la flamme ! ».

Du culot, dira-t-elle non sans humour avec cette fameuse flamme électrique que les Parisiens ont tellement apprécié durant deux mois qu’ils en redemandent encore dès l’été prochain avec l’autorisation du CIO ! Un vrai sentiment de fierté pour les salariés du groupe. « Ces Jeux auront été les plus décarbonés de l’histoire ». Le groupe n’aura pas lésiné sur les moyens, installant au passage des ombrières photovoltaïques éphémères, des bornes de recharge, la conception bio-climatique des bâtiments afin de ne pas trop consommer.

Du point de vue régional, l’année écoulée est considérée comme un tournant majeur dans les propos de l’oratrice. « On a énormément grossi parce que nous avons pu intégrer « ARABELLE Solutions » – la structure produit des turbines et des alternateurs -, soit 1 500 salariés supplémentaires qui ont rejoint le groupe à Belfort en sécurisant la « supply chain » du nucléaire… ».

Carmen MUNOZ-DORMOY aborda ensuite le volet Framatome. Cette dernière entité a livré trois générateurs de vapeur dans le cadre du programme de rénovation nucléaire, tout en exportant de nombreuses pièces à l’international. Il y a eu aussi, dans le même temps, la signature de la fabrication et la mise en service de six chaudières nucléaires, une concrétisation élaborée pour le programme « EPR 2 ». Ce qui fit dire à l’intervenante que « les usines tournaient bien ».

Quant aux ENR (énergies renouvelables), de nombreux projets ont été gagnés au cours de l’année 2024. Quatre centrales photovoltaïques ont été mises en exploitation, entraînant de facto différentes inaugurations à venir en 2025. Notamment celle de l’Aéroparc, implanté dans le Territoire de Belfort à Fontaine ou à Montchanin en Saône-et-Loire. Une deuxième centrale à hydrogène a été inaugurée là aussi du côté de Belfort, un territoire décidément très en vogue dans l’actualité de l’énergéticien ! Quant à la centrale auxerroise, Carmen MUNOZ-DORMOY a confirmé que l’installation de l’Yonne assurait une production importante. 

 

« Elle produit plus que nécessaire pour alimenter la mobilité lourde, devait-elle ajouter, elle signe même des contrats avec des industriels à partir de l’hydrogène décarboné pour Framatome… ».

Enfin, pour clore ce chapitre, les travaux de la STEP sur le lac de Vouglans dans le Jura ont débuté. Une STEP n’est autre que l’acronyme de la Station de transfert d’énergie par pompage, favorisant de gros stockages. Avec une efficience très performante. C’est la sixième STEP qui sera ainsi érigée en France.

Un accord de partenariat a été signé au niveau régional avec la BNP Paribas, pour accompagner la clientèle de particuliers de l’établissement bancaire avec la filiale EASY, à partir de solutions de rénovation avec les financements associés pour décarboner dans les usages de leur habitation. Le secteur de l’habitat n’a pas été oublié par EDF dans sa stratégie de décarbonation à tout va !

Sur le volet de la mobilité, le groupe poursuit ses prises d’initiative sur le déploiement des bornes tant pour les entreprises que les particuliers : HYNAMICS travaille sur des projets en lien direct avec la SNCF et ALSTOM pour envisager des solutions pouvant alimenter en hydrogène les rames de train. Quant aux réseaux de chaleur, plusieurs projets se sont déployés sur les agglomérations de Dijon et de Nevers en 2024 avec la filiale DALKIA. Ainsi qu’en Saône-et-Loire, dans l’une des sous-préfectures, à Autun. Les filières industrielles de la métallurgie et de la sidérurgie sont impactées par ce volontarisme stratégique avec comme fil d’Ariane la décarbonation. Suivant les pas de Framatome puisqu’un projet de géothermie a vu le jour en 2024 au Creusot. Un mix entre électricité et énergie fossile. MICHELIN est également sur le même registre.

 

Travailler avec le plus grand nombre !

 

Revendiquant l’identité territoriale de « bourguignon franc-comtois » de son groupe, Carmen MUNOZ-DORMOY insista sur la fierté de cette appartenance géographique : « on mange territoire, on dort territoire, on agit pour le territoire ! ». Soutenant de facto les efforts entrepris par la région, avec la Fondation EDF et ses fructueux appels à projet. Soit 150 000 euros distribués en 2024 au tissu associatif de la contrée !

En matière de présence physique, les professionnels à l’estampille EDF sont visibles sur de nombreux salons. On les aura vus beaucoup aux E-Days 2024 mais aussi sur les salons des maires, aux quatre coins de la région. « J’ai même été frustrée de ne pas pouvoir assister à la globalité de la tournée des vœux, s’amuse la patronne de l’action régionale ! Si j’avais pu me téléporter, j’aurai été partout ! ».

Premier financeur du Fonds solidarité pour les logements, EDF a fourni des subsides appréciables pour soutenir les départements dans l’aide dispensée aux familles très précaires, notamment sur le volet énergétique. A noter qu’en 2024, EDF BFC est entré au capital de « l’Usine Partners » basé à Chalon-sur-Saône pour mieux accompagner les projets du territoire. Bon nombre de commissions d’acteurs clé de notre région (CESER, MEDEF, Réseau Entreprendre Bourgogne…) accueillent des représentants du groupe EDF dans ses rangs au cours de leurs travaux. Au nom de la transition énergétique et du partage de ses valeurs. Sans omettre le rapprochement avec les entreprises du secteur industriel. « Nous sommes aux côtés de toutes les entreprises qui désirent décarboner et améliorer ainsi leur consommation énergétique… ».

De prochaines annonces sont attendues très prochainement sur le dossier de l’agrivoltaïsme. De nouveaux locaux seront également inaugurés au fil de ces prochaines semaines : à Chalon-sur-Saône avec la filiale DALKIA, mais aussi le nouveau siège social de la grande maison (EDF !) dans le quartier d’affaires de Valmy au nord de Dijon. La première pierre sera posée symboliquement au printemps pour une livraison prévue en 2026 ?

Pour bien marquer le désir de renouveau de cet acteur majeur de l’énergie en matière d’énergies propres ?! On ne peut que l’espérer !

 

Thierry BRET

 

 

 


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